235 books for « 1823 »Edit

‎LETTRE DE CERTIFICAT DE BONS ET LOYAUX SERVICES DONNE PAR LE BARON HUREL MARECHAL DE CAMP (COMMANDANT LES TROUPES A SEU D'URGEL - CAMPAGNE DE CATALOGNE 1823)A MR MORIN, LIEUTENANT D'ARTILLERIE POUR SA CONDUITE LORS DU SIEGE DE SEU D'URGEL , PARIS 1823‎

‎Paris 1823 une lettre de 2 pages, sur papier velin ligné, format : 20,5 x 32,5 cm, manuscrite à l'encre brune sur les deux pages, lettre adressée à MR MORIN, LIEUTENANT D'ARTILLERIE, envoyée par LE BARON HUREL MARECHAL DE CAMP (COMMANDANT LES TROUPES A SEU D'URGEL - CAMPAGNE D'ESPAGNE 1823), signature manuscrites du Baron HUREL avec le cachet de cire rouge à ses armes, PARIS 1823,‎

‎Lors de l'expédition d'Espagne à laquelle il participe brillamment en Catalogne, sous les ordres du maréchal MONCEY, le chef du corps expéditionnaire des Pyrénées, le duc d'Angoulème, donne enfin ses étoiles à HUREL en le nommant maréchal de camp (équivalent de l'actuel général de brigade) le 23 juillet 1823. A ce titre il fait le siège de la Seu d'Urgel, obligeant la ville à capituler après trois jours de tranchée ouverte.......Certificat avec la narration par le Baron Hurel de toutes les difficultés auquel le lieutenant Morin a été confronté lors du siège de SEU D'URGEL et pour lequel il avait demandé avec insistance la croix de la Légion d'Honneur......Unique.......en trés bon état (very good condition). en trés bon état ‎

‎Théâtre de Madame.- L'Amour et la Guerre par MM. Arago, Victor et Desnoyers.- Voitures versées. Opéra comique en 2 actes par M. Dupaty, musique de Boïeldieu.- Le Mauvais Sujet par MM. Scribe et Camille.‎

‎ 1823 affiche 360 x 450 mm., encadrement typographique. P. Danicourt-Huet 1823‎

‎On commencera à six heures très-précises. ‎

‎56ème régiment de Ligne. Livret militaire appartenant à Moreaux, La Chapelle Montodon ( Aisne). 3ème Bataillon, 3ème Compagnie, Voltigeurs.‎

‎ Livret in-12°, broché, couverture muette de papier gris de l' époque, 36pp. Etabli le 13 juin 1823 ( date de l' arrivée au Corps).Couverture défraichie, quelques piqûres.‎

‎On trouve au début du livret la " Nomenclature alphabétique des délits militaires et peines y attachées " et en fin " Nomenclature du fusil et de ses accessoires" et " Devoirs du Soldats ". Le Voltigeur Moreaux, domestique de profession, est arrivé au corps le 13 juin 1823 comme Vétéran et a été congédié le 18 octobre 1823. Le livret port la signature autographe du Capitaine Letellier.( Cl Ber) ‎

‎Almanach royal, pour l'an 1823 ; Présenté à Sa Majesté‎

‎Paris, M.-P. Guyot, s.d. (1823) fort vol. in-8, [9] ff. n. ch. (titre avec armes de France et de Navarre coloriées, sous serpente ; calendrier), pp. 19-997, [3] pp. n. ch., petite déchirure au dernier f., chevrette cerise, dos lisse orné de dent-de-rat, filets et larges fleurons dorés, encadrement de tortillon, simple filet et guirlande de palmettes dorés sur les plats, armes au centre, simple filet doré sur les coupes, tranches dorées, guirlande dorée en encadrement sur les contreplats, gardes de tabis bleu Fines usures. (reliure de l'époque).‎

‎Précieux exemplaire aux armes de Marie-Amélie de Bourbon-Sicile (1782-1866), alors duchesse d'Orléans. O.H.R. 2587-1. ‎

‎Almanach Royal pour l'an M.DCCC.XXIII. Présenté à sa Majesté.‎

‎ 1823 Paris, Guyot, (1823), fort volume in 8° broché, 998 pages ; couverture de parution effrangée. ‎

‎ ...................... Photos sur demande ..........................‎

‎Rapport de la commission créée par l'ordonnance royale du 30 juin 1824 pour recueillir des documens sur les dépenses de la Guerre d'Espagne‎

‎Paris, Imprimerie Royale, 1824 fort vol. in-4, LI-[3]-630 pp., broché sous couverture d'attente de papier crème. Manque de papier sur la première couverture, des mouillures parfois importantes. ‎

‎Très rare : premier volume seul (sur cinq parus de 1824 à 1825) : l'expédition d'Espagne de 1823, destinée à rétablir dans ses droits absolus Ferdinand VII n'avait pas seulement été critiquée pour des raisons politiques par les libéraux ; elle avait aussi suscité des interrogations sur la gestion des fonds alloués à la campagne elle-même, puis au maintien sur place d'un corps expéditionnaire de 45000 hommes jusqu'en 1828.Palau, 248166. Absent de Del Burgo, Bibliografia del siglo XIX. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎ANNALES MARITIMES ET COLONIALES, ou RECUEIL de Lois et Ordonnances ROYALES, Réglemens et décisions ministérielles, Mémoires, Observations et Notices particulières, et généralement de tout ce qui peut intéresser la Marine et les Colonies, sous les rapports militaires, administratifs, judiciaires, nautiques, consulaires et commerciaux. ANNEE 1823, 1ère partie. ‎

‎ Paris, Imprimerie Royale, 1823, réimprimé en 1843 ; 1 volume in-8 (14 x 9), demi-veau vert tilleul de l'époque, dos lisse orné, titres et tomaison dorés, tranches jaunes, faux-titre, page de titre, xvi, tableaux in et hors-texte, 696 pages.‎

‎Reliure au dos insolé, légèrement frottée, petites rousseurs éparses. (photos sur demande) ‎

‎Lettre autographe signée à Jules Janin‎

‎Alexandre Goria (1823-1860), compositeur, pianiste. L.A.S. à la troisième personne, sd [avril 1845], 1p in-8. A l'écrivain Jules Janin (1804-1874) : « Monsieur Goria prie monsieur Jules Janin de lui faire l'honneur d'assister au concert qu'il donnera le samedi 12 avril salle Pleyel. On entendra : mad Dobré de l'Opéra, Bassine[?] de l'op. Cque. MMr Hermann, Gottschalk, Godefroid, L Massart et A Goria ». Si nous n'avons rien trouvé sur ce concert, probablement privé, la liste des artistes est intéressante. On y trouve notamment la soprano Marie-Rosalie-Claire Dobré (1818-?), le virtuose américain Louis Moreau Gottschall (1829-1869), fameux compositeur qui fit le tour du monde pour interpréter ses oeuvres, le compositeur et harpiste belge Félix Godefroid (1818-1897), le violoniste belge Joseph Massart (1811-1892). Hermann est probablement le pianiste et professeur Johann David Hermann (ca.1760-1846) qui fut le professeur de Marie-Antoinette. Dans la chemise papier « Lettres adressées à M. Jules Janin ». Les autographes de Goria sont rares. [370] ‎

‎La Maison de France et l'Assemblée Nationale - Souvenirs 1871-1873 publiés par son petit-fils le duc d'Audiffret-Pasquier(Témoignage sur les évènements qui ont aboutit à l'échec de la Monarchie devant l'Assemblée Nationale) ‎

‎ 1938 PARIS, Lib. Plon - 1938 -In-8 - Broché - Portrait NB en frontispice du duc d'Audiffret-Pasquier (1823-190) - 301 pages - bon exemplaire - Réf. 48340‎

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‎Ein Schweizer-Almanach auf das Jahr 1823‎

‎Bern, F.F. Burgdorfer, Lzg., Schmid, 1822, kl. in-8vo, 382 S, + 1 S.(Verlagsanz.) Mit 5 gest. Tafeln (davon 3 gef.) ill. O.-Pappband..‎

‎Pièce signée‎

‎[Haras impériaux] Antoine Donnet de Fonrobert (1823-1891), directeur du haras de Pompadour. P.S., Pompadour, 19 juin 1865, 1p in-4. Certificat de saillie, pré-imprimé, à trous, pour la jument de M. du Breuil de Souvolle par un étalon impérial, nommé « Commandant », qui a donné naissance à une pouliche le 20 avril 1865. [360] ‎

‎Lettre autographe signée à Paul Féval‎

‎Théodore de Banville (1823-1891), poète. L.A.S., sd [1847?], 1p in-8. A l'écrivain Paul Féval (1816-1887). « Mon cher confrère, J'ai vraiment honte de mon indiscrétion. Pourriez-vous me donner un de ces jours deux places encore, pour moi ? J'ai une jeune amie de huit jours qui compte sur moi pour voir Le Fils du Diable. Si cela se peut, écrivez-moi donc un petit mot pour me dire quel jour je puis aller chercher un billet. Je n'ose pas aller vous voir ; j'ai oublié vos heures. Rappelez-les moi et croyez-moi tout à vous, en toute occasion, Théodore de Banville ». Le Fils du Diable, paru d'abord en roman en 1846, est créé au théâtre de l'Ambigu-Comique le 24 août 1847. Provenance : Jean-Louis Debauve avec son cachet de collection au dos. Rare lettre de jeunesse de Banville dont on remarquera la signature différente et l'écriture qui n'est pas encore en patte de mouche. [362] ‎

‎Manuscrit autographe signé‎

‎[Camille Corot] Henri Dumesnil (1823-1898), collectionneur, ami de Corot. Manuscrit A.S., mai 1880, 27p in-4. Manuscrit du discours du grand ami de Corot lors de l'inauguration du monument élevé à la mémoire de Corot à Ville d'Avray le 27 mai 1880. Les pages sont écrites sur la moitié droite avec de nombreuses corrections, parfois longues, en marge. Se qualifiant lui-même d'inconnu, il explique être là pour son amitié envers Corot et non comme critique d'art et développe longuement sur la vie de Corot, citant notamment ses rencontres (Millet, Dupré, etc). On joint un dessin original, non signé, représentant le monument Corot. Il est contrecollé sur un feuillet similaire à ceux du manuscrit. Il est fort possible qu'il ait été fait à l'occasion de l'inauguration du monument. On joint un second dessin original, non signé, in-8 oblong, représentant une vue de l' « emplacement du monument Corot à Ville d'Avray », datée du 7 juin 1888. On devine le monument au centre. On joint une chemise de Dumesnil indiquant le contenu et avec la mention « Mon Discours ». Très beau document d'un proche de Corot. [364] ‎

4 Images

‎Lettre autographe signée ‎

‎Félix Duban (1798-1870), architecte, grand prix de Rome 1823. L.A.S., Paris, 29 octobre 1862, 1p in-8. A l'archéologue Albert Lenoir (1801-1891), secrétaire perpétuel de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris. « Mon cher Secrétaire perpétuel, Je viens vous prier de vouloir bien donner des ordres pour que quelques chaudes soient obtenues à l'aide des calorifères, dans le nouveau bâtiment. Cette demande est d'autant dans l'intérêt du contenu que du contenant. La fraicheur des lieux le réclame, et je l'ai fait faire, tant que je l'ai pu. Les lieux vous sont livrés, et dès l'année dernière j'avais prévenu votre prédécesseur que la chose incombait désormais à l'administration. Je vous serai bien obligé de cette précaution et vous prie d'agréer l'expression de ma vieille amitié. Félix Duban ». Duban venait de livrer la salle de lecture au premier étage du Palais des Etudes, en lieu et place de la salle de présentation des maquettes d'architecture. Lenoir était devenu secrétaire perpétuel en remplacement de Charles-Léon Vinit (1806-1862), mort le 30 avril. [366] ‎

‎Lettre autographe signée ‎

‎Xavier de Montépin (1823-1902), écrivain. L.A.S., Paris, 18 février 1860, 1p in-8. Autorisation donnée à Charles Huillery, dit Renneval, (1815-1870) de publier trois ouvrages dans sa collection à 50c : Les Chevaliers du Poignard, Les Viveurs d'autrefois & Le loup noir. Sympathique document. [370] ‎

‎Lettre signée ‎

‎Jean-Nicolas Pache (1746-1823), ministre de la guerre, maire de Paris sous la révolution. L.S., Paris, 23 juillet 1789, 1p in-4. Lettre d'affaires. A M. Durand à Brest. Il a reçu ces courriers et les « paquets de pièces et de décharges qu'elles annoncent ». Il en fera la répartition. [371] ‎

‎Lettre autographe signée ‎

‎Rudolph von Wrbna (1761-1823), grand chambellan de l'empereur du Saint-Empire. L.A.S., Vienne, 9 février 1819, 2p in-4. A l'ingénieur Victor de Moléon (1784-1849). Il accuse réception d'un colis pour l'« empereur de Russie » déjà partie de Vienne et a fait le nécessaire pour qu'il lui parvienne. Il a aussi reçu sa souscription, « trois listes de souscription » et la lettre de son oncle sur l'incendie de Moscou. [375] ‎

‎Lettre autographe signée à Madame William Monod, i.e. Marie Valette (1839-1910), femme de lettres.‎

‎Auguste Himly (1823-1906), historien, géographe, président de la Société de l'Histoire de France. L.A.S. + enveloppe, 20 juin 1896,1p in-8 oblong. A Madame William Monod, i.e. Marie Valette (1839-1910), femme de lettres et fille de pasteur comme son mari William (fils d'Adolphe (1802-1856)). Il ne peut accéder à la demande de Monod qui souhaitait faire « intervertir l'ordre alphabétique des candidats au baccalauréat ». Il faut une « décision ministérielle spéciale » très difficile à obtenir. [78] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Théodore de Banville (1823-1891), poète. L.A.S., lundi 22 janvier [1855], 3p in-8. Très belle lettre au journaliste Louis Lucas, alors rédacteur en chef de l'éphémère Journal des novateurs dans l'industrie, les sciences et les arts : « Mon cher Lucas, Serais-je indiscret (je voudrais bien ne pas l'être car jamais la nécessité n'a été plus pressante) en vous demandant à puiser dans votre bourse pour la même somme que le mois dernier ? Je n'ai pas pu vous revoir et savoir si vous aviez été content de mon petit travail, à l'impression. Mais j'ai mille projets, et suis tout vôtre. S'il vous convient de me faire faire n'importe quelle besogne pour votre journal, je l'accomplirai amoureusement, en poète et avec une exactitude de chronomètre. Nous n'avons pas parlé d'argent, mais si peu que puisse payer à sa naissance le journal des Novateurs, ce sera bien et ce sera assez. Etre avec vous est pour moi une raison très déterminante. Je ne regarderais donc pas à la peine pour m'acquitter, et même sans la cruelle épreuve que je traverse, j'aurais été trop heureux de vous offrir fraternellement mon concours pour le seul plaisir de coopérer avec vous à fonder une chose qui existera, j'en suis certain. Encore une fois mon cher Lucas, c'est à l'ami que je m'adresse ; faites le possible ; au moment où nous sommes c'est faire l'impossible ! Je recopierai ce soir pour vous l'envoyer un tout petit opuscule, que vous jugerez. Mes respects bien empressés à Madame, et à vous toutes les amitiés de votre dévoué Th de Banville ». Banville avait en effet publié dans le numéro 3 (13 janvier) une longue poésie de ses Orientales : La vielle presse. C'est aussi la seule participation de Banville à ce journal. Ce poème ne fut toutefois pas publié dans les Orientales (1875) mais bien plus tôt dans ses Odes funambulesques (1857). Louis Lucas, sur lequel on sait peu de chose avait aussi été rédacteur en chef du journal Le dix décembre, pendant moins de deux ans. Il s'agissait d'un journal bonapartiste. Il a aussi publié plusieurs ouvrages dont Une Révolution dans la Musique (Paris, Paulin et Lechevalier, 1849, réédité en 1854 sous le titre L'Acoustique nouvelle) préfacé par Banville. Petits trous dans les deux feuillets (probablement dus à un classement ancien). Très intéressant courrier. [356] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Théodore de Banville (1823-1891), poète. L.A.S., Paris, 17 décembre 1876, 1/2p in-12. Il a lu la pièce et de son correspondant et souhaite le voir pour en parler. [356] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Xavier de Montépin (1823-1902), écrivain, romancier populaire. L.A.S., 25 mars 1874, 1p in-12. Il renvoie à son correspondant le manuscrit du Comte de Moret, feuilleton de Dumas père publié en 1865-1866. « Je vous le rends bien complet et en bon état ». [349] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Léon Gastinel (1823-1906), compositeur, violoniste, prix de Rome 1846. L.A.S., Paris, 30 janvier 1891, 3p in-8. Belle lettre à « Blanc » pour lui demander d'être un des deux parrains d'une de ses amis d'Angers, Mme Affichard (Louise Mesnard), épouse de l'ancien bâtonnier Emile Affichard (1824-1898). Elle a déjà un parrain, René Bazin. [230-2] ‎

‎Lettre autographe signée à Félix Jahyer‎

‎Léon Gastinel (1823-1906), compositeur, violoniste, prix de Rome 1846. L.A.S. + enveloppe, mardi 6 juin 1899, 2p in-8. A Félix Jahyer (1834-1907), rédacteur en chef de la revue Paris-Théâtre. N'ayant pas de nouvelles de Gustave Canoby (1829-1914), compositeur et violoniste, il demande à Jahyer de passer chez Canoby récupérer des partitions indispensable pour une réunion le lendemain chez Pleyel. [230-2] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Léon Gastinel (1823-1906), compositeur, violoniste, prix de Rome 1846. L.A.S., 6 novembre 1902, 1p in-8. A un confrère. Il regrette que Ivonne Guignard n'ai pas réussi, mais « sa lecture a été faible ». Il lui rappelle qu'il avait contribué à la nomination du père. [230-2] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Léon Gastinel (1823-1906), compositeur, violoniste, prix de Rome 1846. L.A.S., Fresnes-les-Rungis, 24 août 1904, 2p in-8. A un confrère. Ayant perdu ses notes sur les « épreuves subies par la société chorale de l'union orphéonique d'Orléans et sur son directeur Ernest Bastier », il demande celles de son correspondant afin de se rappeler des siennes. [230-2] ‎