1785. Manuscrit de 68 pp., titre manuscrit encadré (quelques rousseurs).
Copie XVIIIème de cette œuvre qui parut en 1680. C’est une parodie des trois œuvres de Boileau, plus particulièrement du Lutrin. C’est une réplique à Boileau, qui dans son lutrin s’est joué de «La Montre», œuvre de Bonnecorse.