Charles Derennes (1882-1930), écrivain. L.A.S., Paris, 21 août 1923, 1p 1/2 in-4. A la poétesse Jane Catulle-Mendès (1867-1955). Il encense son poème La nouvelle Elvire et lui propose de le publié dans La Muse française. Ce sera le cas (en 1923, p.684). La fin est amusante : « Ma jeunesse. Elle fiche le camp, la pauvre ! Qu'elle le fasse en beauté, c'est d'ailleurs tout ce que je lui demande. Je travaille un peu, je réfléchis beaucoup. Le reste est littérature. Nous vous avons bien plainte de ces mauvais procédés de vautours qui ont été utilisés vis-à-vis de vous. Ah ! Les salauds ! C'était, déjà, Mirbeau, il y a vingt ans, qui disait cela de . - non ! Je ne dirai pas de qui !. (romance) - avec cet air angélique dont il ne se départait pas dans le privé pour enguirlandé son monde ». On joint un petit courrier, probablement à la même, daté du 16 février 1925. Belle lettre. [381]
Charles DERENNES - [Villeneuve-sur-Lot 1882 - Paris 1930] - Ecrivain français
Reference : 33521
1 page in8 - bon état - On joint un Envoi autographe signé sur le faux-titre de "Vie de Grillon" -
Il le remercie pour sa lettre: "Tout ce que vous pourrez faire pour mon insecte me touchera infiniment" - Il serait bien aimable de lui communiquer l'article paru naguère dans le "Carnet de la Semaine" -
Charles DERENNES - [Villeneuve-sur-Lot 1882 - Paris 1930] - Ecrivain français
Reference : 33522
1 page in8 - bon état -
Ils sont trés touchés de ce qu'il a bien voulu raconter de lui : "et surtout, mon chat qui est depuis, dans ma rue, presque aussi célébre que Paul Souday" - (un angora) - Il n'excuse sa sympathie et son indulgence pour lui que parce qu'il espère, "le plus tôt possible, faire mieux encore" -