1895 Péronne, Imprimerie Quentin, 1895, édition originale, 1 volume relié, 195 x 130 mm., 303 pp., reliure demi cuir, dos lisse frontispice,modestes usures d'usage.
" Henri Dabot, 1831-1907, avocat à la Cour d'Appel. Témoin de la Commune, pendant le siège de Paris, il s'engage dans la Garde Nationale et dirige les fédérés de son quartier du boulevard Saint-Michel.Son témoignage sur le bombardement des Versaillais contre Paris et les excès des Communards contre le clergé apporte un éclairage nouveau sur cette période de l'histoire."
Phone number : 02.31.77.03.74
1895-1899 Péronne, Imprimerie Quentin, 1895-1899.
2 textes en 1 volume in-8, en partie non coupé (19,7 x 13,5 cm), demi-chagrin fauve (reliure moderne), dos à nerfs, tête dorée, couvertures conservées, autographes manuscrits dans les 2 ouvrages. vii-1bl.-322-[4] ; vi-[2]-298-[4] pages (complet). Dos insolé. Piqûres éparses sans gêne de lecture sur plusieurs feuillets du premier texte, première de couverture restaurée et doublée avec manque dans la partie inférieure, frontispice roussi. État très correct. RARES ÉDITIONS ORGINALES; le premier ouvrage est illustré d’un frontispice hors texte en héliotypie. Henri Dabot (1831-1907), est un témoin de la Commune de Paris. Sous le Second Empire, il fut avocat à la Cour d’appel de Paris. Ses opinions politiques sont très libérales, le classant dans le catholicisme social. Pendant le siège de Paris, il s'engage dans la Garde Nationale et dirige les Fédérés de son quartier du boulevard Saint-Michel. Il décrit dans son Journal, les acteurs de la Commune, comme l'écrivain Maurice Joly, le ministre de la Justice Eugène Protot ou l'avocat Adolphe Crémieux. Son témoignage sur le bombardement des Versaillais contre Paris mais aussi les excès des Communards contre le clergé, apporte un éclairage nouveau sur cette période de l'histoire. Bel exemplaire portant 2 notes manuscrites de l’auteur, dont un sur le faux-titre du premier ouvrage : “Hommage de l’auteur”; ainsi qu’une carte de visite de l’auteur, contrecollée sur le premier feuillet blanc du second ouvrage avec l’autographe suivant : “Affectueux hommage”, daté du “22 janvier 1899”.
Péronne, Imprimerie E. Quentin, 1895 in-8, VII-323 pp., avec un frontispice gravé, broché. Dos abîmé.
Quoique natif de Péronne, l'avocat Henri Dabot (1831-1907) a laissé plusieurs textes qui forment comme une chronique du Quartier Latin de 1847 à 1900 ; le volume que nous présentons contient son témoignage sur le siège de Paris (au cours duquel il s'était engagé dans la Garde Nationale) et la Commune.Palat, p. 95. Le Quillec, 1248.Envoi. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Mercure de France Broch D'occasion bon tat 24/02/2011 348 pages
Péronne, imp. E. Quentin 1895, in-8 broché, VII + 322pp; frontispice. Errata (corrigé), «Hommage de l'auteur» non signé au crayon, carte de visite de l'auteur. Non coupé. Edition originale. Petit accroc et manque de papier sur le haut du 1er plat, sinon couverture en bon état, intérieur en très bon état (en-dehors d'une petite déchirure sur le haut de la page de faux titre).
Péronne, Imprimerie Quantin, s.d. [1900] ; in-12, broché. Frontispice-110 pp. Couverture jaunie.
L'auteur précise en préambule que cette seconde édition fait suite à celle publiée en 1891 exclusivement réservée à ses camarades de Louis-le-Grand et de l'école de droit. Entre temps il avait publié les "Souvenir d'un bourgeois du quartier Latin" (1893) et les "Griffonnages d'un bourgeois du quartier latin" (1895). Les lettres qu'il publie ici contiennent de nombreux renseignements sur ce quartier de Paris pendant la Révolution de 1848 et le commencement du Second Empire. Accompagné d'une table des événements évoqués dans ces lettres. On joint une carte de visite de l'auteur avec la mention manuscrite de sa main "Hommage de l'auteur".
Seconde édition, 1 vol. in-12 br., Typ. E. Quentin, Péronne, s.d. [ 1900 ], 110 pp.
Bon état pour ce très intéressant témoignage sur le Quartier Latin lors des événements de 1848, sous la Seconde République et les débuts du Second Empire, du point de vue d'un futur avocat à la Cour d'Appel de Paris, marqué par le catholicisme social. Ces lettres avaient été publiées en 1891, exclusivement réservées alors à ces anciens condisciples de Louis-le-Grand et de la Faculté de droit.
[Chez E. Quentin, A la Librairie Blériot] - DABOT, François, Fursy & Henri
Reference : 61611
(1899)
2 vol. in-12 reliure pleine percaline marron, reliure signée Henry-Joseph, Chez E. Quentin, Péronne, A la Librairie Blériot, chez Henri Gautier, Paris, s.d. [ circa 1899 ], 84 pp. ; 120 pp. et 1 f. Rappel des titres : Registres, Lettres et Notes d'une Famille Péronnaise [Suivi de : ] Lettres d'un Lycéen et d'un Etudiant de 1847 à 1854, pour faire suite aux Registres, Lettres et Notes d'une Famille Péronnaise
Rare ensemble réunissant les deux ouvrages en édition originale, chacun d'eux enrichi d'un envoi signé de l'auteur : "Hommage respectueux à Mr. de Chantepie de mon petit livre de raison" et ""très respectueux de mon souvenir de Louis le Grand, à M. de Chantepie, l'un de ses plus brillants élèves". Le premier titre est enrichi d'une belle note autographe du grand bibliophile Gustave Mouravit : "Les publications de l'avocat Dabot, non mises dans le commerce et fort curieuses, sont d'une excessive rareté. Je possède, avec celui-ci, les "Lettres d'un Lycéen", qui y font suite. L'un et l'autre exemplaire portant un intéressant envoi autographe à Mr. de Chantepie". En fin du second titre, on trouvera une lettre du Directeur du "Journal de Péronne" adressée à Gustave Mouravit, évoquant ces ouvrages d'Henri Dabot ("Depuis longtemps ils sont épuisés, lui même payant 10 fr. l'exemplaire à tous les bouquinistes qui parvenaient à lui en rapporter". Bon exemplaire de ce livre de raison qui couvre la première partie du XIXe siècle, et de son complément, l'ensemble provenant de la prestigieuse bibliothèque du fameux bibliophile Gustave Mouravit (1840-1920), notaire à Aix-en-Provence (il fut le notaire de la famille de Cézanne) puis établi à Marseille, avec son charmant petit cachet d'ex-libris à l'encre violette aux initiales M. et G (à l'envers).