Maisonneuve & Larose - Forum du Tiers Monde, Forum Mondial des Alternatives 2005 Fort in-12 broché, couv. illustrée en coul., 301 pp. Bon état. Poids : 600 gr avec emballage d’expédition
La participation de l’Afrique à la mondialisation libérale est primordiale, mais parce qu'elle est constituée d'économies plus fragiles qu'ailleurs, elle subit avec plus de violence les effets déstabilisateurs du déploiement du libéralisme. Face à des logiques qui, in fine, programment l'exclusion du continent de toute participation active au façonnement de l'avenir, la renaissance du continent dépendra du progrès social, de la démocratisation et de l'ouverture d'une marge de négociation internationale. Le vaste mouvement de l’altermondialisation et le projet amorcé de la fin de l’apartheid en Afrique du Sud s’inscrivent-ils dans un mouvement d’avenir ? Samir Amin, à travers cet ouvrage, nous invite à découvrir ce continent par le biais d’un questionnement sur une alternative efficace. Bon état d’occasion
Les Indes savantes, 2005, in-8 br. (17 x 24), 366 p., "Forum du Tiers Monde / Forum mondial des Alternatives", bon état.
Ouvrage international avec des contributions sur la Chine, le Sri Lanka, l’Inde, les Philippines, l’Afrique, le Brésil et la Pologne. La question de l’avenir des sociétés paysannes du Tiers Monde face à la mondialisation constitue le fond des problèmes abordés. Cet ouvrage collectif invite à repenser la "question agraire" à l’échelle mondiale, et son articulation avec les mutations du travail ouvrier. L’expropriation des masses paysannes au bénéfice des agriculteurs capitalistes, des latifundistes ou des transnationales de l’agrobusiness est un processus encore loin d’être achevé : cette menace pèse sur quelque trois milliards de petits paysans – rien moins que la moitié de l’humanité ! Paupérisation urbaine et pression à l’émigration sont les effets directs de la dévastation de ces mondes paysans. Comment imaginer un développement des pays concernés par le capitalisme, puisque ce dernier désintègre les structures agraires et contraint à l’exode rural, sans créer d’emplois autres que précaires ou informels, et encore en nombre insuffisant ? Voir le sommaire sur photos jointes.