Clément Bertie-Marriott (1848-ap.1904), journaliste, écrivain, L.A.S., 26 février 1884, 3p in-12 (40 lignes). Amusante lettre : « Il parait que vous faites un canard sans moi. Ca, mon cher maître, sais-tu que ce n'est pas bien ! Et pourtant le camarade Alexandre Hepp m'avait rappelé à ton oublieuse sympathie. Je sais très bien que vous avez répondu « Marriott est trop cher ». Mais qu'en savez-vous ». Il argumente donc pour que Scholl ne fasse pas un journal « sans John Albrecht Dilingham rédacteur du Massachussets Hérald alias Alberty alias votre tout dévoué Bertie-Marriott ». Joli courrier. [113]
Clément Bertie-Marriott (1848-ap.1904), journaliste, écrivain, L.A.S., Saint-Petersbourg, 28 mars/9 avril 1883 , 3p in-12 (41 lignes). Amusante lettre : « Mon cher ami, j'ai un livre. C'est bête mais l'homme a de ces défaillances ! Il a commencé par manger une pomme et il a fini par se faire éditer chez Dentu ». Il demande, toujours de manière humoristique, que Scholl parle de son ouvrage, Parisiens et Parisiennes. Il est à Saint-Pétersbourg pour « organiser l'agence télégraphique du couronnement » avec Ivan de Woestyne (1834-ap.1900). Le tsar Alexandre III, tsar depuis 1881, sera en effet couronné le 27 mai 1883. Joli courrier. [113]
Clément Bertie-Marriott (1848-ap.1904), journaliste, écrivain, L.A.S., Nice, 11 février 1877, 1p in-8 (12 lignes). Il demande à Scholl de lui prêter 15 Louis pour rentrer à Paris. « Auras-tu confiance dans la parole d'un reporter anglais ? ». [112]
Clément Bertie-Marriott (1848-ap.1904), journaliste, écrivain, L.A.S., Paris, 1er octobre 1878, 2p in-12 (31 lignes). Il a su par Pierre Giffard (1853-1922) que Scholl avait avancé la publication, vraisemblablement dans Le Voltaire, de leur roman en accord avec Scholl mais sans le consulter et cela lui fait perdre 800 francs dont il a besoin. Après avoir longuement parlé de ce problème, il se propose pour faire une « chronique humoristique à la Dickens dans Le Voltaire », toutes les semaines, pour 300 francs par mois. Joli courrier. [112]
Clément Bertie-Marriott (1848-ap.1904), journaliste, écrivain, L.A.S., 6 mars 1886, 2p in-8 (14 lignes). Amusante demande : « Ô vous qui avez obtenu une médaille grâce à une réclame faite à un chien, dites donc deux mots d'un Parisien au Mexique dans votre prochaine chronique au Matin et je vous fais avoir l'ordre du bain ! ». L'ordre du bain est un ordre anglais. [113]
Clément Bertie-Marriott (1848-ap.1904), journaliste, écrivain, L.A.S., 3 juin 1888, 2p in-8 (17 lignes). Il demande à Scholl quelques mots sur son livre Gloires Parisiennes qu'il lui envoie. [113]
Clément Bertie-Marriott (1848-ap.1904), journaliste, écrivain, L.A.S., 12 décembre 1893, 3p in-8 (39 lignes). Amusant courrier : « Il y a des bureaux de placement pour les domestiques, il n'y en a pas pour les journalistes ! C'est une injustice ». Il demande à Scholl de dire un mot pour lui à Edmond Magnier, Alfred Edwards, Arthur Meyer ou « tout autre directeur de journal ». Il a besoin de travailler. « En votre qualité de membre de la société protectrice des animaux, vous devez protéger la bête humaine ». [113]
Clément Bertie-Marriott (1848-ap.1904), journaliste, écrivain, L.A.S., Paris, 2 décembre 1896, 4p in-8 (44 lignes). Amusante lettre dans laquelle il demande la participation de Scholl à une enquête pour Le Journal, à savoir répondre à la question « Que pensez-vous de Noël ? (au point de vue moral et mondain). [.] Vous qui êtes le Pape de la Chronique, soyez généreux pour un faible d'esprit, ouvrez-lui les portes de votre paradis parisien ». [113]
Clément Bertie-Marriott (1848-ap.1904), journaliste, écrivain, L.A.S., Paris, 27 septembre 1899, 3p in-12 (28 lignes). Il demande à Scholl de répondre pour le journal Le Petit Bleu à la question : « Que pourrait-on faire encore pour accroître l'éclat de l'Exposition de 1900 ? ». [113]
Clément Bertie-Marriott (1848-ap.1904), journaliste, écrivain, L.A.S., sd, 1pœ in-8 (18 lignes). Il est dans l'embarras et demande à Scholl de lui prêter un louis. [113]
Clément Bertie-Marriott (1848-ap.1904), journaliste, écrivain, L.A.S., sd, 3p in-8 (36 lignes). En-tête des Nouvelles de Paris. Ayant appris que Laurier, ami de Scholl, a acheté le journal anglais The Continental Herald, journal auquel il a toujours refusé de travailler du temps de M. Dalz, l'ancien rédacteur en chef, il demande à Scholl de le recommander auprès de Laurier dans « la nouvelle combinaison ». [113]