(Paris), Jehan Petit, sans date, (1519). Petit in-4 (136 x 199 mm) de (4)-CVIII ff. (sig. A B–T / ), caractères romains, veau brun estampé à froid composé de quatre colonnes d'abeilles dans un large encadrement floral, dos à cinq nerfs, traces de lacets (reliure de l'époque).
Belle impression sur deux colonnes sortie des presses de Jean de Gourmont pour Jehan Petit auquel le privilège royal fut accordé une première fois le 24 juillet 1515, reconduit à partir du 10 septembre 1519. Titre gravé sur bois avec la marque typographique de Jehan Petit (Renouard, Marques, n° 891) ; lettrines gravées sur bois (celle du recto du feuillet A2 aux armes du dédicataire) et caractères typographiques de Jean de Gourmont d'après Moreau ; figures gravées sur bois au verso du feuillet A1 (saint Jérôme), au recto du feuillet A4 (descente de Croix), et au verso du feuillet T8 (saint Jérôme répété sans encadrement). Épître dédicatoire de l'auteur à Joannes Gosthon de Zelesthe.Figure importante de l’Université de Paris durant la première moitié du XVIe siècle, Jérôme de Hangest (v.1480-1538) étudia les arts au collège de Reims, où il a pour maître Jean Tartaret (†1522), et on peut supposer qu’il obtient sa maîtrise en 1502 ou 1503. Il commence à enseigner les arts au Collège de Reims, et en même temps poursuit ses études de théologie au Collège de Sorbonne (1507). Licencié (26.I.1514) et Docteur (22.III.1514) en théologie. La même année, au mois d’août 1514, il fait partie des théologiens qui censurent l’oeuvre de l’humaniste allemande Johannes Reuchlin (1455-1522), ce qui lui vaudra une réputation de gardien de l’orthodoxie. Il enseigne ensuite la théologie et poursuit ses activités dans le domaine de la censure. Vers 1522, le cardinal Louis de Bourbon (†1535), devenu évêque du Mans (1519), le nomme chanoine de la cathédrale du Mans, puis scholasticus et finalement vicaire général. La charge est prestigieuse, Hangest administre tout le diocèse en l’absence du cardinal (qui vaque souvent à d’autres charges), s’y livre à la prédication, mais reste lié à Paris par l’intermédiaire du nouveau Collège du Mans, fondé et financé par Louis de Bourbon. Auteur prolifique, il a publié une logique, un De causis et de nombreux traités scolastiques anti-protestants. Du point de vue doctrinal, il défend fermement la théologie scolastique pour l’étude des sciences sacrées [Scholasticon, d'après Riccardo Quinto]. « Le traité de morale est pour sa plus longue partie plus philosophique que théologique : c’est une suite d’analyses subtiles de la volonté et des conditions de la vertu qui doivent beaucoup à l’Éthique. Nous devons en signaler cependant le «volontarisme». Dieu régit le macrocosme, l’âme le microcosme, et dans notre âme, si l’intelligence a un rôle de guide, la primauté de puissance appartient à la volonté : on peut tout vouloir, l’impossible comme le possible, le mal comme le bien. (…) Au fond la morale de Jérôme d’Hangest est fondée d’abord sur la raison et la conscience. Son livre, si vieux par sa méthode et son langage, prend vers la fin, quand il aborde la question du libre arbitre et de la grâce, une allure moderne » (Henri Buisson, Études rabelaisiennes 1965, VI, p. 46).Ex-libris manuscrit sur le titre "Petrus Chasselas" ; inscriptions manuscrites à l'encre du temps sur les première et dernière gardes et dans la marge supérieure de la figure de Saint Jérôme (feuillet T8).Exemplaire sans les deux derniers feuillets V1 (Privilège) et V2 (figure au verso : saint Michel terrassant le dragon). L'exemplaire conservé à la Bibliothèque de la Sorbonne porte l'adresse de Jean de Gourmont "Veneunt in edibus Joannis Gormontii ad insigne eminarum cipparum. Cum privilegio Regis" (ref. VCS 8= 18171 ; collation [4]-cviii-[2-2 bl.] f. : ill. ; in-4).4 exemplaires au CcFr (Abbeville, Semur en Auxois, Paris-Sorbonne, BnF). Discrètes restaurations sur la reliure ; large et pâle mouillure dans la partie haute de l'exemplaire, sinon très bon état intérieur. Moreau, Inventaire, II, 2072 ; Pettegree, French Books III, 73442.
Précieuse et rare édition de cette description de l’élection des papes, la première à être ornée de la magnifique planche dépliante. Paris, Antoine de Sommaville, 1655. In-12 de (6) pp., 50 pp., (8) pp., 63 pp., (1) p.bl., 72 pp., 2 planches dépliantes. Qq. piqûres. Plein vélin ivoire, dos lisse. Reliure de l’époque. 165 x 110 mm.
Edition définitive, remaniée et largement augmentée, de cet écrit érudit traitant de l’élection des papes. «Rare. Avec deux plans des conclaves. Le traité de Bignon porte la date de 1604.» (Catalogue Ruggieri n°137). Les trois éditions précédentes de cet ouvrage à succès, toutes parues dans le cours de l’année 1605, ne comptaient qu’une vingtaine de feuillets et une seule planche. «Jérôme Bignon est un des pères de l’érudition française. Bignon est né à Paris en 1589. Elevé par son père, homme très instruit et possesseur d’une bibliothèque importante pour l’époque, il prit tout jeune le goût de l’étude et acquit un savoir tel qu’il étonna Sirmond par sa précoce érudition. Henri IV ayant entendu parler de cet enfant extraordinaire voulut le connaitre et le donna pour compagnon à son fils, le Duc de Vendôme. En 1620, Jérôme Bignon devint avocat général au Grand Conseil et conseiller d’Etat. A partir de 1625 il remplit les fonctions d’avocat général au Parlement de Paris. Pendant quelque temps, en 1641, il fut grand maître de la Bibliothèque du Roi. Il mourut en 1656. Son ‘Traité de l’élection des Papes’ est fort rare. Lorsqu’il parut il obtint un véritable succès. A l’importance du sujet venait se joindre l’intérêt qu’inspire toujours l’œuvre d’un enfant réputé un prodige de science. Voici ce que dit Pérau sur la manière dont Bignon composa et publia ce travail: ‘Le Pape Clément VIII étant mort le 3 mars 1605, cette nouvelle fut le sujet d’une longue conversation entre le Duc (de Vendôme) et Bignon. Celui-ci entrant en matière avec cette facilité et cet ordre qui enchantoient tous ceux qui l’écoutoient, rapporta à ce sujet des traits si curieux que le jeune Prince, plein d’ardeur pour tout ce qui pouvoit l’instruire, exigea de Bignon qu’il rédigeât par écrit ce qu’il venoit de dire...’ Cet ouvrage fut imprimé sous le titre de ‘Traité sommaire de l’élection des Papes; plus le plan du Conclave’. Paris, 1605, in-8. Il eut un tel succès qu’en moins d’une année on en fit trois éditions. Bien que plus de deux siècles et demi nous séparent de la publication de cet opuscule, le travail de Bignon n’a pas perdu sa valeur; les dispositions canoniques qui réglementent l’élection du Pape sont les mêmes que de son temps. Entre les premières éditions du ‘Traité’ de Bignon, en 1605, et la dernière, réimpression publiée peu de temps avant sa mort, avait paru ce cérémonial confirmé par Urbain VIII; néanmoins il ne crut pas devoir remanier son travail; les bulles de Grégoire XV ne faisaient, à part quelques changemens dans les détails, que développer les constitutions précédentes et en préciser l’application. Le volume dans lequel ce ‘Traité’ a paru pour la quatrième fois a pour titre: ‘Cérémonial de l’élection des Papes dressé par le commandement du Pape Grégoire XV... A Paris, chez Antoine de Sommaville, 1655. 1 vol. petit in-8. Dans cette édition de 1655, Bignon ajouta en appendice à son œuvre primitive les bulles de Pie IV et de Grégoire XV. Deux planches accompagnent l’édition de 1655. La planche 2 est la plus intéressante ; en outre du plan des appartements du Conclave, elle donne la représentation de ce qui se passait dans Rome et dans le Conclave lors de la mort du Pape et à l’élection de son successeur. Le Plan du Conclave dressé le siège vacant par la mort de Clément VIII est le seul qui se trouvait dans la troisième édition du ‘Traité’ de Bignon. C’est dans ce conclave que fut nommé Léon XI.» (Préface de la réimpression faite en 1874).» L’érudition de Jérôme Bignon dans son livre intitulé ‘De l’élection des Papes’ surprit les savants de son temps. Scaliger, Casaubon, Grotius, Pithou, deThou, du Perron, Sirmond, etc. témoignèrent de l’estime pour ce jeune auteur. La présente édition est illustrée de deux planches dépliantes, le Plan du Conclave dressé après la mort de Clément VIII et le superbe Nouveau Plan du conclave fait le VII janvier 1655 à cause du siège vacant du Pape Innocent X... qui parait ici pour la première fois et qui montre ce qui se passait à Rome lors de la mort du Pape. Fort bel exemplaire conservé dans sa première reliure en vélin souple de l’époque. Localisation des exemplaires en France: B.n.F., Toulouse, Amiens, Grenoble et Angers.
Paris, Les Belles Lettres, 1954. Coll. des Universités de France, Association Guillaume Budé. In-8 broché orange. Bon état : dos insolé. Qq. rousseurs in-t.Texte et traduction.
Cartonnage de l'éditeur sous jaquette, 32X24 cm, 120 pages, illustrations en noir et en couleurs, sans date (copyright 1967), les classiques de l'art, Flammarion. Quelques marques d'usage, bon état.
Sans lieu, , (1730 ca). Sans lieu, (1730 ca). 4 vol. in-8 manuscrits (12,5 x 18,2 cm) de (1)-367-(3) pp. ; (1)-354-(2) pp. ; (1)-391-(2) pp. ; (1)-408-(2) pp., texte encadré à 14 lignes par page, maroquin rouge, dos lisse orné de filets à froid, tranches dorées sur marbrure, gardes de moire bleue (reliure de l’époque).
Très beau recueil calligraphié des sermons de Claude Geoffrin, en religion dom Jérôme de Sainte Marie moine de la Congrégation de Notre-Dame des Feuillants, proche des religieux de Port-Royal.Dom Jerome remplit plusieurs charges dans son ordre, entre autres celles de prieur, visiteur et d’assistant général. Mais embrassant le jansénisme, il fut exilé à Poitiers, âgé de 78 ans. Deux ans avant sa mort il s’imposa un silence volontaire pour ne plus s’occuper que de son salut, et mourut à Paris, le 17 mars 1721 à 82 ans. Ses sermons furent publiés à Paris en 1738 par par les abbés de La Chambre et Joly de Fleury en cinq volumes in-12. Épidermures sur le second plat des tomes III et IV, sinon bel exemplaire en maroquin rouge janséniste.
Cartonnage de l'éditeur, 24X21 cm, 2014, 271 pages, nombreuses photos en noir et en couleurs, catalogue de l'exposition organisée au grand palais du 26 mars au 13 juillet 2014. Petit frottement en couverture, bon état.
, , 1705. 3 parties en 1 vol. in-4, 315-[5]-99-252 pp., couvertes d'une écriture moyenne et très lisible (environ 20 lignes par page), basane granitée, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, tranches mouchetées de rouge (reliure de l'époque).
Intéressant manuscrit qui semble tout à fait correspondre à une version développée des rapports dressés par Bignon en réponse au questionnaire envoyé à tous les intendants pour l'instruction du duc de Bourgogne, comme le confirme la comparaison du texte avec les premières versions imprimées des mêmes rapports (ceux de l'État de la France, de Boulainvilliers, notoirement abrégés).Jérôme III Bignon (1658-1725), ancien adjoint de La Reynie, préférait avoir une intendance en province, ce qui se réalisa d'abord à Rouen, mais pour quelques mois seulement (septembre 1693 - mars 1694). Puis il fut nommé en Picardie et Artois (qui dépendaient du même intendant), zone de passage des armées, où il demeura jusqu'en 1708. C'est dans ces fonctions qu'il eut à rédiger de 1698 à 1701, ces rapports sur les pays d'Amiens, de Soissons et d'Artois, dans le cadre de la grande enquête commanditée pour le duc de Bourgogne. Ils furent connus assez tôt, et généralement loués pour leur exactitude, et les vues élevées d'administration et de réformes qu'ils proposaient. Ce qui explique qu'ils furent abondamment copiés au début du XVIIIe siècle (de nombreux dépôts publics en possèdent un exemplaire).Provenance : exemplaire de l'avocat montreuillois Charles Henneguier qui a beaucoup écrit sur sa ville, avec cachet humide. L'ouvrage passa ensuite dans la collection d'Augustin Quenson de La Hennerie, avec vignette ex-libris contrecollée sur les premières gardes.
Cahors, Jean d'Alvy, 1644. In-4 de (8)-472-(12) pp., vélin souple, titre doré sur le dos (reliure de l'époque).
Très rare impression de Cahors sortie des presses de Jean d'Alvy, le principal imprimeur de la ville à cette date, en concurrence avec Claude Rousseau, fils de Jacques qui le premier au XVIe siècle installa l'imprimerie à "Cahours" ou "Caors" (Bibliotheca Aureliana XXVI, p.43 mentionne un premier imprimé en 1549 chez Estienne Boesce).Édition originale. Première partie seule publiée de l'histoire établie par le Père Jésuite Jean Jérôme Baiole (1588-1653) natif de Condom qui entra au noviciat à l'âge de seize ans puis enseigna la philosophie et la théologie principalement à Périgueux où il mourut.Provenance : bibliothèque de Jean-Marie de Catellan (1696-1771), abbé de Narbonne, évêque de Rieux et ardent défenseur des Jésuites avec son ex-libris armorié ; note manuscrite ancienne en regard du titre, ex-libris manuscrit biffé 1665 sur le titre, ex-libris manuscrit à l'encre du temps Joannis Gremon sur la garde supérieure. Les 2 feuillets de la table des chapitres prévus en tête de volume (signature e, non paginés) sont reliés en fin d'exemplaire. Pâle mouillure, vélin fripé.Deschamps, p. 237 ; Brunet, 21455 ; absent de Sommervogel (I, 786) ; Édouard Féret, Statistique générale de la Gironde, 1889, III. p. 33 : « Livre rare, première partie seule parue ».
Broché, 21X14 cm, 2015, 232 pages, éditions du moment. Envoi de l'auteur, bon exemplaire.
Paris, Desaint, 1778, in-folio, [4] XIX [1] 588 pp, 14 pl, Basane marbrée de l'époque, dos à nerfs et fleuronné, pièce de titre grenat, tranches rouges, 14 planches, dont 5 dépliantes, montrant les plans du canal de Languedoc, des vues et coupes d'écluses, des détails de portes, le bassin de Saint-Ferriol, les élévation d'aqueducs, etc. ÉDITION ORIGINALE de cet ouvrage monumental de l'astronome des Lumières, Joseph Jérôme de Lalande (1732-1807). Cette synthèse excellente traite en grande partie du canal de Languedoc (canal du Midi), construit par Riquet dans les années 1680 : il s'agissait alors du plus grand chantier de génie civil jamais réalisé en Europe. Étonnement, Lalande est le premier à véritablement décrire de manière exhaustive les divers aspects techniques de cet ouvrage hydraulique, pourtant fort célèbre et presque centenaire. Il entreprend au préalable une vaste histoire générale des canaux, en France et dans le monde. Lalande catalogua près de cinquante mille étoiles (Histoire céleste française, 1801), popularisa l'astronomie et dirigea l'Observatoire de Paris à partir de 1795. En 1802, il créa un Prix à son nom afin de récompenser les travaux des meilleurs astronomes. Il est l'auteur d'une bibliographie de l'astronomie française, toujours consultée aujourd'hui. Néanmoins, dans l'esprit polymorphe typique des savants de son temps, sa profession d'astronome ne l'empêchait pas d'exceller dans d'autres domaines, et en particulier celui de la navigation intérieure et des canaux. Anticipant la publication de sa somme sur le sujet, il rédigea un long article qu'il publia le Supplément à l'Encyclopédie en 1776 ("Canal de Languedoc"). Ex-dono daté de 1929 inscrit à l'encre sur la page de faux-titre : "Don du docteur C. Armet ancien maire de Sallèles de 1898 à 1929" (Charles Armet maire de Sallèles-d'Aude). Épidermures, un mors fendu, accrocs aux coiffes. Petites rousseurs éparses, légères déchirures sans manque en marge de la première planche Couverture rigide
Bon [4] XIX [1] 588 pp., 14 pl.
Broché, 20X13 cm, 1925, 90 pages, 6 planches en noir, extrait du bulletin de l'association Guillaume Budé, société d'édition les belles lettres. Bon exemplaire en grande partie non coupé.
Broché, 20X14 cm, 2017, 254 pages, éditions la table ronde. Très bon état.
Cartonnage de l'éditeur, 31X23 cm, 1993, 127 pages, nombreuses photos en noir et en couleurs, le cherche midi éditeur. Très bon état.
Séville, , 1785. In-12 de VIII-119 pp., demi-veau marbré, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (relié vers 1800).
Deuxième édition du Voyage du Marquis de Langle, condamné en 1786 par le Parlement de Paris à être lacéré et brûlé après que roi Charles III d'Espagne menaça de fermer l'entrée de son royaume à tous les français.Jean-Marie-Jérôme Fleuriot dit le Marquis de Langle (1749-1807) publia une première fois en 1784 sous le voile de l'anonyme cette satire féroce du royaume d'Espagne, son gouvernement et ses moeurs. Extraits : « Le catalogue des livres permis est si mince, les peines si graves, les MM. de l'Inquisition sont si alertes, qu'on ne trouve chez les libraires de Saragosse, que des cantiques, des almanachs, des noëls, des rudiments, des dictionnaires, des heures et la vie originale de quelques saints du canton. (…) Grande est la différence entre les Libraires espagnols et ceux du reste de l'Europe. Les uns font fortune avec Le Guide des Pêcheurs, les autres avec Thérèse philosophe (…) En Espagne pour peu qu'un ouvrage soit un peu libre, on le brûle. Si jamais celui-ci passe les Pyrénées, il sera brûlé sans doute. Tant mieux : salut aux ouvrages qu'on brûle ! Le lecteur aime les livres qu'on brûle ; le libraire aussi, l'auteur aussi : c'est son cordon bleu ». Il fut entendu car son livre fut traduit en anglais, en danois, en allemand et en italien et eut encore en France trois autres éditions. Palau, V, 92165 ; Le Bûcher bibliographique, n°444.
Broché, 21X11 cm, 2012, 202 pages, éditions actes sud. Très bon état.
Cartonnage de l'éditeur sous jaquette, 34X24 cm, 2004, 159 pages, nombreuses photos en noir et en couleurs, éditions Le mémorial de Caen France info France bleu et les arènes. Très bon état.
P., Ferroud,1903 ; in-8.3ff.-VII-28pp.-2ff. - 8 vignettes in-texte de Fournier gravées à l'eau-forte par Pennequin. Bradel recouvert de tissus imprimé de motifs Cachemire, dos lisse, pièce de titre de maroquin brun, couverture et dos conservés, non rogné. Bon exemplaire.
Edition tirée à 225 exemplaires, un des 150 velin du Marais.L'écrivain et bibliophile Jérôme Doucet retrace les éléments connus de la vie du poète grec Anacréon, et propose à la lecture sept de ses poèmes : L'Amour mouillé, Son combat avec l'Amour, l'Amour captif, A une jeune fille, Son ivresse, A sa maîtresse, L'Amour piqué par une abeille.
Cartonnage de l'éditeur, 32X24 cm, 191 pages, 2006, 191 pages, nombreuses photos en couleurs, éditions France loisirs. Très bon état.
Broché, 20X14 cm, 1990, 179 pages, nrf Galimard. Marques mineures en couverture, bon état.
Paris, chez Georges Bellais, 1898, in-8, 102 pp, Broché, couverture imprimée, Édition originale du premier roman des frères Tharaud, illustré d'un frontispice en noir d'Henry de Groux, tiré sur Japon. Dos insolé. Couverture rigide
Bon 102 pp.
Paris, imprimerie P. Mouillot, 1889, in-8, 23 pp, Cartonnage brun muet, Catalogue peu commun sur le système appelé "Pianista", et ses divers airs, pour faire jouer de façon mécanique au piano des morceaux grâce à des cartons perforés. Exemplaire abîmé. Annotations manuscrites à chaque page. Accrocs, taches, pliures, déchirures. Couverture rigide
Bon 23 pp.
Nancy, Imp. Pierron et Hozé, [1898], in-18, 1 feuillet oblong, dépliant vert illustré en noir, Rare et très original prospectus de cette manufacture basée à Ruppes dans les Vosges, spécialisée dans la construction de chariots, tombereaux, camions, brouettes, roues de brouettes en blanc et ferrées, brouettes pour magasins et meuniers, machines agricoles. Marque : une étoile. La couverture présente un maître charron près de sa forge entouré de points d'interrogation, le dernier feuillet présente la reproduction photographique de deux hommes dans une forge. Les roues sont fabriquées en moyeux tortillard, rais acacia et jantes frêne. Prix indiqués. Cachets indiquant "Spécialité caisses de voitures". Précieux document. Couverture rigide
Bon 1 feuillet oblong
P., Blaizot, 1907 ; in-8, 78 pp. Demi-maroquin à grain long vert empire, couvertures et dos conservés. Bel exemplaire.
Edition originale. Un des 500 exemplaires numérotés sur papier Royal Melton, illustré en couleurs par Harry Eliott