BLANC (Louis), ARAGO (Etienne), BERNARD (Martin, dit Martin-Bernard)
Reference : 35596
2 volumes In-16, brochés, couvertures illustrées, 176 p. et 160 p., vignettes dans le texte. Paris, Au bureau du Nouveau Monde, 1850-1851.
Edition originale et unique, bien complet des deux années parues de cet "almanach composé d'articles des députés proscrits, Louis Blanc, Etienne Arago, Rattier, Martin Bernard, Barthélémy. Avec 'le travail', musique de Victor Lefebvre [partition musicale, p. 65-68] poésie d'Etienne Arago. Devait contenir des articles de Barbès et d'Albert qui ne purent arriver à cause de la difficulté des communications avec les prisonniers de Doullens. Le titre de l'année 1851 porte en plus: 'Par Louis Blanc'." (Grand Carteret, 'Almanachs Français', n°2554).Vignette de H. Emy répété sur chaque page de titre, illustrations dans le texte et partition musicale.Bon exemplaire. Rare.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
1751 3 volumes in-12 (169 x 96 mm), plein veau marbré de l'époque, dos à nerfs ornés de compartiments fleuronnés et cloisonnés, pièces de titre et de tomaison de maroquin bordeaux et bronze, coupes filetées. Amsterdam [i.e. Paris], 1751.
Première édition sous ce titre des "Lettres d'un François sur les Anglois", donnée avec le consentement et sous la supervision de l'auteur et accompagnée d'une nouvelle préface. Adressées aux principales personnalités françaises du monde des lettres, des arts et des sciences (Buffon, Du Bos, Freret, Helvétius, Crébillon, Maupertuis, Duclos, le président Bouhier, Montesquieu, etc.), ces lettres "constituèrent la principale source sur l'Angleterre jusqu'à Montesquieu".L'abbé voyageur et philosophe rend compte de ses longs séjours en Angleterre et livre ses observations sur les moeurs, la religion, les sciences et les arts, l'industrie naissante, le commerce et la navigation, le gouvernement et "l'équilibre de pouvoirs", la justice, les modes, la gastronomie, la noblesse, l'architecture, le jardinage, la liberté de la presse et de l'édition, le théâtre, etc. Plusieurs concernent le statut des femmes.L'auteur traduisit lui-même son essai en anglais sous le titre de 'Letters on the English and French nations'.Né à Dijon, ecclésiastique, avocat au Parlement de Paris, homme des Lumières, Jean-Bernard Le Blanc (1707-1781) obtint la place d'historiographe des Bâtiments du Roi grâce à Madame de Pompadour. Il fut également l'un des premiers traducteurs de Hume en français.Selon Weller l'ouvrage aurait été imprimé à Paris. (Weller, II, 130).Quelques petits accrocs à la reliure.Très bon exemplaire, frais, bien relié à l'époque.
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CLEMENT (Jean-Marie-Bernard), MERCIER (Louis Sébastien), AUFFRAY (Jean), CARON DE CHANSET (J.-B.-P.)
Reference : 29939
Ensemble relié en un volume in-8, plein veau marbré de l'époque, dos à nerfs orné de compartiments à fleurons dorés, filet sur les coupes, tranches rouges.
Édition originale de ces 4 ouvrages. Bon exemplaire.
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Petit in-4 (125 x 200 mm), broché, couverture de papier fort, tranches mouchetées (rel. moderne), 48 p. A Paris, chez Prault, 1760.
Edition originale de premier tirage. Plusieurs éditions in-12° parurent à la suite, la même année.Ami de Diderot dont il reprend ici les principes, c'est en homme des Lumières que Saurin inscrit son action dans l'histoire romaine pour renverser les poncifs classiques en exaltant la révolte d'un plébéien contre la tyrannie au pouvoir.Voltaire a souligné la qualité de la pièce et a rapproché sa versification de celle de Corneille.Avocat, poète, chansonnier, Bernard-Joseph Saurin (1706-1781) fut lami de Voltaire, Montesquieu, Saint-Lambert, Turgot, Helvétius, etc. ; il fréquenta le salon de Mme Necker, les cafés littéraires et fut membre du Caveau. Il avait 40 ans lorsqu'il débuta au théâtre. Il obtint son premier succès avec cette pièce qui fut ovationnée à la Comédie française et qui lui ouvrit les portes de l'Académie française.(Soleinne, 'Bibliothèque dramatique', III, 134, 1760).Page de titre légèrement grisée. Petites auréoles en marge du dernier feuillet.
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1829 In-8, demi-basane de l'époque, dos lisse orné de filets dorés, (3) f., 424 p., rep. au titre sans perte, rousseurs parfois très soutenues. Paris, Moutardier, 1829.
Édition originale. Littérateur et publiciste, membre de la société 'Aide-toi, le ciel t'aidera', Joseph Bernard fit une guerre constante à la monarchie. A l'issue de la révolution de 1830, il obtint un poste officiel, poste dont il fut révoqué. (Quérard, Litt. française contemporaine, I, 328-329). Bon exemplaire.
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1768 In-12 (152 x 98 mm), demi-veau marbré de l'époque, dos lisse orné de compartiments garnis de fleurons et filets dorés, pièce de titre de maroquin brun, tranches rouges, (2) f., (8), 188 p. Genève, 1768.
Édition originale posthume de cette "première utopie athée et communiste de la littérature française", qui relie le néo-scepticisme et le libertinage érudit du XVIIe siècle au matérialisme et au néo-spinozisme des Lumières, selon H.-G. Funke, éditeur moderne du texte (1999).À partir de la page 153 figure une "Lettre à Madame la Marquise de *** sur la nudité des sauvages", placée sous un feuillet de faux-titre particulier.On y retrouve les thèmes majeurs des utopies démocratiques : abolition de la propriété privée, travail mesuré, frugalité, urbanisation géométrique, magasins publics, pacifisme, mépris des biens matériels, polygamie régulée. Plus radical encore est le traitement de la religion : les Ajaoiens forment une société dathées vertueux et strictement matérialistes, où ni lÉtat ni lhomme ne doivent rien à Dieu ; divinité et âme ny apparaissent que comme des fictions inventées "par dhabiles politiques" afin de maintenir les hommes "dans une crainte perpétuelle dun prétendu avenir".Louvrage aurait été composé en 1682, d'après une note figurant page 152.(Descharmes, 'Fontenelle', B.N., n° 173. Hartig & Soboul, 'Utopies', n°60. Tchemerzine-Scheler, III, 340).Provenances: Jean-Louis Babet avec cachet ex-libris au titre et le docteur Joseph Dubois, avec son ex-libris gravé "J.D." à la devise "Tenere Cursum".Trace de restauration au mors.Très bon exemplaire, relié à l'époque, très bien conservé.
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1904 In-12, reliure de l'éditeur bleue (lég. défr.), vii, (2), 170 p. New York, Brentano's, 1904.
Première édition américaine non autorisée.Ex-libris gravé provenant d'une bibliothèque grecque, daté du 30 mai 1917.Exemplaire imprimé sur papier vergé.
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1741 In-12, plein veau marbré de l'époque, dos à nerfs orné de compartiments fleuronnés et cloisonnés, pièce de titre de veau bordeaux, tranches rouges, xxxij, (4), 504 pages, tableau plié en fin. Paris, Didot, 1741.
"Huitième édition, revue & corrigée", de ce traité qui contribua à la diffusion des mathématiques en dehors de dehors des écoles militaires et à leur conférer un rôle de premier plan dans l'enseignement général.Sur l'importance de l'oeuvre du P. Lamy et de cet ouvrage dans la diffusion des idées scientifiques pendant la période, cf. éd. F. Girbal et P. Clair, Paris, 1966.(D.S.B., VII, 611).Mors frottés, coins émoussés. Auréoles très claires en tête des premiers feuillets.Bon exemplaire, relié à l'époque.
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In-8, broché, couverture imprimée, 72 p. Paris, PUF, 1955.
Edition originale. Envoi autographe signé.
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In-8, broché (couv. lég. défr.), 166 p. Paris, A. Rousseau, 1909.
Édition originale. Index.
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FONVIELLE (Bernard François, chevalier de), [FORTIA DE PILES (Alphonse-Toussaint-Marseille, comte de de)]
Reference : 27885
In-8, demi-maroquin vert bronze ancien à la Bradel, titre doré, daté en pied, viii,, 47 p. Paris, Dentu, Delaunay, Petit, etc., octobre 1812.
Edition originale de ce virulent pamphlet contre la presse et les journalistes, composé par le chevalier de Fonvielle, mais longtemps attribué à Fortia de Piles. Cet exemplaire tranche le débat car il comporte la signature autographe de Fonvielle au bas de l'avant-propos. Le pamphlet est suivi de l'extrait des mémoires de Fonvielle dans lesquels l'auteur explicite les conditions dans lesquelles cet écrit fut composé.Bel exemplaire, relié en maroquin vert.
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In-12, demi-toile rouge, tête dorée, plat supérieur lég. sali, 59 p., portrait en frontispice, quelques brunissures aux premiers feuillets. London, A.C. Fifield, 1910.
The Fabian Socialists Series, n°8.
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[GUYTON DE MORVEAU (Louis-Bernard), FOURCROY (Antoine-François, comte de), MONGE (Gaspard), BERTHOLLET (Claude Louis), HASSENFRATZ (Jean-Henri), etc
Reference : 35485
15 "leçons" en un volume in-4, en feuilles (débroché), 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., (2) p., (2) p., 4 p., 2 p., 2 p., (2) p. (pagination séparée par leçon). S.l.n.d. [Paris, Imprimerie du Comité de salut public, février-mars 1794].
Edition originale. Rédigé par Guyton de Morveau, le recueil des 15 "cours révolutionnaires" organisés à l'École polytechnique nouvellement crée pour transmettre à des auditeurs venus de toute la France les nouvelles méthodes de fabrication du salpêtre, de la poudre et des canons, fruit des recherches communes des signataires de ces cours.Contient deux séries de leçons. La première série a pour titre de départ: "Cours révolutionnaire de la fabrication du salpêtre et de la poudre", titre répété en tête de chaque leçon.La seconde série a pour titre de départ: "Fabrication des canons de fer coulé", titre repris en tête de la seconde leçon, les leçons suivantes ayant pour titre: "Cours révolutionnaire de la fabrication des canons de fer coulé" (3e, 4e et 6e leçons) ou bien : "Cours révolutionnaire de la fabrication des canons", 5e leçon).La première série compte neuf leçons, huit numérotées de 1 à 8 et datées du 1er au 8 ventôse de l'an II [du 19 au 26 février 1794] suivies d'une dernière sur la composition des sels, non numérotée mais dite supplémentaire et datée du 19 ventôse de l'an II [9 mars 1794.Emprisonné, Lavoisier ne put participer à ce travail dans lequel on retrouve sa marque à toutes les pages sans que son nom ne soit jamais cité et lon retrouve, au nombre des signataires, les trois co-auteurs avec Lavoisier de la 'Méthode de nomenclature chimique' : Guyton de Morveau, Fourcroy et Berthollet.(Duveen, 'Bibliotheca Chimica', p. 486. Martin & Walter, 'Anonymes', 14623).Exemplaire sans le titre général.Bon exemplaire.
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GUYTON DE MORVEAU (Louis-Bernard), FOURCROY (Antoine-François, comte de), MONGE (Gaspard), BERTHOLLET (Claude Louis), HASSENFRATZ (Jean-Henri), etc
Reference : 36335
15 "leçons" en un volume in-4, cartonnage marbré à la Bradel, pièce de titre en long (rel. moderne), pagination séparée par leçon, (1) f., 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., 4 p., (2) p., (2) p., 4 p., 2 p., 2 p., (2) p. S.l.n.d. [Paris, Imprimerie du Comité de salut public, février-mars 1794].
Édition originale du recueil des quinze "cours révolutionnaires" organisés au sein de l'École polytechnique nouvellement crée, afin de propager auprès dauditeurs venus de toute la France, les nouvelles méthodes de fabrication du salpêtre, de la poudre et des canons, fruit des recherches communes des signataires de ces cours.La rédaction est due à Guyton de Morveau.Contient deux séries de leçons. La première a pour titre de départ: "Cours révolutionnaire de la fabrication du salpêtre et de la poudre".La seconde: "Fabrication des canons de fer coulé".La première série compte neuf leçons, huit numérotées de 1 à 8, datées du 1er au 8 ventôse de l'an II [du 19 au 26 février 1794], suivies d'une dernière non numérotée, dite "supplémentaire" et datée du 19 ventôse de l'an II [9 mars 1794].Si Lavoisier, emprisonné, ne put participer à ce travail, on y trouve sa marque à toutes les pages sans que son nom ne soit jamais cité. On y retrouve également ses trois co-auteurs de la 'Méthode de nomenclature chimique': Guyton de Morveau, Fourcroy et Berthollet.(Duveen, 'Bibliotheca Chimica', p. 486. Martin & Walter, 'Anonymes', 14623).Dos frotté. La page de titre est roussie et montée sur onglet, restauration à un coin de la page 1 avec de perte de trois mots reproduits à la plume.
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RECTO VERSO (Bruxelles, Belgique), coll. Ides et Autres n° 3 1986 Un volume in°8 broché 70 pp Tirage limité à 500 exemplaires numérotés.
- Bernard GOORDEN, "Idéaltruisme" et para-littératures, pages 2 à 3, Préface2 - Bernard GOORDEN, Para-littératures en Argentine, pages 4 à 5, Article3 - Angélica GORODISCHER, Les Sargasses, pages 6 à 14, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN4 - Enrique Télllez GIRON, Rêve..., pages 14 à 14, Poésie, trad. Poeta TRISTAN5 - Eduardo GOLIGORSKY, ...Et, au sein de ses ailes, il m'emporta, pages 15 à 18, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN6 - Bernard GOORDEN, Para-littératures au Brésil, pages 19 à 19, Article7 - André CARNEIRO, Zinga, le robot, pages 20 à 30, Nouvelle, trad. Mario TORRES8 - Bernard GOORDEN, Para-littératures au Chili, pages 31 à 31, Article9 - Hugo CORREA, La Cloche, pages 32 à 35, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN10 - Bernard GOORDEN, Para-littératures à Cuba, pages 36 à 36, Article11 - Angel ARANGO, Le Cosmonaute, pages 37 à 39, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN12 - José CID R., La Dernière faveur du diable, pages 40 à 47, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN13 - Manuel COBO, Faste végétal, pages 47 à 49, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN14 - Bernard GOORDEN, Para-littératures en Uruguay, pages 50 à 50, Article15 - Mario LEVRERO, La Rue des mendiants, pages 51 à 54, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN16 - Mario LEVRERO, Histoire sans retour n°2 (Historia sin retorno n°2), pages 55 à 55, Nouvelle, trad. Perla DOMINGUEZ & Bernard GOORDEN17 - Mario LEVRERO, La Machine pour penser à Gladys (La maquina de pensar en Gladys), pages 55 à 55, Nouvelle, trad. Perla DOMINGUEZ & Bernard GOORDEN18 - Mario LEVRERO, La Machine pour penser à Gladys (négatif) (La maquina de pensar en Gladys (negativo)), pages 55 à 56, Nouvelle, trad. Perla DOMINGUEZ & Bernard GOORDEN19 - Mario LEVRERO, Ce liquide vert (Ese liquido verde), pages 56 à 57, Nouvelle, trad. Perla DOMINGUEZ & Bernard GOORDEN20 - Carlos Maria FEDERICI, Premiers soins, pages 58 à 62, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN21 - Carlos Maria FEDERICI, Dernier modèle à philosophie programmée, pages 63 à 63, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN22 - Carlos Maria FEDERICI, Lune de loups, pages 63 à 63, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN23 - Carlos Maria FEDERICI, Venues, pages 63 à 63, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN24 - Carlos Maria FEDERICI, Humour satanique, pages 63 à 64, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN25 - Carlos Maria FEDERICI, Complexe de culpabilité, pages 64 à 64, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN26 - Poeta TRISTAN, Para-littératures au Vénézuela, pages 65 à 66, Article27 - Luis Garcia BRITTO, Futur, pages 67 à 69, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN28 - Luis Garcia BRITTO, Livres, pages 69 à 69, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN29 - Luis Garcia BRITTO, Publicité, pages 70 à 70, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN Très bon état N'hésitez pas à nous mettre dans vos favoris. Vous serez ainsi tenu au courant de nos nouveautés
RECTO VERSO (Bruxelles, Belgique), coll. Ides et Autres n° 1 1984 Un volume in°8 broché 100 pp Tirage limité à 500 exemplaires numérotés. LR5
Sommaire 1 - Bernard GOORDEN, Le Mot du rédacteur en chef : les buts, pages 3 à 3, Éditorial2 - Domingo SANTOS, La Chose tombée de l'espace (La Cosa caida del espacio), pages 4 à 10, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN3 - Luis VIGIL, Procès d'un élément subversif (Notas del judicio de un elemento subversivo), pages 11 à 13, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN4 - J.M. SOUZA SAEZ, La Partie de billard (La Partida de Billar), pages 14 à 15, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN5 - Carlo FRABETTI, Dialexis (Dialexis), pages 16 à 17, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN6 - Carlo FRABETTI, "Complémentaire" + "Complémentaire" = ? (Par), pages 18 à 19, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN7 - Manuel T. RAZ, Dix Aphrodites (Diez Afroditas), pages 20 à 21, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN8 - Juan EXTREMADURA, Vivre sportivement (Vivir deportivamente), pages 22 à 23, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN9 - Francisco LEZCANO LEZCANO, Faim (Hambre), pages 24 à 25, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN10 - Carlos SAIZ CIDONCHA, Les Horribles Terriens (Los Horribles Terrestres), pages 26 à 27, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN11 - Carlos BUIZA, Confession d'un Grats (Confesion de un Grats), pages 28 à 30, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN12 - Bernard GOORDEN, La SF espagnole, pages 31 à 35, Article13 - Alfonso Alvarez VILLAR, La Tombe de l'astronaute (La Tumba del astronauta), pages 36 à 40, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN14 - Francisco FAURA, La Fontaine de Jouvence (La Fuente de la eterna juventud), pages 41 à 43, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN15 - Bernard GOORDEN, Biographie des auteurs, pages 44 à 45, Dictionnaire d'auteurs16 - Bernard GOORDEN, "Ides... et autres" & la science-fiction, pages 46 à 46, Éditorial Très bon état N'hésitez pas à nous mettre dans vos favoris. Vous serez ainsi tenu au courant de nos nouveautés
Bruxelles Recto Verso coll Ides et Autres n°60 1989 Un volume in-8 broché 144 pp Tirage numéroté limité à 500 exemplaires n°100 1 LR5 - Bernard GOORDEN, La SF cubaine : une histoire de 25 ans, pages I à X, Préface2 - Angel ARANGO, Où vont les Céphalhommes ? (Adonde van los cefalomos ?), pages 3 à 14, trad. Bernard GOORDEN3 - Miguel COLLAZO, Le Labyrinthe de Mnes (El laberinto de Mnes), pages 15 à 19, trad. Bernard GOORDEN4 - Juan Luis HERRERO, Ne me caresse pas, Vénusien (No me acaricies, venusino), pages 20 à 32, trad. Bernard GOORDEN5 - José Martinez MATOS, Assassinat au musée (Asesinato en el museo), pages 33 à 38, trad. Bernard GOORDEN6 - German PINIELLA, Les Montagnes, les bateaux et les eaux des cieux (Las montanas, los barcos y los rios del cielo), pages 39 à 45, trad. Bernard GOORDEN7 - Chely LIMA & Alberto SERRET, La Faille (La falla), pages 46 à 50, trad. Bernard GOORDEN8 - Rosendo ALVAREZ MORALES, Les Séquestres (Los secuestros), pages 51 à 55, trad. Bernard GOORDEN9 - Daina CHAVIANO, Planète amoureuse (Planeta amoroso), pages 56 à 77, trad. Bernard GOORDEN10 - Félix LIZARRAGA, Premier contact (Primer contacto), pages 78 à 86, trad. Bernard GOORDEN11 - Félix LIZARRAGA, Béatrice (Beatrice), pages 87 à 120, trad. Bernard GOORDEN12 - Alejo CARPENTIER, Retour aux sources (Viaje a la semilla), pages 121 à 142, trad. René L.-F. DURAND TRES BON ETAT
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Calmette (Joseph) et David (Henri) sur Saint-Bernard de Clairvaux
Reference : 91404
(1970)
Librairie Jules Tallandier , Figures de Proue du Moyen Age Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1970 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur dorée et rouge, illustrée d'un portrait en couleurs grand In-8 1 vol. - 323 pages
16 planches hors-texte d'illustrations en noir (complet) édition de 1970 Contents, Chapitres : Les origines - Citeaux, la discipline ascétique - Bernard et la papauté - Bernard devant l'esprit critique et devant l'hérésie - Bernard à Clairvaux, les sermons, leur mystique - Bernard et le pouvoir civil - Les perspectives lévantines - Bernard de la Terre Sainte avant le sermon de Vezelay - Le lancement de la Seconde croisade - Art oratoire et littéraire - Les croisés à l'épreuve - Bernard et Eugène III, Le Traité de Considération - Les dernières années - La mort, la survie - Epilogue : Le culte marial - Bibliographie sommaire - Bernard de Fontaine, abbé de Clairvaux, né en 1090 à Fontaine-lès-Dijon et mort le 20 août 1153 à l'abbaye de Clairvaux, est un moine bourguignon, réformateur de la vie religieuse catholique. Directeur de conscience et important promoteur de l'ordre cistercien (ou ordre de Cîteaux), il recherche l'amour du Christ par la mortification la plus dure. Bernard de Fontaine fait preuve, toute sa vie, d'une activité inlassable pour instruire ses moines de Clairvaux, pour émouvoir et entraîner les foules, pour allier son ordre avec la papauté et pour élaborer un dogme militant que son ordre et toute l'Église catholique mettront en uvre. C'est aussi un conservateur, qui fustige les mutations de son époque (la « Renaissance du xiie siècle »), marquée par une profonde transformation de l'économie, de la société et du pouvoir politique. Mort en 1153, il est canonisé dès 1174 et devient ainsi saint Bernard de Clairvaux. Il est déclaré Docteur de l'Église catholique en 1830 par le pape Pie VIII. (source : Wikipedia) bon exemplaire, frais et propre, bien complet des 16 planches hors-texte
1897 La Pauriho. Frontispice : La Misère. 1897. Eau-forte, vernis mou et gravure au soufre. 120 x 195. Très belle épreuve sur japon in folio 44x34 cm, signée deux fois è l'encre,premier tirage de l'état definitif. Dédicacé en haut à J. M. Chambon ; signé sous l'image. Long envoi autographe de 17 lignes, à l'encre signé et daté 31 dec. 1897 - Toutes marges - repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. DEDICACE : La Misère. 1897. Eau-forte originale inédite, Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image . Long envoi autographe de 9 lignes à l'encre,signé à nouveau à J.M.Chambon - Toutes marges = 44 x 27,7 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. l'aieul : La Misère. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image . Long envoi autographe au crayon de 10 lignes ,signé à nouveau à J.M.Chambon. PS de 2 lignes à gauche - Toutes marges = 44 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. l'aieul : La Misère. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image; d'une vigeur de morsure incomparable . - Toutes marges = 27,7 x 22 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La mort à la barque. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort, signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 22 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. Lou Barrulaire. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 27,7 x 22 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La roulotte . 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 22 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €