Beatitudes / Lion de Juda 2004 in12. 2004. Broché. 84 pages. Etat de Neuf
S. n. | s. l. 1888 | 24.50 x 31.50 cm | relié
Manuscrit autographe complet, de la main d'Ephraïm Mikhael, de 28 feuillets numérotés de papier cartonné souple. Reliure à la bradel en demi cartonnage à coins façon vélin , dos lisse orné de motifs typographiques en tête et en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête dorée, couverture conservée. Notre manuscrit, dans sa majorité écrit de la main d'Ephraïm Mikhaël comporte des ratures, des ajouts de Mikhaël sur des placards encollés. Il présente également des ajouts à la plume et au crayon de la main du coauteur de la pièce, Bernard Lazare. On distingue la signature partielle «B Lazare» dans le coin supérieur gauche de la page de titre. Quelques petits manques de texte en raison de la fragilité du papier. A notre connaissance, aucun autre manuscrit de cette uvre n'a été conservé. Considéré par Victor Hugo comme «l'espoir de la poésie française»[1], ce Rimbaud méridional injustement oublié fut emporté par la tuberculose à l'âge de 23 ans. Ephraïm Mikhaël figura parmi les précurseurs du symbolisme et futunanimement acclamé et amèrement pleuré par le mouvement, qui perdit l'un de ses membres les plus prometteurs: «celui qui évoqua la nocturne dame déprise, l'hiérophante hautain et l'idéale vierge, n'est plus déjà.» (Préface de l'ouvrage posthume Poésies En Vers, Paris, Lemerre, 1890).» Comptant seulement trois ouvrages publiés du vivant de son auteur, l'uvre d'Ephraïm Mikhaël bénéficia d'une précoce notoriété en tant qu'émule du Parnasse, et fut exhumée il y a peu de temps après une longue période d'oubli. Cet ancien élève de l'école des Chartes épris de culture classique signa en effet un unique recueil de poèmes (L'automne), et composa les toutes premières pièces de théâtre symbolistes, notamment La fiancée de Corinthe, avec Bernard Lazare, qu'il adapta avec Catulle Mendès en opéra. Dans une France à l'aube de l'affaire Dreyfus, le jeune Mikhaël, originaire de la communauté juive toulousaine, fut également considéré par certains comme un ambassadeur du judaïsme, qu'il revendiqua en abandonnant définitivement son nom francisé «Georges Michel» pour sa forme hébraïque. Au sein du lycée Fontanes, futur lycée Condorcet, ce jeune poète en recherche d'absolu dirigea dans l'esprit joyeux d'Alfred Jarry le groupe de La Pléiade, avec, entre autres, Rodolphe Darzens, Pierre Quillard et Saint-Pol-Roux. Marqué par l'émulation intellectuelle des débuts du symbolisme et la liberté grisante des années 1880 dont il demeura l'éternelle incarnation, son talent fut très vite reconnu par ses pairs: on le compta parmi les habitués des fameux "mardis" du poète Stéphane Mallarmé qui enseignait aussi à Condorcet. Mikhael fréquenta également Heredia, se lia d'amitié avec Villiers de l'Isle-Adam dans les cafés de Montmartre et fut rapidement invité à contribuer aux revues symbolistes, notamment La Basoche, La Pléiade, ou La Jeune France dirigée par Paul Demeny, destinataire de la célèbre Lettre du voyant de Rimbaud(«JE est un autre [...]»). Durant ses huit années d'activités littéraire, Ephraïm Mikhael produisit une uvre conséquente, suggérant le mystère du monde, la magie et le prodige; on y rencontre des thèmes baudelairiens, des mythes antiques (Briséis, «La reine de Saba») et du moyen-âge chevaleresque sous l'influence de Wagner («Siegfried», «Florimond»). Mikhaël abandonna le mètre pour quelques uvres dramaturgiques, dont le Cor fleuri, sa «féerie en un acte» qu'il monta au Théâtre Libre en 1888. Souvent qualifié de Décadent au regard de son mélancolique recueil de poèmes L'automne, il suscita l'admiration de Mallarmé, Maeterlinck et surtout Catulle Mendès, qui signe une des plus belles élégies après sa tragique disparition : «Ses tristesses sont bien les siennes, et il pleure, le cher enfant, nostalgique de tant de ciels de jadis, l'automne, c'est le passé, des larmes que ses yeux seuls ont pleurées.» [1] Gilbert Lély, «Ephraïm Mikhaël», Nos Poètes, 15 fév. 1925, c
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Rosenfeld, Morris; E. M. Lilien (illust.); Berthold Feiwel (transl.) Ephraim Moses Lilien
Reference : 23703
(1902)
1902 Berlin, Germany S. Calvary & Co.sd (1902),IN4 cartonnage decoré editeur,datable par un envoi manuscrit daté 1903, Hardcover Very Good-with no dust jacket Illustrated by E. M. Lilien. Erstes (1.)4°. 26,8 x 21,3 cm. 144,(3) S. Tausend Decorated grey cloth binding. Internally the text and illustration pages are in near perfect condition. Profusely decorated with b/w drawings by Jewish illustrator Ephraim Moses Lilien (1874-1925), an early active Zionist. This book was one of his earliest important commissions, but the fullness of his talent is already evident. Text in German. Wonderful B&W. Black, silver and gold designs on front and back covers. Picture available. Autorisierte Übertragung aus dem Jüdischen von Berthold Feiwel. 144 pages plus table of contents. Illustrated throughout with b/w drawings, full page borders and motifs in Art Nouveau style by Lilien. No date or edition. Buckram cloth covered boards with beveled edges. Embossed design of blue trees with white harp to front and to back. Blue lettering. Mit tlw. ganzs. Illustrationen u. Buchschmuck von Ephraim Mose Lilien. Der Zeichner, Graphiker u. Illustrator Ephraim Mose Lilien (1874-1925), von Beruf Schildermaler, war 1890-92 Schüler an der Kunstschule in Krakau und mußte aus Geldmangel diese sowie 1894 eine weitere künstlerische Ausbildung in Wien abbrechen. Über München, wo er Zeichner für "Die Jugend" war, kam er 1898 nach Berlin, schloß sich dem Kreis der "Kommenden" an und wurde als Illustrator von Borries von Münchhausens Gesängen ..
Selection de poemes yiddish de Morris Rosen ed (1862-1923) traduits en allemand par Berthold Feiwel et illustres de 10 gravures, dont 3 en double page, vignettes etencadrements ornementaux en noir a chaque page par le celebre illustrateur Art Nouveau d’origine polonaise Ephraim Moses Lilien (1874-1925) surnomme « le premier artiste sioniste ». Belle typographie gothique.E.M. LILIEN LIEDER DES GHETTO JEWISH GERMAN ART NOUVEAU BOOK 1902 ILLUSTRATED39 "Songs of the Ghetto". Three sections: Lieder der Arbeit, Lieder des Volkes and Lieder des Lebens. Illustrated with reproductions of drawings and page-decorations in b/w by E. M. Lilien. Ephraim Moses Lilien (1874-1925), the father of Zionist iconography, became known for his unique blend of traditional Jewish symbols within contemporary styles, such as the Jugendstil (German Art Noveau). Translated from Yiddish into German by Berthold Feiwel. Text in Gothic script. Binding in good-, interior in very good condition.Early German edition of this widely read and respected work of poetry about impoverished Jews of the 19th Century. (an edition in Yiddish was published in 1898, the English language "Songs From The Ghetto" in Boston in 1899, and the first German Edition, Berlin 1902) Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Camille Dalou | Paris 1888 | 20 x 27.50 cm | relié
Edition originale, un des rares exemplaires sur Japon. Reliure à la bradel en demi cartonnage à coins façon vélin , dos lisse orné de motifs typographiques en tête et en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête dorée, couverture conservée. Bel et rare exemplaire. Considéré par Victor Hugo comme «l'espoir de la poésie française»[1], ce Rimbaud méridional injustement oublié fut emporté par la tuberculose à l'âge de 23 ans. Ephraïm Mikhaël figura parmi les précurseurs du symbolisme et futunanimement acclamé et amèrement pleuré par le mouvement, qui perdit l'un de ses membres les plus prometteurs: «celui qui évoqua la nocturne dame déprise, l'hiérophante hautain et l'idéale vierge, n'est plus déjà.» (Préface de l'ouvrage posthume Poésies En Vers, Paris, Lemerre, 1890).» Comptant seulement trois ouvrages publiés du vivant de son auteur, l'uvre d'Ephraïm Mikhaël bénéficia d'une précoce notoriété en tant qu'émule du Parnasse, et fut exhumée il y a peu de temps après une longue période d'oubli. Cet ancien élève de l'école des Chartes épris de culture classique signa en effet un unique recueil de poèmes (L'automne), et composa les toutes premières pièces de théâtre symbolistes, notamment La fiancée de Corinthe, avec Bernard Lazare, qu'il adapta avec Catulle Mendès en opéra. Dans une France à l'aube de l'affaire Dreyfus, le jeune Mikhaël, originaire de la communauté juive toulousaine, fut également considéré par certains comme un ambassadeur du judaïsme, qu'il revendiqua en abandonnant définitivement son nom francisé «Georges Michel» pour sa forme hébraïque. Au sein du lycée Fontanes, futur lycée Condorcet, ce jeune poète en recherche d'absolu dirigea dans l'esprit joyeux d'Alfred Jarry le groupe de La Pléiade, avec, entre autres, Rodolphe Darzens, Pierre Quillard et Saint-Pol-Roux. Marqué par l'émulation intellectuelle des débuts du symbolisme et la liberté grisante des années 1880 dont il demeura l'éternelle incarnation, son talent fut très vite reconnu par ses pairs: on le compta parmi les habitués des fameux "mardis" du poète Stéphane Mallarmé qui enseignait aussi à Condorcet. Mikhael fréquenta également Heredia, se lia d'amitié avec Villiers de l'Isle-Adam dans les cafés de Montmartre et fut rapidement invité à contribuer aux revues symbolistes, notamment La Basoche, La Pléiade, ou La Jeune France dirigée par Paul Demeny, destinataire de la célèbre Lettre du voyant de Rimbaud(«JE est un autre [...]»). Durant ses huit années d'activités littéraire, Ephraïm Mikhael produisit une uvre conséquente, suggérant le mystère du monde, la magie et le prodige; on y rencontre des thèmes baudelairiens, des mythes antiques (Briséis, «La reine de Saba») et du moyen-âge chevaleresque sous l'influence de Wagner («Siegfried», «Florimond»). Mikhaël abandonna le mètre pour quelques uvres dramaturgiques, dont le Cor fleuri, sa «féerie en un acte» qu'il monta au Théâtre Libre en 1888. Souvent qualifié de Décadent au regard de son mélancolique recueil de poèmes L'automne, il suscita l'admiration de Mallarmé, Maeterlinck et surtout Catulle Mendès, qui signe une des plus belles élégies après sa tragique disparition : «Ses tristesses sont bien les siennes, et il pleure, le cher enfant, nostalgique de tant de ciels de jadis, l'automne, c'est le passé, des larmes que ses yeux seuls ont pleurées.» [1] Gilbert Lély, «Ephraïm Mikhaël», Nos Poètes, 15 fév. 1925, cité dans Ephraïm Mikhaël, Poèmes en vers et en prose, édités par Matthew Screech,Droz, 1994 - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Tresse & Stock | Paris 1889 | 13 x 18.50 cm | broché
Edition originale pour laquelle il n'est pas fait mention de grands papiers. Petits manques en marges de certains feuillets, un infime manque en tête du premier plat. Crée au Théâtre Libre le 10 décembre 1888, Le Cor fleuri marque les débuts du jeune poète au théâtre. Cette "féerie en un acte" conte le ravissement amoureux d'une fée métamorphosée en femme, et fit l'objet d'une adaptation musicale posthume par son ami le poète Ferdinand Herold sur une musique de Fernand Halphren, élève de Gabriel Fauré. Considéré par Victor Hugo comme «l'espoir de la poésie française»[1], ce Rimbaud méridional injustement oublié fut emporté par la tuberculose à l'âge de 23 ans. Ephraïm Mikhaël figura parmi les précurseurs du symbolisme et futunanimement acclamé et amèrement pleuré par le mouvement, qui perdit l'un de ses membres les plus prometteurs: «celui qui évoqua la nocturne dame déprise, l'hiérophante hautain et l'idéale vierge, n'est plus déjà.» (Préface de l'ouvrage posthume Poésies En Vers, Paris, Lemerre, 1890).» Comptant seulement trois ouvrages publiés du vivant de son auteur, l'uvre d'Ephraïm Mikhaël bénéficia d'une précoce notoriété en tant qu'émule du Parnasse, et fut exhumée il y a peu de temps après une longue période d'oubli. Cet ancien élève de l'école des Chartes épris de culture classique signa en effet un unique recueil de poèmes (L'automne), et composa les toutes premières pièces de théâtre symbolistes, notamment La fiancée de Corinthe, avec Bernard Lazare, qu'il adapta avec Catulle Mendès en opéra. Dans une France à l'aube de l'affaire Dreyfus, le jeune Mikhaël, originaire de la communauté juive toulousaine, fut également considéré par certains comme un ambassadeur du judaïsme, qu'il revendiqua en abandonnant définitivement son nom francisé «Georges Michel» pour sa forme hébraïque. Au sein du lycée Fontanes, futur lycée Condorcet, ce jeune poète en recherche d'absolu dirigea dans l'esprit joyeux d'Alfred Jarry le groupe de La Pléiade, avec, entre autres, Rodolphe Darzens, Pierre Quillard et Saint-Pol-Roux. Marqué par l'émulation intellectuelle des débuts du symbolisme et la liberté grisante des années 1880 dont il demeura l'éternelle incarnation, son talent fut très vite reconnu par ses pairs: on le compta parmi les habitués des fameux "mardis" du poète Stéphane Mallarmé qui enseignait aussi à Condorcet. Mikhael fréquenta également Heredia, se lia d'amitié avec Villiers de l'Isle-Adam dans les cafés de Montmartre et fut rapidement invité à contribuer aux revues symbolistes, notamment La Basoche, La Pléiade, ou La Jeune France dirigée par Paul Demeny, destinataire de la célèbre Lettre du voyant de Rimbaud(«JE est un autre [...]»). Durant ses huit années d'activités littéraire, Ephraïm Mikhael produisit une uvre conséquente, suggérant le mystère du monde, la magie et le prodige; on y rencontre des thèmes baudelairiens, des mythes antiques (Briséis, «La reine de Saba») et du moyen-âge chevaleresque sous l'influence de Wagner («Siegfried», «Florimond»). Mikhaël abandonna le mètre pour quelques uvres dramaturgiques, dont le Cor fleuri, sa «féerie en un acte» qu'il monta au Théâtre Libre en 1888. Souvent qualifié de Décadent au regard de son mélancolique recueil de poèmes L'automne, il suscita l'admiration de Mallarmé, Maeterlinck et surtout Catulle Mendès, qui signe une des plus belles élégies après sa tragique disparition : «Ses tristesses sont bien les siennes, et il pleure, le cher enfant, nostalgique de tant de ciels de jadis, l'automne, c'est le passé, des larmes que ses yeux seuls ont pleurées.» [1] Gilbert Lély, «Ephraïm Mikhaël», Nos Poètes, 15 fév. 1925, cité dans Ephraïm Mikhaël, Poèmes en vers et en prose, édités par Matthew Screech,Droz, 1994 - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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[# ILLUSTRATEUR: Paul Gervais] - # AUTEUR: Ephraïm Mikhaël.(Ephraïm-Georges Michel.)
Reference : 0382
(1904)
# AUTEUR: Ephraïm Mikhaël.(Ephraïm-Georges Michel.) # ILLUSTRATEUR: Paul Gervais # ÉDITEUR: Société du livre d'art Paris # ANNÉE ÉDITION: 1904 # ENVOI, BEAUX PAPIERS: vélin d'Arches # COUVERTURE: Bradel 1/2 basane à coins -dos lisse janséniste -tête dorée. # DÉTAILS: In 4° relié 5ff + 30pp+ 2ff +27 planches (suites). 13 eaux-fortes en couleurs, double suite in fine (dont une gravure en trois états) soit 27 planches. No 77 des 15 exemplaires offerts aux collaborateurs, celui-ci à Mr Xavier Maccard graveur des eaux-fortes (tampon sur le 1er plat).Tirage total:100 exemplaires. L'illustration de cet ouvrage a été confié à Paul Gervais, les eaux-fortes en couleurs ont été gravées par Xavier Maccard et tirées par planches repérées et à la poupée par Henri Geny-gros, le papier à été fabriqué spécialement aux usines d'arches par la maison Perrigot-Masure. Ephraïm- Georges Michel est un poète symboliste né à Toulouse en 1866, mort à Paris en 1890, il fréquente les ”mardis de Mallarmé” et regroupe autour de lui des jeunes poètes (groupe de la Pléiade) comme Rodolphe Darzens, Saint-Pol Roux, P.Quillard, René Ghil. Rémy de Gourmond frappé par ce décès prématuré, affirme qu'on entend dans ses poèmes ”l'ennui des prédestinés qui sentent obscurément comme l'eau glacée d'un fleuve gonflé, monter le long de leurs membres les vagues de la mort”.(wipikedia) # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
# ÉTAT: très bon,couvertures et dos conservés, non rogné.
Éd. Du Lion De Juda 1988 in8. 1988. Broché. 278 pages. Bon Etat intérieur propre
Seuil 1978 11x18x1cm. 1978. Broché. 256 pages. Bon Etat intérieur propre
Imprimerie STI 1984 in8. 1984. livret broché. 90 pages. Bon Etat intérieur propre couverture frottée sur ses bords
Fayard 1987 in8. 1987. Broché. 207 pages. Bon Etat
Beatitudes / Lion de Juda 2000 in8. 2000. Broché. 162 pages. Bon Etat
Beatitudes / Lion de Juda 1990 in8. 1990. Broché. 202 pages. Bon Etat
Katrin Kogman-Appel, Elisheva Baumgarten, Elisabeth Hollender, Ephraim Shoham-Steiner (eds)
Reference : 63153
, Brepols, 2024 Paperback, 360 pages, Size:216 x 280 mm, Illustrations:57 b/w, 65 col., 1 tables b/w., Language: English. ISBN 9782503583945.
Summary What did the world look like for Jews living in medieval Europe? How did they perceive and make use of the elements of their daily life, from items on the street to religious iconography within holy spaces ? in particular synagogues and at the exterior of churches ? and profane elements from the home? And how did they experience the visual and material cultures of their non-Jewish neighbours? These questions form the core of this volume, which explores pre-modern Jewish approaches to images and material objects from a variety of perspectives. From clothing to manuscripts, and from lighting devices to the understanding of the invisible, the chapters gathered together in this multifaceted volume combine analyses of images and artefacts together with in-depth analyses of texts to offer fresh insights into the visual cultures that informed the world of European Jews in the Middle Ages. TABLE OF CONTENTS Preface and Acknowledgements List of Illustrations Introduction Elisheva Baumgarten, Elisabeth Hollender, Katrin Kogman-Appel, and Ephraim Shoham-Steiner Part One: The Perception of the Visual, the Material, and the Tangible in Shared Public Spaces 1. The Writing on the Wall ? A Mahzor, a Bimah, and a Privilege. A Look at Social Processes in the 13th-Century Jewish Community of Cologne Ephraim Shoham-Steiner 2. Illuminations: Lights, Identities, and the Society of Spectacle in the Late Middle Ages Eleazar Gutwirth 3. Materialization of Memoria Memory and Remembrance of Benefactors in Building Inscriptions in Medieval Ashkenaz Rainer Josef Barzen 4. Differing Perceptions of Church Garments and Worship Implements in the Writings and Thought of the Tosafists Ephraim Kanarfogel 5. Not Black and White Clothes and Difference in Medieval Ashkenaz Elisheva Baumgarten Part Two: Utilizing the Faculties of Visual Means 6. Jewish Chivalry in Late Medieval Illuminated Manuscripts Sara Offenberg 7. The Handling of Diagrams in Medieval Scientific Manuscript Transmission The Sefer ha-mar?im le-Eqlides and its First Proposition Sabine Arndt 8. Non-Verbal Aspects of Astrolabe Knowledge (Fifteenth- to Eighteenth-Century Hebrew Manuscripts) Josefina Rodr guez-Arribas 9. Artifacts that Desire Medieval Perspectives Kalman P. Bland (OBM) 10.The Agency of Images The Temple Vessels in Hebrew Bibles from Roussillon (c. 1300) Katrin Kogman-Appel 11.Visualizing the Invisible: Portrayals of Elijah the Prophet in Fifteenth-Century Ashkenazi Haggadot Chana Shaham-Rosby 12.Visualizing Divine Communication in Medieval Jewish Art Shulamit Laderman Index About the Authors
Lessing Gothold-Ephraim. Drama. In Russian /Lessing Gotkhold-Efraim. Dramy. Translations by M.M. Bamdas and V.S. Likhachev. General editing and comments by Y.M.Metallov. Introductory article by I.Altman. M.-L. ACADEMIA 1937. xxxii, 544 p.We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available.SKUalb061920b1512afe11.
Lessing Gothold Ephraim Laokoon, or on the limits of painting and poetry. In Russian /Lessing Gotkhold Efraim. Laokoon, ili o granitsakh zhivopisi i poezii. Monuments of World Aesthetic and Critical Thought. General Editorial Board, introductory article and notes by G. M. Friedlander. Artist Z.M. Sekach. Moscow. State Publishing House of Fiction Literature. 1957. 520 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalb64ff0a002eda5143.
Editions du Lion de Juda. 1985. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 78 pages - nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte - ex dono sur l'illustration de la page 14.. . . . Classification Dewey : 780-Musique
Danse : Catherine Buisset - texte : Ephraïm - photographies : Ephraïm et Dominique Lefevre. Classification Dewey : 780-Musique
(London, Longman, Brown, Green, and Longmans, 1852.)1st edition. [2], 452 pp., color lithograph frontispiece, 2 full-page plates, 1 full-page map, 1 folding map, and 12 full-page lithograph plates (4 color). volume 2 only of 2 volumes,page de titre manquante,pleine toile dec.ed.fanée,
Squier, a noted American antiquarian, here describes his observations of Nicaragua and adjacent territories. The discussion is divided into five parts in which he describes the geography and topography; the events during the author's residence including accounts of his explorations; observations on the proposed Interoceanic Canal; notes on the Aborigines of the county including information regarding geographical distribution, languages, institutions, religions, and customs; and the political history of the country since its independence from Spain. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Constant Benjamin Harpaz Ephraïm Michaud Stéphane
Reference : 514210
(1977)
ISBN : 225201847X
Klincksieck 1977 312 pages 21x13x2cm. 1977. Broché. 312 pages. Couverture légèrement usagée Intérieur très bon
Bon Etat
1967 Tel Aviv, Maariv Library, 1967, 18 x 25 cm , ss pp, en très bon état, avec jaquette illustrée,
.
2011 Paris, Albin Michel, 2011 14,5 x 22,5 cm, 333 pp Neuf car service de presse
Traduit par Marc Meïr Maslowski Bandeau rouge de l'éditeur.
Short description: In Russian. Lessing, Gotthold Ephraim. Dramas. Moscow Leningrad: Academia, 1937 (Leningrad: Volodarsky type). The image is provided for reference only. It may reflect condition of one of the available copies or only help in identifying the edition. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKU5168594
Short description: In Russian. Lessing, Gotthold Ephraim. Nathan Mudry. type. M. Stasyulevich. The image is provided for reference only. It may reflect condition of one of the available copies or only help in identifying the edition. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKU5213463
Paris Alphonse Lemerre, Editeur 1890 in 16 (16x10) 1 volume reliure demi chagrin foncé à coins de l'époque, dos à nerfs soulignés de filets dorés (lettres FP dorées sur le haut du plat supérieur), portrait gravé en frontispice, IV et 275 pages [1]. Ephraiïm-Georges Michel, dit Ephraïm Mikhaël, Toulouse 1866 - Paris 1890, poète symboliste français. Rare. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure
Short description: In Russian. Lessing, Gotthold Ephraim. Laokoon, or On the Limits of Painting and Poetry. Moscow: Goslitizdat. Leningrad detachment, 1957. Laokoon, ili O granitsakh zhivopisi i poezii. In Russian /Laokoon, or On the Limits of Painting and Poetry. The image is provided for reference only. It may reflect condition of one of the available copies or only help in identifying the edition. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKU6332269
Short description: In Russian. Lessing, Gotthold Ephraim. Minna von Barnhelm. Petrograd: b.i., 1917. The image is provided for reference only. It may reflect condition of one of the available copies or only help in identifying the edition. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKU8974848