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‎[George Barbier] - ‎ ‎LOÜYS, Pierre - BARBIER, George.‎

Reference : 1850

(1929)

‎LES CHANSONS DE BILITIS. Seul texte véritable et complet. Imprimé à Mitylène pour les amis de Bilitis, 1929.‎

‎Imprimé à Mitylène pour les amis de Bilitis [Paris: P. Bouchet], 1929. Volume petit in-4 (24,5 x 19,5 mm) relié en plein maroquin mosaïqué, doublé et décoré, étui. - 62 COMPOSITIONS GRAVÉES SUR BOIS EN COULEURS DE GEORGE BARBIER dont un frontispice et 6 à pleine page, 24 sujets à mi-page et de nombreuses lettrines et culs-de-lampe. - PREMIÈRE ÉDITION INTÉGRALE de ces 22 chansons, publiée pour le compte de Louis Barthou, Jacques André et Georges Miguet. Réalisé en 1929, période où le talent de l'artiste était alors à son apogée, ce livre est l'une des productions les plus importantes des années trente. - LE LIVRE LE PLUS RARE DE GEORGE BARBIER TIRÉ SEULEMENT À 25 EXEMPLAIRES. Un des 20 sur papier vélin filigrané au titre de l'ouvrage, celui-ci, non numéroté mais d'une prestigieuse provenance, est augmenté d' UNE SUITE COMPLÈTE DU TRAIT EN BRUN/ROUGE SUR JAPON. La suite tirée à 5 ou 6 ex. comprend également l' illustration des couvertures et une planche inédite. La reliure à décor d'attributs érotiques a été commanditée à Charles Septier par le bibliophile Beauvillain. Avec son ex-libris gravé : "Et BEAUVILLAIN ? / toujours il vous aime". SUPERBE EXEMPLAIRE RELIÉ EN PLEIN MAROQUIN DOUBLÉ MOSAÏQUÉ DE L'ÉPOQUE. - Références : Carteret Illustrés IV, 251 ; Dutel II, 1183 ; Pia Enfer 201-203. - Notes : Les Chansons de Bilitis sont l’œuvre la plus célèbre de Pierre Louÿs (1870-1925) qui s'est ici amusé à monter une petite mystification, faisant croire qu'il s'agissait d'un véritable document historique retrouvé, les œuvres d'une contemporaine de Sappho, dont il ne nous reste que quelques bribes de poèmes… Il n'a pas même négligé de citer de vrais ouvrages savants issus de l'industrieuse université allemande, d'inventer des découvertes archéologiques, et de multiplier les évidences pour donner du corps à son invention. Elle a eu le bonheur d'attraper quelques érudits enthousiastes, professeurs d'université offrant leurs services pour améliorer la traduction ! Bilitis est même devenu un nom commun, comme Sapho. "Je voulais entendre Le rire de Sappho Et la voix de Sa lyre Ce qui me parvint fut Le marmonnement moustachu Des grammairiens Des ptérodactyles grecs Et des dodos victoriens". Il s'agit en fait d'un pastiche, mélangeant bribes saphiques, épigrammes de l'Anthologie Grecque, et de tout ce que peuvent offrir Alciphron (Lettres de pêcheurs, de paysans, de parasites et d'hétaïres), La Pastorale de Daphnis et Chloé de Longus, Lucien et tous les romans grecs... Au final, on a plus d'une centaine de poèmes suggestifs et ingénieux, fruit de la malicieuse imagination et de l'art imitatif de l'auteur. Ce n'est pas mal du tout, mais quand même: c'était bien trop beau pour être vrai ! L'introduction : Vie de Bilitis, est excellente, et remplit parfaitement son office… "Bilitis naquit au commencement du sixième siècle avant notre ère, dans un village de montagnes situé sur les bords du Mélas, vers l’orient de la Pamphylie. Ce pays est grave et triste, assombri par des forêts profondes, dominé par la masse énorme du Taurus ; des sources pétrifiantes sortent de la roche ; de grands lacs salés séjournent sur les hauteurs, et les vallées sont pleines de silence. Elle était fille d’un Grec et d’une Phénicienne. Elle semble n’avoir pas connu son père, car il n’est mêlé nulle part aux souvenirs de son enfance. Peut-être même était-il mort avant qu’elle ne vînt au monde. Autrement on s’expliquerait mal comment elle porte un nom phénicien que sa mère seule lui put donner. Sur cette terre presque déserte, elle vivait d’une vie tranquille avec sa mère et ses sœurs. D’autres jeunes filles, qui furent ses amies, habitaient non loin de là. Sur les pentes boisées du Taurus, des bergers paissaient leurs troupeaux. Le matin, dès le chant du coq, elle se levait, allait à l’étable, menait boire les animaux et s’occupait de traire leur lait. Dans la journée, s’il pleuvait, elle restait au gynécée et filait sa quenouille de laine. Si le temps était beau, elle courait dans les champs et faisait avec ses compagnes mille jeux dont elle nous parle. Bilitis avait à l’égard des Nymphes une piété très ardente. Les sacrifices qu’elle offrait, presque toujours étaient pour leur fontaine. Souvent même elle leur parlait, mais il semble bien qu’elle ne les a jamais vues, tant elle rapporte avec vénération les souvenirs d’un vieillard qui autrefois les avait surprises. La fin de son existence pastorale fut attristée par un amour sur lequel nous savons peu de chose bien qu’elle en parle longuement. Elle cessa de le chanter dès qu’il devint malheureux. Devenue mère d’un enfant qu’elle abandonna, Bilitis quitta la Pamphylie, d’une façon assez mystérieuse, et ne revit jamais le lieu de sa naissance. Nous la retrouvons ensuite à Mytilène où elle était venue par la route de mer en longeant les belles côtes d’Asie. Elle avait à peine seize ans, selon les conjectures de M. Heim qui établit avec vraisemblance quelques dates dans la vie de Bilitis, d’après un vers qui fait allusion à la mort de Pittakos. Lesbos était alors le centre du monde…" - ENGLISH DESCRIPTION : Pierre Loüys- George Barbier : LES CHANSONS DE BILITIS. Seul texte véritable et complet. Imprimé à Mitylène pour les amis de Bilitis, 1929. Small 4to. (246 x 192 mm). pp. (iv), 56, (i), (i). Wood-engraved colour frontispiece, printed title in various colours with colour wood-engraved vignette and Louÿs test in three sections ('Bucoliques en Pamphylie', 'Elegies à Lesbos' and 'Epigrammes dans lIle de Chypre') illustrated with 60 wood-engraved illustrations by Pierre Bouchet after George Barbier, 54 in colour, seven full-page, 24 decorating the text, the remainder culs-de-lampes or vignettes, final leaf with justification and achevé d'imprimer; three-line initials in colour against gilt background throughout as well as numerous head- and tail-pieces and initial letters, verse numbering in gilt in Roman numerals, text in capitals ruled throughout and two additional wood-engravings for the wrappers; this copy with the additional suite printed in outline in bistre on Japon including the cover illustrations and a "planche refusée" in black. Our copy is not numbered but comes from a important collector and provenance with ex-libris. Full contemporary emerald crushed morocco by Charles Septier with his signature gilt, front and rear boards ruled in gilt to surround a decorative border of inlaid jade morocco with gilt Greek key pat-tern around curvilinear jade morocco surround with gilt roll tool for a central vignette with argent disc supported by lamp tools, banded spine in five compartments with gilt titles and elaborate decorative tooling, doublures of tan morocco with gilt surrounding an inner border of red and black inlaid morocco, central inlaid circular medallions illustrating vignettes from the book in colour morocco, gilt floral, foliate, phallic and vulvic tools at corners, patterned silk guards, marbled endpapers, board edges ruled in gilt, original wrappers with gilt illustration and backstrips preserved, a.e.g., matching morocco-edged wool-lined marbled board slipcase. The binding was commissioned by Beauvillain as he had commissioned other bindings from Septier and that his ex libris is bound in as a full sheet rather than pasted on one of the pages. Provenance: leaf with engraved ex-libris of Robert Beauvillain by Jouas bound in with the text: "Et BEAUVILLAIN ? / toujours il vous aime". - BARBIER'S RAREST BOOK, Les Chansons de Bilitis, bound by Septier and with the very rare additional suite. From the edition limited to 25 copies on vélin d'Arches only, this copy also with the very rare suite printed in outline in bistre on Japon of which very few copies were printed. Also with an extra unpublished full page print in bistre bound in the suite. The rarest and most recherché and erotic work by George Barbier. The magnificent binding by Septier features phallic and vulvic tools to the doublures and a central circular vignette to each: that for the front doublure is after the illustration for the second poem Je me suis dévêtue pour monter a un arbre ... ); that for the rear is after the twenty-third (D'abord je n'ai pas répon-du ... ). First published in Paris in 1894, this purports to be translations of poems by a woman named Bilitis, a contemporary and ac-quaintance of Sappho. This caused a sensation, not only because finding an intact cache of poems from a completely unknown Greek poet circa 600 B.C. would be a miracle, but because of its open and sensitive exploration of lesbian eroticism. Actually Bilitis never existed. The poems were a clever forgery by Pierre Louÿs -- the "translator"; to lend weight, he had even included a bibliogra-phy with bogus supporting works. Louÿs actually did have a good command of the classics, and he salted Bilitis with a number of quotations from real poets, including Sappho, to make it even more convincing. (J. B. Hare). They [Barbier's Les Chansons de Bilitis and Aphrodite] are celebrations of the ancient gods and their freedom from taboo. Bar-bier's illustrations reveal this world in full flower ... When reality and imagination fused, not only was it possible to travel freely wherever you liked, it was also possible to encounter ancient gods and fairies. Art Deco mixed old and new in previous unseen ways ... In his glass, Barbier mixed an uncanny cocktail of neoclassic and modern. (Hiroshi Unno) [Carteret Illustrés IV, 251; Dutel 1183; not in Unno]. ‎


‎Exemplaire parfait. Rarissime.‎

Phone number : 06 88 90 24 07

EUR22,500.00 (€22,500.00 )

‎[BARBIER (George)] - LE GALLIENNE (Richard).‎

Reference : 13713

(1928)

‎The romance of Perfume. With drawings by George Barbier.‎

‎ 1928 New-York, Paris, Richard Hudnut, 1928, 1 vol. in-8° (255 x 170 mm) cartonné sous couverture illustrée en couleurs d'un dessin de George Barbier, de 48 pp. Couverture légèrement empoussiérée avec très légères rousseurs en partie basse, très bel exemplaire par ailleurs. ‎


‎Somptueuse plaquette sur le parfum, publiée par les Parfums Richard Hudnut, parue aux Etats-Unis en 1928. Couverture, page de titre et 8 planches hors texte (China, Ancient Greece, Ancient Rome, Egypt, India, Persia, Elizabethan England, La France au XVIIe siècle) en couleurs dessinées par le grand artiste Art déco Français, George BARBIER. L'exemplaire est bien complet de son encart, glissé dans une pochette prévue à cet effet au 3ème plat, intitulé "At 20 rue de la Paix", 16 pp, reliées par un ruban noué, 4 planches en couleurs hors texte. Réf. biblio. : Bibliothèque Forney, Pages d'or de l'édition publicitaire, N°28 (Annonce uniquement 7 planches de Barbier). ‎

Bouquinerie Aurore - Belmesnil
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Phone number : 06 76 68 30 76

EUR450.00 (€450.00 )

‎[George Barbier ] - ‎ ‎[Barbier, George - Sous la direction de]‎

Reference : 11009

‎Falbalas et Fanfreluches. Almanach des modes présentes, passées et futures pour 1922 (1923, 1924, 1925 et 1926).‎

‎Paris, Meynial éditeur ; 5 plaquettes, grand in-8, brochées : textes de Mmes de Noailles, Colette, Cécile Sorel, Gérard d'Houville (pseudonyme de Marie de Régnier) et la baronne de Brimont ; couvertures entièrement illustrées, 5 vignettes de titre et en tout 60 planches hors-texte en couleurs dessinées par George Barbier et coloriées à la main au pochoir ; chaque numéro comprend : couverture rempliée, premier plat illustré, (1) double feuille blanche formant chemise, (1) f. de titre illustré d'une vignette, 12 pp. de texte, calendrier et table, 12 planches hors-texte ; tirage sur vélin pur fil.‎


‎(Colas, 1026 ; Carteret, IV-153) Collection complète en très bel état (haut du second plat de 1924 légèrement jauni, ainsi que les bords extérieurs) et rare, les planches ayant été vendues à l'unité dans le monde entier, de cette charmante série très parisienne. Qualifié d'artiste le plus représentatif de l'Art Déco, George Barbier (1882-1932) dessina pour des revues de mode, des costumes de théâtre, de ballets et de cinéma (notamment le costume de Rudolph Valentino dans "Monsieur Beaucaire"), les revues des Folies Bergères, les ballets russes et quelques très beaux livres ; il illustra ainsi avec un immense talent les "Fêtes Galantes" de Verlaine, les "Chansons de Bilitis" et des ouvrages sur les ballets russes. ‎

Librairie Ancienne Clagahé - Saint Symphorien d’Ozon
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Phone number : 06 60 22 21 35

EUR10,000.00 (€10,000.00 )

‎[BARBIER (George)] - REGNIER (Henri de). ‎

Reference : 11802

(1930)

‎Les Rencontres de Monsieur de Bréot. Illustrations de George Barbier.‎

‎ 1930 P., A. & G. Mornay éditeurs, 1930, 1 vol. petit in-8 (204 x 157) broché sous couverture illustrée en couleurs rempliée, de (1) f. bl. - (4) ff. - II - 288 pp.(1) f. (justificatif) - (1) f. bl. Très légères taches discrètes au dos, très bel exemplaire. ‎


‎51e volume de la collection "Les Beaux Livres" de chez Mornay. Illustrations coloriées au pochoir de George Barbier dont couverture, frontispice, composition de titre, 20 compositions in-texte, 10 lettrines, 11 vignettes. Tiré à 1091 exemplaires, 1 des 847 numérotés sur Rives (N°977). ‎

Bouquinerie Aurore - Belmesnil
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Phone number : 06 76 68 30 76

EUR280.00 (€280.00 )

‎BARBIER (George). ‎

Reference : 19012

‎Panorama dramatique. Casanova. Décors et costumes par George Barbier.‎

‎ P., Lucien Vogel, 1921, petit In-4, en feuilles, chemise cartonnée de l'éditeur, premier plat illustré de dessins en noir, papier de gardes illustré de masques en couleurs par G. Barbier, manquent les rubans d'attache.. ‎


‎Rare et superbe recueil de 24 planches légendées, gravées, coloriées et rehaussées d'or et d'argent par George Barbier. Elles présentent les 22 costumes et 2 décors destinés à la pièce de Maurice Rostand représentée aux Bouffes-Parisiens le 22 février 1919.Imprimé sur vergé et précédé d'un texte de 4 pages de l'artiste et suivi de la table des planches.Cet exemplaire est enrichi : - du programme original illustré de la pièce de 1918 représenté au Théâtre des Bouffes-Parisiens avec en couverture Jane Renouard, - de 7 lettres autographes datées 1918, signées de la comédienne Jane Renouard, interprète du rôle d'Elvire dans la pièce, et adressées à l'auteur dramatique Henry Bataille. ‎

Phone number : 33 01 40 59 88 46

EUR2,500.00 (€2,500.00 )

‎BARBIER George‎

Reference : 84313

(1914)

‎Dix-sept dessins de George Barbier sur Le cantique des cantiques - Traduction française de 1316‎

‎A la belle édition, Paris 1914, 22,5x23,5cm, broché.‎


‎Edition originale imprimée à 240 exemplaires tous numérotés, le nôtre sur vergé calendré des anciennes manufactures de Canson et Montgolfier. Ouvrage orné de 17 magnifiques illustrations au pochoir en noir, blanc et or par George Barbier. Rare et bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR4,800.00 (€4,800.00 )

‎[Dirigée par ] VOGEL Lucien BARBIER George & DUFY Raoul & MARTY André-Edouard & LABOUREUR Jean-Emile...‎

Reference : 84740

(1912)

‎Gazette du bon ton - Art, mode et frivolités. Collection complète‎

‎Émile Lévy, Librairie Centrale des Beaux-Arts, Paris 1912-1915[puis] 1920-1925, 20,5x25cm pour les volumes reliés & 20,5x26cm pour les volumes en feuilles, 15 fascicules reliés en 3 volumes puis 55 fascicules en feuilles.‎


‎Exceptionnelle édition originale complète des 70fascicules parus en 69 livraisons de cette revue mythique. Notre exemplaire, plus que complet, est enrichi de six estampes non répertoriées dans Colas, soit 727 planches hors-texte. Pour les premiers numéros, reliures en demi chagrin maroquiné rouge à coins, dos à cinq nerfs ornés de filets noirs et de fleurons typographiques dorés, quelques traces de frottements sur certains nerfs, encadrement de filets dorés sur les plats de papier à la cuve, gardes et contreplats de papier peigné, coins émoussés, têtes dorées ; les numéros suivants sont présentés en feuilles tel que paru à partir du numéro 7 de l'année 1914, l'ensemble préservés dans des étuis en plein cartonnage bordeaux. Exceptionnelle collection complète de ce « recueil très rare, le plus important et le plus intéressant pour les modes contemporaines »(Carteret). Commencée en novembre 1912 sous la direction de Lucien Vogel, laGazette du Bon Tonparut jusqu'en décembre 1925, avec une interruption due à la Grande Guerre. Elle reste le témoin principal de l'Art de vivre et du goût français pendant les années folles. Notre ensemble est complet des 721 planches décrites dans Colas, plus 6 planches inédites et non numérotées, soit 544 planches simples, 148 croquis, 17 planches doubles, 1 planche triple, 17 planches non numérotées (Colas n'en mentionne que 11) et de nombreux bois en couleurs dans le texte. Les plus fameux illustrateurs ont collaboré à la revue :George Barbier, Raoul Dufy, Pierre Brissaud, André Édouard Marty, Umberto Brunelleschi, Jean-Émile Laboureur, etc. Carteret IV, 180. --Colas, n° 1202. Collation : - 70 fascicules en 69 livraisons, en 12 tomes, sur 7 années - 3 livres reliés (tome 1 de l'année 1 / tome 2 de l'année 1 / tome 1 de l'année 2) - Total de 727 planches H.T. (721 décomptées dans le Colas), dont 148 croquis, 17 planches sur double ff, 1 planche sur triple ff, 17 planches non numérotées - Première année (nov. 1912 - oct. 1913) : 2 tomes en 12 fascicules, 120 planches H.T. - Seconde année (jan. 1914 - été 1915) : 2 tomes en 9 fascicules, 79 planches H.T. - Troisième année (jan. 1920 - déc. 1920) : 2 tomes en 10 fascicules, 132 planches H.T. - Quatrième année (jan. 1921 - déc. 1921) : 2 tomes en 10 fascicules, 100 planches H.T - Cinquième année (fév. 1922 - déc. 1922) : 2 tomes en 10 fascicules, 157 planches H.T. - Sixième année (juin 1923 - juin 1924) : 1 tome en 10 fascicules, 59 planches - Septième année (juillet 1924 - déc. 1925) : 1 tome en 9 fascicules, 80 planches H.T. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR28,000.00 (€28,000.00 )

‎BOYLESVE, René / BARBIER George:‎

Reference : 137780aaf

‎Les Bains de Bade. Petit roman d'aventures galantes et morales par René Boylesve. Illustrations par George Barbier. ‎

‎Paris, les éditions G. Crès & Cie. 1921, XV + 147 p. 3 ff, . Illustrations de George Barbier gravées sur bois par Georges Aubert brochure originale illustrée.‎


‎Carteret 5, 35. - 1/1200 exemplaires numérotés sur vergé d'Arches (seul papier). Image disp.‎

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(SLACES, NVVA)

Phone number : 41 (0)26 3223808

CHF60.00 (€61.41 )

‎REGNIER, Henri de - [BARBIER, George]‎

Reference : 27654

(1930)

‎Les Rencontres de Monsieur de Bréot.‎

‎ 1930 Paris, A. & G. Mornay, 1930. 1 vol. in-8. (Demi)-maroquin tabac à bandes, dos lisse; titre et auteur dorés verticalement, tête dorée, couvertures et dos conservés. Couvertures, frontispice, vignette de titre, 32 in-texte et 10 lettrines coloriés au pochoir de George Barbier.Tirage à mille exemplaires, celui-ci un des 847 exemplaires sur Rives; n°435 .‎


‎(Monod, 9575). ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR250.00 (€250.00 )

‎ BARBIER (George) ‎

Reference : 75202

(1927)

‎ Vingt-cinq costumes pour le théâtre ‎

‎ Sous étui cartonné. Couverture illustrée rempliée avec petites taches brunes.Illustré d'un portrait de George BARBIER gravé par Charles MARTIN, d'un bandeau gravé sur la couverture et de 25 planches de costumes de théâtre coloriées au pochoir avec rehauts d'or et d'argent par George BARBIER, sous serpentes légendées et montées. ‎


‎Paris. Camille Bloch & Jules Meynia 1927 Non paginé. In-4. Broché. Bel état. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE LIMITÉE à 300 exemplaires, celui-ci un des 275 numérotés et mis dans le commerce.On y joint une illustration au pochoir pour l'Exposition d'une collection unique de perles et de bijoux de décadence antique, du 27 mai au 6 juin 1914, chez Messieurs Cartier, rue de la Paix. ‎

Librairie Koegui - Bayonne
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Phone number : 05 59 59 78 74

EUR4,500.00 (€4,500.00 )

‎CHODERLOS DE LACLOS Pierre-Ambroise-François BARBIER George‎

Reference : 78927

(1934)

‎Les Liaisons dangereuses‎

‎Le Vasseur & Cie, Paris 1934, 20x26,5cm, 2 volumes brochés sous étui.‎


‎Edition illustrée de 25 compositions originales en couleurs de George Barbier, un des 650 exemplaires numérotés sur vélin de Rives, seul tirage après 1 japon super nacré, 69 japon impérial diversement enrichis. Les illustrations de George Barbier se répartissent ainsi :20 hors-texte à pleine page, 3 vignettes ( une sur les premiers plats de couverture, une en encadrement des pages de titres et celle accompagnant le numéro de l'exemplaire imprimé en regard des pages de titre et2 en-têtes. Rousseurs sur les plats de l'étui. Bel exemplaire de petites traces d'insolation en têtes et en pieds des dos. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎[BARBIER George] - ‎ ‎BARBIER George‎

Reference : EXE-251

‎La Guirlande des Mois, 1921. ‎

‎Paris, Meynial, 1921. Petit in-12°, cartonnage de soie, chemise et étui décorés et coloriés au pochoir. 6 planches coloriées au pochoir et rehaussées d’or. ‎


‎Joli exemplaire de cet almanach entièrement illustré par George Barbier: bandeaux, culs-de-lampe, gardes, cartonnage, chemise et étui. ‎

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Phone number : + 41 22 310 32 10

CHF450.00 (€460.57 )

‎REGNIER Henri de & BARBIER George‎

Reference : 39268

(1930)

‎Les rencontres de monsieur de Bréot‎

‎A. & G. Mornay, Paris 1930, 16,5x20cm, broché.‎


‎Edition illustrée, un des 78 exemplaires sur Japon, le nôtre, un des 12 exemplaires hors-commerce nominatifs imprimé spécialement pour Gaston Morancé, tirage de tête. Notre édition est illustrée de nombreuses et belles illustrations en couleurs in et hors-texte de George Barbier. Premier plat de couverture rempliée illustré en couleurs par George Barbier. Dos légèrement insolé comportant une petite tache. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR600.00 (€600.00 )

‎BARBIER George‎

Reference : 77428

(1920)

‎Le Bonheur du jour ou Les Grâces à la Mode ‎

‎Chez Meynal, Paris 1920-1924, 44,5x31cm, en feuilles sous couverture de l'éditeur.‎


‎Édition originale bien complète de ses 21 compositions en couleurs gravées sur cuivre par H. Reidel et coloriées au pochoir d'après les dessins de George Barbier?: une sur la couverture, une sur le titre, 3 dans le texte et 16 hors texte. L'ouvrage fut tiré à 300 exemplaires, tous imprimés sur papier vélin. Notre exemplaire est présenté dans un étui en veau bleu, plats de papier à motif d'éventails, pièce de titre en veau bleu et titrée au palladium au centre du premier plat, doublure en velours d'agneau, étui signé Thomas Boichot. Timbre à sec en bas à droite de la page de titre. Rare et superbe exemplaire, complet de toutes ses planches, de ce magnifique et monumental ouvrage Art Déco qui nécessita quatre années de travail. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR15,000.00 (€15,000.00 )

‎GRAMONT Sanche de BARBIER George‎

Reference : 85304

(1913)

‎Antéros - Poèmes en prose‎

‎A la belle édition, Paris 1913, 15,5x21cm, broché.‎


‎Edition imprimée à 507 exemplaires numérotés, le nôtre un des 475 vergé. Quelques petites rousseurs, sinon agréable exemplaire. Ouvrage illustré de 5 dessins en noir de George Barbier. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR300.00 (€300.00 )

‎REGNIER Henri de BARBIER George‎

Reference : 85648

(1924)

‎La pécheresse‎

‎Editions Mornay, Paris 1924, 15x20,5cm, broché.‎


‎Edition ornée d'illustrations originales en couleurs de George Barbier, un des 921 exemplaires numérotés sur Rives. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎REGNIER Henri de BARBIER George‎

Reference : 85423

(1924)

‎La pécheresse‎

‎Editions Mornay, Paris 1924, 15x20,5cm, relié.‎


‎Edition ornée d'illustrations originales en couleurs de George Barbier, un des 53 exemplaires numérotés sur japon impérial. Reliure en demi maroquin vert amande à coins, dos décoloré à trois nerfs, date dorée en queue, plats marginalement décolorés, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, reliure de l'époque signée F. Hauttecoeur. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎(REDFERN John) BARBIER George‎

Reference : 84745

(1914)

‎"Isola Bella" Robes du soir de Redfern (pl.57, La Gazette du Bon ton, 1914 n°6)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Juin 1914, 36,5x24cm, une feuille.‎


‎Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or et au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎(BEER Gustave) BARBIER George‎

Reference : 84789

(1922)

‎La Promeneuse mélancolique. Robe d'après-midi de Beer (pl.63, La Gazette du Bon ton, 1922 n°8)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur finement rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎(PAQUIN Jeanne) BARBIER George‎

Reference : 84687

(1914)

‎Les Colchiques. Manteau de voyage de Paquin (pl.9, La Gazette du Bon ton, 1914 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Janvier 1914, 19x24,5cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎BARBIER George‎

Reference : 84701

(1914)

‎L'Etourdissant petit poisson. Robe d'été (pl.44, La Gazette du Bon ton, 1914 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Mai 1914, 19x24,5cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎(WORTH Charles Frederick) BARBIER George‎

Reference : 84726

(1922)

‎Rosalinde. Robe du soir, de Worth (pl.75, La Gazette du Bon ton, 1922 n°10)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎(WORTH Charles Frederick) BARBIER George‎

Reference : 84736

(1922)

‎Vesper. Robes du soir, de Worth (pl.60, La Gazette du Bon ton, 1922 n°8)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎BARBIER George SIMEON Fernand‎

Reference : 84386

(1922)

‎Le carquois épuisé‎

‎Lucien Vogel, Paris s.d. (1922), 12,5x25cm, broché.‎


‎Edition originale hors commerce imprimée pour les amis de l'auteur à 60 exemplaires numérotés sur hollande et justifiés au crayon de papier par George Barbier. Ouvrage illustré de bois gravés de Fernand Siméon. Agréable et rare exemplaire malgré de claires rousseurs en pieds des feuillets. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎(REDFERN John) BARBIER George‎

Reference : 54653

(1914)

‎Rugby - Costume tailleur de Redfern (pl.39, La Gazette du Bon ton, 1914 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1914, 19x24,5cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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