1850 Un dessin original à la mine de plomb, Format : 11,5 centimètres de haut par 21,8 centimètres de large, sur papier crème, non signé, sans date (1850), provenance fonds CHARPENTIER Editeur (Nantes)
SUPERBE...........UNIQUE.......en bon état (good condition). bon état
Paris, Imp. Lemercier et Cie, 1872. In-folio oblong (57 x 40 cm) d'(1) f. de table, 1 titre-frontispice et 20 planches numérotées, demi-chagrin rouge, dos à nerfs, titre doré en capitales sur le premier plat (reliure de l'époque).
Album de 21 lithographies d'Eugène Cicéri et Philippe Benoist, présentant différentes vues de Dornach en Alsace, site des usines textiles Dollfus-Mieg et Compagnie, et de la propriété de Madame Julie Engel née Dollfus qui y résidait - le titre-frontispice porte une dédicace imprimée à son nom.Julie Dollfus (1825-1911) fut une philanthrope dans la lignée de son père Jean Dolfus (1800-1887) - industriel, économiste et homme politique français, directeur de l'entreprise textile Dollfus-Mieg et Compagnie (DMC), il fit bâtir une cité ouvrière en 1854 - et de son mari l'industriel saint-simonien Frédéric Engel-Dollfus (1818-1883) : associé dès 1843 à Dollfus-Mieg et Cie, il réorganisa l'entreprise par la mécanisation et l'intégration du processus industriel, ainsi que par le développement de nouveaux produits ; sa sensibilité saint-simonienne l'amena à la création de certaines oeuvres destinées aux ouvriers de DMC : Caisse de secours et de retraite, Assurances collectives, Asile de vieillards, Société d'encouragement à l'épargne, écoles et salles d'asile (ancêtres des maternelles) avant 1870 DMC met à disposition à Dornach une salle d'école pour le culte protestant décorée pour ses oeuvres sociales par l'impératrice Eugènie en 1870, fut aussi citée dans la liste des bienfaiteurs de l'Hôpital de Mulhouse. A la mort de son mari, elle versa en son nom une somme de 200.000 francs destinée à fonder une caisse de retraite pour les employés de D.M.C. et prit sous sa haute direction le Dispensaire Engel-Dollfus et en assura toutes les charges jusqu'à sa mort et ses héritiers jusqu'en 1921. Elle prolongea l'engagement de son mari dans le domaine des arts et fut membre donateur de l'Union Centrale des Arts Décoratifs jusqu'à sa mort. Femme d'affaire, elle fut commanditaire de D.M.C de 1884 à 1890.Plats légèrement épidermés, quelques pâles rousseurs en marge des planches mais bel exemplaire.
Paris, Gihaut Frères, s.d. (1843). Titre et 36 planches lithographiées et teintées (20 x 28 cm) reliées en 1 vol. in-folio (29,5 x 44 cm), demi-chagrin prune à coins, dos lisse orné, filets dorés sur les plats, tranches dorées (reliure de l'époque).
Suite de 36 planches numérotées et d'un plan de Paris en frontispice, dessinés et lithographiés par Philippe Benoist (1813-ca 1905) et Louis-Julien Jacottet (1806-1880) représentant les principaux monuments de Paris et ses environs vers 1840 dont le château et les jardins de Versailles, l'Arc de triomphe, la Madeleine, la place Vendôme, la Bourse, le boulevard des Italiens, les Tuileries, le Panthéon, Le Louvre, Notre Dame, la Concorde etc. Une première suite gravée conjointement par Benoist et Jacottet avait paru sous le titre Promenade dans Paris et ses environs (1838). Le nombre de planches diffère suivant les exemplaires : on en compte jusqu'à 42.Cachet ex-libris "Gaston Joliet" sur la garde supérieure. Pâle mouillure marginale sans atteinte à la gravure, coiffes, coins et mors frottés.Beraldi, Graveurs du XIXe siècle, II, p. 37 et VIII, p. 161.
[circa 1840]. 390 x 280 mm.
Belle vue de la façade occidentale et principale de Notre-Dame, avec la rue du Cloître-Notre-Dame, dessinée d'après nature et lithographiée par Philippe Benoist pour l'ouvrage Promenade dans Paris et ses environs, par Benoist et Jacottet. La construction de la façade principale débuta en 1200. La tour Nord fut achevée en 1240 et celle du Sud en 1250. Par sa simplicité et son harmonie, cette façade a fasciné les historiens modernes de l’art et les architectes contemporains. Marcel Aubert écrira que c’est une des plus parfaites que le Moyen Age ait élevées, un chef d’œuvre de composition et d’exécution, quant à Le Corbusier, il parlera d’une pure création de l’esprit. Pour lui, la surface déterminante est réglée par le carré et le cercle d’où sa pureté géométrique. Cette vue a été réalisée avant les travaux de restauration réalisés par les architectes Viollet-Le-Duc et Lassus de 1845 à 1863. Lors de la Révolution de 1789, la cathédrale subit de nombreuses mutilations de statues, qui seront restituées lors de ces travaux, telles que nous les connaissons aujourd'hui. Ces statues sont celles de la Vierge à l’Enfant entre deux anges, qui était placée au-dessous de la rosace (exécutée vers 1225), celles d’Adam et d’Eve rappelant la faute originelle, placées de chaque côté de la rosace, ainsi que la large bande horizontale de la galerie des rois, placée sous la balustrade, et alignant vingt-huit statues représentant vingt-huit générations de rois de Juda et d'Israël, ancêtres du Christ (mises en place dans le premier tiers du XIIIe siècle). Bon exemplaire. Rousseurs marginales.
Paris, Lagarde jeune, Frédéric Preux, et chez tous les marchands de nouveautés [Imprimerie de P. Dupont et Laguionie], 1833 in-8, titre, 98 pp., en feuilles.
Procès intenté en mars 1833 contre Louis Bergeron (1811-1890) et Philippe-François-Hippolyte Benoist (1807-1866), respectivement comme auteur et complice d'un attentat manqué contre la vie de Louis-Philippe : lors de l’ouverture des Chambres, sur le passage du cortège de Louis-Philippe sur le pont Royal, un coup de feu fut tiré sur le roi sans l’atteindre, et les deux jeunes gens furent arrêtés. Faute de preuves, ils furent cependant acquittés. Durant les débats, Bergeron prononça un discours qui fit sensation et lui attira les bonnes grâces d'Armand Marrast : "Je le dis hautement, je suis républicain ; j’ai la conviction que la monarchie est impuissante à faire le bonheur du peuple". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1861 un dessin à la mine de plomb, format : 12,3 x 8,5 cm, noté en bas à droite de la main de Félix Benoist : Boulevard des Italiens Paris, croquis ORIGINAL pour "PARIS DANS SA SPLENDEUR" pour Henri Charpentier Editeur 1861, non signé mais provenance sure : fonds Charpentier Nantes,
travail d'une finesse Extraordinaire.................UNIQUE.............en trés bon état (good condition).
1861 un dessin à la mine de plomb, format : 13,5 x 10,3 cm, noté en bas à gauche de la main de Félix Benoist :SAINT-ÉTIENNE DU MONT (PARIS), croquis ORIGINAL pour "PARIS DANS SA SPLENDEUR" pour Henri Charpentier Editeur 1861, non signé mais provenance sure : fonds Charpentier Nantes,
travail d'une finesse Extraordinaire.......UNIQUE.........en trés bon état (good condition).
Charpentier Editeur à Nantes Nantes / Paris, 1863 ou 1868 lithographie sur fond teinté. Format de la feuille : 345mm x 500mm / format de la figure 250mm x 355mm. Il ne s'agit pas d'une gravure tirée de l'ouvrage mais d'une épreuve originale de l'imprimeur. Paris dans sa splendeur à d'abord été annoncé en livraison en 1857 puis publié de 1861 à 1863. Une nouvelle édition à été donnée par le même éditeur en 1868.
Charpentier Editeur à Nantes Nantes / Paris, 1863 ou 1868 lithographie sur fond teinté. Format de la feuille : 345mm x 500mm / format de la figure 250mm x 355mm. Il ne s'agit pas d'une gravure tirée de l'ouvrage mais d'une épreuve originale de l'imprimeur. Paris dans sa splendeur à d'abord été annoncé en livraison en 1857 puis publié de 1861 à 1863. Une nouvelle édition à été donnée par le même éditeur en 1868.
Paris & Londres, Goupil & C.e & E. Gambart, 1er mai 1855. 390 x 970 mm.
Superbe panorama de très grand format, figurant le Palais de l'Industrie à Paris en 1855. L'architecture a été dessinée et lithographiée à fond teinté par Philippe Benoist et Félix Régamey, les figures par Henri Guérard, et le paysage par Eugène Cicéri. Ce panorama a été publié à Paris et à Londres le 1er mai 1855, soit deux semaines avant l'inauguration de la première Exposition Universelle organisée par la France, et la deuxième mondiale, après celle de Londres en 1851. Situé sur les Champs-Élysées, le Palais de l'Industrie et des Beaux-Arts, communément appelé Palais de l'Industrie, fut construit spécialement pour l'Exposition, dont il fut l'emblème. Élevé conformément au décret du 8 mars 1853, dans un emplacement que la ville de Paris avait rétrocédé à l'État, cet immense édifice de fer et de verre, derrière une façade en pierre, s'étalait sur plus de deux hectares. Comme on le voit sur cette estampe, l'entrée principale se faisait par un portique monumental en arc de triomphe, dont la corniche était décorée d'un groupe sculpté par Élias Robert représentant la France couronnant les Arts et l'Industrie, et de cartouches ornés des armes et chiffre de l'Empereur Napoléon III, tenus par deux groupes d'enfants-génies ailés. Tout autour de l'édifice courait une frise, sur laquelle étaient gravés les noms des savants, des artistes, des industriels illustres morts avant l'époque de la construction du Palais. On en distingue quelques-uns sur cette estampe, comme Germain Pilon, sculpteur de la Renaissance (1528-1590), Henry Cavendish, physicien et chimiste britannique (1731-1810), Johann Friedrich Overbeck, peintre allemand (1789-1869), Pierre Lescot, architecte français (1515-1578), Alexandre Brongniart, naturaliste français (1770-1847), Giovanni Battista Piranesi, graveur et architecte italien (1720-1778), ou encore le baron Haussmann, préfet du département de la Seine, et dont les Grands Travaux de Paris avaient débuté quatre ans plus tôt. En plus d'accueillir les expositions de l'Industrie et des Beaux-Arts, il abritait également celles de l'Horticulture. À l'inverse de la majorité des bâtiments construits à l'occasion de ces expositions, et notamment du Crystal Palace de Londres en 1851, le Palais de l'Industrie avait pour but d'offrir un cadre d'exposition pérenne, en plein cœur de Paris. Après 1855, il accueillit diverses expositions agricoles, d'horticulture, industrielles, de l'alimentation, concours hippiques, expositions de chiens, des industries fluviales et maritimes, mais aussi et surtout des expositions annuelles des œuvres d'artistes vivants, dits Salons. Mais il sera détruit en 1896 pour faire place aux Petit et Grand Palais, en vue de l'Exposition Universelle de 1900. La vue, animée d'une multitude de promeneurs, cavaliers et calèches, se prolonge jusqu'à l'Arc de triomphe de l'Étoile. Inaugurée par Napoléon III le 15 mai 1855 au Palais de l'Industrie, l'Exposition Universelle de 1855 fut la première exposition universelle française. Elle s'est tenue sur les Champs-Élysées jusqu'au 15 novembre. Elle accueillit plus de 5 000 000 de visiteurs. Vingt-cinq États et leurs colonies y participèrent. Bel exemplaire. Cachet froid de l'éditeur Goupil. Angle inférieur gauche restauré, déchirure dans la marge supérieure restaurée. Bibliographie de la France ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1855, 1083 ; Laran, Inventaire du fonds français après 1800, Tome deuxième, Beauquesne - Bocquet, 1937, p. 220, 104.
3 volumes in folio reliés demi-chagrin vert, dos à nerfs décoré, plats de toile chagrinée. 100 planches lithographiées sur fond teinté. Rousseurs éparses sinon très beaux exemplaires. Complet. ETAÈGE
Phone number : 06.31.29.75.65
Nantes, Charpentier, [1872]. 287 x 403 mm.
Belle vue aérienne du site de l'Exposition Universelle de Paris de 1867, dessinée et lithographiée en couleurs par Philippe Benoist. Elle est issue de la première édition de l'ouvrage Paris et ses ruines en mai 1871, consacré aux incendies de Paris lors de la Commune, et publié en 1872. L'Exposition Universelle de 1867 est la deuxième exposition organisée à Paris, après celle de 1855. Elle se déroula sur le Champ-de-Mars du 1er avril au 3 novembre, sur le thème de l'Industrie, de l'Agriculture et des Beaux-Arts. Elle marque l'apogée du Second Empire et la fin des Grands Travaux de Paris du baron Haussmann. Au centre du site figure le grand édifice de forme ovale appelé le palais Omnibus, conçu par l'ingénieur Jean-Baptiste Krantz et l'architecte Léopold Hardy, et tout autour, les petits pavillons nationaux et industriels. Comme on peut les voir sur la Seine, c'est lors de cet événement que les premiers bateaux-mouches font leur entrée dans Paris. Il existe une variante de cette estampe, dessinée et lithographiée par Fichot. Bel exemplaire.
Chroniques de l'Art Vivant - Aimé Maeght et Jean Clair - Marcelin Pleynet - Gérald Gassiot-Talbot - J.P. Clémencet - John Russell - Bernard Borgeaud - Yves-Alain Bois - Roland Barthes - Alain Clerval - Jean-Marie Benoist - Philippe du Vignal - Lise Brunel - Jean-Pierre Lajournade - Gilbert Lascault
Reference : CAV-19
(1971)
Maeght Editeur - Chroniques de l'Art Vivant Ferce sur Sarthe, France 1971 Book Condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur, illustrée d'une pierre sculptée grise sur fond rose grand In-4 1 vol. - 32 pages
très nombreuses illustrations en noir et blanc 1ere édition Contents, Chapitres : Un musée sur un plateau, des artistes sans salon, des critiques sans critères - Marcelin Pleynet : On décroche, l'intervention picturale de Louis Cane - Jean Clair : Daniel Buren - Gérald Gassiot-Talbot : Morellet - Klasen - G. Lascault : Ernst et le Snark - Dzamondja - Alicia Penalba - Jean Clair : Portrait d'un inconnu, Daniel Stotzky - J.P. Clémencet : L'objet et le rite - John Russell : Métamorphoses de l'objet (Objet cubiste - Objet futuriste et métaphysique - L'objet et Dada - L'objet surréaliste - L'objet d'aujourd'hui) - Bernard Borgeaud : Objet, action, information - Yves-Alain Bois : Herbert Bayer, précurseur de l'art écologique - Roland Barthes : Erté - Alain Clerval : Actualité de Nizan - Jean-Marie Benoist : Gombrowicz ou la mosaïque - Philippe du Vignal : Luca Ronconi - Une nouvelle génération de metteurs en scène (Jacques Nichet - Jean-Pierre Vincent - André Benedetto) - Lise Brunel : A propos de Susan Buirge - Daniel Caux, Vinko Globokar - La fin des Pyrénées par Jean-Pierre Lajournade
Paris, Henri Charpentier, [1861]. 279 x 357 mm.
Belle vue du Palais Bourbon en 1860, dessinée et lithographiée à fond teinté par Philippe Benoist et Eugène Cicéri pour l'ouvrage Paris dans sa splendeur, l'une des plus importantes publications sur Paris. La vue est prise depuis la Place de la Concorde, et montre une partie du Pont de la Concorde, avec la Seine sur laquelle passe le bateau promenade Le Parisien. Bel exemplaire. Rousseurs légères.
Paris, Henri Charpentier, [1861]. 278 x 358 mm.
Belle vue animée de l'entrée principale du Palais de l'Industrie en 1860, dessinée et lithographiée à fond teinté par Philippe Benoist et Eugène Cicéri pour l'ouvrage Paris dans sa splendeur, l'une des plus importantes publications sur Paris. Le Palais de l'Industrie, situé sur les Champs-Élysées, fut construit pour la première Exposition Universelle française en 1855, et détruit en 1896 pour laisser place aux Petit et Grand Palais. L'entrée principale se faisait par un portique monumental dont la corniche était décorée d'un groupe sculpté par Elias Robert représentant La France couronnant de lauriers les Arts et l'Industrie, et de cartouches ornés des armes et chiffre de l'Empereur tenues par deux groupes d'enfants. Bel exemplaire.
Paris, Henri Charpentier, [1861]. 290 x 363 mm.
Belle vue des Invalides sous la neige, dessinée et lithographiée à fond teinté par Philippe Benoist pour l'ouvrage Paris dans sa splendeur, l'une des plus importantes publications sur Paris. Bel exemplaire. Rousseurs légères.
Paris, Imprimerie Lemercier, 1872 in-folio oblong (39 x 58 cm), [2] ff. n. ch. (titre avec gande vignette lithographiée, table des planches), et 20 belles planches lithographiées, demi-toile verte, dos lisse muet, titre poussé en lettres dorées au centre du plat supérieur (reliure de l'éditeur). Mouillures claires à certaines planches, dos et coins un peu frottés.
Unique édition de cette suite due au talent d'Eugène Cicéri (1813-1890), neveu d'Eugène Isabey, proche de l'Ecole de Barbizon, et très connu pour ses paysages, vues de villes et de monuments, très souvent réalisés d'après des modèles photographiques.Dornach, qui forme actuellement un quartier de Mulhouse, était une commune indépendante jusqu'en 1914, mais elle avait demandé son rattachement à la ville dès 1908. Fortement industrialisée au XIXe siècle, elle accueillait des établissements de la famille Engel-Dollfuss, qui semble avoir commandité cet album (les premières planches décrivent en tout cas leur résidence dans la commune). La dédicataire, Julie Dollfuss (1825-1911) était l'une des filles de Jean-Mathieu Dollfuss (1800-1887, maire de Mulhouse de 1863 à 1869) ; elle épousa le saint-simonien Frédéric Engel (1818-1883), associé de la compagnie textile Dollfuss-Mieg. Toute la famille s'était vivement opposée à l'annexion prussienne de l'Alsace.Au CCF, exemplaires à Strasbourg, Colmar et Mulhouse. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1861 Paris Charpentier [1861] Vue animée en deux teintes, dessinée et lithographiée par Ph. Benoist et A. Bayot. 24,5 x 35,5 cm hors marges, 34,5 x 50 cm toutes marges comprises.
N° 85 de l'album de lithographies Paris dans sa splendeur. Excellent état.
LOUBATIERES. 2001. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 141 pages augmentées de nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte- couverture contrepliée. . . A l'italienne. Classification Dewey : 946-Espagne, Portugal
Classification Dewey : 946-Espagne, Portugal
paris Nantes Charpentier 1857 UNE LITHOGRAPHIE ORIGINALE, format : 55,5 cm de large x 37 cm de haut, tirage du noir avant la lettre, signature manuscrite de Philippe Benoist en bas à droite, à la mine de plomb : "Bon à Tirer pour le noir, Paris, le 31 Aout 1857...(signé) Ph. Benoist...", Titre de la Lithographie : ÉGLISE SAINT EUSTACHE, qui paraitra en 1861 dans "PARIS DANS SA SPLENDEUR , Documents, vues, scènes historiques, descriptions et histoire". Dessins et lithographies par Philippe Benoist,1861 Nantes Paris : Imprimerie de Charpentier père, Fils et Cie Editeurs,
LITHOGRAPHIE PRÉORIGINALE AVANT LA LETTRE EN NOIR (seul ton) ......... UNIQUE ..... EN TRÉS BON ÉTAT (VERY GOOD CONDITION) trés bon état
1873 Henri Charpentier, Paris, 1873. une feuille In-folio ,bon état
FOURNEL (Victor).Paris et ses ruines en mai 1871. Précédé d'un coup-d'oeil sur Paris, de 1860 à 1870 et d'une introduction historique. Dessins et lithographies par MM. Sabatier, Philippe Benoist, Jules David, Eugène Ciceri, Bachelier, Felix Benoist, A. Adam, Jules Gaildrau.Henri Charpentier, Paris, 1873. In-folio de (4)-VIII-24-84 pp., 20 planches, lithographies sur fond teinté, presque toutes rehaussées de couleurs, figurant dans des tons rougeoyants les désastres portés par la Commune de Paris sur les monuments : Tuileries en feu, Palais-Royal dévasté, Hôtel de Ville en ruines, rue de Rivoli ou les docks de la ville incendiés. Une planche en couleurs figure l'Exposition Universelle de 1867. Le Quillec, 980. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1873 Henri Charpentier, Paris, 1873. une feuille In-folio ,bon état
FOURNEL (Victor).Paris et ses ruines en mai 1871. Précédé d'un coup-d'oeil sur Paris, de 1860 à 1870 et d'une introduction historique. Dessins et lithographies par MM. Sabatier, Philippe Benoist, Jules David, Eugène Ciceri, Bachelier, Felix Benoist, A. Adam, Jules Gaildrau.Henri Charpentier, Paris, 1873. In-folio de (4)-VIII-24-84 pp., 20 planches, lithographies sur fond teinté, presque toutes rehaussées de couleurs, figurant dans des tons rougeoyants les désastres portés par la Commune de Paris sur les monuments : Tuileries en feu, Palais-Royal dévasté, Hôtel de Ville en ruines, rue de Rivoli ou les docks de la ville incendiés. Une planche en couleurs figure l'Exposition Universelle de 1867. Le Quillec, 980. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1873 Henri Charpentier, Paris, 1873. une feuille In-folio ,bon état.Lithographie animée, tirée en deux tons repris de chez Charpentier de l'ouvrage « Paris dans sa splendeur », 1861. Au format in-folio 47/33 cm, en bon état
FOURNEL (Victor).Paris et ses ruines en mai 1871. Précédé d'un coup-d'oeil sur Paris, de 1860 à 1870 et d'une introduction historique. Dessins et lithographies par MM. Sabatier, Philippe Benoist, Jules David, Eugène Ciceri, Bachelier, Felix Benoist, A. Adam, Jules Gaildrau.Henri Charpentier, Paris, 1873. In-folio de (4)-VIII-24-84 pp., 20 planches, lithographies sur fond teinté, presque toutes rehaussées de couleurs, figurant dans des tons rougeoyants les désastres portés par la Commune de Paris sur les monuments : Tuileries en feu, Palais-Royal dévasté, Hôtel de Ville en ruines, rue de Rivoli ou les docks de la ville incendiés. Une planche en couleurs figure l'Exposition Universelle de 1867. Le Quillec, 980. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1873 Henri Charpentier, Paris, 1873. une feuille In-folio ,bon état
FOURNEL (Victor).Paris et ses ruines en mai 1871. Précédé d'un coup-d'oeil sur Paris, de 1860 à 1870 et d'une introduction historique. Dessins et lithographies par MM. Sabatier, Philippe Benoist, Jules David, Eugène Ciceri, Bachelier, Felix Benoist, A. Adam, Jules Gaildrau.Henri Charpentier, Paris, 1873. In-folio de (4)-VIII-24-84 pp., 20 planches, lithographies sur fond teinté, presque toutes rehaussées de couleurs, figurant dans des tons rougeoyants les désastres portés par la Commune de Paris sur les monuments : Tuileries en feu, Palais-Royal dévasté, Hôtel de Ville en ruines, rue de Rivoli ou les docks de la ville incendiés. Une planche en couleurs figure l'Exposition Universelle de 1867. Le Quillec, 980. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
AUDIGANNE Armand - BAILLY P. - CARISSAN Eugène pour le Texte(Dessins et lithographies par... Philippe Benoist pour le plus grand nombre et avec l'aide de la photographie... ; Vignettes de Félix Benoist et Catenacci... ; [Introduction de Eugène de La Gournerie.])
Reference : 20316
(1861)
Nantes Charpentier 1861 -in-folio demi-chagrin 3 volumes, reliure d'époque demi-chagrin havane in-folio Editeur (binding half shagreen in-folio Editor)(49 x 33,5 cm), RELIURE EDITEUR D'EPOQUE (pour l'Edition de Luxe), dos à nerfs (spine with raised bands) décoré or (gilt decoration), plat orné d'un décor romantique en encadrement avec, au centre du premier plat, le blason de Paris, le Louvre médiéval et la devise de la capitale soutenus par deux personnages, toutes tranches dorées, illustré de 100 lithographies sur fond teinté, certaines rehaussées de détails en couleurs, d'après BENOIST, CHAPUY, ISABEY, etc. et 38 bois gravés in-texte, légères mouillures claires (sur moins de 3 cm2) au coin inférieur droit des 17 premiers feuillets du 1er volume et des 2 premiers feuillets du 3ème volume, [(4)-XII-88-(2)-122] + [(6)-76-(2)-44-(2)-24-(2)-22-(2)-36-(2)-26] + [(8)-76-(2)-80-(2)-34] pages, 1861 Nantes Paris : Imprimerie de Charpentier père, Fils et Cie Editeurs,
Edition Originale.....COMPLET...... "L'un des grands livres sur Paris au XIXe siècle, écrit par divers auteurs dont Mérimée et Viollet-le-Duc. Paris dans sa splendeur s'inscrit dans la phase de transition où les grandes lithographies sont exécutées d'après photographies, avec cette curiosité que sont les premières vues aériennes, sans doute prises du haut d'un ballon captif"........RARE RELIURE EDITEUR (pour l'Edition de luxe).....en trés bon état malgré les légers défauts signalés (very good condition in spite of the light defects indicated). trés bon état