15 books for « berthier louis alexan... »Edit

‎Le Maréchal Berthier, Prince de Wagram et de Neufchatel.‎

‎ Paris, Librairie militaire R. Chapelot et Cie, 1904 et 1905. 2 parties reliées en 2 forts vol. au format in-8 (223 x 147 mm) de v - 527 pp. ; iv - 619 pp. Reliures uniformes de l'époque de demi-basane glacée lie-de-vin à coins, doubles filets à froid portés sur les plats, dos lisses ornés de doubles filets à froid, titre doré, tomaison dorée, tranches mouchetées.‎

‎ Edition originale ; complète des deux volumes la constituant. L'ensemble recèle 5 planches (dont 2 fac-similés dépliants). Italie, 1796. Le général Alexandre Berthier a quarante-trois ans et déjà une brillante carrière derrière lui. Mais deux rencontres capitales viennent bouleverser son existence : celle du général Bonaparte ; celle d'une Milanaise éblouissante, la marquise Visconti. L'épopée et la passion commencent. "Berthier : talents, activité, courage, caractère, tout pour lui". D'emblée, Bonaparte a jugé celui qui sera pendant dix-huit ans son plus proche collaborateur, et qu'il appellera son frère d'armes, et auquel il donnera le titre de prince de Wagram. Quel destin inouïe ! Maréchal et vice-connétable de l'Empire, ministre de la Guerre, major général de la Grande Armée, grand veneur, altesse sérénissime, prince souverain de Neuchâtel, neveu par alliance du roi de Bavière, etc. Comblé d'honneurs, Berthier jouit de fiefs dans toute l'Europe, et possède les châteaux de Chambord et de Grosbois, où il vit en nabab, entouré de deux femmes, Elisabeth de Bavière et Guiseppa Visconti. Mais vient l'heure des désastres, et il tente en vain d'arrêter Napoléon. A Waterloo, l'Empereur s'écrie : "Si Berthier était là, je n'aurais point ce malheur !". Quinze jours plus tôt, son vieil ami est mort de façon mystérieuse, tombant d'une fenêtre d'un palais bavarois : accident ? suicide ? assassinat ?... Pigeard & Martin, Bibliographie napoléonienne, p. 305. Reliures présentant quelques altérations superficielles. Rousseurs affectant les gardes. Les deux derniers feuillets du premier volume sont légèrement effrangés. Du reste, bonne condition. Peu courant. ‎

‎L.S. de Songis et 2 L.S. de Berthier au Maréchal Soult, commandant en chef le 4e Corps d'Armée‎

‎Munich, Augsbourg, juillet - août 1806 , 3 pp. in-folio ; accompagnées de leurs Bulletin analytique des Archives du maréchal duc de Dalmatie. ‎

‎Correspondance concernant l'organisation de l'artillerie du 4e Corps de Soult ; 27 juillet 1806 : "Quant à votre artillerie, je ne peux changer l'organisation arrêtée par l'Empereur (…). Quant à l'approvisionnement des cartouches, on vous donne un approvisionnement de 60 coups pour 30,000 hommes (…) Le parc ne vous laissera manquer de rien." Suivent plusieurs directives concernant l'état des chaussures des soldats, à propos du général Margaron et d'un congé accordé au général d'Hautpoul, sur une recommandation du général Songis. 6 août : Berthier prévient Soult qu'on remplace dans son Corps une compagnie d'Artillerie à pied par une à cheval ; "(…) le général Songis vous fera connaître l'époque à laquelle cette disposition aura son exécution (…)."Joint la lettre du général Songis, premier inspecteur général et commandant de l'Artillerie, en date du 10 août 1806 concernant cette question ; en conséquence, il donne ordre au général Lariboisière "de renvoyer au Parc une compagnie du 5e (artillerie) à pied aussitôt après de celle à cheval." ‎

‎Rome le 28 pluviose an 6. Rep. Le Citoyen Alexandre Berthier Général en Chef de l'Armée d'Italie.‎

‎In Roma, Presso i Lazzarini Stampatori Nazionali, 1798 41 x 28, ‎

‎Affiche bilingue sur deux colonnes."Il est ordonné à tout émigré François de quitter Roome & tout le territoire de la République Romaine, dans les vingt quatre heures de la publication du présent ordre". ‎

‎P.S.‎

‎S.l.n.d. (1793) in-4, 1 pp. ‎

‎Avis d'un Comité militaire statuant sur le remplacement d'un adjudant-major au 28e Régiment ; il propose Guilloe, "quartier-maître trésorier du régiment (…) possédant d'éminent talens et les qualités pour être adjudant (…) on insiste fortement pour que M. Guilloe obtienne la place vaccante d'adjudant major, l'instruction des recrues et le bien du service devant en retirer un grand avantage."La pièce est signée par 6 membres dont d'Abaucourt et les généraux Delalain, d'Arçon, St-Fief et Alexandre Berthier.Charles Barthélémy de Saint-Fief (1752-1841), seigneur de La Bussière, Gorce et Pleuville, était capitaine d'artillerie lorsqu'éclata la Révolution. Capitaine commandant début 1791, lieutenant-colonel en décembre, adjudant général en 1792, il était à l'Armée du Nord avant d'être employé comme adjoint au ministère de la Guerre par Beurnonville en février 1793, promu général en mars. Il est de suite après envoyé à l'Armée des Côtes de la Rochelle, suspendu de ses fonctions en août. Remis en activité en septembre 1796, il refusa le commandement de l'artillerie à l'Armée de Sambre-et-Meuse, et se retira en Charente.Collection Léon Muller ‎

‎Né à Versailles. 1753-1815. Maréchal d’Empire. L.S. « Alexandre » au maréchal prince d’Essling, MASSENA. Paris, 18 avril 1811. 3/4 p in-4.‎

‎ 18/04/1811 En réponse à sa lettre, Berthier lui adresse …un triplicata de la dépêche que je vous avois adressée le 28 janvier dernier, pour vous faire connaître les traitements extraordinaires qui ont été fixés par lEmpereur, pour les armées dEspagne et de Portugal…‎

‎2 L.S. et 2 documents‎

‎S.l., Mars-avril 1807 , 2 pp. in-4, 2 pp. 1⁄2 in-4 et croquis sur 1 ff. in-folio (petit trou central). ‎

‎Papiers relatifs aux services du général Cazals pendant la campagne de Pologne :Osterode, 29 mars 1807 : Le major-général a soumis à l’Empereur, le rapport du général sur les travaux de la tête de pont ; "(…) S.M. aurait aimé avoir une contre escarpe de 13 pieds ou bien elle préfère une contre escarpe de 10 pieds et un chemin couvert (…). Cela répond à la question que vous faites par votre rapport du 26 (…)."Joint un croquis représentant quatre coupes de contre-escarpes au crayon.Joint une lettre du chef de bataillon du Génie Bouvier, du 14 mars 1807, adressé au général Cazals, concernant les travaux de fortifications de Udine ; "En qualité de commandant du Génie au 2e Corps, j’ai reçu ordre du général Baraguey d’Hilliers ordonnant ce corps d’armée de faire tout mon possible pour y completter l’organisation du service du Génie ; et comme je n’ai pas la plus petite ressource en matériel, j’ai cru devoir m’adresser à vous (…)." Apostille du général Cazals en marge, demandant de tenir prêt 5 fourgons pour porter 1500 outils mais souhaite que le général Barraguey fasse une demande une demande au ministre.Sinkenstein, 14 avril 1807 : Lettre de Berthier au général Cazals pour son traitement comme inspecteur général des travaux de la haute Vistule ; "Les fonctions de Directeur du parc du Génie sont des fonctions temporaires auxquelles est attaché par la loi un traitement extraordinaire de mille francs par mois pour frais de bureaux (…). En occupant un autre poste, vous ne pouvez continuer à jouir de cette prérogative ; vous n’avez plus les mêmes dépenses à faire et vous n’avez droit qu’au traitement des autres officiers généraux de votre grade (…)."Adjoint dans le Corps du Génie, Louis-Joseph Cazals (1774-1813) avait servi dans les premières guerres de la Révolution, aux armées des Ardennes et du Nord en prenant part aux sièges de Maubeuge, Nieuport et au siège de Nimègue ; capitaine en 1795, il fait la campagne sur le Rhin en qualité de commandant le génie de l'armée de Sambre-et-Meuse. chef de bataillon en mars 1797, il est compris dans l'expédition d'Egypte, se trouve à la prise de Malte et d'Alexandrie, combattit aux Pyramides ; il commanda le fort d'El Arish mais dut capituler à la suite de la révolte de la garnison, combattit à Héliopolis avec Kléber qui le nomma chef de Brigade, participa à la reprise du Caire et d'Alexandrie. Rentré en France il fut directeur des fortifications à Perpignan, commanda le génie au camp de Montreuil ; il commanda le génie du Corps de Ney lors de la campagne de 1805, blessé à Gunsbourg, promu général ; il est ensuite nommé directeur du parc à l'état-major du Génie sous Chasseloup-Laubat, et participe aux campagnes de Prusse et de Pologne, fit campagne en Espagne en 1808, blessé à Valence ; baron d'Empire, il commande le Corps d'observation d'Italie en avril 1811. Décédé en 1813 à Charenton, il était le neveu du général Dejean, ministre de l'administration de la Guerre. ‎

‎Relations de l'expédition de Syrie, de la bataille d'Aboukir, et de la reprise du fort de ce nom, imprimées sur les pièces originales et officielles, (par Berthier), Paris, Gratiot, sans date (1799), 86 pages; suivi de: Mémoire au ministre de la Justice, sur les accusations majeures portées au Conseil des Cinq-cents, contre l'ex-ministre Scherer, par Théophile Mandar, Paris, Poignée, et Dentu, an VII (1798), 80 pages; suivi de: Des opinions politiques du citoyen Sieyes, et de sa vie comme homme public, (par Conrad Engelbert Oelsner), Paris, Goujon, an VIII (1799), VIII-280 pages. ‎

‎ 1799 Recueil factice de la fin du XVIIIe siècle, volume in-8 relié demi basane de l'époque, dos lisse orné faux nerfs et de fleurons dorés, titre "recueil de pièces" doré, les 3 textes sont en édition originale, très bon état‎

‎L.S. au citoyen Chaudron-Rousseau adjudant-général‎

‎Paris, 29 ventôse an 8, 20 mars 1800 , 1 pp. in-folio, en-tête du ministre de la Guerre avec petite vignette du ministère. ‎

‎Berthier, ministre de la Guerre du nouveau gouvernement, annonce à l'adjudant-général Chaudron-Rousseau, que sur sa proposition, le Premier Consul l'a remis en activité dans son grade ; "(…) Je vous autorise en conséquence à faire vos dispositions pour être prêt à vous rendre à votre destination aussitot que vous en recevrez l'ordre."Fils du Conventionnel, Pierre-Guillaume Chaudron-Roussau (1775-1811) avait servi à l'armée des Pyrénées Orientales en 1793, dès sa sortie de l'école des commissaires de Guerre comme lieutenant des troupes de montagne ; à peine âgé de 20 ans, il y fut nommé adjudant-général chef de bataillon par les représentants du Peuple en juin 1794, puis passa à l'Armée des Pyrénées occidentales et à l'Armée de l'Ouest ; réformé en 1796, il fut chargé de conduire les conscrits de la Haute marne à l'Armée du Danube en 1799, réintégré dans son grade d'adjudant-général le 14 mars 1800. Après plusieurs affectations, officier de la Légion d'Honneur en juin 1804, il sert à l'état-major de la 2e Division (Lapisse) du 1er Corps lors des campagnes d'Autriche, de Prusse et de Pologne, puis en Espagne en 1808 ; promu général en novembre, il se signale à Talavera (1809), et est tué à Chiclana en 1811. Son nom n'est pas inscrit sur l'Arc de Triomphe mais figure sur les tablettes de bronze du château de Versailles. ‎

‎2 L.S. à Louvier, officier du 12e de Ligne‎

‎Berlin, 28 octobre 1806, Varsovie, 27 janvier 1807 , 2 demi-page bi-feuillet in-folio dont en partie imprimée. ‎

‎Lettre de service de Berthier, ministre de la Guerre pour un officier du 12e de Ligne ; annonçant sa nomination au grade de capitaine, par décret de l'Empereur du 28 octobre 1806 (Napoléon avait fait la veille son entrée à Berlin) ; prévenant de son admission à la solde de retraite le 27 janvier 1807.Le 12e de Ligne était sous le commandement du colonel Vergez, 3e Corps de Davout 3e Division de Gudin. ‎

‎Relation de la Bataille de Marengo, gagnée le 25 Prairial AN 8, par Napoléon Bonaparte,... sur les Autrichiens, aux Ordres du Lieutnant-Général Mélas Redigée par... Alex. Berthier..., et accompagnée de Plans indicatifs des différens mouvemens des tro...‎

‎Paris, L'Imprimerie Impériale, 1806. Large 4to. Hcalf. Later rebacked. Inner hinges strenghtened. Stamp on title-page. Engraved frontispiece. 40,(2) pp., 1 large folded table, 5 large folded maps/plans and 1 large folded view (Vue de Bataille de Marengo). Wide-margined. printed on thick paper. Faint scattered brownspots.‎

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‎Ordre du jour Au Quartier général impérial de Brughausen, le 30 avril 1809. / Tags-Befehl (...)‎

‎S.l.n.d. (1809) placard petit in-folio de 35 x 22 cm, texte bilingue sur deux colonnes (français et traduction allemande en regard), en feuille. ‎

‎Sur la sauvegarde du service des postes aux chevaux destinés aux communications. ‎

‎L.S. adressée au citoyen Dellon (?)‎

‎Giza, 5 thermidor an VI (23 juillet 1798) in-4 carré, 1 pp., Encre très pâle, large manque en marge à gauche sans atteinte au texte. ‎

‎Lettre de promotion après l’observation de « conduite et ses talents », « notamment à la bataille des Pyramides ». ‎

‎EXPÉDITION D'ÉGYPTE. Pièces diverses relatives aux opérations militaires et politiques du général Bonaparte et Pièces officielles de l'armée d'Égypte. Seconde partie ‎

‎Paris, de l'Imprimerie de Didot l'aîné, an VIII-IX (1800-1801), Paris, Didot l'Aîné, 4 volumes in-8, relié cartonnage d’attente bleu, dos muet, non rogné, en pagination continue, 2ff.-105 pp., 2 ff.-107-264pp., 1 f.-265-350 et VI-519 pp., couvertures frottées, dos manquant au volume des pièces officielles de l’armée d’Égypte, manque le faux titre à la 2eme partie des pièces diverses… ‎

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‎Intéressant et rare recueil de pièces diverses datées du 30 floréal an 6 (19 mai 1798), au 30 thermidor, an 7 (17 août 1799), sur l'armée de la méditerranée, Malte et les débuts de la campagne d'Egypte. Chaque partie à sa page de titre, mais la pagination est continue. Le volume s'achève sur le "retour du général Bonaparte en Europe"), on y trouve la Proclamation du Général Bonaparte aux soldats de terre et de mer de l'armée de la Méditerranée, les Lettres écrites au Directoire jusqu'au départ pour Malte et des documents relatifs à la prise de cette île. Puis, dans une seconde partie, la correspondance relative à l'expédition d'Égypte et de Syrie, la relation de la campagne de la Haute Égypte, rédigée à Syouth par le général Desaix, suivie de différentes proclamations du général Bonaparte, aux soldats et aux habitants de l'Égypte. Les deux dernières parties de ce premier volume, contiennent entre autres les lettres du Dyvan, du chérif de La Mecque, du sultan du Darfour, ainsi que les lettres de Bonaparte au Pacha d'Égypte, au chérif et au sultan de La Mecque, au mollah Murad-Radé à Damas etc, et s'achèvent sur le retour de Bonaparte en Europe. Suivi d’une seconde partie, parue un an après et contient ce qui s’est passé en Égypte depuis que le général Bonaparte a quitté ce pays jusqu'au 14 frimaire dernier inclusivement (décembre 1800).P2-2A Un ensemble rare de la relation factuelle de la campagne d’Égypte ‎

‎Portrait (en pied) à l'eau-forte représentant Louis Alexandre BERTHIER, Prince de Neufchatel et de Wagram , Maréchal de France - et son Etat des services -‎

‎ Paris - vers 1840 - Gravure format 25 x 17 cm - piqures - et état des services de 3 pages in8 -‎

‎ Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

‎Lettre autographe signée « Elisabeth B Wagram » à la maréchale de Grouchy. Château de Grobois, 10 juillet 1848. Enveloppe conservée. 3 pp. 1/2 in-8. ‎

‎Belle lettre écrite suite à la révolution française de 1848, qui mis fin à la monarchie de juillet. Au reçu de la lettre de la maréchale, elle est bienheureuse et satisfaite. « J’ai fait bien des essais infructueux pour vous retrouver, et votre concierge n’a jamais pu ou voulu dire à mes valets de pieds ou vous étiez. Je fais mille vœux pour que les eaux fassent si bon effet que vous puissiez venir avec nous l’hiver prochain. Personne de ma famille ni de mes amis n’a été atteint par le malheureux évènement qui viennent d’ensanglanter Paris. Tout en rendant grâce à la providence je compatis de tout cœur au deuil de tant de malheureuses personnes. Que le ciel nous préserve du retour de pareille calamité qui en quatre mois de temps ont frappées la pauvre France. […] Je mène ici une vie de famille bien paisible, mais le 23 juin, j’étais trop loin et trop près de Paris. Privée pendant deux jours et demi de nouvelles de mon fils parti avec sa garde nationale comptant les fusillades et les coups de canon et ignorant le résultat ; c’est un martyre qu’une vie pareille… ».‎