État : Très bon état - Année : 1964 - Format : in 8° - Pages : 270pp - Editeur : Au fil d'Ariane - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Bande annonce conservée. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/general-pierre-boyer-de-latour/6303-le-drame-francais?lrb
Le drame français, en 1963, c'est la perte de l'Algérie mais les causes, selon l'auteur, en remonte à bien plus loin: la perte de la stabilité politique avec la mort du roi louis XVI. Le général Boyer de Latour analyse le drame des pieds-noirs, celui de l'armée française et, en fin de compte, celui de l'ensemble des Français même s'ils n'en ont pas conscience. Dans cet ouvrage, très anti-gaulliste, l'auteur en profite pour faire un tour d'horizon des méfaits de la politique opportuniste des dirigeants politiques qui n'ont pas pu, ou su, voir la vraie grandeur de la France. L'Algérie française était l'occasion de montrer au monde la vocation civilisatrice de la France.
Phone number : 09 63 58 85 14
Amsterdam, aux dépens de La Compagnie, 1751. 8 x 14, 117 pp., demi-reliure dos cuir orné de double filets dorés, bon état (peu de rousseurs)
"Tome 2 seul; 1 gravure en frontispice; page de titre bicolore."
Paris, La Renaissance du Livre, 1913. 12 x 19, 300 pp., quelques illustrations, demi-reliure large dos cuit, couverture conservée (avant et arrière), très bon état (sauf dos légèrement défraîchi).
Paris, Presses Universitaires de France (PUF), 1976. 11 x 17, 127 pp., broché, très bon état.
Paris, Presses Universitaires de France (PUF), 1985. 12 x 18, 128 pp., broché, très bon état.
Lausanne, La Guilde du Livre, 1964. "14 x 17, 6 volumes, 252 + 250 + 253 + 250 + 253 + 255 pages, très nombreuses illustrations, reliure d'édition pleine toile, bon état (têtes piquées; quelques couvertures défraîchies)."
Série complète, tous les volumes sont numérotés.
Londres, aux De'pens de La Compagnie, 1755. "10 x 17, 312 + 48 pages, bandeaux, lettrines, reliure plein cuir d'époque à 5 nerfs, état moyen (reliure usagée; page de titre : mouillures; pas trop de rousseurs, papier légèrement grisâtre)."
"Il a été relié avec cet ouvrage : Lettre de Monsieur le Marquis d'Argens avec la réponse de Monsieur de P***, servant de supplément à ses mémoires (48 pp.); page de titre bicolore."
Paris, Editions Bordas, 1949. "14 x 23, 191 pp., broché, état moyen (couverture défraîchie; papier jauni)."
Molin-sur-Allier, Editions des Cahiers du Centre, 1987. 15 x 20, 333 pp., broché, bon état.
"Préface de Jean Ajalbert, gravures sur bois de Maurice Busset; dédicace non identifiée."
Toulouse, Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres, 1976. 16 x 24, 309 pp., quelques illustrations broché, très bon état.
Toulouse, Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres, 1978. 16 x 24, 285 pp., broché, très bon état.
Società Dante Alighieri, 1961. 20 x 28, 176 pp., 8 planches en N/B, broché (brossura/paperback), bon état (bueno stato) (couverture légèrement défraîchie).
version italienne, texte en italien.
Carcassonne, E. Roudière, graveur-imprimeur, 1902. 14 x 20, 141 pp., broché, bon état (couverture légèrement abîmée).
"3 plans par M.G. Plauzolles; 24 dessins par M. Libonis."
Paris, Presses Universitaires de France (PUF)/Que sais-je ?, 1973. 11 x 18, 128 pp., broché, bon état (dos légèrement insolé).
France, Editions Mentha, 1992. 12 x 20, 61 pp., broché, très bon état.
Paris, Editions Vincent, 1977. 27 x 31, 189 pp., nombreuses illustrations en N/B, reliure d'édition pleine toile + jaquette, bon état (jaquette défraîchie).
Paris, H. Daragon, libraire-éditeur, 1909. 15 x 23, 544 pp., 2 planches gravées et 88 planches hors texte reproduisant 130 dessins et croquis, reliure, dos cuir à 4 nerfs, couverture conservée, bon état
bel ex-libris.
Paris, Prisma, 1960 17 x 24, 513 pp., très nombreuses illustrations N/B, cartonnage éditeur, bon état
3 tomes en 1 volume, tome 1: les premiers pas, tome 2: à grands pas, tome 3: ciné-amateur service
Paris, Larousse, 1984 24 x 30, 164 pp., dessins et photos en couleurs, cartonnage éditeur illustré, état neuf
Paris, Seghers, 1961. 14 x 17, 250 pp., plusieurs illustrations, cartonnage d'édition imprimé, bon état.
Paris, chez l'auteur et chez Migneret, 1818-1826 11 volumes in-8 (21 x 12,5 cm), XVI-464, 515, 638, 628, 630, 481, 588, 559, 512-(2), 606 et 384 pages. 7 planches gravées reliées à la fin du troisième volume. Reliure de l'époque demi-veau caramel beurre salé, dos lisse ornés, filets dorés. Exemplaire en très bon état, reliure solide et décorative, intérieur frais. Beau papier vergé fin. Quelques rousseurs à quelques feuillets seulement. Légers frottements aux reliures, sans gravité. ÉDITION EN PARTIE ORIGINALE. Les tomes 1 à 4 sont datés de 1822 et portent la mention de troisième édition. Le tome 5 est daté 1818 et porte la mention de seconde édition. Les tomes 6 à 11 ne portent aucune mention d'édition (édition originale) et sont datés 1818 à 1826. Les planches gravées à la fin du troisième volume montrent divers appareillages et organes : bandage pour la fracture de la clavicule (planche 1), machine pour exercer l'extension continuelle des membres inférieurs (planche 2), attelle de jambe (planche 3), appareillage pour fracture de la rotule (planche 3bis), rotule fracturée (planche 4), tumeur des muscles (planche 5), tumeur osseuse (planche 6).
Dans l'ordre des volumes on trouve : De l'inflammation - des abcès - De la gangrène - De la brûlure - Des plaies - De tumeurs - Des ulcères - Des fistules - Des fractures - De la carie - Du Spina-Ventosa - De la fragilité des os - De l'entorse - Des luxations - Des plaies des articulations - De certaines difformités - Des opérations - Des plaies de la tête - Des tumeurs de la tête - Des maladies des yeux - Des maladies de l'oreille - Des maladies des fosses nasales - Des maladies de la bouche - Des maladies du cou - Des maladies de la poitrine - Des plaies du bas-ventre - Des hernies du bas-ventre - Des maladies des reines - Des maladies des uretères - Des maladies de la vessie et de l'uretère - Des maladies de l'anus et du rectum - Des maladies des parties génitales - Des maladies de la main - Des amputations - De la saignée - Des cautères. Alexis Boyer (1757-1833) est connu en tant que premier chirurgien de Napoléon Ier. Il est né à Uzerche, le 1er mars 1757. Issu d'une famille modeste, il monte dans la capitale en 1774 alors qu'il est âgé de 17 ans. A Paris il rencontre un étudiant en médecine qui le fait rentrer chez un barbier en tant que premier garçon. Tout son temps libre, il assiste à des dissections, la boutique du barbier étant voisine des amphithéâtres d’anatomie. Après 5 années d’études dans des conditions précaires, il obtient en 1781, la médaille d’or de l’Ecole pratique du collège de chirurgie. En 1782, il est élève dans l’hôpital de la Charité. Il y suit les cours et fait des pansements. Le 9 juillet 1787, il remporte le poste de chirurgien gagnant maîtrise pour lequel il postulait. En 1789, patriote convaincu, il participe, aux côtés des étudiants du collège de médecine, à la prise de la Bastille. En 1792, après délibération de l’Assemblée, Boyer devient chirurgien en second de la Charité. En 1795, Boyer est professeur de médecine opératoire à l’Ecole de santé de Paris. Très vite, lui est confiée la chaire de clinique externe. Après avoir enseigné l’anatomie, il inculque ses connaissances de chirurgie aux étudiants. Cette même année il rejoint l’école de Desault d’anatomie de l’Hôtel-Dieu, en tant que médecin tout d’abord, puis professeur adjoint. C’est au contact de cet éminent médecin que Boyer comprend toute l’impérative nécessité d’aborder l’anatomie avec rigueur et méthodologie. En 1797, il fait paraître le premier des quatre tomes de son Traité complet d’anatomie, description de toutes les parties du corps humain, dont la publication s’échelonne de 1797 à 1805. Avec le départ d’Antoine Dubois en Egypte, en 1798, il devient incontournable dans son domaine, ses maîtres étant prématurément décédés. Ainsi, enseigne-t-il tous les jours, quatre disciplines (anatomie, médecine opératoire, pathologie externe et clinique chirurgicale). Son cours de pathologie externe dure 15 ans et est le plus suivi. En 1804, il est nommé membre du service de chirurgie de l’Hôtel-Dieu, puis professeur de chirurgie à l’Ecole de santé. Il succède à Desault à la tête de la chaire de clinique chirurgicale. En 1805, Corvisart le recommande au nouvel empereur pour le poste de premier chirurgien officiant sur sa personne. Intègre et travailleur, Napoléon l’apprécie aussitôt et n’oublie pas de le combler d’honneurs. En 1806 et en 1807, il est aux côtés de son impérial patient pendant la campagne de Prusse. Quelques temps après, le Corse le missionne en Espagne pour y opérer le maréchal Suchet. A son retour, Napoléon l’autorise à rejoindre la Charité pour y continuer à délivrer son enseignement. Après avoir été fait membre de la Légion d’honneur, Boyer est fait baron de l’Empire en 1810. En 1811, il commence l’écriture de son Traité des maladies chirurgicales et des opérations qui leur conviennent. En 1814, cinq volumes sont publiés. La parution des six autres se poursuit jusqu’en 1826. Cette œuvre fondamentale est ce qu’il y a de mieux pour l’époque dans le domaine de la chirurgie. Boyer y a recueilli toute son expérience et tout son savoir acquis au cours de ses nombreuses années d’exercice et de labeur. Après la fin de l’Empire, il devient le chirurgien consultant de Louis XVIII, de Charles X, puis de Louis-Philippe. Il ne confiait à personne le soin de vendre ses livres et les vendait lui-même à son domicile, parce que, dans un souci d’équité, il leur fixait un prix de vente qu’il estimait juste et ne respectait pas celui des éditeurs. Comblé d’honneurs, il est élu membre de l’Académie de médecine, dans la section de chirurgie, en 1820, titulaire de la troisième chaire de clinique chirurgicale de la Charité en 1823, membre de l’Académie des sciences en 1825 et chirurgien en chef de l’hôpital de la Charité la même année. Ses travaux en font un des précurseurs de l’urologie, 50 années avant que cette discipline ne soit reconnue en tant que spécialité médicale indépendante, la première chaire d’urologie ayant été créée en 1870, à l’hôpital Necker, par Félix Guyon. Il meurt en novembre 1833 à l'âge de 76 ans. Références bibliographiques : Androutsos Georges, « Alexis Boyer (1757-1833), éminent chirurgien et anatomiste, et l’étude des troubles mictionnels », in Prog. Uro., 2003 ; 13 : 527-532. Androutsos Georges, « Alexis Boyer (1757-1833), éminent chirurgien et anatomiste. La place de l’andrologie dans son œuvre. Varicocèle et hypospadias comme facteurs d’infécondité », in Andrologie, 2003 ; 13 (2) : 180-186. Bibliothèque Interuniversitaire (BIUM), communication personnelle, Paris, 2010. Boyer Alexis, Traité complet d’anatomie, description de toutes les parties du corps humain, Migneret (éd.), Paris, tome I, 1810, 3 ème édition. Corlieu Auguste, Centenaire de la Faculté de Médecine de Paris (1794-1894), Alcan – Baillère – Doin – Masson (éd.), Paris, 1896. Dubois F., « Eloge de M. Boyer lu à l’Académie de médecine le 14 décembre 1852 », in Mémoires de l’Académie impériale de médecine, J.-B. Baillère (éd.), tome VII, Paris, 1853. Dupont Michel, Dictionnaire historique des Médecins dans et hors de la Médecine, Larousse (éd.), Paris, 1999. Ganière Paul, « Dubois Antoine (1756-1837), médecin », in Revue du Souvenir napoléonien, décembre 1988 ; 362 : 51-52. Goudeaux Edmond, Alexis Boyer (1757-1833), sa vie, son œuvre, Jules Rousset (éd.), 1904. BEL EXEMPLAIRE EN CONDITION D’ÉPOQUE DE CET OUVRAGE IMPORTANT.
Phone number : 06 79 90 96 36
Plon, 1956, in-8°, xx-204 pp, préface de Emile Roche, une carte, broché, bon état
"Par un chef militaire qui a joué un rôle de premier plan en Afrique du Nord, un ouvrage où l'on trouve d'intéressants éléments d'information, voire de réflexion." (Revue française de science politique, 1959) — "... La décolonisation de ces pays a lieu le plus souvent sous la surveillance des généraux, dans des contextes extrêmement tendus. En Tunisie, les civils restent aux commandes, sauf dans la phase ultime de l’indépendance, après la visite de Pierre Mendès France, avec la nomination du général Boyer de Latour, qui conduit fort habilement sa mission de juillet 1954 à août 1955. Au Maroc, où les tensions sont plus fortes, l’on nomme de fortes personnalités militaires pour contrer l’expansion nationaliste mais surtout pour surveiller un sultan trop indépendant : les généraux d’armée Juin (de 1947 à 1951) puis Guillaume (de 1951 à 1954) se succèdent, et en 1955, avant le retour du sultan déposé en 1953 et la conclusion de l’indépendance en 1956, le général Boyer de Latour y fait un bref séjour (août-novembre), beaucoup plus difficile que sa mission en Tunisie. Il quitte d’ailleurs Rabat en totale opposition avec la politique d’Edgar Faure, après avoir tenter en vain de s’y opposer. Sur le rôle des « résidents militaires » dans la fin des protectorats, voir les mémoires très orientés de Pierre Boyer de Latour, “Vérités sur l’Afrique du Nord” (Paris, 1956), et d’Alphonse Juin, “Le Maghreb en feu”, (Paris, 1957)." (Jean-Claude Allain et Michel Catala, Généraux et diplomates en France, 2006) — "Sur quarante-deux années de service, le général Pierre Boyer de Latour en a passé vingt-quatre dans le Maghreb. Depuis 1916, à part deux ans d'école et trois ans de commandement de troupes métropolitaines, il a toujours eu sous ses ordres des troupes nord-africaines. Il s'est acquis leur confiance et c'est avec leur concours qu'après l'armistice de 1940 il reconstitua un régiment de Tabors. Médaillé militaire, Grand Croix de la Légion d'Honneur, le général Boyer de Latour est titulaire de 24 citations dont 18 à l'ordre de l'armée et a reçu la D.S.O. (Distinguished Service Order) britannique et la D.S.C. (Distinguished Service Cross) américaine. A ses fonctions militaires sont presque toujours venues s'ajouter des fonctions administratives et politiques. Appelé en février 1951 à Rabat pour exercer auprès du Maréchal Juin les fonctions de secrétaire général des Affaires politiques et militaires, désigné ensuite, en mars 1954, comme Commandant des Troupes de Tunisie, puis comme successeur de M. Voizard à la Résidence, à Tunis, le général Boyer de Latour fut appelé de nouveau à Rabat, en août 1955, comme Résident général en remplacement de M. Grandval, démissionnaire. Deux mois plus tard, le général démissionnait lui aussi, à la suite de l'affaire du Conseil du Trône et du revirement du Glaoui. Ces trois missions correspondent à trois moments cruciaux de notre politique en Afrique du Nord. Partisan depuis longtemps d'une évolution hardie mais progressive, qui aurait dû comporter d'abord des réformes économiques et sociales, le général Pierre Boyer de Latour raconte ici comment cette évolution fut compromise et perdue par les indécisions et les inconséquences d'un irréalisme politique qui a conduit la France et l'Afrique du Nord à la tragique situation d'aujourd'hui."
Editions Francis Salabert Partition 1927 "In-4 (17,5 x 27 cm), partition pour chant en feuilles, 4 pages, ""C'est une chemise rose"", paroles de Lucien Boyer, musique de Jean Boyer ; tampons au premier plat, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
FRANCIS SALABERT. 1925. In-8. En feuillets. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. dépliant 4 pages, couverture illustrée d'une gravure de R.de Valerie, photo de Lucien Boyer, signature à l'encre.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
MON PARIS!, paroles de Lucien Boyer, musique de Jean Boyer, vincent Scotto, partition mélodique ( 1 bémole à la clef) , mouvement de ONe-step. et paroles. Classification Dewey : 780.26-Partitions