Caen, Le Blanc-Hardel, 1880. In-4 de VI et 421 pages. Préface du traducteur, notice sur Jacques de Cahaignes, ouvrages du docteur J. de Cahaignes, un portrait, un fac-similé de la page de titre de l'ouvrage publié en 1609, 100 éloges, table alphabétique des noms des habitants de Caen, table générale des noms de famille et additions aux notes. Traduction tirée à 225 exemplaires : 200 sur vergé, 15 sur papier teinté, 5 sur papier rouge et 5 sur papier vert. Non rogné. Broché, couvertures imprimées salies.
Dans cet ouvrage Jacques de Cahaignes relate l'origine et l'illustration des familles de sa ville natale, Caen.
1880 Caen, Le Blanc-Hardel, 1880. Un volume in-8 broché, couverture illustrée, 421 pages, figures in-texte. Rares rousseurs, exemplaire non coupé.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Caen, Le Blanc-Hardel, 1880 in-8 carré, VI-421 pp., avec un portrait-frontispice, et de nombreux blasons en noir dans le texte, toile brique, dos lisse, étiquette de titre, couverture remontée et conservée (reliure moderne).
Tirage limité à 225 exemplaires. Première traduction française de la seule partie parue de l'ouvrage prosopographique du médecin caennais Jacques de Cahaignes (1548-1612) : Elogiorum civium Cadomensium centuria prima (Caen, Jacques Bassé, 1609).Frère I, 168 (pour l'originale). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Caen, Le Blanc-Hardel, 1880 petit in-8, VI-421 pp., blasons in-t., broché.
Tiré à 225 exemplaires, celui-ci sur vergé. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Julien Le Paulmier, traduit en français par Jacques De Cahaignes, Réimprimé avec une Introduction par Émile Travers
Reference : 391
(1896)
Traité du vin et du sidre (De vino et pomaceo) de Julien Le Paulmier, traduit en français par Jacques De Cahaignes, Réimprimé avec une Introduction par Émile Travers chez H. Lestringant et P. Massif en 1896. Édition numérotée 71/200. Le livre mesure 16x21 cm et pèse 0,700 kg (c) pour 160 87 pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en très bon état, rousseurs éparses, plusieurs pliures de lecture, dos insolé.
INTRODUCTION Le De Vino et Pomaceo, de Julien Le Paulmier, et la traduction de cet ouvrage, donnée sous le titre de Traité du Vin et du Sidre, par Jacques de Cahaignes, ont obtenu dans leur temps un succès mérité. Ces volumes, devenus rarissimes, sont de nos jours curieusement recherchés par les bibliophiles ainsi que par tous ceux qui, depuis de longues années déjà, se préoccupent des perfectionnements à apporter à la culture des pommiers et à la fabrication du cidre, ou qui étudient les effets hygiéniques d'une boisson dont l'usage tend à se généraliser. C'est, en effet, au livre du médecin normand, vieux de plus de trois siècles, que les traités modernes d'agriculture ou de pomologie ont emprunté presque toujours ce qu'ils ont dit des origines du cidre, des anciennes variétés de fruits, des propriétés du breuvage tiré des pommes; c'est chez lui aussi que des praticiens éminents ont puisé quelques-unes de leurs théories sur l'emploi du cidre pour le traitement de certaines affections. Mais les uns et les autres ont souvent recherché en vain les textes de Julien Le Paulmier et de son translateur; ils ont dû se borner à en citer quelques passages de seconde main, et par conséquent avec des chances d'inexactitude. En rééditant le Traité du Vin et du Sidre, en livrant au public une réimpression fac-simile de l'ouvrage presque introuvable de Julien Le Paulmier, la Société des Bibliophiles normands ne se borne pas à satisfaire le goût des amateurs de livres précieux; elle fournit à l'une des industries agricoles les plus importantes de la Normandie et d'une partie de la France des éléments d'information d'une haute valeur. Tout en restant fidèle à son programme, elle rend donc service à des intérêts de premier ordre et fait acte de patriotisme, au moins local. Bibliophiles et cultivateurs lui en sauront gré. Avant de parler de l'ouvrage, il convient de dire ce que furent l'auteur et le traducteur. Je ne puis parler ici aussi longuement qu'il le faudrait sans doute, de Julien Le Paulmier et de Jacques de Cahaignes, de leur vie, de leurs œuvres et de leurs familles qui, l'une et l'autre, comptèrent plusieurs générations d'hommes de mérite. J'entrerai cependant au sujet des Le Paulmier dans des détails qui, je l'espère, ne seront pas jugés inutiles.