Montbrison, Bernard aîné, 1835 2 vol. in-8, [6]-42-[1] pp. et [4]-318-80 pp., demi-basane bleue marbrée, dos à nerfs (reliure postérieure).
Histoire qui reste de référence, par Auguste Bernard (1811-1868), personnalité du Lyonnais, correcteur à l'Imprimerie Nationale, avec ce texte, intéressant pour citer ses sources, utilisant l'archéologie et reproduisant des documents. Complet suivi d'une biographie. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Dijon, J. Sirot, s.d. (1736) in-4, 48 pp., 11 pp., en feuilles, cousu.
Ce testament n'a pas seulement valeur privée : ses dispositions renferment les statuts primitifs de l'Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon, dont le Président Pouffier (1658-1736) fut le fondateur, ainsi évidemment que des legs particuliers. En 1740, son successeur, le doyen Lantin obtint des lettres patentes royales (enregistrées par le parlement de Dijon le 30 juin), grâce à l'appui des Princes de Condé, gouverneurs de Bourgogne. La nouvelle Académie, composée de 24 membres et disposant de statuts officiels, put proposer un prix dès 1742.Au CCF, exemplaires seulement à la BnF et à Dijon. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Mercier, s.d. (1796) in-16, titre, xij pp., pp. 13-136, 4 pp. de nouveautés, veau fauve marbré, dos lisse cloisonné et fleuronné, pièce de titre noire, encadrement de triple filet doré sur les plats, tranches mouchetées (reliure de l'époque).
La première édition française est de 1727, et constitue une traduction de A modest defence of publick stews (1724). Ironiquement dédié "Aux membres de la société établie pour la réformation des moeurs", le texte forme en fait une critique sévère des réformateurs anglais du XVIIIe siècle qui avaient fermé les établissements de prostitution. Fidèle à ses vues universellement libérales avant la lettre, Bernard de Mandeville (1670-1733) prône, au contraire, la réouverture de ces maisons - qu'il nomme aimablement "Temples à Vénus la Populaire" - quoique accompagnée d'une meilleure législation permettant une surveillance policière mais aussi hygiénique. Marthe Robin aurait dû lire ce petit ouvrage.Gay 1314. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Gallimard, 1930 in-12, 248 pp., un f. n. ch., avec un portrait-frontispice, demi-basane cerise, dos à forts nerfs orné de filets dorés et noirs (reliure moderne).
Édition originale, parue un an seulement après la mort de la femme de lettres et journaliste (en 1929). Le journaliste et essayiste socialiste Bernard Lecache (1895-1968) avait épousé en 1923 Denise Montrobert, petite-fille de Séverine par son fils unique, et qui faisait donc partie de sa parentèle par alliance ; cette biographie n'est pas purement académique.Cachet humide de Marcel Guillot. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Paris], Imprimerie de la veuve Delaguette, s.d. (1790) in-8, 20 pp., broché sous couverture moderne de papier bleu imprimé.
Un des projets présentés pour le déroulement de la Fête de la Fédération. Bernard Poyet (1742-1824) avait commencé sa carrière d'architecte sous l'Ancien Régime, mais les bouleversements politiques lui permirent d'avancer plus rapidement : en 1790, la ville de Paris le nomma architecte en charge de l'approvisionnement en eau (et c'est lui qui eut ainsi à réaménager la Fontaine des Innocents de Goujon).Au CCF, exemplaires seulement à la BnF.Cachet humide de Marcel Bekus (1888-1938), ingénieur d'origine polonaise, proche des milieux anarchistes. Il est devenu célèbre de façon posthume lorsque son petit-fils exhuma sa collection d'affiches et de pièces rares sur la Guerre civile espagnole. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, P. L'Huillier, 1580 petit in-8, 24 ff., sign. Aa-Bb-C, maroquin cerise, dos à nerfs, armes dorées poussées en écoinçon sur les plats, double filet doré sur les coupes, tranches dorées, large encadrement de pointillé et guirlandes dorés sur les contreplats (Petit, sucr. de Simier).
Unique édition séparée d'un texte qui était paru pour la première fois en annexe de l'édition de 1570 de L'Estat et succez des affaires de France (....), ensemble une sommaire histoire des seigneurs, comtes et ducs d'Anjou. Il occupait les ff. 145-165, avec une page de titre particulière. Cette insertion vaut aussi pour les éditions de 1572 et 1573, mais pas pour celles de 1571, 1580 (malgré sa mention persistante au titre), 1584 et 1595. Bizarrement, on la retrouve dans l'édition de Genève, 1609.Bernard de Girard (1535-1610) était secrétaire des finances de François de Valois, duc d'Anjou (1555-1584), après avoir été le secrétaire de François de Noailles, et ce poste auprès du dernier fils de Henri II et de Catherine de Médicis, héritier du trône entre 1574 et sa mort, explique cette digression angevine de l'historien.Cf. Saffroy I, 10241. Cioranescu, XVI, 8769.Bel exemplaire.Armes de la famille Girard de Charnacé poussées en écoinçon sur les plats : écartelé aux 1 et 4 d'azur à trois chevrons d'or (Girard) ; aux 2 et 3 d'azur à trois croisettes pattées d'or (Charnacé). Probablement Ernst-Charles-Guy de Girard de Charnacé (1825-1909), agronome, musicologue, écrivain, et surtout gendre de la célèbre Daniel Stern, dont il avait épousé la fille Claire d'Agoult (1830-1912) le 28 mai 1849. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
Paris, Imprimerie royale, 1702 in-4, 11 pp., texte latin et traduction française en regard, en feuilles. Mouillure infra-paginale.
Unique édition de cette pièce de circonstance. Philibert-Bernard Moreau de Mautour (1654-1737), auditeur à la Chambre des comptes de Paris, était devenu élève de l'Académie des inscriptions et belles-lettres en 1701, puis associé en 1705, et enfin pensionnaire en 1712. Quant au traducteur, l'abbé François Boutard (1664-1729), poète néo-latin qui se piquait d'imiter Horace en toutes choses, il avait été nommé membre de l'Académie royale des inscriptions et médailles en 1701. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Turin, 27 septembre 1871; in-folio (42 x 35 cm), en feuille. Pliures fragiles.
Formulaire pré-imprimé renseigné manuscritement.Passeport accordé par le Consul de France à Turin, Charles-Bernard de Jussieu de Sénevier (1820-1901) à l'éditeur Jules Gay (1807-1887), retournant en France avec son épouse Jeanne-Désirée Véret (1810-1891), militante socialiste comme lui.Car ce Gay est le même que l'éditeur d'ouvrages "libres" et l'auteur bien connu de la célèbre Bibliographie des principaux ouvrages relatifs à l'amour, aux femmes et au mariage et des livres facétieux, pantagruéliques, scatologiques, satiriques (1861). Exilé depuis 1864 à Bruxelles, le couple ne devait probablement effectuer qu'un court voyage en France, surtout dans l'atmosphère qui suivit la Commune. Ils se fixèrent définitivement dans la capitale belge en 1876, et c'est là qu'ils terminèrent leur existence. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.d. 31 x 45 cm, sous chemise et transparent modernes.
Gravure au trait.Contrefaçon sans les légendes d'une gravure de 1649 attribuée à Samuel Bernard (1615-1687) et représentant de façon allégorique une distribution gratuite de vivres provenant de pillages, effectuée pendant la Fronde devant la Porte Saint-Martin par une grande dame (la duchesse de Longueville, ou la duchesse de Bouillon, ou la duchesse de Montpensier). Par rapport à la gravure originale, les sujets sont inversés, et ne subsistent, comme lettre, que le titre en haut ainsi qu'un texte inscrit sur le drapeau tenu par un des personnages, les couplets explicatifs ayant été omis. Ils permettent de comprendre que les trois personnages du premier rang figurent des populations : la dame qui sort de la Porte Saint-Martin est "Dame Paris" (le destinataire des vivres est le petit peuple de Paris) ; le jeune homme qui se penche vers elle est "Nourricier Gonnesse" et la femme qui conduit un chariot rempli de pains répond au nom de "Dame Aubervilliers" (l'origine des vivres).Cf. l'exemplaire du Musée Carnavalet, G. 41 031. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie nationale, s.d. in-8, 39 pp., broché et non coupé.
Député du Gers à la Législative, puis membre de la Convention, Descamps vota pour la mort du roi "et contre le sursis". Il prit parti pour les Girondins et fut décrété d'arrestation. On le retrouve à la Convention après le 9 thermidor.Martin & Walter, II, 10291. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.d. (1800) in-folio, [2] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne et lisible, quelques ajouts et biffures, en feuille.
Cette copie manuscrite est à placer chronologiquement entre la composition de la pièce et sa présentation au comte de Provence pendant son séjour à Vérone (entre 1794 et mai 1796) d'une part, et la parution de la collective de l'auteur intitulée Essais de poésies, qui parut en 1800 à l'adresse de Paris.En effet, une note finale témoigne du dépit que Fonvielle nourrit au refus d'insérer cette poésie dans l'ouvrage : "Mr. de Fonvielle, auteur de l'Essai sur l'état de la France au 1er mai 1796 (...) a osé imprimer son Ode à Louis XVI, dans son recueil de poësies, signé de lui, imprimé en 1800, à Paris, en 2 volumes. Cette Ode ne fut pas insérée, malgré les pressantes sollicitations de l'auteur." Le jeune gouvernement consulaire, avec de surcroît Fouché à la tête de la police générale, ne pouvait effectivement guère tolérer ce qui pouvait raviver le souvenir de l'ancienne famille royale. Mais le sieur Fonvielle n'avait qu'à attendre une quinzaine d'années, et en effet son immortel poème put enfin connaître la gloire de l'impression .. en 1816 chez Dentu.Le Toulousain Bernard-François-Anne Fonvielle (1760-1839) fut, tout au long de sa vie, un personnage extravagant et fantasque, à la fois publiciste, homme d'affaires et fonctionnaire, bien évidemment à convictions et positionnements multiples. Selon un de ses observateurs, "il ne réussit qu'à faire figure d'aventurier dans la politique, les affaires et dans les lettres". Pendant la Révolution, il commença par militer aux côtés des Girondins. Fédéraliste agissant contre la tyrannie jacobine, il prêcha la révolte dans plusieurs départements. Poursuivi, il entreprit un long périple à l'étranger. Et brusquement, il se convertit au royalisme, s'établit à Marseille où il s'enrichit par des spéculations plus ou moins légales et put ainsi fournir un prêt de 142.000 livres à un émissaire du comte de Provence (le futur Louis XVIII), pour soutenir la cause royaliste. Mieux, au cours d'un voyage en Italie, il réussit à se présenter au comte de Provence comme ardent partisan du retour de la royauté. Et c'est à l'occasion de cette visite qu'il dut présenter son Ode.Cf. Quérard III, 158 et 159. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, 23 septembre 1832 in-folio, [3] pp. n. ch., couvertes d'une écriture régulière, soignée et très lisible, quelques ratures, en feuille. Manque de papier réparé en bas des deux feuillets, avec perte de quelques lettres.
Directement adressée au Roi, contre tous les usages, cette longue et profuse missive, dont on a ici un brouillon ou une copie, trace le portrait d'un solliciteur insistant et malheureux ("Je ne rappelerai point à Votre Majesté ce que j'ai pris la liberté de lui exposer par diverses suppliques. Le sort qu'elles ont eu dans votre cabinet, où sans doute on ne les a pas jugées dignes de passer sous vos yeux, puisque je n'en ai obtenu aucune réponse, m'avertit que je me suis abusé ...").Bernard-François-Anne Fonvielle, dit le chevalier de Fonvielle (1760-1839), aventurier instable et brouillon né à Toulouse, ancien Jacobin méridional, puis fédéraliste, passa au royalisme après le siège de Toulon, s'était beaucoup agité en tous sens et avait mené une activité de conspirateur sous le Directoire. Depuis la Restauration, il s'épuisait en sollicitations pour recouvrer une créance de 142 000 livres remontant au siège de Toulon, et pour obtenir une pension, alléguant de sa "fidélité" à la cause royaliste ; ce qui ne marcha pas avec la branche aînée, il l'essaya avec la branche cadette après 1830, et notre missive offre un bon exemple de sa manière larmoyante et répétitive, ainsi que de son style insupportable : mettant en avant son dévouement (bien récent) à la cause "gouvernementiste" et les opuscules qu'il avait publiés depuis 1830 en faveur du changement de régime, il revient sur la créance dont il s'estime lésé, et demande la réévaluation de la pension consentie par le ministère Villèle."Je jouissais d'une allocation de 6000 fr. par an sur les fonds du ministère de l'intérieur ; elle était le prix d'une concession par moi faite à Mr. de Corbière, qui me l'avait assurée ma vie durant. Successivement réduite, au mépris d'une convention positive, dont la déclaration des bureaux a vainement établi la réalité, elle n'est plus que de 2400 fr., mon unique moyen de subsistance. J'ai eu beau réclamer contre ce manque de foi ; j'ai eu beau exposer quelles étaient les conséquences d'un tel retranchement pour mon ménage composé de 11 personnes, la Restauration ayant commis le crime de laisser sans travail un homme tel que moi, après que deux pillages, en 1814, et 1815, m'auront chassé de mon domaine aux portes de Paris, et s'étant fait chasser elle-même sans m'avoir payé 142 000 fr. qu'elle me doit depuis 39 ans, et pour lesquels je n'ai rien obtenu depuis 16 ans, j'ai eu beau représenter que la révolution avait empiré mon horrible situation en faisant avorter une banque du bâtiment que j'étais à la veille d'instituer lorsque tonna le canon de juillet, ce qui m'a coûté au-delà de 40 000 fr., j'ai eu beau enfin appeler la justice ou même la pitié du ministère sur un père de famille exposé à périr avec tous les siens, tout est resté sourd à mes cris de détresse".Rétrospectivement, et sans doute cruellement, on voudrait ajouter : "et à raison ..." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, 11 pluviôse an VIII (31 janvier 1800) in-4, écrit au recto du premier feuillet, en feuille.
Lettre de recommandation adressée à son collègue au Sénat conservateur Jean-Frédéric Perregaux (1744-1808) par Bernard de Lacépède (1756-1825), secrétaire de cette assemblée et futur premier grand chancelier de la Légion d'honneur.Elle a été rédigée en faveur de l'ancien secrétaire de Lacépède, Huet, pour lequel est sollicitée une place dans les bureaux de la Banque de France, dont Perregaux allait être nommé un des régents en février suivant. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, A. Franck, Munich, Chr. Kayser, 1853 in-12, [4]-XXXVI-158 pp., demi-basane blonde, dos lisse orné de filets et pointillés dorés, pièce de titre prune, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Rousseurs, dos un peu passé.
Le poète Thalès Bernard (1821-1873) s'intéressa de façon constante aux origines et à l'interprétation de la mythologie ancienne : il livra plusieurs études sur la question, développant un système qui n'eut guère de continuateurs. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Brepols, 1995 in-8, 206 pp., tableaux et cartes in-t., broché.
Collection Hommes de Dieu et Révolution, dirigée par Bernard Plongeron, CNRS. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Librairie des Bibliophiles, 1881 grand in-8, 375 pp., portrait-frontispice, demi-chagrin brun, dos à nerfs orné en queue (reliure de l'époque). Dos passé et légèrement frotté, coins usés. Rousseurs. Ex-libris Roger Magadoux.
Édition originale tirée à 554 exemplaires, 1/500 ex. sur vélin."Garde du corps au début de la Révolution, Bernard de La Frégeolière émigre et sert dans l'armée de Condé en 1793, fait retraite en Hollande, est à Quiberon et dans l'Ouest contre les armées républicaines de 1796 à 1799. Il écrit ses mémoires en 1817." (Fierro, 797).Tulard, 814 : "La pacification de l'Ouest sous le Consulat ; le soulèvement des Cent-Jours."Lemière, 29. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Londres, Horace Cox, 1895 in-8, viii pp., 166 pp., [5] ff. n. ch., avec quelques illustrations dans le texte et 24 planches hors texte, toile chagrinée aubergine, dos lisse, encadrements à froid sur les plats, mulet doré poussé au centre du plat supérieur (reliure de l'éditeur). Dos insolé et un peu taché.
Exposé essentiellement zoologique. Le naturaliste William Bernard Tegetmeier (1816-1912) s’intéressa particulièrement aux pigeons et à la volaille, aux rapaces et aux abeilles. Il rencontra Charles Darwin (1809-1882) vers 1855, et les deux savants commenceèrnt alors une correspondance suivie qui portait surtout sur les élevages entrepris par Tegetmeier. Ces échanges alimentèrent même deux livres de Darwin : On the origin of species (1859) et The Variation of Animals and Plants under Domestication (1868).Aucun exemplaire au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Librairie des Bibliophiles, 1881 grand in-8, 375 pp., portrait-frontispice, demi-chagrin noir, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, couverture conservée (reliure moderne). Rousseurs.
Édition originale tirée à 554 exemplaires, 1/500 exemplaires sur vélin."Garde du corps au début de la Révolution, Bernard de La Frégeolière émigre et sert dans l'armée de Condé en 1793, fait retraite en Hollande, est à Quiberon et dans l'Ouest contre les armées républicaines de 1796 à 1799. Il écrit ses mémoires en 1817." (Fierro, 797).Tulard, 814 : "La pacification de l'Ouest sous le Consulat ; le soulèvement des Cent-Jours."Lemière, 29. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Blois, Imprimerie Raymond Sille, 1949 in-8, 81 pp., un f. n. ch. de table, broché.
Premier fascicule seul.Bernard Edeine (1908-1999) était professeur d’anglais au collège de Romorantin (Loir-et-Cher) depuis 1935. Dès l'année suivante, avec l’aide de ses jeunes élèves issus du monde rural et de leurs parents comme informateurs, il commença ses premières enquêtes sur l'ethnologie de la Sologne, champ d'études qu'il ne devait plus quitter. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Besançon, Faculté des lettres, Paris, "Les Belles lettres", 1955 in-8, 198 pp., un f. n. ch. de table, broché.
Unique édition.Le lexicographe Bernard Quemada (1926-2018) contribua à introduire sa spécialité dans l'Université française tout au long de sa carrière universitaire. Envoi autographe de l'auteur au professeur Pintard. René Pintard (1903-2002) fut professeur de littérature à Poitiers, puis à la Sorbonne (de 1946 à 1973). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Avignon, Joseph-Charles Chastanier, 1716 in-8, 618 pp., un f. n. ch.,16 pp., basane brune, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, tranches mouchetées de rouge (reliure de l'époque). Accroc en coiffe inférieure, essais de plume sur les premières gardes.
Édition originale (il existe une seconde édition à la date de 1723). Bernard Bonet (1658-1741) était dominicain.Au CCF, exemplaires de cette édition seulement à l'Inguimbertine, Avignon, Rouen et Nîmes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Domat Montchrestien, 1950 in-8, 434 pp., broché, non coupé.
Unique édition. Bernard d'Orgeval Dubouchet (1909-2005) fit toute sa carrière dans l'enseignement des mathématiques, et s'occupa accessoirement d'histoire bourguignonne ; ce texte erratique est un peu un mystère dans son parcours, surtout qu'il était à l'époque professeur de mathématiques à la Faculté des sciences de l'Université de Grenoble. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Moutardier [Imprimerie de Guiraudet], 1829 in-8, [3] ff. n. ch., 424 pp., broché sous couverture imprimée. Dos très bruni. Rousseurs et mouillures.
Édition originale (il y eut une seconde édition en 1833) de cette initiation politique d'inspiration libérale. L'avocat Joseph Bernard (1792-1864), ami de Béranger, fut successivement préfet des Basses-Alpes, préfet du Var, puis député du Var, dans la circonscription de Toulon-Ville, mais décida de ne pas se représenter en 1834. Il occupa ensuite successivement les postes de conservateur de la bibliothèque Sainte-Geneviève et à la Bibliothèque impériale. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, J. de Gigord, 1923 2 vol. in-12, 348 pp. ; 352 pp., demi-chagrin cerise, dos à nerfs ornés de pointillés, filets et doubles caissons dorés (reliure de l'époque).
La première édition de ce classique de l'édification parut en 1866, soit seulement cinq ans après la mort de Lacordaire. Le père Bernard Chocarne (1826-1895) était entré en 1849 chez les Dominicains de Flavigny, puis fut prieur du couvent de Paris de 1857 à 1860, ce qui en fait un témoin des dernières années du "refondateur" de l'Ordre en France.Ex-libris manuscrit Lelong. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Desrez, 1838 in-8, XXXI-574 pp., demi-percaline brune (reliure de l'époque). Rousseurs.
Édition originale.Député du Gers, proche de Napoléon III, Bernard-Adolphe de Granier de Cassagnac, s'efforce d'écrire un livre d'histoire et de s'élever au dessus des partis. Son livre est dédié à Guizot. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT