Eugène Ducrocq (XIXe), libraire au 55 rue de Seine. L.A.S., 25 août 1865, 2p in-8. A Arthur Mangin. Intéressante lettre. Il a fait attendre Mangin car il faisait une nouvelle couverture pour Les Savants illustres de la France. Il parle ensuite de la concomitance avec le livre de Figuier, Vie des Savants illustres. « C'est le 1er mot qui les sauve d'une contrefaçon ». Il lui demande de faire le nécessaire « pour que les hommes de lettres sachet que nous sommes les premiers, même pour la 2e ed. des savants ». Il ne veut pas passer « pour être à la remorque des autres ». [300]