# AUTEUR: Gilbert Randon # ILLUSTRATEUR: Randon # ÉDITEUR: # ANNÉE ÉDITION: 1840 # COUVERTURE: cartonnée titre dorée " # DÉTAILS: in 12° relié oblong, 50 pp de dessins lithographiés au recto. Caricaturiste né â Lyon le 8-10-1874. Tour â tour clerc d'avoué, apprenti verrier, commis-libraire puis lithographe, il s'engage â 16 ans dans un régiment de cavalerie jusqu'au grade de maréchal des logis. Il se fit dessinateur comique cultive la photographie â Lyon de 1842 â 48 et vint â Paris où l'appelait son cousin Nadar. Il entre au ”journal pour rire” dirigé par Philipon qui crée avec un autre lyonnais Travies la légende cynique de ”M. Mayeux, non de Dieu !” et avec Daumier ” l'illustre Macaire"". Randon prit pour objectif le nez présidentiel jusqu'au coup d'état qui fit taire les rieurs. Il se mit donc â produire pendant 20 ans des pages entières de charges militaires, puis, â la suite de Gavarni â des études d'observation sur les enfants. Début 1866 il publia ” l'ami des animaux”, ce journal n'a pu vaincre l'indifférence du public malgré la série très amusante ”l'esprit des bêtes”. Ajoutons qu'il a fait également des chansons politiques d'une énergie admirable. ”En avant les voraces ! vive la liberté !” est le refrain de la chanson républicaine ” les voraces lyonnais (1848), dédiée â tous les voraces de l'univers. Imp. Boitel Voir aussi le portrait de Courbet en gravure sur soleil rayonnant (le journal amusant 1867). Envoi au docteur Dupuy. # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com"
# ÉTAT: D'usage, quelques rousseurs
# AUTEUR: G. Randon # ILLUSTRATEUR: Randon Martinet # ÉDITEUR: Philippon Fernique imp. # ANNÉE ÉDITION: 1860 # COUVERTURE: rigide tête dorée # DÉTAILS: Grand in 4° (330x250)relié. 20 pp de 4 dessins imprimés en verso. Envoi â Mme Dupuy le 25-10-1882. # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
# ÉTAT: assez bon rousseurs, réparation au 1er plat
Gabriel Randon dit Jehan-Rictus (1867-1933), poète, célèbre auteur des Soliloques du Pauvre.
Reference : 016442
Gabriel Randon dit Jehan-Rictus (1867-1933), poète, célèbre auteur des Soliloques du Pauvre. L.A.S., 10 décembre 1927, 3p in-4. Copie autographe de la lettre recommandée envoyée à son tapissier, Paul Barrier, 4 rue des Moines à Paris. Rictus s'y plaint longuement que le fauteuil qui lui a été renvoyé est une fauteuil sans valeur alors qu'il lui avait envoyé un fauteuil d'époque Louis XVI ou Directoire (fin du XVIIIe siècle) et dont la valeur est importante. Il avait refusé, avant guerre, une offre de 1700 francs (somme considérable à l'époque) et il peut prouver cette valeur. Ce fauteuil est d'autant plus important qu'il a écrit son chef-d'oeuvre, Les Soliloques du Pauvre, en y étant assis. Il menace le tapissier de poursuite s'il ne règle pas le problème. Nous ne savons malheureusement pas les suites de cette affaire. Très beau document. [167]