Paris, Plon-Nourrit et Cie, 1908. In-8° br., couv. impr. en bistre. Portrait h.-t. gravé d'après une photographie de Nadar, (2) ff., 34 pp., (1) p.[C43]
Plaquette tirée à petit nombre sur papier vergé à l'occasion de l'élection d'Henri Barboux, ancien bâtonnier, à l'Académie Française. Elle comprend le discours de Chenu, bâtonnier, du premier président Forichon et d'Henri Barboux. Envoi autographe signé d'Henri Barboux à son confrère Lecocq.
Phone number : 02 47 97 01 40
Paris, Firmin-Didot et Cie, 1908. Brochure in-4°, couv. vertes impr., 38 pp.
Edition originale de l'éloge de Ferdinand Brunetière par Henri Barboux. Envoi autographe signé de l'auteur sur le titre.
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- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Châteauroux en 1834. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
1889 Paris, Arthur Rousseau, 1889; in-8°, demi-basane brune, dos à nerfs, fleurons dorés aux entre-nerfs, titre doré; (3)ff., 513pp., (1)f. Envoi autographe signé de l'auteur sur le faux-titre
On trouve notamment dans ce recueil: l'Affaire Sarah Bernhardt contre la Comédie française, l'Affaire de la Loge de Choiseul à l'Opéra-Comique, l'Affaire du Crédit Foncier, Offense à la personne du Roi du Portugal. Henri Barboux, né à Châteauroux en 1834, mort à Paris, fut l'avocat de Sarah Bernhardt et de Ferdinand de Lesseps. Dos passé au beige, exemplaire un peu gauchi. (CH1/CO1)
S.l.n.d. (1910). In-8° br., couv. impr. défraîchie, 103 pp. et 1 portrait h.-t. en héliogravure.[C56]
On joint à cet exemplaire le faire part des funérailles et un menu du 24 janvier 1910.
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Nancy, Berger-Levrault, 1911. In-8° br., couv. bleues impr., 20 pp.[C02]
Allocution de R. Poincaré à l'association amicale des secrétaires de la conférence des avocats à la cour d'appel de Paris.
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Photographie 7,5x4 cm - collée sur carton - vers 1902 -
In 8 broché, couverture imprimée, 138 pages, Société anonyme de publications périodiques.1893.
Henri Barboux (1834-1910), avocat. L.A.S., Vittel, 3 avril 1893, 1p in-8. Amusante lettre : « je ne vous connais pas, mademoiselle, et je ne vous verrai peut-être jamais. Mais je sais que vous avez vingt ans, que vous êtes bonne, donc, aimable, que vos parents vous chérissent et vous gâtent, et que cependant vous avez les yeux fixés sur l'avenir, comme si le présent avait quelque chose à lui envier. Henri Barboux ». [418]
L.A.S., 20 mars 1907, 1p in-12. Carte-lettre avec adresse au dos. A Paul Hervieu. Il n'a pas trouvé Hervieu chez lui et espère l'y trouver le lendemain. Il s'agit vraisemblablement d'une visite de courtoisie en vue de son élection à l'Académie Française. En effet, il sera élu sur le fauteuil n°28 en remplacement de Brunetière le 24 mai 1907.