Carte de visite et lettre autographe en deux pages in-16, non datée sur lequel il traduit en français, suite à la demande d’Aelberts, un extrait d’un discours de Ensor en flamand sur une coupure de journal jointe. Ce texte est un éloge de la ville d’Ostende « [elle] est à présent ma grande mère et ma consolation » au cours duquel il raconte une anecdote où deux vieilles dames l’ont reconnu dans la rue, ce qui l’a mis en joie.