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Lettre autographe signée à son confrère, l’architecte Charles Garnier. Marly le roi, 8 Août [18]96. 3 p.et demi in-16. Bordures de deuil.
Lettre amicale. Il le remercie de son intérêt bienveillant concernant son état de santé « Ce ne sera encore rien de sérieux cette fois, je l’espère du moins : une culbute qui aurait pu avoir des suites plus graves, mais qui s’est terminée heureusement par quelques contusions, froissement de muscles et à la jambe […] Voulez-vous je vous prie présenter mes meilleures affections à Madame Garnier, ainsi qu’à votre fils. Le mien, fils, s’ennuie actuellement à Pouques, où la faculté l’a expédié de force ».
Lettre autographe signée à Mademoiselle Lecoeur. En tête de la « Direction des travaux, service d’architecture ». Paris, le 6 Mai 1878. 1 p. in-8.
Il est inquiet car aucun menuisier n’est présent à l’exposition (la 3ème édition de l’exposition universelle de Paris) et charge sa correspondante de régler ce problème « Je ne sais quelle contenance tenir vis-à-vis de Monsieur le préfet et de M. Olphond. Avisez donc d’urgence je vous prie et ne me laissez pas ainsi dans l’embarras. ».
Lettre autographe signée à son « Cher Maitre ». Paris, le 3 Décembre 1896. 1 p. et demie in-8.
Il indique à son correspondant les changements de dernière minute concernant des modifications de plannings liées à l'organisation de réunions qu’ils ont en commun. « En rentrant ce soir chez moi, je trouve votre télégramme, trop tard pour contremander à Bordhighera votre voyage. Vous devez en effet être en route depuis ce matin […] notre réunion vient d’être renvoyée à lundi. Ces messieurs se trouvent inopinément pris demain et Mr Vaudremer ayant samedi, son comitédes édifices diocésains. La réunion a lieu au Palais de l’Industrie… ».
Lettre autographe signée à Charles Garnier. Marly le roi, 8 Aout [18]96. 3p.et demie in-16. Bordures de deuil.
Lettre amicale. Il le remercie de son intérêt bienveillant concernant son état de santé « Ce ne sera encore rien de sérieux cette fois, je l’espère du moins : une culbute qui aurait pu avoir des suites plus graves, mais qui s’est terminée heureusement par quelques contusions, froissement de muscles et à la jambe […] Voulez-vous je vous prie présenter mes meilleures affections à Madame Garnier, ainsi qu’à votre fils. Le mien, fils, s’ennuie actuellement à Pouques, où la faculté l’a expédié de force ».
