Brussels, Bibliotheca Wittockiana, 1986. 775 g In-4 broché, 167 pp., illustrations en noir et en couleurs, frontispice dépliant.. 75 numéros décrits. Catalogue d'exposition à la Bibliotheca Wittockiana (Brussels, 11 octobre - 22 novembre 1986), rédigé en anglais par Bernard Breslauer avec une introduction en français de Jean Toulet. . (Catégories : Bibliographie, Reliure, )
Paris, Albin Michel, 1961. 98 g In-12 broché, 117 pp., [1] ff.. Envoi de l'auteur à Robert Garric, homme de lettres qui fut entre autres le professeur de philosophie de Simone de Beauvoir. . (Catégories : Religion, )
RECTO VERSO (Bruxelles, Belgique), coll. Ides et Autres n° 3 1986 Un volume in°8 broché 70 pp Tirage limité à 500 exemplaires numérotés.
- Bernard GOORDEN, "Idéaltruisme" et para-littératures, pages 2 à 3, Préface2 - Bernard GOORDEN, Para-littératures en Argentine, pages 4 à 5, Article3 - Angélica GORODISCHER, Les Sargasses, pages 6 à 14, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN4 - Enrique Télllez GIRON, Rêve..., pages 14 à 14, Poésie, trad. Poeta TRISTAN5 - Eduardo GOLIGORSKY, ...Et, au sein de ses ailes, il m'emporta, pages 15 à 18, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN6 - Bernard GOORDEN, Para-littératures au Brésil, pages 19 à 19, Article7 - André CARNEIRO, Zinga, le robot, pages 20 à 30, Nouvelle, trad. Mario TORRES8 - Bernard GOORDEN, Para-littératures au Chili, pages 31 à 31, Article9 - Hugo CORREA, La Cloche, pages 32 à 35, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN10 - Bernard GOORDEN, Para-littératures à Cuba, pages 36 à 36, Article11 - Angel ARANGO, Le Cosmonaute, pages 37 à 39, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN12 - José CID R., La Dernière faveur du diable, pages 40 à 47, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN13 - Manuel COBO, Faste végétal, pages 47 à 49, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN14 - Bernard GOORDEN, Para-littératures en Uruguay, pages 50 à 50, Article15 - Mario LEVRERO, La Rue des mendiants, pages 51 à 54, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN16 - Mario LEVRERO, Histoire sans retour n°2 (Historia sin retorno n°2), pages 55 à 55, Nouvelle, trad. Perla DOMINGUEZ & Bernard GOORDEN17 - Mario LEVRERO, La Machine pour penser à Gladys (La maquina de pensar en Gladys), pages 55 à 55, Nouvelle, trad. Perla DOMINGUEZ & Bernard GOORDEN18 - Mario LEVRERO, La Machine pour penser à Gladys (négatif) (La maquina de pensar en Gladys (negativo)), pages 55 à 56, Nouvelle, trad. Perla DOMINGUEZ & Bernard GOORDEN19 - Mario LEVRERO, Ce liquide vert (Ese liquido verde), pages 56 à 57, Nouvelle, trad. Perla DOMINGUEZ & Bernard GOORDEN20 - Carlos Maria FEDERICI, Premiers soins, pages 58 à 62, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN21 - Carlos Maria FEDERICI, Dernier modèle à philosophie programmée, pages 63 à 63, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN22 - Carlos Maria FEDERICI, Lune de loups, pages 63 à 63, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN23 - Carlos Maria FEDERICI, Venues, pages 63 à 63, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN24 - Carlos Maria FEDERICI, Humour satanique, pages 63 à 64, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN25 - Carlos Maria FEDERICI, Complexe de culpabilité, pages 64 à 64, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN26 - Poeta TRISTAN, Para-littératures au Vénézuela, pages 65 à 66, Article27 - Luis Garcia BRITTO, Futur, pages 67 à 69, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN28 - Luis Garcia BRITTO, Livres, pages 69 à 69, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN29 - Luis Garcia BRITTO, Publicité, pages 70 à 70, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN Très bon état N'hésitez pas à nous mettre dans vos favoris. Vous serez ainsi tenu au courant de nos nouveautés
RECTO VERSO (Bruxelles, Belgique), coll. Ides et Autres n° 1 1984 Un volume in°8 broché 100 pp Tirage limité à 500 exemplaires numérotés. LR5
Sommaire 1 - Bernard GOORDEN, Le Mot du rédacteur en chef : les buts, pages 3 à 3, Éditorial2 - Domingo SANTOS, La Chose tombée de l'espace (La Cosa caida del espacio), pages 4 à 10, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN3 - Luis VIGIL, Procès d'un élément subversif (Notas del judicio de un elemento subversivo), pages 11 à 13, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN4 - J.M. SOUZA SAEZ, La Partie de billard (La Partida de Billar), pages 14 à 15, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN5 - Carlo FRABETTI, Dialexis (Dialexis), pages 16 à 17, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN6 - Carlo FRABETTI, "Complémentaire" + "Complémentaire" = ? (Par), pages 18 à 19, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN7 - Manuel T. RAZ, Dix Aphrodites (Diez Afroditas), pages 20 à 21, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN8 - Juan EXTREMADURA, Vivre sportivement (Vivir deportivamente), pages 22 à 23, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN9 - Francisco LEZCANO LEZCANO, Faim (Hambre), pages 24 à 25, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN10 - Carlos SAIZ CIDONCHA, Les Horribles Terriens (Los Horribles Terrestres), pages 26 à 27, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN11 - Carlos BUIZA, Confession d'un Grats (Confesion de un Grats), pages 28 à 30, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN12 - Bernard GOORDEN, La SF espagnole, pages 31 à 35, Article13 - Alfonso Alvarez VILLAR, La Tombe de l'astronaute (La Tumba del astronauta), pages 36 à 40, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN14 - Francisco FAURA, La Fontaine de Jouvence (La Fuente de la eterna juventud), pages 41 à 43, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN15 - Bernard GOORDEN, Biographie des auteurs, pages 44 à 45, Dictionnaire d'auteurs16 - Bernard GOORDEN, "Ides... et autres" & la science-fiction, pages 46 à 46, Éditorial Très bon état N'hésitez pas à nous mettre dans vos favoris. Vous serez ainsi tenu au courant de nos nouveautés
Calmette (Joseph) et David (Henri) sur Saint-Bernard de Clairvaux
Reference : 91404
(1970)
Librairie Jules Tallandier , Figures de Proue du Moyen Age Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1970 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur dorée et rouge, illustrée d'un portrait en couleurs grand In-8 1 vol. - 323 pages
16 planches hors-texte d'illustrations en noir (complet) édition de 1970 Contents, Chapitres : Les origines - Citeaux, la discipline ascétique - Bernard et la papauté - Bernard devant l'esprit critique et devant l'hérésie - Bernard à Clairvaux, les sermons, leur mystique - Bernard et le pouvoir civil - Les perspectives lévantines - Bernard de la Terre Sainte avant le sermon de Vezelay - Le lancement de la Seconde croisade - Art oratoire et littéraire - Les croisés à l'épreuve - Bernard et Eugène III, Le Traité de Considération - Les dernières années - La mort, la survie - Epilogue : Le culte marial - Bibliographie sommaire - Bernard de Fontaine, abbé de Clairvaux, né en 1090 à Fontaine-lès-Dijon et mort le 20 août 1153 à l'abbaye de Clairvaux, est un moine bourguignon, réformateur de la vie religieuse catholique. Directeur de conscience et important promoteur de l'ordre cistercien (ou ordre de Cîteaux), il recherche l'amour du Christ par la mortification la plus dure. Bernard de Fontaine fait preuve, toute sa vie, d'une activité inlassable pour instruire ses moines de Clairvaux, pour émouvoir et entraîner les foules, pour allier son ordre avec la papauté et pour élaborer un dogme militant que son ordre et toute l'Église catholique mettront en uvre. C'est aussi un conservateur, qui fustige les mutations de son époque (la « Renaissance du xiie siècle »), marquée par une profonde transformation de l'économie, de la société et du pouvoir politique. Mort en 1153, il est canonisé dès 1174 et devient ainsi saint Bernard de Clairvaux. Il est déclaré Docteur de l'Église catholique en 1830 par le pape Pie VIII. (source : Wikipedia) bon exemplaire, frais et propre, bien complet des 16 planches hors-texte
Bruxelles Recto Verso coll Ides et Autres n°60 1989 Un volume in-8 broché 144 pp Tirage numéroté limité à 500 exemplaires n°100 1 LR5 - Bernard GOORDEN, La SF cubaine : une histoire de 25 ans, pages I à X, Préface2 - Angel ARANGO, Où vont les Céphalhommes ? (Adonde van los cefalomos ?), pages 3 à 14, trad. Bernard GOORDEN3 - Miguel COLLAZO, Le Labyrinthe de Mnes (El laberinto de Mnes), pages 15 à 19, trad. Bernard GOORDEN4 - Juan Luis HERRERO, Ne me caresse pas, Vénusien (No me acaricies, venusino), pages 20 à 32, trad. Bernard GOORDEN5 - José Martinez MATOS, Assassinat au musée (Asesinato en el museo), pages 33 à 38, trad. Bernard GOORDEN6 - German PINIELLA, Les Montagnes, les bateaux et les eaux des cieux (Las montanas, los barcos y los rios del cielo), pages 39 à 45, trad. Bernard GOORDEN7 - Chely LIMA & Alberto SERRET, La Faille (La falla), pages 46 à 50, trad. Bernard GOORDEN8 - Rosendo ALVAREZ MORALES, Les Séquestres (Los secuestros), pages 51 à 55, trad. Bernard GOORDEN9 - Daina CHAVIANO, Planète amoureuse (Planeta amoroso), pages 56 à 77, trad. Bernard GOORDEN10 - Félix LIZARRAGA, Premier contact (Primer contacto), pages 78 à 86, trad. Bernard GOORDEN11 - Félix LIZARRAGA, Béatrice (Beatrice), pages 87 à 120, trad. Bernard GOORDEN12 - Alejo CARPENTIER, Retour aux sources (Viaje a la semilla), pages 121 à 142, trad. René L.-F. DURAND TRES BON ETAT
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1897 La Pauriho. Frontispice : La Misère. 1897. Eau-forte, vernis mou et gravure au soufre. 120 x 195. Très belle épreuve sur japon in folio 44x34 cm, signée deux fois è l'encre,premier tirage de l'état definitif. Dédicacé en haut à J. M. Chambon ; signé sous l'image. Long envoi autographe de 17 lignes, à l'encre signé et daté 31 dec. 1897 - Toutes marges - repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. DEDICACE : La Misère. 1897. Eau-forte originale inédite, Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image . Long envoi autographe de 9 lignes à l'encre,signé à nouveau à J.M.Chambon - Toutes marges = 44 x 27,7 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. l'aieul : La Misère. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image . Long envoi autographe au crayon de 10 lignes ,signé à nouveau à J.M.Chambon. PS de 2 lignes à gauche - Toutes marges = 44 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. l'aieul : La Misère. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image; d'une vigeur de morsure incomparable . - Toutes marges = 27,7 x 22 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La mort à la barque. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort, signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 22 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. Lou Barrulaire. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 27,7 x 22 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La roulotte . 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 22 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La pieuvre . 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Long envoi autographe a l'encre de 13 lignes ,signé à nouveau à J.M.Chambon. à gauche,dédicace à l'encre en bas à droite Toutes marges = 43,8 x 33,8 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La Gitane. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 35x 26,5 cm - non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.Le Gitan. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, non signée mais titrée è l'encre sur 2 lignes dans le haut: Toutes marges = 28 x 22 cm - non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. De Facho. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince,signée en toutes lettres au crayon sous l'image; dans le haut titre de la planche. Dans le bas dédicace de 7 lignes à l'encre : mon cher Jean Marie,vite à mon secours je suis sans metal ! : Toutes marges = 28 x 22 cm - non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
RECTO VERSO (Bruxelles, Belgique), coll. La Machine à lire dans le passé n° 6 1986 Un volume in°8 broché 60 pp Tirage limité à 500 exemplaires numérotés. LR5
1 - Carlos SAIZ CIDONCHA, Environnement vampire (El otro espanto), pages 3 à 8, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN2 - José-Maria GIRONELLA, La Mort de la mer (La muerte del mar), pages 9 à 18, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN & Colette VIAL-MILLS, illustré par Dominique MAYÉRUS3 - Juan TEBAR, La Plage au clair de lune (La playa a la luz de la luna), pages 19 à 22, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN, illustré par André FRANQUIN4 - Juan-José PLANS, Les Sauterelles (Las langostas), pages 24 à 26, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN5 - Luis CANTERO, L'Annonciation (La anunciacion), pages 27 à 28, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN, illustré par Vincent DEVIGNEZ6 - Emilia PARDO BAZAN, Le Talisman (El talisman), pages 30 à 34, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN7 - Juan G. ATIENZA, Saveur de néant (Sabor de nada), pages 35 à 38, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN & Ingrid VAN REIJSEN-GODARD8 - Francisco LEZCANO LEZCANO, Le Dodécaèdre (El dodecaedro), pages 39 à 42, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN, illustré par Francisco LEZCANO LEZCANO9 - Francisco LEZCANO LEZCANO, Symbiose (Simbiosis), pages 42 à 42, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN, illustré par Jean-Louis LEJEUNE10 - Fernando P. FUENTEAMOR, Ce futur pays présent (Del mismo pais en un futuro presente), pages 43 à 50, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN11 - Ramon GOMEZ DE LA SERNA, La Fuite vers le village des poupées de cire (El incongruente : Huida hacia el pueblo de las munecas de cera), pages 50 à 55, Extrait de roman, trad. Lucino MARTINEZ12 - Romeu DE MELO, Nous savons tout (Já Sabíamos Tudo), pages 55 à 60, Nouvelle, trad. Mario TORRES Très bon état N'hésitez pas à nous mettre dans vos favoris. Vous serez ainsi tenu au courant de nos nouveautés
BERNARD (Claude) : Leçons sur la chaleur animale sur les effets de la chaleur et sur les fièvres.
Reference : MED243
(1876)
Cours de Médecine au Collège de France (au titre) : « Ce volume renferme une série de leçons professées en 1871-1872 », dans lesquelles Claude Bernard développe « l’idée d’un lien indissoluble » entre physiologie, pathologie et thérapeutique, à partir de « ce fait essentiel sur lequel [il a] bien souvent insisté, que (…) c’est toujours à un agent purement physique que nous aboutissons comme terme de nos analyses, et comme condition nécessaire de toutes les manifestations vitales. (…) La chaleur est une condition essentielle à la manifestation de la vie (avant-propos). Illustré, dans le texte, de huit figures et de tableaux (dont trois à double page). L’accueil du public fut chaleureux, enfin presque… L’expérimentation animale, telle que pratiquée par Claude Bernard : vivisection [NOTE 1] sans anesthésie et autres pratiques cruelles effectuées au nom d’une science expérimentale « déshumanisée », engendra bien vite des opposants ; une pionnière, Frances Power COBBE (1822-1904) avait créé, dès 1875, en Grande Bretagne, la SPALV (Société Pour Protection des Animaux sujets à la Vivisection). Par ailleurs, cette Irlandaise fut une militante féministe avancée, aujourd’hui revendiquée par les LBGT+, définie, sur le site « videoout.org » comme suit : « Frances Power Cobbe. Lutte pour l’égalité des femmes et des animaux ». Cela ne s’invente pas… Plus tard, viendront ces « Illustrations of vivisection ; or experiments on living animals, from the works of physiologists, namely, Leçons de physio-logie opératoire (operative physiology) by Claude Bernard. Leçons sur la chaleur animale by Claude Bernard . La pression barométrique by Paul Bert. As reproduced in « BERNARD’S MARTYRS » and « LIGHT IN DARK PLACES », by Miss Frances Power COBBE. Philadelphia : American Antivivisection Society, N° 1706 Chestnut street, 1887 (23 pp.). De nos jours, les passions semblent se calmer, enfin presque… Les irréductibles de « laterredabord.fr », dans un texte anonyme, daté du 19 février 2019, intitulé « La vivisection de Claude Bernard pour les Leçons sur la chaleur animale », jugent les travaux de Claude BERNARD à l’aune des idées du XXI° siècle. Ce livre, c’est la « froideur « scientifique » qui est en réalité le fruit d’une lecture anti-naturelle et d’une perversion de la connaissance » qui « relève de la perversion, du crime ». « La vivisection n’est pas seulement un crime parce qu’elle torture (…) c’est [aussi] du terrorisme ». L’Anonyme nous offre de nombreux extraits « de la prose de l’assassin », apôtre de « l’idéologie de la vivisection », « véritable philosophie , vision du monde très particulière : si l’on admet la vivisection, alors celle-ci est la seule forme de la connaissance du vivant ». Ainsi, « Faut-il y voir un rapport avec l’esprit colonial prédominant dans les mentalités [d’] alors ? (…. ) Le vivisecteur s’imagine avant tout comme un explorateur » ; on y est : le Politique pointe le bout de son nez. La machine s’emballe : sachant que « le processus de désensibilisation [des apprentis sorciers] propre à ces expériences fabrique des criminels » conduit inéluctablement l’auteur à se poser les bonnes [???] question : « Comment s’étonner de ce que les médecins nazis ont pu faire ensuite dans les camps ? ». Il y a mieux encore : Claude Bernard, pour mieux suivre l’évolution d’un lapin soumis à la chaleur, avait remplacé une paroi de l’appareil de son invention, par une vitre (page 347), pour observer l’agonie de l’animal. Alors, « à quoi est-on obligé de penser ? ». Forcément, forcément, « aux chambres à gaz des nazis, avec leurs vitres (sic) [NOTE 2] pour surveiller le « succès » de l’opération ». En conclusion, Josef Mengele et consorts sont les dignes héritiers de Claude Bernard . « On sait comment les croque-morts font d es blagues sur les morts » (p.7 du texte de l’Anonyme) ; celle-ci est de fort mauvais goût. Mais, en forme d’aveu inconscient et involontaire, l’Anonyme nous a prévenu (p.5 de son texte) : Sa « seule motivation, c’est (…) une fascination morbide pour la réaction de la sensibilité » du lecteur . Claude Bernard peut reposer en paix.
[NOTE 1] : la vivisection [du latin « vivus » (vivant) et « secare » (couper)], c’est quoi ? Réponse des dicos en ligne : « intervention sur des animaux vivants » (CNRTL), dissection expérimentale pratiquée sur un animal… vivant (Larousse), … vertébré vivant ( wikipedia, plus restrictif ); pour aller plus loin, ces SYNONYMES de « vivisection » à caser dans le bêtisier de la Culture: - « anatomie , autopsie » (accueil Google, synonymo ) - « anatomie , autopsie, dissection » (langue-francaise.tv5.com, CNRTL) et le meilleur, le pompon : - « dissection, anatomie , autopsie, ante-mortem » ! (« rimessolides.com ») Petit rappel : autopsie, « examen systématique d’un cadavre » (CNRTL), a priori pratiqué « post mortem » . [NOTE 2] c’était un œilleton de porte ; s’agissant de camps d’extermination, le terme usuel de « judas » serait inapproprié.
[Librairie Fischbacher] - LODS, Armand ; BERNARD DE SAINTES [ BERNARD, André-Antoine ]
Reference : 61813
(1888)
Avec un portrait de Bernard, par Louis David, Un des vingt exemplaires numérotés sur papier de hollande avec une triple suite du portrait (exemplaire n° 1 paraphé par l'auteur) , 1 vol. grand in-8 reliure demi-maroquin rouge, dos à 5 nerfs dorés orné, double filet doré en mors, couvertures et dos conservés (en double exemplaires), Librairie Fischbacher, Paris, 1888, 301 pp. et 1 f. n. ch. (errata) avec quintuple suite du portrait, une planche hors texte (tirage photographique contrecollé), le fac-similé de la lettre de Bernard de Saintes à Hérault-Séchelles (7 ff.), et un billet autographe signé.
Exceptionnel exemplaire numéroté 1 du tirage de tête limité à 20 exemplaires sur hollande paraphés par l'auteur, celui-ci enrichi non pas de 3 mais de 5 tirages différents du portrait de Bernard de Saintes par Louis David (avec la lettre, en sanguine, avant la lettre sur chine monté, etc...) et d'un billet autographe signé de Bernard de Saintes. Inséré à la suite du fac-similé, cet intrigant billet autographe de 5 lignes est ainsi rédigé : "J'ai ouvert ton paquet. Croyant qu'il y avait quelques lettres pour moi, ou quelque chose de pressant, je te renvoie le tout sauf ta soeur aînée pour raccourcir les amis des princes et des rois. Adieu. Ton frère". Suite à la prise de Montbéliard par les troupes françaises en octobre 1793, le terrible conventionnel Bernard de Saintes (1751-1818) impose la population de 400000 livres et organise le nouveau département du Mont-Terrible. Un billet autographe de 5 lignes, de la main de l'auteur, et une photo du duc de Wurtemberg, ont été joints à l'exemplaire. Bel exemplaire.
P., Baillière, 1887, un volume in 8 relié en pleine toile bleue marine (reliure de l'époque), 2 portraits, 193pp. (comprenant la reproduction d'une lettre manuscrite de Claude Bernard), (1)
---- EDITION ORIGINALE ---- BEL EXEMPLAIRE ---- OUVRAGE DE LA PLUS GRANDE RARETE. En effet, non seulement de nombreux exemplaires furent détruits lors d'un incendie, mais la veuve de Claude BERNARD, soutenant que la publication en avait été faite sans son consentement, obtint la saisie des exemplaires restants". (cf. préface de la seconde édition par J.M. Le Goff) ---- Cet exemplaire a appartenu au cèlèbre neurologue américain W.S. MITCHELL avec une dédicace du préfacier Georges BARRAL ; W.S. MITCHELL (ou Robert MITCHELL pour certains de ses écrits extra-scientifiques, notamment ceux traduits en français) fut un grand admirateur de Claude BERNARD dont il suivit les cours lors d'un séjour à Paris ---- "Encouragé par le succès remporté à Lyon par une comédie La rose du Rhone, Claude Bernard se croit destiné à la carrière des lettres. Il s'attaque alors à une tragédie classique, Arthur De Bretagne, sur laquelle "il fondait toutes ses espérances", dira-t-il plus tard. Et c'est en Novembre 1834, qu'alors âgé de 21 ans, il se rend pour la première fois à Paris dans le but de présenter ce drame en cinq actes et en prose avec un chant, au célèbre critique Saint-Marc Girardin... Ce n'est qu'après la mort de Claude Bernard, en 1887, que parut en librairie cet ouvrage. La publication en était faite par la maison E. Dentu, sur l'initiative de G. Barral dont le père, ami du physiologiste, avait reçu le manuscrit de ses mains en Aôut 1876, avec ces mots : "Je vous le donne en mémoire de notre séjour à Perpignan et d'Arago... Vous pourrez le publier si vous y tenez, mais plus tard, au moins cinq ans après ma mort... J'ai bien eu un vaudeville qui a été joué à Lyon en 1833". (Catalogue du Musée Claude BERNARD p. 7)**8230/ARB5+8231br/ARB5
RECTO VERSO (Bruxelles, Belgique), coll. Ides et Autres n° 26 1980 Un volume in°8 broché 100 pp Tirage limité à 500 exemplaires numérotés. LR5
1 - Bernard GOORDEN, La Prose fantastique est plus ancienne que vous le prétendez, messieurs les critiques autorisés, pages 1 à 4, Préface2 - ANONYME, Le Jeune homme qui vainquit le diable (Tutupaka Llakkta), pages 5 à 60, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN & San TEWEN3 - Ricardo PALMA, Le Scorpion de Fray Gomez (El alacran de Fray Gomez), pages 61 à 65, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN & San TEWEN4 - Clemente PALMA, Les Yeux de Lina (Los Ojos de Lina), pages 66 à 73, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN & San TEWEN5 - Ventura GARCIA CALDERON, La Momie (La momia), pages 74 à 79, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN & San TEWEN6 - Abraham VALDELOMAR, Finis Desolatrix Veritae (Finis Desolatrix Veritae), pages 79 à 84, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN & San TEWEN7 - César VALLEJO, Au-delà de la vie et de la mort (Mas alla de la vida y de la muerte), pages 85 à 91, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN & San TEWEN8 - Harry BELEVAN, Le Revers de la médaille (La otra cara de la moneda), pages 92 à 100, Nouvelle, trad. Bernard GOORDEN & San TEWEN Très bon état N'hésitez pas à nous mettre dans vos favoris. Vous serez ainsi tenu au courant de nos nouveautés
BERNARD Gentil ( Pierre-Joseph BERNARD, dit GENTIL-BERNARD ) / LEGOUVÉ Gabriel
Reference : 23805
Paris Chez Delarue, Editeur, sans date (vers 1843) 0 in 16 (15x9,5) 1 volume broché, couverture imprimée, frontispice gravé, 60 pages. Suivi du MÉRITE DES FEMMES, poème par Legouvé, titre et 36 pages. BERNARD, Pierre-Joseph dit Gentil-Bernard 1708-1775. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide
1675 Paris, Chez Jacques de Laize de Bresche, 1675, in 8° relié plein veau de l'époque, dos à nerfs très ornés, paginations séparées ; page de titre ornée d'une vignette armoriée ; petite fente de 2 cm à un mors, coiffe supérieure usée.
Traité de S. Bernard, de la grâce et du libre arbitre, 135 pages. - Traité de S. Bernard, des erreurs de Pierre Abaillard, 85 pages. - Traité de S. Bernard, des questions proposées par Hugues de Saint-Victor, 63 pages. - Traité de S. Bernard, des moeurs et des devoirs des évêques, 94 pages. - Apologie de S. Bernard, de la vie et moeurs des religieux, 82 pages. - Traité de S. Bernard, du précepte et de la dispense, 132 pages. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Brussel, VdH Books , 2009 Gebonden, ge llustreerd karton in kleur, 295 x 295mm., 180pp., een en al kleurillustratie. **nieuwstaat! ISBN 9789088810121.
In het kunstenaarsboek ANITA experimenteren Vincent Geyskens en Bernard Dewulf met het boek als artistiek uitdrukkingsmiddel. Het beeldend werk van Vincent Geyskens (collages, tekeningen en ander beeldmateriaal) treedt doorheen het boek in interactie met woord en tekst van Bernard Dewulf.nnIn al hun dwarse, soms rauwe, vaak onaangepaste zinnelijkheid bestrijken Geyskens' collages thema's als: huid, fascisme, besmetting, erotiek, kunstmatig licht, pornografie, androgynie, het lichaam als experiment en mythe, de beeldcultuur als het origineel van een dubbelzinnige fictie.nnHet resultaat is een verzameling 'nieuwe beelden' met een grote, tegendraadse, even kwetsbare als soms agressieve sensualiteit, bestaande uit zeer uiteenlopende materialen - van knipsels tot fineerhout, van verf tot plastic.nnGeyskens heeft grote aandacht voor de materialiteit waarmee wordt gewerkt: scheuren, krassen, spuitsporen, vouwen enz. bouwen de werken op en leggen ze tegelijk bloot. Door die ingrepen wordt de fysieke realiteit van de vaak erotische beelden op een brutale manier verwoord. nBernard Dewulf zoekt in de taal naar een soort pendant van dit proces. In het volle besef dat de materialiteit en de tactiliteit van woorden wezenlijk verschillen van die van het beeld. De schrijver keert in deze teksten zijn gebruikelijke zinnelijkheid binnenstebuiten en laat de toon van de collages zijn taal beschermen In the art book ANITA, Vincent Geyskens and Bernard Dewulf experiment with the book as means of artistic expression. The visual work of Vincent Geyskens (collages, drawings and other visual material) runs through the book in interaction with the words and text of Bernard Dewulf. In their contrary, sometimes raw, often inappropriate sensuality, Geyskens' collages present themes such as: skin, fascism, infection, eroticism, artificial light, pornography, androgyny, the body as experiment and myth, visual culture as the original of a double-entendre fiction. The result is a collection of 'new images' with a large, contrary, simultaneously vulnerable and sometimes aggressive sensuality, consisting of a wide range of materials - from clippings to veneered wood, from paint to plastic. Geyskens is very attentive to the materiality that he is working with: tears, scratches, spray trails, folds, etc., build the work up and, at the same time, expose them. Those intrusions express the physical reality of the often erotic images in a brutal way. Bernard Dewulf's search is for a counterweight in language to this process. He does that in the full knowledge that the materiality and the tactility of words are essentially different from those of the images. In these texts, the writer turns his usual sensuality inside out and allows the tone of the collages to protect his language. Artistic Dutch texts by Bernard Dewulf. New.