Aurélien Scholl (1833-1902), écrivain, journaliste. L.A.S., sd, 2p in-12. « Mon cher ami, laissez reposer avant de voir à cause du trajet - Joseph Midelain (jusqu'à présent cocher de bonne maison) a entendu dire que l'Epatant avait besoin d'un valet de pied. Serais-tu en situation et en humeur de lui donner un mot pour le général Gervais ou un quiconque de la maison ? Cordialement Aurélien Scholl ». On joint une seconde lettre curieuse. Elle est autographe mais la signature semble être un tampon. [414]
Aurélien Scholl (1833-1902), écrivain, journaliste. L.A.S., Paris, 16 août 1882, 1pœ in-8. « Un autographe pour votre collection ? C'est bien de l'honneur que vous me faites, Monsieur. Mais que dire dans une lettre spécialement écrite pour constituer un autographe ? L'autographe n'a de valeur à mes yeux que lorsqu'il est une surprise d'un sentiment, d'une boutade, l'expression intime d'un mouvement irréfléchi, exceptionnel, et par cela même curieux. Une lettre d'affaires n'est pas un autographe - si autographe qu'elle soit-, non plsu un compte de blanchisseuse. Or, le ciel gris, la pluie ne m'inspirent que des banalités. Vous êtes volé, mon cher Monsieur. Et, tout en vous présentant mes civilités empressées, je signe Aurélien Scholl (de la société protectrice des animaux) ». Joli courrier. [109]
Aurélien Scholl (1833-1902), écrivain, journaliste. L.A.S., sd [1885?], 1p in-12. A un ami, probablement libraire. Il a besoin d'un ouvrage, L'outrage, et lui demande de lui procurer pour midi. Peut-être est-ce le livre de Mme Carette publié en 1885. [418]
Aurélien Scholl (1833-1902), écrivain, journaliste. L.A.S., sd [lundi], 1p in-8. A propos d'un tapis de son correspondant qui l'intéresse. [95-2]