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LES INTRIGANTS, OU ASSAUT DE FOURBERIES. Comédie en trois actes et en prose. Représentée, pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre du Palais-Royal, le 6 Août 1787
Paris Chez Cailleau, Imprimeur-Libraire 1788 in 8 (21x13,5) 1 fascicule broché, 40 pages, non rogné. Antoine Jean Dumaniant. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Broché
LA NUIT AUX AVENTURES. Comédie en trois actes, et en prose.. Représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre du Palais-Royal, le 7 février 1787
Paris Chez Cailleau, Imprimeur-Libraire 1787 in 8 (20x12,5) 1 fascicule broché, sous couverture muette de papier marbré ancien, VII et 92 pages [1]. Antoine Jean Bourlin, dit Dumaniant, 1752-1828. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon
LES INTRIGANS, OU ASSAUT DE FOURBERIES. Comédie en trois actes et en prose. Représentée, pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre du Palais-Royal, le 6 Août 1787
Paris Chez Cailleau, Imprimeur-Libraire 1788 in 8 (21x13,5) 1 fascicule broché, 56 pages, non rogné. Antoine Jean Dumaniant. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon
Dumaniant (1752-1828), comédien, écrivant, pseudonyme d'Antoine-Jean Bourlin.
Reference : 015019
Lettre autographe signée
Dumaniant (1752-1828), comédien, écrivant, pseudonyme d'Antoine-Jean Bourlin. L.A.S., Saint-Amand-Montrond, 27 octobre 1823, 1p in-4. A M. Raymond « correspondant des auteurs » à Paris. Lettre difficile à lire (écriture patte de mouche) concernant un demande de partition à Raymond, une affaire à Lille, une affaire d'« amoureuses » : « Notre [mot illisible] amoureuse n'est presque plus en état de jouer. [Nom illisible] m'a promis de m'en procurer une. Où la prendra-t-il ? Sans doute dans les sociétés bourgeoises. enfin s'il nous en procure une pourvu qu'elle soit gentille de physique, elle sera accueillie à Clermont [Ferrand]. Nos amoureuses sont fort laides ». Il demande enfin des renseignements sur « les costumes du contrebandier ». Peu commun. [366]
