1 volume à l'italienne relié plein cartonnage illustré, 83 p. - Illustrations photographiques. Très bon état.
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1 volume in-8° broché, 220 p. - Très bon état.
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1 volume petit in-8° carré relié cartonnage contemporain pelliculé illustré, 159 p. + illustrations noir et blanc hors et dans le texte, neuf.
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1 vol. in-12° étroit br., couv. illustrée, 255 p. + 1 cahier central d'illustrations photo. noir et blanc hors-texte, neuf, exemplaire du service de presse.
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1 volume in-8° broché, couverture à rabats illustrée, 227 p. - Très bon état.
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1 volume in-4° relié plein cartonnage sous jaquette illustrée, 301 p., illustrations. Très bel état.
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1 volume in-4° relié pleine toile sous jaquette illustrée, 189 p., illustrations. Très bel état. La première monographie consacrée à un peintre hautement reconnu durant sa brève existence et dont l'oeuvre émouvante, inclassable, semble renaître après une éclipse - malgré quelques rétrospectives et de fervents amateurs - pour une compréhension élargie. Sans l'avoir souvent rencontré, je garde de Francis Gruber, comme tous ceux qui l'approchèrent, un souvenir intense. J'ai passé deux ou trois soirées exaltées, en 1947, dans les restaurants où il continuait encore, quoique malade, à réunir ses amis, à déployer devant eux sa verve étourdissante, cocasse ou sulfureuse, visité l'atelier silencieux où il ramassait ses forces pour la transmutation finale.
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1 volume in-4° relié sous jaquette illustrée. Neuf sous blister.
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1 volume in-8° broché, couverture illustrée, 191 p. + illustrations. Très bel état.
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1 volume in-12° broché, 127 p. Très bon état.
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1 volume in-12° broché, couverture illustrée, 123 p. Envoi autographe signé de l'auteur. très bon état.
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1 volume in-4° relié plein cartonnage sous jaquette illustrée, 367 p., illustrations. Très bel état. Catalogue de l’exposition Fastes et grandeur des cours en Europe présentée au Grimaldi Forum Monaco (11 juillet - 11 septembre 2011).
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1 volume in-8° couverture souple illustrée, 288 p., illustrations. très bon état.
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1 volume in-8° relié plein cartonnage éditeur, 292 p. - Très bon état.
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COLLECTIF sous la direction de Catherine Noppe et Jean François Hubert
Reference : 23225
1 volume in-4° broché couverture illustrée à rabats, 194 p. + illustrations, petite pliure en 4e de couverture sans gravité. Très bel état.
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1 album grand in-8° cartonné illustré, 63 p. + illustrations. Très bel état.
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1 volume in-8° broché, 215 p. Très bon état d'occasion.
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1 vol. in-8° br., couv. pelliculée illustrée, 287 p. + illustrations photographiques et documents, très bon état.
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1 volume in-8° étroit , couvertures à rabats, papier cristal, 168 p., très bel état (papier cristal très légèrement jauni).
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1 volume in-8° broché, 236 p. + illustrations, nombreuses fléches repères de lecture en marge au crayon à papier sinon très bon état.
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1 volume in-8° broché, couverture illustrée, 180 p. + illustrations. Accroc avec déchirure du pelliculage illustré en 1ère de couverture sinon très bon état.
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1 volume in-8° broché, couverture illustrée, 199 p. + illustrations. Très bon état.
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Lausanne, François Grasset & comp., 1769. In-8 de (2)-XIV pp. 1 f.bl. 204 pp. (mal chiffré 160), 2 feuillets manuscrits reliés respectivement entres les pages 44-45 et 48-49, maroquin citron, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin noir, filet et frise dorés d'encadrement sur les plats, tranches dorées (reliure de la fin du XVIIIe siècle).
Précieux exemplaire annoté de l'Instruction de Catherine II. Faux-titre en latin ; buste légendé de Catherine II en frontispice gravé par Boily. Examen critique d'une main anonyme des deux premières questions du Nakaz jusqu'à l'article 172 : le scripteur traque les emprunts à l'Esprit des Lois de Montesquieu et au Traité des délits et des peines de Beccaria. De nombreux articles sont soulignés et commentés en regard : dès l'article 21, il reconnaît l'apparat critique de l'édition de l'Esprit « Amsterdam 1764 » (ces notes d'un anonyme seront plus tard attribuées à Luzac), un peu plus loin, l'édition 1766 du Traité de Beccaria traduit par Morellet : Nous allons quitter Montesquieu pour quelques instants et passer au traité des délits et des peines du marquis Beccaria. S.M.I. a daigné s'approprier aussi les idées de cet auteur et pour s'épargner aussi l'ennui de traduire elle a daigné s'approprier aussi la traduction de l'abbé Morellet imprimée à Lausanne en 1766. c'est avec ce petit secours qu'elle a créé sa théorie de jurisprudence criminelle comme il s'ensuit. Ses considérations sont aussi formelles : c'est une hardiesse heureuse du génie impérial qui crée la présente instruction et qui veut bien enrichir notre langue de tours ingénieux et nouveaux dont sans doute nous nous empresserons de profiter.Le Nakaz de Catherine II fut dès sa publication commenté par ses illustres contemporains comme le physiocrate Le Trosne et surtout Diderot. Mais Quérard rendit dans ses Supercheries le mérite à Beuchot d'avoir identifié le premier les emprunts de Catherine II à Montesquieu et Beccaria pour la rédaction de son code ; curieusement, aucun exemplaire de l'Instruction apparait dans le catalogue de sa bibliothèque (Bibliothèque de Beuchot. Paris, 1851).« Catherine écrivit son Instruction en français; elle en a tiré une grande partie de l'Esprit des lois de Montesquieu et du Traité des Délits et des Peines, de Beccaria, quoiqu'elle n'ait fait aucune mention des sources où elle l'a puisée. C'est à M. Beuchot, qui le premier a fait cette remarque, que nous sommes redevable de la connaissance de ce fait. Ce qu'il y a de singulier, c'est que cette instruction, écrite d'abord en français traduite en russe et en allemand, et de cette dernière langue en français, puisse représenter dans la version donnée ( par Balthazard ) à Lausanne en 1769, de fréquents passages absolument conformes à la première édition de la traduction du Traité des Délits et des Peines, de Beccaria, par L'abbé Morellet (1766, in-8). Balthazard ayant reconnu les fragments empruntés par Catherine, trouva plus naturel de les copier fidèlement de Montesquieu et de l'ouvrage de Beccaria , traduit par Morellet, que de les traduire. En rédigeant le Nakaz, l'impératrice utilise une édition de L’Esprit des lois accompagnée de « remarques philosophiques et politiques d’un anonyme » (nombreuses réimpressions hollandaises en 1761-1764). Le nom de cet anonyme, Elie Luzac, reste inconnu à Catherine II — elle soupçonnait probablement D’Alembert — mais 21 articles du Nakaz sont largement inspirés des commentaires de Luzac, et trois autres témoignent de son influence ».Très bel exemplaire à grandes marges dans une reliure attribuable à Jean-Claude Bozerian d'après la roulette des plats.Barbier, II, 8695 ; Quérard, Supercheries dévoilées (I, p. 208 sqq. notes en bas de page, édition 1847) ; Paul Culot, Relieurs et reliures décorées en France aux époques Directoire et Empire, 81.
Pozzi Catherine, Tappy José-Flore (avant-propos), Bolle Catherine (ill.):
Reference : 13152
(2005)
Lausanne, La Délie (Bibliothèque cantonale et universitaire), 2005. Grand in-4 en feuilles, couverture à grand rabats, titre à froid au dos, étui. Légère trace de pli au dos, pour le reste en parfaite condition. Bien complet des 6 dessins sur papier calque de Catherine Bolle.
"Livre de bibliophilie publié à l’initiative de la Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne dans le cadre de la mise en valeur de la correspondance échangée par Annemarie Schwarzenbach et Claude Bourdet, dans laquelle la poétesse, mère de ce dernier, est très présente. Les dessins de Catherine Bolle sont inspirés des six poèmes qui constituent l’essentiel de l’oeuvre conservée de Catherine Pozzi. Cette dernière entretint avec Paul Valéry une relation tumultueuse durant plus de huit ans et fut l’amie de nombreuses figures littéraires de l’entre-deux-guerres, comme Jean Paulhan, Rainer Maria Rilke, Anna de Noailles, Colette, Henri de Régnier ou encore Pierre Jean Jouve. Cette édition reprend le texte paru dans la collection Métamorphoses chez Gallimard en 1959, établie d’après l’originale de 1935 publiée par Jean Paulhan aux éditions de la revue Mesures." [BCU Lausanne]. Tirage limité à 99 exemplaires, le nôtre un des 80 numérotés en arabe (26).
1731 Aix : impr. de D. David, 1731; etc- 1 fort vol. in-folio, précédées d'un feuillet de titre général et d'un feuillet de table, veau brun trés abimé, dos orné à nerfs en partie manquant,plats trés usés ; tranches rouges (reliure de l'époque). contenant 28 des pièces en premier tirage (liste sur demande). total = 881 pp.,paginations separées - titre identique à l'exemplaire de la BNF du premier factum seul (58p.).- + copie manuscrite époque in fine: les lettres au Chancelier: magistrat à M. le président de Maliverny, la réponse de ce juge, et celles des autres messieurs qui ont été de son opinion (11 octobre-23 novembre 1732). 22 pp.; bon état,reglé - Sorcellerie et possession à Aix en Provence; Ollioules ; la Cadière.- Trés rare, rèstaurable.-
Recueil de pièces en originale ; du procès en sorcellerie du père Girard accusé d'avoir ensorcelé, violé et fait avorter une jeune fille de Toulon, Catherine Cadière. Sur les instances des frères de Catherine Cadière, il fut accusé de séduction et de magie lors d'un long procès à Aix qui passionna les foules. Mais, soutenu par les Jésuites, d'accusé il devint accusateur et le parlement d'Aix qui voulait sa mort le renvoya aux juges ecclésiastiques, qui se hatèrent de l'absoudre.Celebre affaire qui a suscite la curiosite de nombreux ecrivains, historiens, romanciers de 1731 jusqu’a nos jours. Catherine Cadiere, alors agee de 19 ans a ete seduite par le jesuite Girard, age de 48 ans. Manipulee par ses freres, folle et hysterique, elle fut accusee de sorcellerie en 1731. Ses convulsions en partie mises en scene ont attire l’attention de la justice. Un premier jugement la condamne a la potence. Elle est innocentee par un deuxieme jugement.« Ce procès qui retint l'attention de toute l'Europe scandalisée, se termina par l'acquittement de Girard, accusé "d'enchantement, rapt, inceste spirituel, avortement et subornation de témoins". Voici ce que semblent avoir été les faits, ce qu'attestèrent de nombreux témoins, dans un procès fort confus et que le père compliqua à souhait, dans une défense toute jésuitique. A dix-huit ans, Catherine Cadière prend comme directeur de conscience le père Girard, qui un jour, se penche sur sa bouche et lui jette un souffle. Dès lors, elle se sent transportée d'amour pour lui, elle est possédée. Elle a des extases, des visions, des crises convulsives où elle crie et blasphème. Certaines sont si violentes qu'elle doit garder le lit, ce qui permet au père de s'enfermer avec sa pénitente dans sa chambre. il profite de la violence d'un "accident d'obsession" qui la met hors de l'usage de ses sens pour se livrer à tous les attraits de la volupté et pour commettre les "crimes les plus infâmes". Elle fut enceinte, il la fit avorter. Il la fit enfin enfermer dans un couvent où il continua de la rencontrer jusqu'au jour où elle raconta tout à un autre confesseur » (Dictionnaire des oeuvres érotiques, 418). - Caillet n°1887 - Yves-Plessis sorcellerie n°1408 à 1454. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Phone number : 33 04 94 63 34 56