, Gallimard, 1965 Hardcover, 391 pages, Texte en Francais, 280 x 230 mm, jacquette, tres bon etat, illustrations en couleur / n/b.
Volume 2 van L'univers des formes..La renaissance italienne Volume 7 van Univers des formes, ISSN 0566-1064 Volume 2 van [La Renaissance italienne
Ensemble de documents relatifs à l'entrée d'André Malraux au Panthéon le 23 novembre 1996. Provenance : collection Gérard Léman 1. Lettre autographe signée de Madeleine Malraux (1914-2014), épouse de l'écrivain, Paris, février 1997, encre noire, sur carton blanc avec marque-page imprimé "20 anniversaire de la mort d'André Malraux" contrecollé. 20x12,5cm. "Pour Monsieur Gérard Léman, avec ma sympathique pensée, en souvenir de la cérémonie du transfert des cendres d'André Malraux au Panthéon, le 23 novembre 1996. Je crois que nos rencontres sont en accord avec notre destinée — il nous appartient d'en découvrir la signification. Madeleine Malraux. Paris février 1997." 2. Lettre tapuscrite signée de Maryvonne de Saint-Pulgent, directrice du patrimoine, en-tête du Ministère de la Culture, 1 f., 30x21cm. Confirmation à Gérard Léman de son invitation à la cérémonie. 3. Carton d'invitation officiel à la cérémonie du 23 novembre 1996 pour l'entrée d'André Malraux au Panthéon, 15,5x11cm. 4. Lettre tapuscrite signée de Sophie Reincke, 23 mars 1971, à Gérard Léman, 27x21cm, relative à l'envoi d'un autographe d'André Malraux à Gérard Léman, en-tête imprimé 2 rue d'Estienne d'Orves / 91 Verrières-Le-Buisson. 5. Carte tapuscrite à en-tête imprimé "2 rue d'Estienne d'Orves / 91 Verrières-Le-Buisson", "de la part d'André Malraux" + enveloppe daté 15 mai 1972. 6. On ajoute 3 marque-page + 1 catalogue "André Malraux / une collection", 20 p., relatif à l'exposition d'une vingtaine de pièce de la collection d'oeuvres d'art d'André Malraux, à Toulouse, en 1996. Bel ensemble
Skira | Genève 1948 | 23 x 29.50 cm | reliure de l'éditeur
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Riche iconographie. Petites traces d'insolation sur le dos. Précieux envoi autographe signé d'André Malraux à son amie, la grande résistante gaullienne Brigitte Friang : «Pour Brigitte. A. Malraux. Oct 1948.» enrichi d'un dessin original en couleur représentant le célèbre "dyable" marchant de profil tracé au crayon de papier rouge et bleu (pour l'oeil et les poils hérissés) Engagée dans la résistance à 19 ans, Brigitte Friang devient rapidement un agent très actif, chargée de l'organisation des parachutages dans la région Ouest. Elle est arrêtée par la Gestapo après avoir tenté de faire évader son ami Pierre Brossolette de la prison de Rennes. Elle tente alors de se faire tuer pour ne pas révéler ses nombreux secrets: «je connaissais tous les terrains d'atterrissage, de parachutage, je connaissais les vrais noms de beaucoup d'agents parce que je les avais envoyés par code à Londres pour les faire immatriculer» rapportera-t-elle dans son témoignage recueilli par l'Association des Amis de la Fondation de la Résistance. Grièvement blessée, elle est déportée à Ravensbrück, puis dans les commandos des Sudètes. Elle réussit à s'évader du convoi la menant vers Dachau en se cachant dans de la paille. En 1946, elle participe à la création du Rassemblement du Peuple Français pour le retour De Gaulle au pouvoir qu'il vient d'abandonner et fait partie, aux côtés d'André Malraux, du petit cercle des fidèles du Général qui rédige le discours fondateur de Strasbourg en 1947. Après l'échec du R.P.F., elle se consacre au journalisme de terrain couvrant les conflits d'Indochine, du canal de Suez, de la Guerre des Six Jours et du Viet-Nam, puis devient l'attachée de presse d'André Malraux. C'est le début d'une longue amitié avec Malraux qui témoignera dans Antimémoires de sa complicité avec sa «Brigitte». Brigitte Friang évoquera à son tour leur trente années d'amitié dans deux ouvrages Un autre Malraux, et Petit tour autour de Malraux, qui brossent un émouvant portrait empreint d'admiration mais sans concession de l'écrivain et homme d'état. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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29 janvier 1969 | 21 x 27 cm | une feuille filigranée Guerimand Voiron
Lettre dactylographiée et signée d'André Malraux à Maurice Béjart. Une feuille à en-tête du Ministre d'état chargé des Affaires Culturelles, portant un tampon du 29 janvier 1969. André Malraux souhaite placer le chorégraphe Maurice Béjart à la tête du Ballet de l'Opéra de Paris. Provenance?: archives personnelles de Maurice Béjart. * Béjart était alors fort bien établi à Bruxelles, parmi sa troupe le Ballet du XXème siècle, se produisant au théâtre de la Monnaie dirigé par son ami Maurice Huismans. à la suite d'un rapport de Jean Vilar pour réformer l'Opéra de Paris, Malraux prend la décision de rappeler Béjart en France?: «?J'aimerais que nous puissions nous rencontrer pour parler d'un projet que vous connaissez déjà et auquel j'attache une grande importance?: la Direction de la Danse à l'Opéra.?» L'idée de Malraux était de nommer à ses côtés Boulez et Jean Vilar, formant ainsi une avant-garde solide, résolument tournée vers l'avenir des arts. Le chorégraphe déclina l'offre et poursuivit ses créations en Belgique. Il ne sera pas moins admiratif de Malraux à qui il consacra quinze ans plus tard un ballet sur des musiques de Beethoven, qu'il intitule «?Malraux ou la métamorphose des dieux?». La lettre constitue l'unique preuve de la demande de Malraux à Béjart, qui était jusqu'à présent soumise à controverse. Cette proposition du Ministre des Affaires culturelles ne fut pas honorée par Béjart, qui resta en Belgique pendant dix ans avant de prendre la route pour Lausanne. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Paris 8 Janvier 1946 | 21 x 27 cm | une page sur une feuille + une enveloppe
Lettre tapuscrite signée d'André Malraux à Roger Nimier à en-tête du Ministère de l'Information, signature de Malraux au bas de la lettre à l'encre noire. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli; enveloppe avec adresse tapée à la machine à écrire jointe, tampon du Ministère de l'Information. André Malraux répond à Roger Nimier à propos de compétences administratives regardant le Ministère de l'Information dirigé par André Malraux du 21 novembre 1945 au 26 janvier 1946 dans le gouvernement présidé par Charles De Gaulle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Taormina 1955 | 17.50 x 25.50 cm | une page sur une feuille + une enveloppe
Lettre tapuscrite signée d'André Malraux à André Parinaud à en-tête de l'hôtel San Domenico Palace de Taormina, signature de Malraux au bas de la lettre à l'encre bleue quia également souligné au stylo bille bleu un mot de la lettre. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli, enveloppe jointe. André Malraux demande à André Parinaud si le projet les rassemblant se trouve en bonne voie chez Gallimard. En cas d'insuccès, il lui propose de contacter la maison d'édition Hachette à son retour d'Italie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1952 | - | en feuillets
Ensemble de 43 épreuves photographiques en couleur, dont 25avec d'abondants commentaires et corrections autographes d'André Malraux, en vue de la publication de son Musée imaginaire de la sculpture mondiale. Deux feuilles cartonnées repliées portent également des commentaires de sa main. 14 de ces épreuves portent la mention «bon à tirer» avec la date et la signature autographe de Malraux. Accompagné de deux boîtes contenant des lots de films transparents noir et blancs d'ektachromes pour 17 uvres, ainsi que 7 tirages argentiques en noir et blanc et un ensemble de 18 feuillets de minutes tapuscrites adressées à Jacques Festy, directeur de la fabrication à la Nrf, émanant de Fernand Bussière, en charge de la photogravure. L'ensemble retracela préparation par Malraux des reproductions photographiques en quadrichromie de 17 uvres illustrant son Musée imaginaire de la sculpture mondiale. Publié entre 1952 et 1954 à La Galerie de la Pléiade de Gallimard, le Musée imaginaire est composé de trois albums de plusieurs centaines d'images - une étape importante dans la vaste et sinueuse entreprise éditoriale de Malraux, débutée en 1947 avec la Psychologie de l'art, et arrivée à son terme avec l'Intemporel. Les chefs-d'uvre du présent ensemble proviennent d'horizons très différents, leur dates et lieux de création s'étalant sur pas moins de quatre millénaires et cinq continents (sculpture romane du retable de Carrière sur Seine, bronze égyptien de la divine adoratrice Karomama, masque du Congo, Buddha Sueï, Vierge à l'enfant médiévale polychrome, tête sumérienne en albâtre...) illustrant parfaitement l'esprit universaliste de Malraux. Ces épreuves proviennent du célèbre photograveur Fernand Bussière, collaborateur régulier de Gallimard, dont les nombreuses corrections et croquis au feutre noir côtoient les commentaires autographes de l'écrivain. UN TRAVAIL DE TITAN Les modifications requièrent de trois jusqu'à parfois six épreuves différentes pour la même uvre. Malraux s'attache à tous les aspects du visuel : texture, netteté, balance des couleurs et des ombres: «trop bleu, trop lisse» écrit-il pour la photographie d'un bouddha. Les marges sont souvent recouvertes de longs commentaires «ce n'est pas génial, mais ce n'est plus impubliable. Je crois qu'il faut en rester là» (correction reportée dans un tapuscrit, 7 octobre 1952); «Ca peut aller. Il y a même des choses excellentes. Mais il faudrait: [...] corriger fortement le rouge de la bouche: écarlate, et non carmin violacé» (masque africain) ; «les barbes et les cheveux toujours trop bleu et surtout trop nettement «découpés» sur les visages» (char phénicien). L'exercice s'avère parfois très ardu, et aucune épreuve ne le satisfaitdans le cas de la statue polychrome Madone d'Aneco: «Impossible. Plutôt supprimer la planche. Il faut avoir la matière, comme on l'a eue dans la statue chinoise». Il fait parfois le choix de rester le plus fidèle à l'uvre: «Si l'on corrige, faisons-le prudemment, pour conserver la matière, qui, elle, est excellente». De manière plus surprenante, on rencontre également la situation inverse : «détacher la pupille de l'il - bien qu'elle le soit peu dans l'original» (char phénicien, musée du Louvre). Les photographies sont annotées par l'imprimeur, retouchées, floutées, accentuées ou grattées, et les états suivants sont souvent annotés à nouveau par Malraux avant d'apposer la mention «bon à tirer» sur l'épreuve finale avec sa signature. LES EPREUVES FORMANT UN «LIVRE SUR LE SOL» Malraux ira jusqu'à mettre en scène ce travail de correction d'épreuves, posant sous l'objectif de Maurice Jarnoux pour Paris-Match. Sur ces clichés désormais célèbres, il surplombe ou s'allonge telle une odalisque parmi les dizaines d'épreuves photographiques de son Musée imaginaire étalées sur le sol dans sa maison de Boulogne. En curateur démiurge, il repense l'espace du musée, aux uvres non plus accrochées mais couchées, entre le livre désossé et la
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S. n. | Paris 8 Décembre 1951 | 13.50 x 21 cm | une page sur une feuille
Lettre tapuscrite signée d'André Malraux à Roger Nimier adressée depuis son domicile boulonnais, signature de Malraux au bas de la lettre à l'encre bleue. Une petite déchirure en marge droite de la lettre, trace de pliure inhérente à la mise sous pli. André Malraux se montre en parfait accord avec Roger Nimier à propos d'un projet commun incluant également le journaliste André Parinaud. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Boulogne-sur-Seine s. d. [circa 1947] | 11.50 x 18 cm | une feuille
Lettre autographe signée d'André Malraux (20 lignes au stylo bille bleu depuis son domicile boulonnais de l'avenue Victor Hugo) faisant référence, avec esprit, à la sortie de son ouvrage, probablement Le musée imaginaire paru en 1947, et à l'article que lui a consacré André Parinaud dans Arts. André Malraux raille l'aspect massif de son ouvrage :"... avec le retard qu'implique le poids du livre, poids qui affirme aux esprits non prévenus le sérieux de l'auteur... Un des premiers "voix du silence" paru en même temps que votre article" tout en louant l'amitié de son correspondant bienveillant : " ... je serais étonné de n'avoir à "Arts" que des amis ; vous avez pris parti. Ce que je ne tiens pas pour sans importance - et n'oublie pas..." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Résistant participant à Combat, André Parinaudest unjournaliste, chroniqueur,critique d'artetécrivain. De 1959 à 1967, il occupe le poste rédacteur en chef de l'important hebdomadaireArts regroupantl'élite de la création française dans tous les domaines artistiques: littérature, peinture, théâtre, cinéma... Il réalisera alors plus de 1000 interviews radiophoniques avec les plus grands écrivains et artistes dont Salvador Dali, Louis-Ferdinand Céline, Colette, Paul Léautaud, André Breton, Georges Simenon et André Malraux... Tout en continuant de travailler à l'O.R.T.F. et à la radio, il fonde plusieurs festivals ou manifestations artistiques commeLe Festival international du film d'art,l'Académie nationale des arts de la rue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Boulogne-sur-Seine 5 Septembre 1953 | 11.50 x 18 cm | une feuille + une enveloppe
Lettre autographe datée et signée d'André Malraux (14 lignes au stylo bille bleu depuis son domicile boulonnais de l'avenue Victor Hugo) évoquant sa masse de travail inhérente à la préparation et la parution, différée, de l'ouvrageDes bas-reliefs aux grottes sacréespour lequel André Parinaud lui adresse de la documentation. André Malraux n'est pas encore prêt à envoyer son ouvrage chez l'éditeur : "... le livre ne parait pas cette année. Peut-être en mars 54. Et pour savoir où nous allons, il faudrait que la préface au moins fût terminée. J'en ai encore pour deux mois." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli, enveloppe jointe. Résistant participant à Combat, André Parinaudest unjournaliste, chroniqueur,critique d'artetécrivain. De 1959 à 1967, il ccupe le posterédacteur en chef de l'important hebdomadaireArts regroupantl'élite de la création française dans tous les domaines artistiques: littérature, peinture, théâtre, cinéma... Il réalisera alors plus de 1000 interviews radiophoniques avec les plus grands écrivains et artistes dont Salvador Dali, Louis-Ferdinand Céline, Colette, Paul Léautaud, André Breton, Georges Simenon et André Malraux... Tout en continuant de travailler à l'O.R.T.F. et à la radio, il fonde plusieurs festivals ou manifestations artistiques commeLe Festival international du film d'art,l'Académie nationale des arts de la rue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | s. l. (Paris) s. d. [1954] | 13.50 x 20.50 cm | une feuille
Liste manuscrite d'André Malraux (20 lignes au stylo bille bleu) apportant des précisions et des indications pour André Parinaud et concernant la parution de ses ouvrages formant la collection "Ecrits sur l'art" illustrés de photographies de Roger Parry. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Résistant participant à Combat, André Parinaudest unjournaliste, chroniqueur,critique d'artetécrivain. De 1959 à 1967, il ccupe le posterédacteur en chef de l'important hebdomadaireArts regroupantl'élite de la création française dans tous les domaines artistiques: littérature, peinture, théâtre, cinéma... Il réalisera alors plus de 1000 interviews radiophoniques avec les plus grands écrivains et artistes dont Salvador Dali, Louis-Ferdinand Céline, Colette, Paul Léautaud, André Breton, Georges Simenon et André Malraux... Tout en continuant de travailler à l'O.R.T.F. et à la radio, il fonde plusieurs festivals ou manifestations artistiques commeLe Festival international du film d'art,l'Académie nationale des arts de la rue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. s.d. [1923-1924] | 13.10 x 17.30 cm | deux pages sur un bifeuillet
Lettre autographe signée d'André Malraux, adressée à Max Jacob. Deux pages à l'encre noire sur un bifeuillet, enrichie d'un dessin de Malraux. Partiellement transcritedansHistoires litte?raires, 2002, p. 123. Hilarante et précoce lettre de Malraux, qui rédige une fausse notice nécrologique annonçant la mort de Max Jacob, alors que celui-ci tarde à répondre à ses lettres. Il accompagne sa signature d'un profil de chat. * "On nous informe que notre malheureux confrère Max Jacob qu'un entraînement abusif rendit présomptueux vient de trépasser malencontreusement. Ayant rencontré un camion automobile, il se précipita sauvagement sur ce véhicule et engagea avec lui une lutte corps à corps. On peut croire un instant à la victoire de notre valeureux confrère : mais le camion, plus endurant, reprit le dessus et réduisit le grand poète à l'état de boue. C'est ce qui fait qu'il lui a été impossible de répondre aux lettres de ses amis qui lui envoient par courrier des lettres de onze pages. Feu Max Jacob laisse une fortune de deux francs trente cinq qui, sur son désir, a été immédiatement employée à des fondations pieuses. [...] J'ai l'intention de vous réécrire bientôt, mais je serais heureux d'être informé - au moins - de votre existence, à laquelle je tiens [...]" Le peintre-poète avait fait entrer le jeune André dans la vie artistique et littéraire parisienne au début des années 1920. Malraux le cite dès ses débuts dans son essai sur la peinture cubiste et lui avait dédié son tout premier ouvrage,Les Lunes de papier, paru en 1921. Il était familier deslettres-fleuve à son mentor et ami, d'où l'allusion à "ses amis qui lui envoient par courrier des lettres de onze pages".La lettre est une amusanteprémonition duréel accident de voituredont fut victime Max Jacob en 1929, qui lui valut quelques mois de convalescence silencieuse. Superbe témoignagede la correspondance cocasse et complice de Malraux etMax Jacob. Nous remercions M. Bourrel qui nous a aidé à préciser la datation de cette missive. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. n. | s. l. 20 Avril 1973 | 15 x 10 cm | une feuille
Carte postale manuscrite enrichie de la signature d'André Malraux écrite depuis Delhi à leurs amis Minka et Karl Hans Strauss, 12 lignes au stylo bille bleu. La carte postale représente une vue du Taj Mahal. "Chers amis, nous faisons un voyage admirable et voyons mille merveilles. André va très bien. Nous partirons demain pour le Bangla Desh et le Népal..." Séparé de sa femme Madeleine à la fin des années 60, André Malraux noue une seconde relation avec l'écrivain Louise de Vilmorin et s'installe avec elle dans lechâteau de VilmorinàVerrières-le-Buisson. Après la disparition de cette dernière, le26 décembre 1969, André Malrauxcontinue à habiter au château en compagnie de la nièce de Louise, Sophie de Vilmorin, qui deviendra sa dernière compagne et qui s'occupera de lui jusqu'à sa mort survenue le23 novembre 1976. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. n. | s. l. 27 Novembre 1974 | 15 x 10 cm | une feuille
Carte postale manuscrite enrichie de la signature d'André Malraux écrite depuis Bombay à leurs amis Minka et Karl Hans Strauss, 13 lignes au stylo bille bleu. La carte postale représente une reproduction de sculpure hindoue. "Chers amis, que c'était beau ! Nous vous embrassons affectueusement, Sophie..." Séparé de sa femme Madeleine à la fin des années 60, André Malraux noue une seconde relation avec l'écrivain Louise de Vilmorin et s'installe avec elle dans lechâteau de VilmorinàVerrières-le-Buisson. Après la disparition de cette dernière, le26 décembre 1969, André Malrauxcontinue à habiter au château en compagnie de la nièce de Louise, Sophie de Vilmorin, qui deviendra sa dernière compagne et qui s'occupera de lui jusqu'à sa mort survenue le23 novembre 1976. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1954 | 18 x 23.50 cm | reliure de l'éditeur
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Reliure de l'éditeur en plein toile crème, exemplaire complet de sa jaquette illustrée. Dos de la jaquette insolé qui comporte également deux petites taches sur le second plat Précieux envoi autographe signé d'André Malraux à Maurice Blanchot. S'ils se sont connus à la NRF, c'est surtout à travers quelques articles majeurs de Blanchot consacrés à Malraux, que les deux hommes se sont "rencontrés". Au sortir de la guerre Blanchot publie dans l'éphémère revue de Bataille 'Actualité', un article sur l'Espoir qui lui permet "d'inscrire visiblement son retournement politique".En 1950-51, dans son double article sur "Le Musée imaginaire", il formalise sa propre théorie de l'image qui imprégnera son oeuvre à venir.Confrontant ces deux visions de l'art, Henri Godard, écrit : « Par la constance et la radicalité de sa référence à la mort, à l'absence, au néant, [la pensée] de Blanchot est un pôle de notre réflexion sur l'art, dont Malraux pourrait bien incarner l'autre » (In "L'Expérience existentielle de l'art"). Une polarité qui ne pouvait que lier Blanchot à Malraux dont la figure tutélaire sera une ultime fois invoquée à la fin de son dernier récit, "l'Instant de ma mort" :"Plus tard, revenu à Paris, il rencontra Malraux. Celui-ci lui raconta qu'il avait été fait prisonnier (sans être reconnu), qu'il avait réussi à s'échapper, tout en perdant un manuscrit.... Qu'importe ! Seul demeure le sentiment de légèreté qui est la mort même ou, pour le dire plus précisément, l'instant de ma mort désormais toujours en instance." Riche iconographie. Dos légèrement de la jaquette insolée comme souvent qui comporte également deux taches marginales en tête du deuxième plat. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. n. | s. l. 1950 | 9.50 x 7.50 cm | une feuille
Retirage d'une photographie représentant André Malraux une cigarette dans la main droite. La photographie a été encollée sur une feuille cartonnée. Pensée manuscrite datée et signée d'André Malraux en dessous de la photographie : "donner conscience aux hommes de la grandeur qu'ils ignorent en eux. 1934/1964. André Malraux." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1954 1954. Les Ecrivains Contemporains N°15: André Malraux/ Décembre 1954 Référence: LMA17H. Les Ecrivains Contemporains N°15: André Malraux/ Décembre 1954
Bon état
. La Revue Musicale / Editions Richard Masse Paris, 1971, in-8 br., couv. rempliées, 129pp.-3ff. Tirage à 1600 ex., celui-ci, un des 1500 sur Ingres crème à la forme des papeteries de Lana. Parfait état.
S. n. | Boulogne-sur-Seine 28 Décembre 1954 | 13.50 x 21 cm | une feuille
Lettre autographe datée et signée d'André Malraux (20 lignes au stylo bille bleu depuis son domicile boulonnais de l'avenue Victor Hugo) le remerciant pour sa critique favorable soit pourDes bas-reliefs aux grottes sacréesou soit pourLe Monde chrétien parus tous les deux en 1954. Il s'excuse de n'avoir pu rapidement répondu à son article élogieux avant que de le remercier : "... il est certain que mettant l'accent, à la fois, sur le plan des techniques et sur l'autre (mots soulignés), vous rendez au livre un grand service, et prenez l'animal par le bon bout...", il reconnait aussi la clairvoyance et la pertinence de son articlemalgré la difficulté de bien appréhender l'ouvrage : "... car ces essais ne sont pas concevables à l'intérieur de la critique d'art traditionnelle..." tout en louant l'attachement qui les lie : "... cette attitude, qui est la seule juste, n'impliquait-elle pas nécessairement une amitié qui transparait sous chaque ligne, en un lieu où il y a quelque mérite à la proclamer..." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Résistant participant à Combat, André Parinaudest unjournaliste, chroniqueur,critique d'artetécrivain. De 1959 à 1967, il ccupe le posterédacteur en chef de l'important hebdomadaireArts regroupantl'élite de la création française dans tous les domaines artistiques: littérature, peinture, théâtre, cinéma... Il réalisera alors plus de 1000 interviews radiophoniques avec les plus grands écrivains et artistes dont Salvador Dali, Louis-Ferdinand Céline, Colette, Paul Léautaud, André Breton, Georges Simenon et André Malraux... Tout en continuant de travailler à l'O.R.T.F. et à la radio, il fonde plusieurs festivals ou manifestations artistiques commeLe Festival international du film d'art,l'Académie nationale des arts de la rue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Boulogne-sur-Seine 17 Mars 1954 | 13 x 21 cm | une feuille + une enveloppe
Lettre autographe datée et signée d'André Malraux (14 lignes au stylo bille bleu depuis son domicile boulonnais de l'avenue Victor Hugo) confirmant un rendez-vous prévu. Il le remercie pour son amitié toujours aussi bienveillante : "J'ai trouvé la Parisienne à mon retour. Je vous écris, vous ayant lu, ce que je vous ai dit avant de vous avoir lu : votre attitude m'est allée au coeur..." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli, enveloppe jointe. Résistant participant à Combat, André Parinaudest unjournaliste, chroniqueur,critique d'artetécrivain. De 1959 à 1967, il ccupe le posterédacteur en chef de l'important hebdomadaireArts regroupantl'élite de la création française dans tous les domaines artistiques: littérature, peinture, théâtre, cinéma... Il réalisera alors plus de 1000 interviews radiophoniques avec les plus grands écrivains et artistes dont Salvador Dali, Louis-Ferdinand Céline, Colette, Paul Léautaud, André Breton, Georges Simenon et André Malraux... Tout en continuant de travailler à l'O.R.T.F. et à la radio, il fonde plusieurs festivals ou manifestations artistiques commeLe Festival international du film d'art,l'Académie nationale des arts de la rue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Boulogne-sur-Seine s. d. [circa 1955] | 14 x 21 cm | une feuille
Lettre autographe datée et signée d'André Malraux (9 lignes au stylo bille bleu depuis son domicile boulonnais de l'avenue Victor Hugo) apportant des précisions quant à la parution d'un article concernant la demande en révision déposée par Charles Maurras et publiée dans le journal gaulliste Carrefour. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Résistant participant à Combat, André Parinaudest unjournaliste, chroniqueur,critique d'artetécrivain. De 1959 à 1967, il ccupe le posterédacteur en chef de l'important hebdomadaireArts regroupantl'élite de la création française dans tous les domaines artistiques: littérature, peinture, théâtre, cinéma... Il réalisera alors plus de 1000 interviews radiophoniques avec les plus grands écrivains et artistes dont Salvador Dali, Louis-Ferdinand Céline, Colette, Paul Léautaud, André Breton, Georges Simenon et André Malraux... Tout en continuant de travailler à l'O.R.T.F. et à la radio, il fonde plusieurs festivals ou manifestations artistiques commeLe Festival international du film d'art,l'Académie nationale des arts de la rue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Grasset | Paris 1926 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale sur papier courant en dépit d'une mention de douzième édition. Papier jauni et légèrement cassant sur les tranches, un petit manque sans gravité en tête des feuillets du premier cahier qui a été mal découpé. Bel envoi autographe signé d'André Malraux sur la page de faux-titre : "A André Germain - cet ancien portrait de moi-même où je ne me rconnais guère que par endroits - avec le fidèle souvenit et la sympathie d'André Malraux." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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D’apparence récit autobiographique traditionnel, cette confession s’en éloigne pourtant en mêlant aux faits historiques de nombreux éléments de fiction, et en refusant la chronologie linéaire au profit d’une chronologie circulaire. Le fil rouge des Antimémoires est un voyage effectué par Malraux en 1965, qui le mène de l’Égypte à la Chine en passant par la péninsule arabique et l’Inde. Chaque escale évoque des voyages passés. Chaque souvenir en rappelle un autre, qui en rappelle un autre à son tour. Le livre s’interroge avant tout sur la nécessité du travail de mémoire. Il ne s’agit pas à proprement parler d’une autobiographie de l’auteur ; Antimémoires est plutôt une revue de son existence liée aux grands événements politiques et géopolitiques de son époque, où il évoque par ailleurs de nombreux auteurs qui ont marqué la vie sociale de leur empreinte. « Ni confessions, ni mémoires, mais inlassable interrogation d’une expérience toujours davantage transformée en conscience. Les Antimémoires, malgré leur pudeur, sont un autoportrait : celui d’un esprit génial et fraternel qui, en posant les vraies questions, progresse des « problèmes » aux « mystères », de Gide à Bernanos » (Nouveau dictionnaire des œuvres). En 1995, Jacques Lecarme, dans un article paru dans la Revue des Lettres modernes, avait attribué à Malraux la paternité de « l’autofiction » à Malraux : « De cette autofiction, Malraux nous semble l’un des inventeurs, bien que ce mérite ne lui soit pas reconnu » ; c’est en effet dix ans plus tard que ce genre sera reconnu et fixé par Doubrovsky. L’un des tous premiers lecteurs de l’ouvrage, le général de Gaulle, télégraphia à Malraux « Livre admirable dans les trois dimensions ». vol broché, usures d'usage, très bel état, 20x15, 605pages. Exemplaire de service de presse Paris, Gallimard, 1967. Edition Originale ref/271
Gallimard | Paris 1975 | 12.50 x 20 cm | broché
Edition originale, un des 120 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête. Très bel exemplaire. Envoi autographe signé d'André Malraux à ses amis Minka et Karl-Hans [Strauss] enrichi de deux petits dessins aux encres rouge et bleue représentant des chats. Minka, petite fille Rothschild, et Karl-Hans Strauss, étaient d'importants mécènes et collectionneurs d'art et de musique proches d'André Malraux. Leur correspondance semble révéler que dans les années 70 le vieil écrivain chinait à travers le monde, avec sa dernière compagne Sophie de Vilmorin, des oeuvres pour leur collection. A la fin de sa vie, il retrouvait ainsi cette passion de jeunesse qui lui inspira sa première oeuvre,la Voie Royale. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1973 | 14 x 20.50 cm | agrafé
Edition originale imprimée à 50 exemplaires sur bouffant alfa et consistant en un tiré à part de la préface aux Cahiers de la Petite Dame de Maria van Rysselberghe. Rare et bel exemplaire. Envoi autographe daté et signé d'André Malraux à ses amis Karl-Hans et Minka [Strauss]. Minka, petite fille Rothschild, et Karl-Hans Strauss, étaient d'importants mécènes et collectionneurs d'art et de musique proches d'André Malraux. Leur correspondance semble révéler que dans les années 70 le vieil écrivain chinait à travers le monde, avec sa dernière compagne Sophie de Vilmorin, des oeuvres pour leur collection. A la fin de sa vie, il retrouvait ainsi cette passion de jeunesse qui lui inspira sa première oeuvre,la Voie Royale. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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