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Religion et alimentation dans l’Egypte et l’Orient anciens.
<p>Sommaire: VOLUME I Marie-Lys Arnette. Prémices entre les mondes : interactions, échanges et comparaisons entre les communautés et les cultures H. Bouillon. « À boire pour le roi ! Une nouvelle iconographie amarnienne où transparaît l’attrait de l’exotique S. Laribi-Glaudel. L’alimentation de la femme enceinte et du nouveau-né dans les mondes mésopotamien et grec ancien M. Attali. Les banquets dans la littérature juive d’Égypte. Convivialité et commensalité intercommunautaires à l’époque hellénistique, religion et alimentation en égypte et orient anciens VIII le sacré et le profane : processus de sacralisation des aliments et intervention du divin dans la production de nourriture F. Hamonic. Cérémonial ou cérémoniel ? Production de viande et pratiques religieuses à l’Ancien Empire J . - P. Pätznick. Le lait dans l’Égypte ancienne : entre divin et quotidien. Aux sources d’un élixir de jouvence Fr. Mougenot. La déesse est dans la cour. Le culte de Rénénoutet maîtresse du grenier A. Rickert. Levure et lapis-lazuli. Naissance et développement du génie économique Hésa A. Rickert. Des dieux aux hommes : de l’origine divine des manières de table et de la commensalité D. Bonneterre. De l’antiquité vénérable des repas sacrés. Enquête sur trois mythes mésopotamiens St. Ermidoro. Guests of the Gods. Ritualized Meals in First-Millennium Assyria ...</p> Le Caire, 2019 IFAO 632 p., 2 volumes brochés. 16 x 24
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Regressus ad uterum. La mort comme une nouvelle naissance dans les grands textes funéraires de l’Égypte pharaonique. BiEtud 175.
<p>Le présent ouvrage, issu de la thèse de doctorat de l’auteure, vise à démontrer le caractère essentiel du référent de la naissance dans les croyances funéraires de l’Égypte pharaonique, ainsi que les modalités de sa mise en œuvre. Les grands corpus funéraires égyptiens, depuis les Textes des Pyramides jusqu’aux Livres de l’au-delà du Nouvel Empire, sont riches d’allusions à une destinée post mortem envisagée comme une seconde naissance, calquée plus ou moins fidèlement sur le processus biologique de la première. Roi ou particulier, le mort est porté en gestation par une ou plusieurs mères divines, puis est remis au monde dans l’au-delà, son cordon ombilical est coupé, il est lavé, allaité et soigné à l’image d’un nouveau-né. À ces aspects pragmatiques se mêlent de nombreux éléments mythiques, le modèle biologique étant parfois largement réinterprété, ce qui témoigne de l’interpénétration du plan individuel et du domaine cosmique. Grâce à ce procédé cyclique, non seulement le défunt accède à l’autre monde, mais il y est aussi vivant éternellement. </p> Le Caire, 2020 IFAO 480 p., relié. 20,5 x 28
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