PARIS, Grasset, 1949 - In-12 - Broché, couverture verte rempliée - Edition originale, 1 Tirage 15 mars 1949 - Complet du fac-similé de lettre de Jean Cocteau signalant " qu'étant en tournée en Egypte, l'empêche de mettre - 103 pages - Très bon exemplaire
- Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris Editions de l'Antipoète 1958 In 4 en feuilles sous chemise et étui. Frontispice de Jean Cocteau, lithographies de Jean Pons. Tirage limité à 80 exemplaires, celui-ci exemplaire de collaborateur non numéroté mais enrichi d'un dessin en couleurs de Jean Pons.
(1951).280 feuillets de divers formats, in-folio pliés, in-4, ou in-8, sur divers papiers, principalement sur vélin des papeteries Lalo, provenant de blocs. Ces feuillets, souvent écrits au recto seul, sont écrits au stylo bille bleu, rouge ou au crayon à papier.
Ce fort dossier de plus de 280 feuillets d’esquisses, notes, brouillons, ébauches… retrace l’élaboration de cet ouvrage complexe. Il s’accompagne de 7 dessins originaux, dont un portrait de profil de Francine Weisweiller; 4 portraits de Jean Marais, 1 esquisse, et 3 portraits, dont 1 très cubiste sur un feuillet in-folio plié, et 1 représentant «Doudou», Edouard Dermit, que Cocteau adoptera et qui sera son légataire universel. Le dossier du chantier de Bacchus illustre bien la nouvelle méthode de travail de Cocteau, inspirée de son travail de peintre. Tous ces fragments de scènes, inlassablement reprises, sont autant de couches que, tel un peintre, le dramaturge reprend l’une après l’autre. Les feuillets épars, sur lesquels ne se trouvent parfois qu’une ou deux répliques, sont comme les premiers traits de crayon. Entre cent exemples, on peut relever ce dialogue: « – C’est un crétin. – Non, un idiot. – C’est pareil. – Non, le crétin est un idiot pensant »... Ces répliques acquièrent du volume dans les esquisses de deux ou trois pages, où l’on voit le dialogue prendre forme, la scène s’ébaucher. Dans ces premiers brouillons, le héros s’appelle encore Ulrich. Des personnages qui ne seront pas retenus surgissent, comme un curé, et l’on voit que Cocteau a même songé à introduire dans sa pièce le Diable en personne. La scène du conseil des édiles, celle entre Ulrich et l’évêque émergent particulièrement de ce maquis d’ébauches. On relève également plusieurs pages de « phrases », où Cocteau a noté plusieurs de ces formules géniales dont il avait le secret : ainsi « Les murs ont des oreilles. Les oreilles ont des murs », que l’on retrouvera à la scène 6 de l’acte II, ou « – La foule m’aime. – Elle est bien la seule ».Très important ensemble préparatoire permettant de suivre avec précision le travail de Jean Cocteau. Touchante provenance d’une des plus proches et fidèles amies, Francine Weisweiller, de Jean Cocteau, qui séjourna souvent dans sa célèbre Villa Santo-Sospir.
Paris, Chez l'auteur, 1944; in-8, 48 pp., broché. Dessin de Jean Cocteau (portrait)- exemplaire dédicacée par l'auteur - N° 950 /1000 sur papier Alfa Mousse.
Dessin de Jean Cocteau (portrait)- exemplaire dédicacée par l'auteur - N° 950 /1000 sur papier Alfa Mousse.
1955 Paris. NRF. 1955. 1 volume in-12, broché non rogné. 117 pp. ; (10) pp. ; (1) p. bl.
…et réponse d’André Maurois.Edition originale. 1 des 115 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma.Couverture légèrement frottée.
1932 Paris. Grasset. 1932. 1 volume in-12, broché. XIV pp. ; 262 pp. ; (6) pp.
Edition originale Des Beaux-Arts considérés comme un assassinat. 1 des 60 exemplaires numérotés sur papier vert lumière.Frontispice représentant un tableau de G. de Chirico. Introduction de Bernard Grasset. Envoi autographe signé sur le faux-titre : "A Maurice Bage, avec la gratitude Jean Cocteau*".
296 feuillets in-4 et 56 feuillets in-8, sur divers papiers, principalement sur vélin des papeteries Lalo, provenant de blocs dont 3 fonds cartonnés, auxquels s’ajoutent 5 ff. in-folio, pliés, de papier à dessin provenant d’un bloc à spirale. Une trentaine de poèmes sont accompagnés de copies au carbone. La plupart des pages sont écrites au stylo bille bleu, une trentaine au crayon, 4 au stylo bille vert pâle. Le tout est rassemblé dans un classeur-dossier ocre portant le titre autographe au stylo bleu: Esquisses pour Clair-obscur.
Ce fort dossier de plus de 350 feuillets d’esquisses, notes, brouillons et mises au net intermédiaires, portant plus d’un millier de mots ou passages corrigés, retrace l’élaboration de cet ouvrage complexe. Il s’accompagne de 3 dessins originaux, dont un très beau profil et une belle scène espagnole dans laquelle s’enchevêtre taureau, toréador et danseuse de flamenco… ; sur quelques feuillets, des petits dessins, gribouillis et ondulations accompagnent et prolongent l’écriture tourmentée des brouillons, qui contraste avec la calligraphie des manuscrits achevés. Les vers occupent parfois la page en diagonale ou même dans tous les sens, offrant un ensemble touffu, d’une étonnante richesse graphique produite par l’écriture elle-même.Le manuscrit permet de reconstituer la laborieuse genèse du recueil, les textes présentant fréquemment des dates de composition, situées d’août 1952 à juillet 1954. La « petite préface » est fixée dès les premiers brouillons, avec la phrase célèbre et éclairante: « La poésie est une langue à part que les poètes peuvent parler sans crainte puisque les foules ont coutume de prendre pour cette langue une certaine manière d’employer la leur ». La division du livre en trois parties bien distinctes est présente très tôt, comme l’indique une ébauche manuscrite de plan : « 1. La petite préface – avec étoile et note à la fin du livre. / 2. Choix sévère des poèmes non espagnols. / 3. Suite espagnole (datée). 4. Il faudrait finir sur un chef d’œuvre – mais voilà ! »Cet ensemble donne un panorama très complet de l’avant-texte, montrant les étapes très diverses du travail, allant de premières notes jetées au crayon, à des brouillons surchargés de biffures et de corrections, à des mises au net, souvent provisoires et corrigées à nouveau, parfois signées et datées. Outre les dates, on relève d’intéressantes précisions ; ainsi sur un brouillon des 3 premières strophes de l’Hommage à Goya : « L’Hommage à Goya a été écrit le même jour mais l’Hommage à Gréco était fait dans ma tête depuis Tolède ». Outre des indications chronologiques ou contextuelles, on trouve parfois dans les marges des notes prises pour mémoire, sans rapport direct avec le texte.Les poèmes de la dernière partie, où la recherche formelle est la plus poussée, portent la trace des tâtonnements et de réécritures successives: les brouillons pour Hommage à Pouchkine occupent 10 feuillets dont 9 datés, les étapes de la fabrication du poème s’échelonnant du 25 juin au 5 juillet 1954 ; sur le dernier feuillet, donnant une « autre version de la strophe finale » encore très raturée, on lit: « à peu près définitif / 5 juillet 1954 / mon anniversaire ».Le poète procède surtout en raturant, ne conservant que quelques lignes soulignées et reportées sur de nouveaux essais dans un désordre apparent et trompeur, qui feront progressivement émerger la version quasi définitive. Très important manuscrit de travail préparatoire de Jean Cocteau pour le recueil de poèmes Clair-Obscur, qui sera publié en 1954.
Geneve, Marguerat, s.d.; in-8, 339 pp., br.
.
Paris, RTF, 1964; in-12, 187 pp., cartonnage de l'éditeur. Bon état.
Bon état.
Paris, Editions PAC, 1984; in-4, 190 pp., cartonnage de l'éditeur. Album photos.
Album photos.
S.D. TEXTE DE PREMIER JET (nombreuses ratures et ajouts) DE LA PLAQUETTE SIGNÉE JEAN COCTEAU, INTITULÉE : « ROBERT GOFFIN LHOMME ET LE POÈTE » PARUE CHEZ « LA PETITE DRYADE » EN 1961, AU SUJET DES RECHERCHES DE GOFFIN SUR ARTHUR RIMBAUD : …Avocat et poète, Robert Goffin sera donc d'office l'avocat du diable. Seulement, si le diable se fait parfois prendre pour Dieu, il arrive que Dieu se fasse prendre pour le Diable afin de mettre en éveil la perspicacité d'une vertu trop sûre d'elle-même. J'admire l'aisance avec laquelle Goffin se débrouille dans notre interminable procès. N'est-il pas le vrai défenseur de Rimbaud et de Verlaine, gagnant sa cause sans mensonges ? Le secret de cette réussite vient de ce qu'il habite le même monde que les coupables et connaît le mystère de la véritable innocence. Il triomphe par amour, sachant que de toutes les armes l'amour reste encore la plus efficace, et celle qui ne trompe jamais, à la longue…Robert Goffin (1898-1984) "entre en poésie" par son grand-père qui connaissait Victor Hugo. « Le souvenir de Victor Hugo a été suffisant pour ensemencer toute la famille », avait-il confié. En 1921, il fonde la revue La Lanterne sourde pour laquelle il fait appel à deux poètes parisiens : Blaise Cendrars et Jean Cocteau. La très haute idée de l'amitié lui fit dire qu'on meurt un peu avec les amis qui meurent. Son opinion sur Jean Cocteau est dithyrambique ; il avait déclaré à son sujet « C'est probablement l'homme le plus intelligent que j'ai rencontré. Cocteau parlait de choses qui dépassaient l'imagination » ; Goffin rapporte la définition que Cocteau donnait alors de la poésie : elle est comme le sifflet d'Hermès que seule l'ouïe des chiens peut entendre et donc destinée aux oreilles qui ont des caractéristiques particulières. En 1920, Robert Goffin découvre Clément Pansaers et le Dadaïsme, il entend les premiers airs de ragtime apportés par les américains et bouleversé par ces contretemps, il comprend alors que l'aventure de l'art moderne doit s'incarner dans une rupture et une concomitance entre les phénomènes de la poésie moderne, de la musique et de la peinture modernes.Cocteau et Goffin entretinrent une longue et fructueuse amitié, ponctuée de séjours réciproques : Goffin, rendit régulièrement visite à Cocteau, rue Montpensier puis à Milly-la-Forêt. Il alla également chez Francine Weisweiller à la Villa Santo-Sospir à Saint-Jean-Cap-Ferrat tandis que Cocteau vint se reposer à Sept Fontaines où Robert Goffin avait écrit Aux Frontières du jazz. Une rare plaquette signée Jean Cocteau, parut en 1961 dans la collection de la « Petite Dryade» à Virton. Elle s'intitule Robert Goffin : l'homme et le poète. Cocteau s'y exprima au sujet des recherches de Goffin sur Arthur Rimbaud. Références bibliographiques: Marc Danval, Le doux géant et le funambule. Lamitié Goffin-Cocteau. Cocteau et la Belgique, Bruxelles, Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.
1959 Liège. Editions Dynamo. 1960. 1 plaquette in-8, broché. 8 pp. ; (2) ff. bl.
Edition originale. 1 des 40 exemplaires numérotés sur Vélin blanc. Brimborions n°71.
Paris, Calmann-Lévy, 1951. In-12 (190 x 140 mm), 121 pp., 1 p. n. ch., 2 ff. n. ch. Broché, jaquette illustrée, dos de la jaquette légèrement bruni.
Édition originale sur alfama du Marais, seul tirage sur beau papier, un des 24 exemplaires hors commerce. Elle est ornée, en frontispice, d’une photographie de Jean Marais par Roger Corbeau, avec jaquette et gravure en-tête de la main de Jean Cocteau. Le premier plat de couverture a également été dessiné par Cocteau. Cet essai rend successivement hommage à l’acteur, un de ceux, selon Cocteau, “qui contredisent leParadoxede Diderot” et au peintre avec qui Cocteau fut lié indéfectiblement de 1938 à 1963. Des «notes» de comédien de Marais sont insérées ainsi que des extraits de lettres, produisant un portrait vivant. L’ouvrage qui se veut aussi un ouvrage critique présente in-fine un catalogue des films dans lesquels Marais a joué et un catalogue de ses œuvres picturales. Exemplaire de présent, enrichi d’un émouvant envoi de l’auteur à Jean Marais: “Mon Jeannot je ne te donnerai jamais assez en échange de ce que tu me donnes. Je t’embrasse. Jean * Cap Santo Sospir. Mars 1951”. C’est en 1937 que Jean Cocteau fit la connaissance de Jean Marais, lors d’une audition pour sa pièce Œdipe-Roi. Il est ébloui par l'acteur, au profil identique à celui d'Éphèbe, que Cocteau dessine sans cesse. “Je ne l'ai pas connu, je l'ai reconnu”, dira-t-il plus tard. Depuis cette rencontre, qui lança la carrière du jeune homme, Jean Marais devint l’amant puis le grand ami de Cocteau, jusqu’à sa mort. L’envoi est signé de la célèbre villa de la grande amie et mécène de Cocteau, Francine Weisweiller, à Saint-Jean-Cap-Ferrat que le poète avait découverte l’année précédente et dont il orna les murs de fresques (Georgel). Exceptionnel exemplaire réunissant l’auteur et sa muse, certainement le plus désirable qui soit. Pierre Georgel, Jean Cocteau et son temps 1889-1963, Paris, Musée Jacquemart-André, 1965, p. 139.
Paris, Rombaldi , 1971; in-4, 327 pp., cartonnage de l'éditeur. Illustrations originales de Pablo Picasso.
Illustrations originales de Pablo Picasso.
Paris, Rombaldi , 1971; in-4, 280 pp., cartonnage de l'éditeur. Illustrations originales de Gerard Economos.
Illustrations originales de Gerard Economos.
Paris, Rombaldi , 1971; in-4, 216 pp., cartonnage de l'éditeur. Illustrations originales de Leila Mikaeloff.
Illustrations originales de Leila Mikaeloff.
Nice, Galerie Matarasso / Collection " Sortilèges " de 1957. In-8 broché de non paginé au format 13,5 x 19 cm. Couverture avec portrait photo de Jean Cocteau par André Villers. Dos carré avec nom de Jean Cocteau imprimé. Infimes frottis aux coins. Intérieur parfait. Complet de la rare et magnifique jaquette inédite, illustrée par Jean Cocteau, et tirée en lithographie.On joint 2 petits dessins reprduits en couleurs de Jean Cocteau, deux feuilles avec 4 caricatures en noir de Jean Cocteau, ainsi que le bulletin de 4 pages du Ciné-Club du Quartier Latin, comprenant une critique sur Jean Cocteau. Longue préface de Georges Noël suivie de quatre-vingt illustrations, dont : photographies de Man Ray, Cécil Beaton, André Villers, etc, fac-similés, reproductions d'oeuvres de Modigliani, Pablo Picasso, Bernard Buffet, Jean Cocteau, etc. Bibliographie en fin de volume. Superbe état général. Edition originale achevée d'imprimer en héliogravure le 31 août 1957.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Paris, Bernard grasset, 1949; in-12, 218 pp., br. 14e edition.
14e edition.
Paris, Le club francais du livre , 1949; in-8, 178 pp., cartonnage de l'éditeur. Roman illustré par l'auteur.
Roman illustré par l'auteur.
Paris, Librairie Arthème Fayard, 1956; in-8, 190 pp., br. Avec jaquette.
Avec jaquette.
Paris, Le livre de Demain, 1947; grand in-8, 110 pp., br. Très bon état - broché - 32 bois originaux de Guy Dollian.
Très bon état - broché - 32 bois originaux de Guy Dollian.
Paris, Club francais du livre , 1949; in-8, 177 pp., cartonnage de l'éditeur. Roman illustré par l auteur.
Roman illustré par l auteur.
Paris, Editions rombaldi, s.d.; in-8, 217 pp., cartonnage de l'éditeur.
.