Paris, librairie de Paulin, 1837, in-8, 2 volumes, XIV-[2]-397 + IX-[3]-418-[1] pages, demi-percaline jaune à la bradel, pièces de titre rouges, couvertures de l'éditeur conservées, Jolies figures sur bois dans le texte, certaines à pleine page. Première édition de la traduction française, par Pichard, de The Chinese (London, Charles Knight), paru un an auparavant ; à la fin du second volume se trouve un appendice par Bazin ainé, composé de Sir John Francis Davis (1844-1848), sinologue, diplomate, gouverneur de Hong Kong, "plénipotentiaire de sa majesté britannique en Chine" et ancien président de la Compagnie des Indes en Chine, vécut de nombreuses années à Canton. Il joua un rôle important durant la première guerre de l'opium, dont il rédigea un compte-rendu (China during the War and since the Pence). Étiquette ex-libris de Gaston Héliot (n° 1219 de sa bibliothèque). Rousseurs. Bibliotheca sinica I, 51-52. Couverture rigide
Bon 2 volumes, XIV-[2]-397 +
Paris, Paulin, 1837. 2 vol. In-8, XIV-(2)-397 p. + IX-(2)-418-(2) p., 55 gravures dans le texte, demi-chagrin fauve fin XIXe s., dos à nerfs (une coiffe de tête arrachée, qq. rouss).
Première édition en français établie par Auguste Pichard de l'ouvrage de référence de Sir John Francis Davis (1795-1890) sinologue, diplomate et gouverneur de Hong-Kong. Davis, 1836 : " L'ouvrage suivant doit son origine à une collection de notes prises par l'auteur durant son séjour en Chine. Ces notes furent rassemblées dans un but qui ne diffère point du motif allégué par un écrivain français, à l'occasion d'une entreprise semblable : « le désir de tout connaître joint à l'obligation de tout décrire ». Une résidence de plus de vingt années a peut-être contribué à mûrir et à rectifier les opinions qu'il s'était formées, très jeune encore, sur le pays et les habitants, quand il accompagna lord Amherst dans son ambassade à Péking, en 1816... L'illustration comprend 55 gravures en noir dans le texte, la plupart pleine page. Provenance : René Philipon (1869-1936 ; ex-libris gravé par Andrada) ; ex-libris manuscrit. (Cordier, Sinica, I, 72). M1-Et2
Londres Asher 1870 in-4 percaline bleue de l'éditeur, dos lisse muet, encadrement de double filet à froid sur les plats, titre poussé en lettres dorées au centre du plat supérieur, tranches mouchetées
vii et 88 pp.Un seul exemplaire de cette édition au CCF (Bulac). Troisième édition : la première était parue en 1829 à l'adresse de Londres et formait un extrait des Transactions of the Royal Asiatic society of Great Britain and Ireland, II ; et la deuxième était parue en 1834 à l'adresse de Macao.Sir John Francis Davis (1795-1890) avait commencé sa carrière en 1813 à Canton pour le service de la Compagnie des Indes anglaise ; il fut gouverneur de Hong Kong de 1844 à 1848, et laissa plusieurs monographies sur la littérature chinoise
Stuttgart, Stuttgart Expedition der Wochenbände 1848 165x110mm, Verlegereinband. Handgeschriebenes Titelstück auf dem oberen Teil des Rückens. Geriebene Teller und Rücken.
251 + 251 + 200 + 224 + 47 Seiten, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Londres, Longman, Brown, Green, and Longmans, , 1852. 2 vol. in-8 de XVI-327-(1) pp. et VIII- 342 pp., veau taupe glacé, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge et de tomaison en maroquin vert, triple filet doré d'encadrement sur les plats, fleurette doré en écoinçon, doublé d'un tripe filet à froid, fleurettes à froid en écoinçon, dentelles dorées sur les chasses et sur les coupes, tranches marbrées (reliure de l'époque).
Édition originale. Ouvrage illustré de 11 cartes hors-texte. John Francis Davis (1795-1890) diplomate et sinologue britannique fut deuxième gouverneur de Hong Kong de 1844 à 1848. « John Francis Davis (1795-1890), deuxième gouverneur de Hong Kong de 1844 à 1848 et plénipotentiaire de sa majesté britannique en Chine, nous montre sous un jour nouveau les grandes affaires auxquelles il a pris part depuis le traité de Nankin ; il nous fait toucher du doigt, par des révélations curieuses, quelques-unes des causes qui ont laissé la société chinoise dans un état d’infériorité si marqué vis-à-vis de l’Europe. La guerre que la Grande-Bretagne a entreprise en 1840 contre la Chine, et qui s’est terminée le 26 août 1842 par la signature du traité de Nankin, comptera assurément parmi les actes les plus mémorables du XIXe siècle. Une nation de trois cents millions d’âmes vaincue par une poignée d’Européens, le plus grand empire de l’Asie ouvert au commerce et à la civilisation de l’Occident, tels sont les résultats de cette lutte, qui tient une place à part dans l’histoire contemporaine. Les correspondances saisies dans le cours de l’expédition et traduites par le docteur Gutzlaff ont fourni à Sir John Davis les tableaux et les personnages du drame singulier qui se jouait derrière le champ de bataille». (C. Lavollée, La guerre de Chine d'après les documents chinois, 1853).