MARYAN ( Marie Rosalie Virginie Deschard Née Cadiou , Dite )
Reference : 002477
(1890)
Paris Librairie Blériot , Henri Gautier Successeur 1890 In-12 Maryan publia une centaine de romans qui reflètent la condition féminine de la fin du XIX° siècle et sont de très bons descriptifs de la vie provinciale notamment de la Bretagne . Ils forment avec d'autres auteurs de la même veine , une littérature chevaleresque qui est donné à lire aux jeunes femmes pour compléter leur éducation - 340 p. , 450 gr.
Couverture souple Très Bon État . 1° édition
DESJONQUERES. 1989. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 263 pages.. . . . Classification Dewey : 944.04-Révolution de 1789
Classification Dewey : 944.04-Révolution de 1789
NON PRECISE. NON DATE. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos abîmé, Intérieur frais. 3 pages de partitions - clé de sol et clé de fa - Ouvrage désolidarise. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Classification Dewey : 780.26-Partitions
Desjonquères, 1989, in-8°, 263 pp, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Que valait l'armée dont disposait la monarchie au début de 1789 ? Comment n'a-t-elle pas « éclaté » dès le printemps de cette même année ? Comment expliquer qu'elle ait pu en 1792 fournir à la Nation la doctrine, l'encadrement et l'équipement qui permirent les victoires de Valmy et de Jemmapes ? C'est à ces questions que s'efforce de répondre cet ouvrage, en soulignant la qualité et l'efficacité des hommes qui, de 1763 à 1788, ont travaillé à effacer l'humiliation des guerres désastreuses du règne de Louis XV. Ces hommes, qu'ils aient servi dans les « bureaux de la guerre » ou plus modestement dans le rang, n'étaient pas, dans leur grande majorité, issus d'une caste jalousement isolée de la Nation. Ces soldats provenaient d'une « France militaire » dont la vitalité ne s'était pas démentie au cours du XVIIIesiècle. Tous n'étaient pas, il s'en faut, des mercenaires : on comptait parmi eux d'anciens miliciens, ces « appelés » de l'Ancien Régime. Mais l'esprit de corps, acquis pendant de longues années passées sous les drapeaux du même régiment en avaient fait des professionnels. Insensibles aux courants d'idées qui parcouraient la Nation, ils auraient pu, en 1789, jouer les prétoriens. S'ils ne l'ont pas fait, c'est que, paradoxalement, leurs officiers ne les y ont pas invités. En 1792, l'armée du Roi est devenue celle de la Nation.
P., éd. du Home, 1947. In-12 broché, 44 pp., 2 ill. hors-texte.
Librairie Montereymard, 1948, in-4 sous portefeuille cartonné (22 x 29), 16 p.+8 planches, E.O. tirée à 250 exemplaires numérotés, celui-ci l'un des 162 sur papier Crévecoeur du Marais, préface de l'Abbé Francis Connan (curé de Saint-Séverin), 8 pages de texte suivies de 8 planches sous chemise (gravures sur bois de Marc Gorgé), envoi de A. Calace de Ferluc à Maurice Garçon, rousseurs éparses sur la couverture rempliée, intérieur très propre, bon état.
Rare plaquette qui met en valeur la sobre architecture médiévale de l'église Saint-Séverin.