Précieux volume conservé dans son élégante et intéressante reliure parisienne strictement de l’époque, très proche des reliures alors réalisées pour le bibliophile de la Renaissance Marcus Fugger (1529-1597). Paris, Jean Longis, 1553. In-8 de (8), 191 ff. Les gardes et les contreplats sont couvertes d’annotations manuscrites anciennes. Veau blond, double encadrement de trois filets à froid avec petits fleurons dorés aux angles, fleuron central argenté, dos à nerfs orné de filets à froid et d’un petit fer répété, mors et coiffes restaurés. Reliure parisienne de l’époque de belle facture proche de celles réalisées pour Marcus Fugger. 166 x 102 mm.
Edition originale de la traduction française établie par Etienne de la Planche, des trois derniers livres des Apophtegmes. Les cinq premiers livres avaient déjà été traduits en français par Antoine Macault. Brunet, II, 1040 ; Bibliotheca Belgica, E392. Dédiée à Jean Brinon, seigneur de Villennes, conseiller au Parlement de Paris, elle fut partagée entre Jean Longis et ses confrères parisiens Vincent Sertenas et Etienne Groulleau. Érasme publia les « Apophtegmes » pour l’éducation des Hommes d’État. Il veut ici « célébrer l’art d’être spirituel. Il le fait en traduisant et en commentant Plutarque. La scène est presque toujours la même : on pose inopinément une question à un général ou à un homme politique de Sparte. D'autres seraient pris au dépourvu. Les Spartiates, jamais. Ils répondent avec finesse, subtilité, élégance, qualités bien notées dans les marges du recueil. Parfois, avec une certaine rosserie. Le contenu de leurs réponses n'est pas la chose la plus importante. Homme du nord, Érasme aime autant que Castiglione et les grands Italiens le plaisir des bons mots. Si on l'oublie, on réduit le sens de sa culture comique. » (Daniel Ménager). « Signe évident de succès, le recueil latin de plus de 3 000 dits mémorables qu'Érasme publia à partir de 1531 sous le titre d'Apophthegmatum opus, fut réimprimé quelque soixante-dix fois en l'espace d'un demi siècle. Et comme s'il ne suffisait pas de pourvoir aux besoins intellectuels d'un public plus ou moins érudit, voici que rapidement se mirent à fleurir des traductions à l'intention de lecteurs pour qui, apparemment, la connaissance du latin n'allait plus de soi. Ainsi, s'il faudra attendre 1672 pour voir sortir des presses une édition néerlandaise, il en parut une anglaise en 1542, une italienne en 1546 et une espagnole en 1549. Non point que les Français, quant à eux, ne s'y soient pas intéressés : dès 1536, Antoine Macault s'attaqua non pas à une traduction, qui relève de l'imitatio, mais à une translation, qui appartient à l'inventio, des cinq premiers livres ; ce labeur, Etienne de Laplanche allait le compléter dix-sept ans plus tard. Qui plus est, dans les années qui suivirent, Guillaume Haudent et Gabriel Pot devaient même prétendre y trouver matière à en tirer des poésies ! Dès lors, le nombre de compatriotes qui se sont attachés à transposer le recueil d'Érasme, aussi bien que la rapidité avec laquelle ils se sont mis au travail ont de quoi nous intriguer, au point que l'on peut se demander si, au-delà d'un désir fort louable de vulgarisation, et d'une aspiration bien compréhensible, sur les brisées d'un si illustre maître, à la gloire littéraire, d'autres ambitions plus ou moins explicitement énoncées ne se laissent pas discerner. C'est à la lecture de ces exemples que l'on se rend compte à quel point, dès le milieu du XVIe siècle, le français s'est suffisamment démarqué du latin pour pouvoir se prétendre à son tour langue littéraire à part entière. Tant s'en faut, en effet, que Rabelais ait été le seul à se livrer à la truculence verbale : Macault et Etienne de Laplanche prouvent qu'elle est en réalité le fait de toute leur époque. Pour quelque raison que ce soit, mièvrerie esthétique, pruderie intellectuelle, austérité morale ou tyrannie dogmatique, les siècles suivants, à commencer par le XVIIe, allaient se charger de canaliser, voire de brider cette énergie créatrice qui, du coup, fait précisément l'originalité du XVIe. Faut-il le regretter? Il est vrai que de la sorte, le français a perdu en spontanéité ce qu'il a gagné en longévité, au point qu'à presque quatre siècles de distance, les pièces de Corneille se lisent encore sans trop de difficulté. Et si, dès cette époque, se sont mises à fleurir des Belles Infidèles qui se sont épanouies en genre littéraire à part entière, simultanément surgit le débat de fond entre l'école et la rue. » Louis Lobbes. Etienne de Laplanche, avocat au parlement de Paris au XVIe siècle, s’est immortalisé par la traduction qu’il a donnée des cinq premiers livres des Annales de Tacite et des trois derniers livres des Apophtegmes d’Érasme. Précieux volume conservé dans son élégante et intéressante reliure parisienne strictement de l’époque, très proche des reliures alors réalisées pour le bibliophile de la Renaissance Marcus Fugger (1529-1597).
BOUQUET, Simon / RONSARD, Pierre de / DORAT, Jean / PASQUIER, Étienne.
Reference : LCS-18448
Il renferme des poèmes de Ronsard, Baïf, Jamyn, Dorat et Pasquier en édition originale. Paris, Denis du Pré pour Olivier Codoré, 1572. 54 ff. dont 8 planches à pleine page, 1 planche hors texte à pleine page et 1 planche dépliante hors texte. C’est l’ordre et forme qui a este tenu au sacre & couronnement de tres-haute, tres-excellente, & très-puissante princesse Madame Elizabet d’Autriche Roine de France: faict en l’Eglise de l’Abbaie sainct Denis en France le vingt cinquiesme iour de Mars, 1571. A Paris, de l’imprimerie de Denis du Pré, pour Olivier Codoré, 1571. Avec privilège du roy. 10 ff. Entrée de la Reine. 26 ff., (1) f., (1) f.bl., 6 planches. Soit 3 parties en 1 volume in-4. Veau fauve, double filet or encadrant les plats avec armes au centre, dos à nerfs orné. Reliure début XVIIe siècle.
Édition originale et tout premier tirage de l’un des plus beaux livres de fêtes français de la Renaissance. Mortimer, French, 205; Rothschild, IV, 501-503; Tchemerzine, III, 747; Firmin Didot, Histoire de la gravure sur bois, p. 187; Vinet. Bibliographie des Beaux-Arts, n° 44; Fairfax-Murray, French, 152; Brun, Le livre français illustré de la Renaissance, 181. Premier tirage (bandeau du f. 12 recto, dévoré et non vouloir dévorer au verso, I 3 mq. B de Bouquet mais signature L corrigée en I en cours de tirage, M2) Cette entrée cérémoniale de Charles IX à Paris en mars 1571 intervenait après la paix de Saint-Germain d’Août 1570 et la fin de la guerre civile. Le mariage du Roi avec Élisabeth d'Autriche réaffirmait le désir de tolérance religieuse apaisant les conflits entre catholiques et protestants pour lesquels la liberté de culte était reconnue. Le Roi entra sans sa ville de Paris le 6 mars mais, souffrante, la reine ne put l'accompagner. Elle fit son entrée à Paris le 29 mars après avoir été couronnée à l'abbaye de Saint Denis le 25 mars. Pour l'entrée de Charles furent érigées des arches monumentales ornées de statues allégoriques. Ces arches furent reprises pour l'entrée de la Reine, mais ornées de statues différentes, plus appropriées et plus féminines. Simon Bouquet, magistrat parisien, fut chargé par ses collègues de l'Hôtel de ville de Paris de l'ordonnancement entier de la fête et de la confection des décors. Il en confia la mise en scène et le thème à Pierre de Ronsard et Jean Dorat qui firent appel aux artistes de la première école de Fontainebleau; Germain Pilon pour les sculptures, le conte pour les travaux de charpente et Nicolo Dell’Abbate et Pierre d’Angers pour les perspectives et les peintures. Le thème central était évidemment consacré à la paix et au mariage de la France et de la Germanie, Élisabeth d'Autriche étant la fille de l'empereur Maximilien. Le texte fut rédigé par Simon Bouquet et par les grands poètes français de la Pléiade. Pierre de Ronsard composa ainsi pour cette cérémonie 9 poèmes, signés R pour la plupart dans le Recueil. BI « Comme une fille en toute diligence Voyant un pré émaillé de couleurs Entre dedans et choisissant les fleurs Un beau bouquet pour son sein elle agence…» Antoine de Baïf, Jean Dorat, Amadis Jamyn, Guy de Faur de Pibrac et Etienne Pasquier rivalisèrent également pour célébrer poétiquement cet évènement. L’iconographie de cet ouvrage remarquable comprend 16 grandes estampes à pleine page, 10 pour l’Entrée du roi dont une dépliante, 6 (répétition partielle des précédents complétée par de nouveaux bois) pour celle de la Reine Élisabeth d’Autriche, gravées sur bois sous la direction d’Olivier Codoré, « tailleur et graveur en pierres précieuses ». Il s'agit, suivant Manette, du nom abrégé de Coldoré, surnom donné à Fontenay, futur valet de chambre et graveur en pierres fines de Henri IV, en raison des nombreux colliers d'or qu'il portait. Firmin Didot suggère que les bois ont été réalisés sur les dessins de Jean Cousin. Ces planches fort belles illustrant les arcs de triomphe éphémères dressés à la Porte Saint Denis, à la porte au Peintre, au bout-du Pont Notre-Dame, les fontaines et les statues érigées pour cette grande circonstance, évoquent la facture des illustrations de l'entrée à Paris de Henri II en 1549. L’illustration présente en outre l’intérêt d’être, elle-même, «à transformations». L’ouvrage présente en outre un très beau colophon en calligramme en forme de hanap couvert. Exemplaire remarquable relié pour Louis-Alphonse du Plessis de Richelieu (1582-1653), frère de Richelieu, Archevêque d’Aix puis de Lyon, avec ses armes argentées sur les plats. Les exemplaires en reliure ancienne sont extrêmement rares, la plupart ayant été reliés à nouveau – et lavés par la même occasion – à la fin du XIXe siècle. Mortimer décrit un exemplaire avec la 4ème partie (9 pp., sans illustration) mais indique «the work was also issued without the 9 leaves of Pasquier verses at the end». Parmi les exemplaires en trois parties: Fairfax-Murray, Ruggieri… Cela s’explique par le contexte politique. En effet, le texte de Pasquier fait l'apologie de la Paix de Saint-Germain (août 1570) voulue par Charles IX. Signée avec l’Amiral de Coligny, elle accordait d’importantes libertés aux protestants, prônait la tolérance et l'égalité de traitement entre tous les sujets, quelle que soit leur religion. Après la St Barthelemy et l'assassinat de Coligny (août 1572), cette apologie de Charles IX pacificateur pouvait difficilement subsister. Superbe exemplaire, plus grand de marges que l’exemplaire H. P. Kraus et Friedlander en reliure ancienne non armoriée adjugé 38 300 € (23 avril 2001).
Paroles de Louis Balocchi et Etienne de Jouy, Théâtre national de l'Opéra de paris, Gérard Billaudot, 1983, 73 p., broché, trace d'étiquette sur la quatrième de couverture, coin inférieur taché, bon état.
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Édition originale des œuvres en rimes, des jeux et des passe-temps de Baïf et première originale collective de l’ensemble de son œuvre. A Paris Pour Lucas Breyer Marchant libraire, 1573. Avec privilège du Roy. In-8. Les Amours de Ian Antoine de Baif. A Monseigneur le duc d’Anjou fils et frere de Roy. A Paris, Pour Lucas Breyer, 1572. In-8. Les Jeux. De Ian Antoine de Baïf. A Monseigneur le duc d’Alençon. A Paris, Pour Lucas Breyer, 1572. Avec privilège du Roy. In-8. Les Passe-temps de Ian Antoine de Baïf. A Monseigneur le Grand Prieur. A Paris, Pour Lucien Breyer, 1573. Avec privilège du Roi. In-8. Ensemble 4 volumes in-8. Maroquin bleu orné d’un médaillon fleuri au centre des plats, dos à nerfs ornés d’un fleuron répété, large dentelle intérieure, double filet sur les coupes, tranches dorées sur marbrure. Trautz‑Bauzonnet. 162 x 98 mm.
Édition originale des œuvres en rimes, des jeux et des passe-temps de Baïf et première originale collective de l’ensemble de son œuvre. Baïf fut choisi par Ronsard parmi les six meilleurs poètes de la célèbre « Brigade » pour constituer la Pléiade. « Ces poésies sont fort recherchées et ne se trouvent pas facilement complètes » notait déjà Brunet en 1863. D’origine angevine, né en 1532 à Venise où son père était ambassadeur, Jean-Antoine de Baïf suivit les leçons de Dorat avec Ronsard. Après avoir chanté l’amour en pur pétrarquiste, il le rencontra à Poitiers et le célébra avec ferveur dans les Amours de Francine (1555). Il fonda en 1570 une académie de musique et de poésie et imagina alors de faciliter la collaboration entre poètes et musiciens en adoptant la métrique gréco-latine, comme dans ces vers légers : Amour, amiables fillettes, Amour à la pénible chasse Ne se trouve point au marché Ne s’attrape pas à quester, Pour qui le voudroit acheter : Toyles ny rez rien ne lui font : - Aimer il faut pour estre aymé. - Aymer il faut pour estre aymé Mises en musique, les Chansonnettes mesurées charmèrent la cour et la ville. Mais le meilleur de Baïf est dans son adaptation des Psaumes et dans certains sonnets des Amours de Francine. « N’y m’esloigner du long des plus lointains rivages, Ny par les monts déserts, tout seulet, m’escarter, Ny dans les bois obscurs tout le jour m’arrester, Ny entrer dans le creux des antres plus sauvages, Ne m’ostent tant à moy, que de toy mille images Ne viennent à mes yeux par tout se présenter, Où que je sois caché, me venant tourmenter, Navrans mes yeux de peur, mon cuer de mille outrages. Si l’œil se jette en l’eau dedans l’eau je te voy ; Tout arbre par le bois me semble que c’est toy, Dans les antres, au mont, me recourt ton image. Or il faut bien qu’Amour soit aislé comme on bruit, Quand par tout où je fuy, léger, il me poursuit, Toujours devant mes yeux remettant ton visage. » L'œuvre de Baïf se distingue par son abondance, sa variété, et son caractère expérimental souvent audacieux. Esprit éclectique, « inventif et laborieux » selon ses propres termes, ce poète humaniste a passé sa vie à étudier et à écrire, et s'est essayé à tous les genres et à tous les styles avec une inégale persévérance : sonnet et chanson pétrarquiste, mignardise anacréontique, épigramme facétieuse et gauloise, narration mythologique, tragédie, comédie, églogue satire morale ou politique, poésie gnomique à base de proverbes et de sentences versifiées, fable ésopique, lyrisme religieux... Sa réputation d'érudition, d'abord flatteuse, semble ensuite s'être retournée contre lui, quand la postérité s'est plu à faire du « docte, doctieur et doctime Baïf » célébré par Du Bellay une caricature du pédant, lui reprochant son « érudition effréné e» (Chamard). Parce qu'il a beaucoup traduit et paraphrasé, en français et en latin, en prose et surtout en vers, rimés ou mesurés, parce qu'il a considéré la poésie comme un art de la mémoire et de la réécriture, « déversant dans ses œuvres, par imitation volontaire ou par simple réminiscence, tous les souvenirs de son humanisme » (Chamard), on a parfois douté de l'originalité de son talent. Il est juste de souligner sa parenté avec les poètes alexandrins de l'Antiquité, auxquels Dorat l'avait initié. Sa prédilection pour la mythologie et pour un certain réalisme rustique, ses procédés de composition maniéristes, son goût du mot populaire ou archaïque, ses recherches rythmiques sont autant de traits qui l'apparentent aux poètes des Ptolémées. Mais on retient surtout l'audace de ses recherches formelles et l'importance de sa contribution au renouveau musical de son temps. Après avoir expérimenté dans ses vers rimés nombre de combinaisons rythmiques inédites, cet esprit sociable, actif, curieux et entreprenant a orchestré au sein de son Académie une véritable métamorphose de la musique vocale. Peut-être trop dispersé dans ses intérêts, sans doute n'a-t-il jamais produit de véritable chef-d’œuvre ; son œuvre immense n'en incarne pas moins les hautes ambitions morales, intellectuelles et artistiques de la Pléiade. La recherche actuelle tend à lui restituer un rôle de premier plan dans le renouveau esthétique issu de l'humanisme. Rarissime première édition collective, en très grande partie originale, l’une des plus recherchées de la pléiade. Superbe impression homogène pour les quatre volumes, en caractères fins italiques. Les bois typographiques sont également utilisés de manière harmonieuse au travers des volumes. Elle réunit : - Les Amours. A Paris, Pour Lucas Breyer, 1572. (8) ff. et 232 ff. En partie originale. Contient 6 poèmes d'Etienne de la Boetie. - Les Jeux. A Paris, Pour Lucas Breyer, 1572. (4) ff. et 232 ff., le dernier chiffré par erreur 230. La date du titre, comme souvent, a été modifiée par l’adjonction manuscrite d'un I au chiffre mdlxxii. Edition originale. - Œuvres en Rime. A Paris, Pour Lucas Breyer, 1573. (10) ff. et 272 ff. Bien complet de l'extrait du privilège, et du rarissime feuillet a10, blanc avec fleuron typographique. En grande partie originale. - Les Passetems. A Paris, Pour Lucas Breyer, 1573. (4) ff. et 128 ff. chiffrés par erreur 126. Edition Originale. Tchemerzine, pp. 268-279 ; Jean Vignes, « Henri III et Jean-Antoine de Baïf, mécénat rêvé, mécénat réel », in Henri III mécène des arts, des sciences et des lettres, 2006, pp. 144 et suiv. Superbe exemplaire à très belles marges (hauteur 162 mm contre 157 mm pour l’exemplaire relié par Lortic vendu 245 000 FF (37 000 €) le 17 mai 1991, il y a 29 ans et 156 mm pour l’exemplaire H. Drury vendu 45 000 € le 15 décembre 2006, il y a 14 ans). Brunet souligne que ces quatre volumes sont très recherchés et ne se rencontrent pas facilement réunis et Deschamps, dans le supplément à Brunet, cite deux exemplaires en 4 volumes en reliure identique à celui-ci au prix de 1 500 F Or (en 1873) et 1 640 F Or (en 1876) sachant qu’un livre de bibliophilie pouvait alors s’acquérir à compter de 10 F Or. Des bibliothèques Robert Hoe et John Whipple Frothingham avec ex-libris.
PUF, Centre de correspondances du XIXe siècle, 1984, ENVOI de Rémi Gossez, 404 pp., broché, légères traces d'usage, plis de lecture sur le dos, état correct.
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Conférence lue à l’occasion de la première exposition « art abstrait » à Budapest le 3 février 1938. Paris, Chanth, 1938, 178x137mm, 32p., agrafé sous couverture composée par l'auteur et imprimée en lithographie (un peu défraîchie). Membre fondateur puis vice-président du groupe Abstraction-Création de 1932 à 1936, Béothy réalise une exposition particulière en 1934 sous l'égide de ce groupe. En 1938, il organise la première exposition d'art abstrait franco-hongrois à Budapest et donne cette conférence. Couverture un peu défraîchie, texte en français.(101566)
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Vrin, Etudes de philosophie médiévale, 1974, 149 pp., broché, 147 pp., broché, légères traces d'usage, couverture empoussiérée, bon état général.
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Vrin, Etudes de philosophie médiévale, 1939, 339 pp., broché, traces d'usage, mouillure sur la tranche supérieure et la quatrième de couverture, état correct.
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Présentation, tImprimerie Nationale,1995, 553 pp., broché, couverture brunie, petites taches brunes sur la première de couverture, état satisfaisant.
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Editions Frison-Roche, Psychopathologie Fondamentale, 2006, 238 pp., broché, très bon état.
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L'Âge d'Homme, 1978, 255 pp.., broché, couverture un peu défraîchie, dos très légèrement décoloré, état correct.
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Les Nuits Rouges, 2004, 263 pp., broché, bon état.
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Vrin, 1963, 276 pp., broché, légères traces d'usage, tampon à la page 3, état correct.
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Vrin, Problèmes et controverses, 1958, 368 p., broché, couverture défraîchie avec traces de scotch, coiffes fendillées et recollées, tampons page 1,3 et 45, état assez correct.
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Vrin, Etudes de philosophie médiévale, 1943, deuxième édition revue, 417 pp., broché, traces d'usage, quelques taches sur le premier plat, coiffes un peux rognées, état correct.
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MARTIN ETIENNE (1913-1995) MASON RAYMOND (1922-2010)BROWN JACQUES (1918-1991)
Reference : 103601
Paris, Centre National d’Art Contemporain, 23 avril-13 mai 1968, 200x290mm, carton plié en trios, rectos illustrés des trois sculptures de l’exposition, textes au verso.Carton de présentation de cette exposition qui rassemblait trois sculptures et trois sculpteurs.(103601)
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Anthropos, 1979, ENVOI autographe de l'auteur à Robert Paris, 392 pp., broché, très légères traces d'usage, bon état.
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Privat, Rhadamanthe, 1971, 151 pp., textes choisis et présentés par J. Postel, broché, couverture défraîchie, état correct.
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BERGUES Hélène, ARIES Philippe, HELIN Etienne, HENRY louis, RIQUET R. P. Michel, SAUVY Alfred, SUTTER Jean
Reference : 12371
Presses Universitaires de France, Travaux et Documents, Institut national d'études démographiques, Cahier n° 35, 1960, 400 p., relié toile, couverture très empoussiérée.
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, , 1843-1848. L'ensemble relié en 1 vol. in-8, demi-veau blond, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque).
CABET (Etienne). Douze Lettres d'un Communiste à un réformiste sur la Communauté. Paris, Imp. de E. B. Delanchy, 1845. In-8 de 166 pp. Troisième édition. Lettres écrites du 26 mai 1841 au 18 février 1842. Portrait. Prudhommeaux, A47.CABET (Etienne). Bombardement de Barcelone ou Voila les Bastilles ! Histoire de l'insurrection et du bombardement. Documents historiques. Opinion des Journaux espagnols, anglais et français. Appréciation des faits. Paris, Au Bureau du Populaire, 1843. In-8 de (4)-124 pp. Deuxième édition. Prudhommeaux, A67. CABET (Etienne). Les Masques arrachés. Paris, Imp. de E. B. Delanchy, 1844. In-8 de 144 pp. Édition originale. Prudhommeaux, A78. CABET (Etienne). Le Cataclysme social ou Conjurons la Tempête. Paris, Au Bureau du Populaire, 1845. In-8 de 21-(3) pp. Edition originale. Prudhommeaux, A80. CABET (Etienne). Le Salut est dans l'Union ; La Concurrence est dans la Ruine. Paris, Imp. de E. B. Delanchy, 1845. In-8 de 56 pp. Édition originale. Inconnu de Prudhommeaux qui cite un titre différent mais approchant (A82). CABET (Etienne). Réfutation ou Examen de tous les écrits ou Journaux contre ou sur la Communaué. Réfutation des trois ouvrages de L'abbé Constant. Paris Chez Prévot, 1841. In-8 de (2)-33-(1) pp. Édition originale. Prudhommeaux, A55. CABET (Etienne). Réfutation de l'Humanitaire, (Demandant l'abolition du Mariage et de la Famille). Paris Chez Prévot, 1841. In-8 de 12 pp. Édition originale. Prudhommeaux, A54. CABET (Etienne). Réfutation des Doctrines de l'Atelier. Paris Chez Prévot, 1842. In-8 de (2)-32-(2) pp. Édition originale. Prudhommeaux, A57. CABET (Etienne). Le Gant jeté au Communisme par un un riche Jésuite, Académicien à Lyon, Ramassé Par M. Cabet. Paris, Au Bureau du Populaire, 1844. In-8 de 21-(3) pp. Édition originale. Prudhommeaux, A74.CABET (Etienne). Aux Membres du Gouvernement Provisoire. Typographie Félix Maltesse et Comp. 1848. In-8 de 4 pp. Prudhommeaux, B6 (pour l'originale in-plano).CABET (Etienne). Petit Dialogues populaires sur la Communauté. Premier Dialogue. - Ne toumentez pas pour convertir. Paris, Imp. de E. B. Delanchy, 1844. In-8 de 4 pp. Deuxième édition. Prudhommeaux, A58.CABET (Etienne). A Bas les Communistes !. Typographie Félix Maltesse et Ce, 1848. In-8 de 4 pp. Édition originale. Dialogue. Prudhommeaux, B5.CABET (Etienne). A Ceux qui menacent d'assassinat. (Extrait du Populaire du 22 avril 1848). Paris, Au Bureau du Populaire, 1848. In-8 de 16 pp. Prudhommeaux, B8.Règlement pour la Société fraternelle. Typographie Félix Maltesse et Ce, 1848. In-8 de 7 pp. Inconnu de Prudhommeaux.HARDIER. Choeur des Icaries. Paris, Typ. Soupé, sd. [1848]. 1 p. in-8 contrecollé au verso d'un feuillet blanc. Inconnu de Prudhommeaux.Société fraternelle centrale. Discours du citoyen Cabet. Paris, Au Bureau du Populaire, 1848. 11 discours en 10 livraisons in-8, du 6 mars 1848 au 8 mai 1848. Edition originale. Prudhommeaux, B2.Ier Discours, 6 mars 1848 : La garde Nationale, la Liberté de la Presse, le Droit d'association, de réunion, et de discussion, les Élections et le travail. In-8 de 15-(1) pp.2e Discours, 13 mars 1848 : La Nécessité d'éloigner les troupes et d'ajourner les élections. In-8 de 16 pp.3e Discours, 17 mars 1848 : La Manifestation du 17 mars et la nécessité d'ajourner les élections. In-8 de 14 pp.4e Discours, 22 mars 1848 : Sur ce qu'il fallait faire et sur l'ajournement des élections. In-8 de 14-(2) pp.5e Discours, 24 mars 1848 : Sur la Profession de foi à exiger des candidats à l'Assemblée Nationale. In-8 de 14-(2) pp.6e Discours, 29 mars 1848 : Sur les élections. In-8 de 14-(2) pp.7e et 8e Discours, 3 et 10 avril 1848 : Sur les élections. Réception et discours de Robert Owen. In-8 de 15-(1) pp.9e Discours, 24 avril 1848 : Sur la proscription contre les communistes et sur l'esprit du communiste. In-8 de 15-(1) pp.10e Discours, 1er mai 1848 : Exposé rapide sur la doctrine et la marche du communisme icarien. In-8 de 14-(2) pp.11e Discours, 8 mai 1848. Persécution contre le communisme et, Émigration, Arrivée de la 1re avant-garde. In-8 de 14-(2) pp.CABET (Etienne). Insurrection du 23 juin. Paris, Au Bureau du Populaire,1848. In-8 de 59-(3) pp. Édition originale. Prudhommeaux, B14. La page de titre manque.Voyage en Eldorado. S.l.n.d. {1848]. In-8 de 3 pp. Inconnu de Prudhommeaux.
2009 2009. Elsa Peny Etienne En Las Huellas de Jean Louis Etienne (2009 Tbe ) La descripción de este producto se ha traducido automáticamente. Si tiene alguna pregunta al respecto por favor póngase en contacto con nosotros. hermoso libro en gran formato de tapa dura con 184 páginas sobrecubierta publicado por Le Chêne edición original de 2009 con excelentes ilustraciones del autor. en EXCELENTES CONDICIONES como nuevo. Elliot y Ulises son los dignos hijos de Jean-Louis Étienne. El primero está enamorado de la ciencia y el conocimiento mientras que el segundo más intuitivo tiene una sed insaciable de aventura. Mientras los dos muchachos se unen a su padre en el extremo norte de Canadá un desastre logístico los hace perder la reunión y se quedan solos entre los inuit. Conocen a Anyu una niña de su edad mitad quebequense y mitad inuit cuyo chamán abuelo los ayudará a encontrar a su padre. A través de encantamientos este último invoca los espíritus de los animales que Jean-Louis Étienne encontró durante sus expediciones. Desde el oso hasta la ballena pasando por el perro de trineo ninguno tiene la lengua en el bolsillo y sus alegres historias nos siguen los pasos del explorador polar Jean-Louis Etienne. Biografia: Elsa Pény-Etienne nació en 1972. Después de estudiar en Bellas Artes tenía la intención de enseñar y prepararse para la agregación en artes visuales. Con la vida llena de acontecimientos imprevistos se diversificó en la publicación y comenzó como iconógrafa en Hoebeke antes de establecer su propia editorial con Jean-Louis Etienne su esposo. Al mismo tiempo Elsa está trabajando para organizar expediciones polares con su esposo. En una de sus aventuras en el desierto del atolón de Clipperton donde pasó 4 meses aislada del mundo con un equipo de investigadores escribió e ilustró un libro para jóvenes: Las aventuras de Elliot y Basile. (Límite). Desde entonces el virus no la ha abandonado y Elsa compone cuentos con contenido serio o científico y enamorada de Lewis Caroll presta una voz y conocimiento a los animales. ¡por supuesto costos de envío agrupados en caso de compras múltiples. Perlenbook empresa Siret n ° 49982801100010. RCS Lure Tgi 499828911 N ° GESTION 2007 A 111. Creado por
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Lyon, Etienne Dolet, 1540.
Première édition. Sa typographie est magnifique ! "Cette controverse avec Floridus n'ajoute rien à l'histoire du cicéronianisme, sinon une série d'insultes nouvelles. Son intérêt, et il est grand, réside ailleurs : en ce fait que Floridus relance l'accusation lancée par Erasme, très grave en soi, et d'autant plus capitale qu'elle englobait, pêle-mêle, les sectateurs de Cicéron : celle de paganiser dans le style épicurien. Dolet indigné riposta avec l'éloquence la plus véhémente, et pour cause. Tu dis que je ne crois pas à la survie de l'âme. Et sur quoi donc fondes-tu une accusation telle ?" Six ans plus tard, l'humaniste et imprimeur, Etienne Dolet a été brulé avec ses derniers écrits en 1546 place Maubert à Paris. "Que l'accusation de ne pas croire à l'immmortalité de l'âme, c'est à dire l'athéisme, ait contribué à mener Dolet à sa perte, il est impossible d'en doûter." Emile Telle, L' Erasmianus sive Ciceronianus d'Etienne Dolet, p. 84. Marque typographique d'Etienne Dolet sur le titre et le dernier feuillet. Quatre grandes intiales criblées. Exemplaire rogné un peu court avec atteinte au titre courant sur trois feuillets. Longeon, Bibliographie des oeuvres d'Etienne Dolet N° 114. /// In-8 de 56 pp. Demi-veau brun à coins, dos orné. (Reliure du XIXe.) //// First edition. Its typography is magnificent! "This controversy with Floridus adds nothing to the history of Ciceronianism, apart from a series of new insults. Its interest, and it is a great one, lies elsewhere: in the fact that Floridus relaunched the accusation made by Erasmus, very serious in itself, and all the more crucial as it encompassed, pell-mell, the followers of Cicero: that of paganizing in Epicurean style. Dolet fired back with the most vehement eloquence, and with good reason. You say I don't believe in the survival of the soul. And on what do you base such an accusation?" Six years later, the humanist and printer, Etienne Dolet was burned with his last writings in 1546 at Place Maubert in Paris. That the accusation of not believing in the immmortality of the soul, i.e. atheism, contributed to Dolet's downfall, it is impossible to doubt. Emile Telle, L' Erasmianus sive Ciceronianus d'Etienne Dolet, p. 84. Etienne Dolet's typographical mark on the title and last leaf. Four large intials riddled. Copy trimmed, which touch the running title on three leaves. /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET