Alger, Office des Publications Universitaires, 1987, 3 vol. in-8 br. (16,5 x 23,5), 1198 p., pagination continue, tableaux, carte, ex-libris, bon état.
Cet ouvrage, tiré d’une thèse de doctorat es-lettres et sciences humaines soutenue le 6 juin 1984 à l'Université de Paris V, traite des causes de la faiblesse de l’agriculture algérienne. Les interventions de l’Etat dans l’agriculture n’ont pas permis de modifier, dans le sens qui convenait à la classe dirigeante, ni la production agricole, ni les structures de la société rurale. L’auteur étudie comment ces interventions ont été comprises, acceptées, utilisées ou rejetées par la cette société. Première partie : "Enjeux et partenaires". Deuxième partie : "Les pratiques agricoles". Troisième partie : "Les pratiques familiales". Importante bibliographie. De ce travail foisonnant, solidement argumenté, se dégage l'idée centrale que, malgré la force d'impact du capitalisme colonial puis de la techno-structure socialiste, s'est maintenue et s'est même renforcée, la capacité de la grande famille à organiser la société rurale. Voir le sommaire sur photos jointes.
REVUE. Jacques Berque, Claudine Chaulet, John I. Clarke, J.M. Albertini, Jacques Revault, Hubert Cornet, Paul Sebag.
Reference : 20406
Tunis : Les cahiers de Tunisie, revue de sciences humaines, n° 21-22, 1er-2e trimestres 1958. Un fascicule in-8°, broché.
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