7 books for « beauvilliers »Edit

‎L’Art du cuisinier‎

‎ 1980 À Seugy, chez Jean Dédicourt, 1980. ‎

15 Images

‎2 volumes in-8 (20 cm x 12 cm), maroquin à longs grains violet moderne (reliure pastiche), dos lisse à motifs dorés, roulette dorée en encadrement des plats avec armes dorées au centre, tranches dorées, gardes en moires violet, xii-388 ; [4]-376-38-2 bl.-[1] pages (complet). Très bon état. Reproduction en fac-similé de l’édition de Pillet à Paris en 1816, réimprimée à la demande de Daniel Morcrette, bibliophile parisien. Édition illustrée de 9 planches dépliantes hors-texte placées à la fin des deux volumes. Antoine Beauvilliers,(1754-1817), est un restaurateur français, célèbre pour avoir ouvert le premier véritable grand restaurant à Paris. Il est d’abord chef de cuisine du prince de Condé puis officier de bouche du comte de Provence, le futur Louis XVIII. Beauvilliers ouvre, en 1782, «La Grande Taverne de Londres», rue de Richelieu, à Paris. C’est le premier véritable grand restaurant de Paris, avec des salles décorées, des salons élégants, un service parfait et surtout une cuisine exquise et une cave admirable. Beauvilliers reste pendant plus de vingt ans sans rival auprès de la haute société parisienne. En 1814, il écrit L’art du cuisinier, où il traite de la cuisine, de l’ordonnance des mets et du service. Agréable exemplaire. ‎

‎L'Art du cuisinier.‎

‎Paris, Pillet aîné, Colnet, 1824 2 vol. in-8, xx pp., 388 pp. ; [2] ff. n. ch., 408 pp., un f. n. ch., avec 2 vignettes aux feuillets de titre, gravées par Jubin d'après Démarais, et 9 planches dépliantes hors texte, demi-percaline Bradel verte, pièces de titre cerise (rel. de la fin du XIXe). ‎

‎Troisième édition (la première avait été publiée à la fin de 1814, la deuxième en 1816), mais la première posthume avec une inversion des planches qui se déclinent normalement 3 au premier volume et 6 au second (ici 6, puis 3).Le cuisinier Antoine Beauvilliers (1754-1817) demeure célèbre pour avoir ouvert le premier véritable grand restaurant à Paris : le Beauvilliers dans le Palais-Royal (1788) ; puis la Grande taverne de Londres, au 26 rue de Richelieu (1802). Après sa mort, ce dernier restaurant fut repris par son adjoint Gauthier, mais ferma définitivement ses portes en 1825. Vicaire, 77-78 (ne donne que 8 planches). Bitting, 31. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Pièce autographe signée‎

‎Paul-Hippolyte de Beauvilliers (1684-1776), duc de Saint-Aignan, diplomate, membre de l'Académie Française. P.A.S., 16 mai 1749, œp in-4. Reçu pour 1000 livres empruntées à Joseph Jacquemin, dit Nivernois, premier laquais de madame la duchesse de Beauvilliers. Il promet de passer un « contrat de constitution par devant notaire ». Document contresigné par une tierce personne non identifiée. [132bis] ‎

‎Pièce autographe signée‎

‎Paul-Hippolyte de Beauvilliers (1684-1776), duc de Saint-Aignan, diplomate, membre de l'Académie Française. P.A.S., 1er janvier 1753, 1pŒ in-folio (la partie autographe ne fait que 3 lignes in-fine). Note détaillée des dettes du duc de Beauvilliers auprès de Bourjot, marchand d'étoffes à Paris. Chaque achat du duc pendant l'année 1752 y est inscrit, pour un total de 1734 livres et 5 sols. La note autographe du duc est un « bon pour la ditte somme ». Document contresigné par une tierce personne non identifiée. [132bis] ‎

‎Discours sur la mort de Monseigneur le Comte de Sainct Aignan.. Arrivée à Paris le 23 février 1622‎

‎Paris, 1622 petit in-8, 14 pp., un f. vierge, demi-percaline Bradel cerise (reliure du XIXe siècle). ‎

‎Sur Honorat de Beauvilliers (1579-1622), comte de Saint-Aignan, père du premier duc de Saint-Aignan, prénommé François-Honorat (1607-1687), et qui, en plus de sa carrière militaire, fut un grand protecteur des arts et des lettres. Un seul exemplaire au CCF (BnF). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Lettre autographe signée ‎

‎Paul de Beauvilliers, duc de Saint-Aignan (1648-1714), pair, premier gentilhomme de la Chambre du Roi, chef du conseil royal des finances. L.A.S., Arras, 11 mai 1674, 1p in-4. « On vient de me rendre votre paquet pour le roy et Mr Le Champre, lui ai remis entre les mains ; la poste va partir si elle n'est déjà partie, c'est ce qui m'oblige à vous écrire seulement ce mot pour vous en rendre compte. Soyez toujours persuadé, Monsieur, de mon respect et de ma tendresse pour vous. St Aignan ». Le Champré est certainement Claude Ménardeau de Champré, conseiller au parlement, contrôleur général des finances de 1655 à 1657. Peu commun. [373] ‎

‎L'Art du Cuisinier. ‎

‎Paris, Pillet, 1816. Deux volumes in-8, faux-titre, titre orné d'une vignette, (V)-XX, 388 pp. et 3 planches dépliantes, faux-titre, titre orné d'une vignette, 376 pp., 1 f., 38 pp., 6 planches dépliantes, demi-chagrin, dos à cinq nerfs ornés de filets dorés (légères égrenures), (mouillures sur les planches du premier volume et sur le titre et le faux-titre du second volume), dentelle, pièces de titre et de tomaison.‎

‎Seconde édition du plus fameux des recueils de recettes du siècle, avant Carème. Ancien cuisinier des Princes, Beauvilliers fut le premier grand restaurateur parisien. 1192 recettes situent très bien ce qui faisait les délices de l'Empire et ce que le classicisme va abolir pour plus d'un siècle. Cette seconde édition diffère de la première par les faux-titre et le supplément renfermant un traité sur les vinaigres, conserves, ... Justifié par la Veuve de l’auteur sur la page de titre du premier volume.‎