Paris, 1848-1849 in-8, 1 pp. (1848) ; 1 pp. bi-feuillet (1849, papier bleuté, adresse au verso avec cachet postal.
2 lettres du député de Seine-et-Oise, adressée à des membres de la Société Philotecnique, rue du Faubourg Poissonnière :- à son confrère. Paris, 29 avril 1848."Je suis bien sensible, mon cher confrère, à toutes vos bonnes attentions (…) je serais bien heureux de vous les renouveler à notre séance Philotechnique (…) Tâchez de vous réunir à nous. Moi, je vais tâcher de me rendre digne de l'honneur qui m'a fait le député de Seine-et-Oise. Vale! "- au secrétaire de la Société, M. Mirault. Paris, 3 août 1849."En écrivant à Mr Payen, je lui dis que vous voudrez bien vous entendre avec lui (…) Vale! "Une note au crayon ajoute : "La commission est composée de Messieurs Vivien, Mathieu, Desains, Gauthier, Begin, Mirault."Avocat connu pour ses plaidoiries et son éloquence, Albin de Berville (1788-1868) dit Saint-Albin, écrivait dans divers journaux dont Le Constitutionnel et la Revue encyclopédique, travailla à diverses œuvres dont la Collection des mémoires relatifs à la Révolution ; il était membre de la société savante philotechnique depuis 1825 ; nommé par le gouvernement de Juillet avocat général à Paris, il sera nommé président de la chambre sous le second Empire, et fut élu député de Pontoise de 1838 à 1848. Joint une notice biographique manuscrite contemporaine de Berville et un portrait.
Joubert Paris 1845 in-8, 432p. et 1f. (errata). :: Sur divers sujets: littéraires, liberté religieuse, les prisons, la beauté, l'exagération dans les arts, la propriété littéraire, le code pénal de la Louisiane, etc. :: AVEC une Lettre autographe signée Berville (avocat et homme de lettres) à M. Tallandier, député, pour l'article sur son livre, et l'article en question contrecollé. :: Reliure de l'époque, demi-veau, charnières ouvertes.
[Paris] Imprimerie d'Antoine Bailleul s.d. [1822] in-8 dérelié
15 pp. Fesch, 165. Au CCF, exemplaires seulement à la BnF. L'avocat libéral Albin de Berville (1788-1868) défendit Paul-Louis Courier (1821) et Béranger (1822), fut nommé député de Seine-et-Oise en 1838, et fut réélu à l’Assemblée constituante (1848).Franc-maçon il était membre de la loge des Trinosophes de Paris (fondée en 1816) et deviendra grand-maître du Grand Orient de France en 1851 et 1852. Il présida également la Société de la Morale chrétienne. En décembre 1834, il fit partie des fondateurs de la Société française pour l'abolition de l'esclavage