[Charles X] Mea culpa de Charles X ex roi de France, et de ses Ministres - Les adieux de Charles aux Français. - Son départ pour se rendre en Saxe passant par Hambourg accompagné seulement de cent personnes. Paris 14 août 1830.
Reference : 013495
[Charles X] Mea culpa de Charles X ex roi de France, et de ses Ministres - Les adieux de Charles aux Français. - Son départ pour se rendre en Saxe passant par Hambourg accompagné seulement de cent personnes. Paris 14 août 1830. [Paris], imprimerie de Demonville, rue Christine n°2. 2p in-4. Rare document contre le roi déchu et ses ministres, à peine répertorié, qui existe dans deux versions : la nôtre et une imprimée à Nancy chez Richard-Durupt. Le WorldCat ne donne qu'un seul exemplaire de chaque tirage : Leyde pour notre tirage, BnF pour celui de Nancy. Ce document se présente comme une lettre de Charles X, commençant et finissant par la formule « Mea culpa, mea culpa, mea maxima culpa », dans laquelle on voit un roi faible, naïf, manipulé par ses ministres dont certains, pourtant catholiques, ne sont que des « loups ravissants ». A la fin de la lettre, trois petits paragraphes montrent que le document date d'août 1830. En effet, il est dit que Charles X part en Saxe via Hambourg, ne pouvant se rendre en Angleterre, alors qu'il embarque le 16 août pour l'Angleterre. Très rare document. [304-2]
[Battle of the Little Bighorn, Bataille de Little Bighorn, Felice Orsini, Attentat contre Napoléon III en 1858, Charles Camillo De Rudio], Recueil de 9 autographes des 4 protagonistes dont Charles DeRudio qui devint officier lors de la fameuse bataille de Little Bighorn le 25 juin 1860, y survécut et dont le témoignage fut publié dès le 30 juin 1860.
Reference : 010941
[Battle of the Little Bighorn, Bataille de Little Bighorn, Felice Orsini, Attentat contre Napoléon III en 1858, Charles Camillo De Rudio], Recueil de 9 autographes des 4 protagonistes dont Charles DeRudio qui devint officier lors de la fameuse bataille de Little Bighorn le 25 juin 1860, y survécut et dont le témoignage fut publié dès le 30 juin 1860. Reliés dans un volume in-8 avec une brochure du docteur Rougean, L'Attentat d'Orsini - étude de psychi-pathologie historique (Paris, Le François, 1934). L'attentat eut lieu le 14 janvier 1858. Felice Orsini (1819-1858), G Pieri (1808-1858), Charles de Rudio (1832-1910) & Antoine (Antonio) Gomez (né en 1825). Les trois premiers furent condamnés à mort le 26 février 1858 et Gomez aux travaux forcés à perpétuité. La peine de Rudio fut commuée en travaux forcés elle-aussi et il s'évada peu après alors qu'Orsini et Pieri furent exécutés le 13 mars 1858. Si on perd la trace de Gomez (probablement mort au bagne), Rudio arriva à Londres puis émigra à New-York. Il s'engagea dans l'armée et fait partie des survivants de la fameuse bataille de Little Bighorn (25 juin 1860). Son témoignage a été publié dès le 30 juin dans New York Herald. On compte ainsi : -2 autographes d'Orsini : une feuille de comptes et une L.A.S. à « M. Leveille, directeur de la conciergerie », en réalité Jean-François Lebel, datée du 2 mars 1858. -3 autographes de Pieri : une L.A.S., probablement jamais arrivée, au procureur général pour solliciter un rendez-vous, datée du 22 février 1858, et 2 reçus A.S. datés des 12 et 13 février 1858. -2 autographes de Gomez : 2 reçus A.S. datés des 9 février et 1er mars 1858. -2 autographes de Rudio : 2 reçus A.S. datés des 12 et 13 février 1858. Reliure demi-chagrin. Exceptionnel ensemble, extraordinaire même par la réunion des 4 protagonistes de l'attentat et par la présence même d'autographe d'un des protagonistes de Little Bighorn, évènement d'une importance capitale dans l'histoire des USA.
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Charles Olivier René Bibard dit Charles-René (1863-1940), pianiste, compositeur, 2e second prix de Rome en 1883 et 1er second prix de Rome en 1884.
Reference : 008420
Charles Olivier René Bibard dit Charles-René (1863-1940), pianiste, compositeur, 2e second prix de Rome en 1883 et 1er second prix de Rome en 1884. L.A.S., 15 février 1899, 1p in-12. Carte postale à Cécile Guinand, épouse du poète Edouard Guinand. Il confirme à Mme Guinand un rendez-vous pour le samedi 18 à la mairie du 9e arrondissement rue Drouot, probablement pour son mariage. Notons que Guinand est l'auteur du texte de L'Enfant prodigue, l'ouvre qui permit à Charles-René d'obtenir son prix en 1884. Document plié plusieurs fois dans la longueur anciennement. [279]
Institut de France Paris, 1968. Institut de France, Académie des inscriptions et belles lettres. Plaquette in-4 brochée de 6 pages. Bon état
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Charles Causse dit Pierre Maël (1862-1904), écrivain sous le pseudonyme de Pierre Maël partagé avec Charles Vincent.
Reference : 016987
Charles Causse dit Pierre Maël (1862-1904), écrivain sous le pseudonyme de Pierre Maël partagé avec Charles Vincent. L.A.S., La Trinité sur Mer, sd [1895], 2p in-12. Remerciements pour un article sur son livre Mer bénie. [396]
Charles Démia, Tre?sor cle?rical ou Conduites pour acque?rir et conserver la saintete? eccle?siastique. Recueilli des auteurs les plus conside?rables de ce temps, qui ont traite? de ces matieres. Lyon, Jean Certe, 1683. In-8, [16]-640-[8]p. Seconde émission de l'édition originale, après la première datée 1682. L'impression est unique mis à part les deux dernières pages préliminaires (non chiffrées). Ces deux pages [15-16] contiennent la fin de la première approbation (signée Beauregard), la seconde approbation (signée Dareste), une permission (signée Vaginay) et un consentement (signé de Seve). Dans l'édition de 1683, la composition de la fin de la première approbation reste identique mais la seconde approbation est entièrement recomposée, en caractère plus petits, suivie d'une troisième approbation (signée Terrasson) et du privilège du roi, arrivé donc après la mise en vente des premiers exemplaires. Le feuillet diffère du reste de l'ouvrage par sa taille. Il manque la gravure dépliante devant se trouver entre les p.500 et 501, qui n'a jamais été reliée dans notre exemplaire. Une amusante gravure, p. 21, indique les mesures des tonsures suivant le ministère de l'ecclésiastique : clerc, acolyte, « soudiacre », diacre et prêtre. Charles Démia (1637-1689), originaire de Bourg-en-Bresse, fut très actif pour l'éducation des enfants pauvres et fit ouvrir cinq écoles à Lyon. Il est aussi à l'origine du séminaire Saint-Charles qui est le premier séminaire de formation des maîtres en France. Son exemple fut suivi dans d'autres villes où furent ouvertes d'autres écoles gratuites, et plusieurs évêques envoyèrent des ecclésiastiques au séminaire Saint-Charles. Cet ouvrage, destiné donc à un public ecclésiastique, probablement en lien avec le séminaire, a eu cinq éditions. Provenances : -Catherine Madeleine de Verthamon (1642-1722), seconde épouse de Louis-François Le Fèvre de Caumartin (1624-1687) : armes au centre des plats (O.H.R. 650). -P. Duval, prêtre : ex-libris manuscrit en garde (XVIIIe). -Petit séminaire de Caen : cachet sur le titre. Plein veau, dos à nerfs orné, pièce de titre, roulette sur les coupes, quelques feuillets sur les témoins. Papier parfois un peu jauni, un cahier mal cousu et un peu décalé (Nn), restauration ancienne à la coiffe inférieure, petit accroc en pied du mors inférieur, petit trou de vers visible sur le dos sans incidence sur le papier. Ouvrage peu commun.
Charles Cros (1842-1888), poète, inventeur. L.A.S., 3 janvier 1870, 2p in-8. A l'écrivain et vulgarisateur scientifique Arthur Mangin (1824-1887) : « Monsieur, En recherchant votre adresse je me suis aperçu d'un oubli que j'ai vivement regretté. Une lettre que je vous adressais à l'occasion des lignes que vous m'avez consacrées dans le Phare de la Loire, est restée chez moi. Pardonnez moi donc et soyez sûr de toute ma gratitude pour l'appréciation bienveillante et hautement flatteuse que vous avez faite de mon mémoire. Je trouve, et je n'hésite pas à le dire, que vous êtes le seul, parmi les publicistes qui ont parlé de ce travail, à dire clairement et éloquemment ce que je pensais et que je ne pouvais dire moi-même. Ne me trouvez pas prétentieux, car il ne s'agit que d'un but que j'ambitionne et que je n'ai pas atteint encore. Il faut peut être que quelques siècles passent là-dessus. Encore pardon de mon silence involontaire et veuillez me permettre, Monsieur, de me dire votre reconnaissant ami Charles Cros ». Une autre main, probablement Arthur Mangin, a ajouté l'adresse, 95 rue de Rennes. Cette lettre est donc un remerciement pour l'article de Mangin dans Le Phare de la Loire du 4 octobre 1869 (p.3) dans lequel il rend compte de la plaquette de Cros, Etude sur les moyens de communication avec les planètes (Paris, aux bureaux du Cosmos et chez Gauthier-Villars, 1869). Il s'agit en fait d'un tirage à part de la revue Cosmos. Charles Cros y a publié ses articles les 7, 14 et 21 août 1869 avant de les réunir en plaquette. Rappelons que Le Phare de la Loire est un des grands journaux républicains de l'époque, probablement le plus important de province. Il appartenait alors à Evariste Mangin (1825-1901), cousin germain d'Arthur. Très rare lettre de Charles Cros. [370]
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Charles Harel (1771-1852), industriel, économiste, fondateur de sociétés phrénologiques, adepte de Charles Fourier.
Reference : 015062
Charles Harel (1771-1852), industriel, économiste, fondateur de sociétés phrénologiques, adepte de Charles Fourier. L.A.S., 1er avril 1819, 4p in-4. Au baron Joseph-Dominique Louis (1755-1837), qui fut ministre des finances : « Monsieur le Baron, Le 22 de janvier [17]96, vous m'écriviez de Hambourg à Londres : "aimez, aimez un peu celui qui a pour vous tant d'admiration et d'attachement". Quel était monsieur le Baron l'objet de votre admiration pour moi, dans un jour agréable que vous passiez à ma campagne où je donnais un honorable asile au célèbre et malheureux Rivarol, où le français dans l'indigence, quel qu'il fut, ne réclama jamais en vain mes bons offices. Cette admiration était sans doute l'effet des principes des finances que j'y professais en opposition à ceux des économistes ; principes que j'assumais de voir me conduire un jour à la solution d'un grand problème dans l'encyclopédie française. Ce ne pouvait être mon opération de change, toute bien combiné qu'elle fut, toute extraordinaire qu'elle parut ; où vous regardiez l'agiotage comme la lèpre des corps politiques et cette opération n'était que de l'agiotage uni à l'usure quoique je n'y eusse attaché aucune illusion, aucune perfidie. Comment se fait-il donc, Monsieur le Baron, avec l'amour que je vous ai connu pour la science des finances, avec les grandes connaissances que vous avez acquises depuis, enfin avec les talents que vous possédez, vous ayez aujourd'hui la certitude que j'ai résolu ce problème et que vous soyez encore à me témoigner la plus légère satisfaction. Croyez, monsieur l Baron, que la vérité de cette découverte et son besoin absolu d'en jouir sont trop bien senties aujourd'hui pour que le juste même en arrête le cours. Vous aurez aussi aperçu combien cette découverte est également précieuse, sous le rapport d'un signe monétaire. Pourrait-il en effet en existe de plus parfait ? Le besoin d'acquérir la mesure propre à percevoir cet impôt ne la rendrait-il pas égale à l'argent qui servirait à l'acquérir et ce papier ne libérerait-il pas lui-même sa valeur qu'il exprimerait ? Vous ne croyez pas sans doute qu'on aura créé une propriété de [mots illisibles] sans avoir besoin de créer un signe supplémentaire pour faire le service [mot illisible] sans cesser l'agiotage uni à l'usure. Par ma lettre du 13, je vous demandais un secours, parce que je craignais que mon impôt sur les paiements ne put être admis dans cette sessions et que vous m'aviez fait dire que vous seriez charmé de faire quelque chose qui put m'être agréable. Je dois donc vous avouer, Monsieur le Baron, qu'ayant su que l'on donnait dans le Ministère des sinécures à ceux qui rendaient ou avaient rendu un service, qu'ayant sacrifié ma fortune aux vains principes et continuant d'y sacrifier mon talent pour ne pas cesser d'être utile, j'avais [mot illisible] y avoir des droits et pouvoir, en conséquence, vous demandez ce genre de secours sans perdre de mon caractère pour vivoter(?) Dans des temps bien extraordinaires. J'ai l'honneur d'être, Monsieur le Baron, votre très humble et très obéissant Harel ». Sympathique lettre. [368]
Charles de Lorbac (ca.1829-1903), écrivain, un des premiers wagnériens français, auteur d'une biographie de Wagner dès 1861, pseudonyme de Charles Cabrol.
Reference : 015102
Charles de Lorbac (ca.1829-1903), écrivain, un des premiers wagnériens français, auteur d'une biographie de Wagner dès 1861, pseudonyme de Charles Cabrol. L.A.S., Paris, 24 septembre 1876, 3p in-8. Entête du journal La Liberté. A l'actrice Sarah Bernhardt (1844-1923) à propos d'une séance littéraire le dimanche suivant [31 octobre]. Il aurait aimé l'entendre dire son « souvenir de Faust » : « c'est seulement en vous écoutant, charmé, que je retrouverai dans ce "souvenir de Faust" l'idéal que je portais en moi, quand je l'ai écrit !. Mais enfin, pour vous-même et pour tout le monde - excepté moi - il vaut mieux que vous disiez les vers de [François] Coppée ». Il s'est aussi porté garant de Bernhardt en affirmant qu'elle serait bien présente le dimanche. Dans le catalogue de la bibliothèque de Sarah Bernhardt se trouvait un exemplaire d'un livre de Lorbac, Saint Pierre de Rome (n°581). On trouve peu de choses sur sa vie et même La Liberté n'annonce sa mort que par un entrefilet le 7 septembre 1903. Le Ménestrel l'annonce le 13 septembre en précisant son âge, 74 ans. [369]
Charles Nodier (1780-1844), écrivain, membre de l'Académie française.
Reference : 015143
Charles Nodier (1780-1844), écrivain, membre de l'Académie française. Brouillon autographe avec corrections, Paris, 16/17 mars 1839, 1p in-4 oblong. Important brouillon d'une lettre au un ministre de l'Instruction publique, Narcisse-Achille de Salvandy. Cette lettre a été écrite par Charles Nodier, qui prévoyait de l'envoyer lui-même, comme le montre la mention « mon cher confrère Alexandre Duval ». Toutefois, il a barré « Alexandre Duval » pour mettre à la place « Charles Nodier » et donc elle fut envoyée par Duval. Certains détails sont aussi changés pour coller à Duval : « depuis quinze ans » devient logiquement « depuis dix ans », etc. Très intéressant document contre la nomination des employés au rang de bibliothécaires, tout en louant leurs qualités. « En élevant les garçons de bureaux au titre d'employés, nous avons voulu récompenser un zèle qui ne s'est jamais démenti, mais nous ne saurions les installer en conscience au rang de bibliothécaires ». Seul Louis Cordiez (1813-1884) « serait susceptible d'être élevé au dessus du titre d'employé ». En effet, Salvandy avait nommé Charles Dunoyer (1786-1862) administrateur général de la Bibliothèque royale en février 1839. Celui prend ses fonctions le 3 mars 1839. « Les conservateurs, qui depuis la Convention dirigeaient la Bibliothèque au sein d'une instance dirigeante - le Conservatoire - relayée à un rôle consultatif, entrent alors en lutte contre leur supérieur ». Salvandy perdant son poste de ministre le 31 mars, Dunoyer perdra un appui important et il finira par démissionner. Nodier et Duval se levaient donc ici contre une des tentatives de prise en main de Dunoyer. Notons enfin que Cordiez devint sous-bibliothécaire en mars 1839, signe que la lettre avait alors, au moins partiellement, porté ses fruits. Le feuillet a été renforcé au dos, au niveau du pli central (le document semble même avoir été ouvert entièrement au pli). Très beau document. [371]
Girard ou Gérard Brouet (?-ap.1589), conseiller et médecin ordinaire des rois Charles IX et Henri III, médecin ordinaire du cardinal de Bourbon [le premier Charles X].
Reference : 013762
Girard ou Gérard Brouet (?-ap.1589), conseiller et médecin ordinaire des rois Charles IX et Henri III, médecin ordinaire du cardinal de Bourbon [le premier Charles X]. P.S., 20 août 1570, 1p in-4 oblong. Sur parchemin. Reçu pour ses gages des quatre premiers mois de l'année. Au dos, note autographe : « pour servir de Reçu. » (5 lignes). Un reçu similaire de décembre 1570 se trouvait dans la collection de J. Baart de LA Faille (n°2072). Sur notre document, il est bien nommé « Girard » mais il est répertorié habituellement comme « Gérard ». [279-2]
Jean Delorme (1547?-1637), médecin, docteur de l'université de Montpellier en 1577, médecin du duc de Lorraine Charles III, conseiller et médecin ordinaire du roi Henri IV, médecin ordinaire puis premier médecin du roi Louis XIII, premier médecin de Louise de Lorraine (épouse d'Henri III), premier médecin de la régente Marie de Médicis, père de Charles Delorme, l'important premier médecin de Louis XIII. Il aurait été aussi brièvement premier médecin d'Henri IV.
Reference : 013790
Jean Delorme (1547?-1637), médecin, docteur de l'université de Montpellier en 1577, médecin du duc de Lorraine Charles III, conseiller et médecin ordinaire du roi Henri IV, médecin ordinaire puis premier médecin du roi Louis XIII, premier médecin de Louise de Lorraine (épouse d'Henri III), premier médecin de la régente Marie de Médicis, père de Charles Delorme, l'important premier médecin de Louis XIII. Il aurait été aussi brièvement premier médecin d'Henri IV. P.S. avec note autographe, [1615], 1p in-4 oblong. Sur parchemin. Document avec le recto signé « Delorme » et une note autographe « Po[u]r la somme de iiiiC L l[ivres] t[ournois] ». Au dos une note d'une autre main « pour servir de quittance. » (4 lignes). Le document n'a pas été rempli ensuite au dessus de la signature mais devait concerner les 450 livres d'appointements en tant que conseiller et médecin ordinaire pour l'année 1615. [280-2]
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Nicolas ou Nicole Legrant ou Le Grand (ca.1520-1583 ou 1584), conseiller et médecin ordinaire des rois Henri II, François II, Charles IX et Henri III, signataire du rapport d'autopsie de Charles IX.
Reference : 013837
Nicolas ou Nicole Legrant ou Le Grand (ca.1520-1583 ou 1584), conseiller et médecin ordinaire des rois Henri II, François II, Charles IX et Henri III, signataire du rapport d'autopsie de Charles IX. P.S., 10 mai 1554, 1p in-4 oblong. Sur parchemin. Quittance pour le paiement d'une rente constituée sur les prévôts des marchands et échevins de Paris. [329-2]
Antoine Portail (ca.1530-1608), conseiller du roi, barbier puis chirurgien juré, chirurgien ordinaire de Charles IX et Henri III, premier chirurgien du roi Henri IV, il soigna la fracture de la jambe d'Ambroise Paré, signataire des rapports d'autopsie de Charles IX et Henri III. Il fut anobli par Henri IV. Il était originaire du Béarn.
Reference : 013865
Antoine Portail (ca.1530-1608), conseiller du roi, barbier puis chirurgien juré, chirurgien ordinaire de Charles IX et Henri III, premier chirurgien du roi Henri IV, il soigna la fracture de la jambe d'Ambroise Paré, signataire des rapports d'autopsie de Charles IX et Henri III. Il fut anobli par Henri IV. Il était originaire du Béarn. P.S. deux fois, 2 septembre 1601, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Reçu pour le paiement de ses gages. Au dos, une note, toujours d'une autre main, indique « pour servir de quittance. ». Portail a signé là-aussi. Il manque une petite bande sur la droite, mangeant les derniers mots de la ligne. [330-2]
Hierosme ou Jérôme de Varade ou Varades (?-ap.1575), libraire juré en 1522, docteur en 1530, conseiller et médecin ordinaire du roi, premier médecin de Madame [Catherine de Médicis], notaire et secrétaire du roi, médecin des rois François 1er, Henri II, François II et Charles IX, médecin de Marie-Elisabeth de France (fille unique de Charles IX), médecin de l'Hôtel Dieu, doyen de la faculté de médecine, chirurgien. Il était encore sur l'état de la maison d'Henri III en 1584, élu échevin de Paris en 1568. Il est aussi le fils de Jean-Pierre de Varade, libraire dont le successeur est Michel de Vascosan, élevé par Jacques de Varade (frère de Jérôme) qui sera aussi libraire juré en 1528.
Reference : 013883
Hierosme ou Jérôme de Varade ou Varades (?-ap.1575), libraire juré en 1522, docteur en 1530, conseiller et médecin ordinaire du roi, premier médecin de Madame [Catherine de Médicis], notaire et secrétaire du roi, médecin des rois François 1er, Henri II, François II et Charles IX, médecin de Marie-Elisabeth de France (fille unique de Charles IX), médecin de l'Hôtel Dieu, doyen de la faculté de médecine, chirurgien. Il était encore sur l'état de la maison d'Henri III en 1584, élu échevin de Paris en 1568. Il est aussi le fils de Jean-Pierre de Varade, libraire dont le successeur est Michel de Vascosan, élevé par Jacques de Varade (frère de Jérôme) qui sera aussi libraire juré en 1528. P.S., 1er juillet 1575, 1p in-4 oblong. Sur parchemin. Quittance pour le paiement de la rente de ses neveux dont il est tuteur. Celle-ci fut payée par François de Vigny, receveur des finances de la ville de Paris, l'ancêtre d'Alfred de Vigny qui fut anobli. [331-2]
Michel Vaterre (XVIe), premier médecin de « Monseigneur Fils de France », i.e. le duc d'Alençon, dauphin d'alors, conseiller et médecin ordinaire des rois Charles IX et Henri III, médecin du duc d'Orléans, signataire de l'autopsie de Charles IX. Il fut anobli en 1573.
Reference : 013884
Michel Vaterre (XVIe), premier médecin de « Monseigneur Fils de France », i.e. le duc d'Alençon, dauphin d'alors, conseiller et médecin ordinaire des rois Charles IX et Henri III, médecin du duc d'Orléans, signataire de l'autopsie de Charles IX. Il fut anobli en 1573. P.S., 6 avril 1583, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Reçu pour le paiement de ses gages pour le quartier d'octobre. [331-2]
Charles Honoré Remy dit Charles Honoré dit Honoré (1793-1858), acteur comique et auteur dramatique.
Reference : 007028
Charles Honoré Remy dit Charles Honoré dit Honoré (1793-1858), acteur comique et auteur dramatique. L.A.S., 6 mai 1854, 1p in-8. Amusante lettre à un « brelan d'amis » au sujet d'un rendez-vous manqué. Anciennes collections Henri Bachimont, JL Debauve. [238]
Kieffer 1912, In-folio relié demi maroquin noir à coins, filets à froid sur les plats (reliure de René KIEFFER, avec tampon et étiquette), dos à nerfs, tête dorée, gardes de papier marbré. Suite complète en épreuves d'artiste des 37 gravures avec remarques (petites gravures) des jardins de Versailles, toutes signées de Charles JOUAS. Elles sont toutes montées sur onglets , à grandes marges et ont toutes des remarques différentes dans la partie inférieure des marges. En début d'ouvrage, un dessin original signé en couleurs de Charles JOUAS représentant le Bassin d'Apollon, dans un encadrement à filets rouges et titre manuscrit rouge également. La couverture de l'ouvrage d' Henri de REGNIER a été ajoutée. Exemplaire unique, superbe qulité des gravures. Très bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Guy-Charles Cros (1879-1956), poète. L.A.S., Valence-en-Brie, 11 janvier 1953, 1p 1/2 in-8. Au poète Philippe Chabaneix (1898-1982). « Mes meilleurs voeux pour vous et votre chère Germaine, mon cher Philippe, j'avais bien l'intention d'assister le 15 à la séance de reprise de notre ronsardienne académie, mais le temps qu'il fait me refroidit un peu. Je vous prie donc de bien vouloir voter en mon nom pour notre vieux camarade André Salmon qui, puisqu'il se présente, doit être élu avec éclat et au premier tour. Dans d'autres circonstances, j'aurais voté une fois pour [Emmanuel] Lochac, à titre d'indication pour une autre fois. Bien des choses à notre Houdelot que je porte toujours dans mon coeur, vous le savez. Un bon souvenir à tous les amis qui vous entourent. Votre ami Guy-Charles Cros. A bientôt quand même ! ». Le prix en question est un prix de poésie, le prix du Royal-Saint-Germain qui dura une dizaine d'année. On joint une lettre de Elsa(?) Cros à Chabaneix demandant une copie de son discours à l'enterrement de Guy-Charles. Cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [412]
Charles Le Goffic (1863-1932), poète, écrivain, membre de l'Académie française.
Reference : 017657
Charles Le Goffic (1863-1932), poète, écrivain, membre de l'Académie française. L.A.S., 28 août 1915 (?), 1p in-12. A l'écrivain Charles Clerc, de Lectures pour Tous. A propos d'un article. [211]
Charles Le Goffic (1863-1932), poète, écrivain, membre de l'Académie française.
Reference : 017658
Charles Le Goffic (1863-1932), poète, écrivain, membre de l'Académie française. L.A.S. + enveloppe, 10 août 1921, 2p 1/2 in-8. A l'écrivain Charles Clerc, de Lectures pour Tous. Notamment à propos de Louis Hémon, Maria Chapdelaine et d'inédits. [211]
Charles de Paule de Barentin (1738-1819), magistrat, Garde des Sceaux en 1788-1789.
Reference : 017442
Charles de Paule de Barentin (1738-1819), magistrat, Garde des Sceaux en 1788-1789. L.A. (brouillon), 25 août 1803, 1p in-8. Intéressante lettre au roi Louis XVIII, alors en exil, afin de lui recommander Pierre-Charles Laurent de Villedeuil (1742-1828), contrôleur général des finances de Louis XVI. « Sire, M. de Villedeuil sollicite des bontés de votre majesté sa reconnaissance d'une grâce que lui avait accordé Louis 16 mais dont les traces se trouvent effacées. C'était l'élection en marquisat de ses terres de Villemenon et de Villedeuil. Ayant l'honneur d'être attaché à Monsieur [le futur Charles X], il a cru devoir s'enquérir de la protection et son Altesse Royale m'a chargé de vous adresser, Sire, la lettre que M. de Villedeuil prend la liberté d'écrire à votre majesté. Monsieur y en a joint une pour appuyer la demande. Tous les faits exposés dans sa lettre un ancien et fidèle serviteur du feu roi sont très [mot illisible], c'est moi qui ai obtenu le bon expédié et scellé des lettres patentes et je suis certain qu'elles ont été enregistrées dans les 3 cours de Paris. S'il parait difficile de donner dans ce moment-ci un titre loyal à M de Villedeuil, votre majesté peut lui faire connaître que son intention est, quand les circonstances le permettront, de faire revivre cette concession par de secondes lettres patentes qui en confirment les premières [fin difficile à lire] ». Beau document. [95-2]
Charles Bouchard (1837-1915), médecin, biologiste, anatomo-pathologiste.
Reference : 016938
Charles Bouchard (1837-1915), médecin, biologiste, anatomo-pathologiste. L.S., 25 juin 1887, 1p in-12. Au médecin Charles-Victor Daremberg (1817-1872). Il lui propose un rendez-vous pour le 28 juin. [394]
Charles Lagrange (1804-1857), homme politique, républicain, député.
Reference : 016517
Charles Lagrange (1804-1857), homme politique, républicain, député. L.A.S., juin 1849, 1p in-4. A Charles Berriat-Saint-Prix (1802-1870), procureur général. Intéressante lettre demandant conseil sur l'attitude à adopter. Il est retenu à l'Assemblée, en vertu de la loi, mais il est aussi assigné à comparaître le même jour. Il s'agit de son fameux procès en diffamation contre le Courrier de la Gironde qui défendait la thèse que la journée du 23 février 1848 avait tourné à la journée sanglante à cause de Charles Lagrange : il aurait tiré le coup de feu qui a déclenché le massacre (l'armée tire sur la foule boulevard des Capucines) et donc précipité la chute de Louis-Philippe. L'auteur de ce coup de feu serait Pierre-Marie Pietri (1809-1864). Beau document. [380]
Cahiers Charles Maurras Paris, Cahiers Charles Maurras, 1960. In-4 broché de 53 pages non-coupées. Dos et couverture légèrement insolée. Bon état.
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