Daniel Stern - Marie Catherine Sophie de Flavigny, comtesse d'Agoult (1805-1876),
Reference : 24023
(1896)
1896 Calmann Lévy 1896-1897, Paris - 3 vol. in-12. demi-chag. tabac, dos à nerfs orné,bon état,texte frais,complet
Daniel Stern est le pseudonyme de Marie Catherine Sophie de Flavigny, comtesse d'Agoult (1805-1876), épouse de Franz Liszt. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €
Valence : J. Céas et fils, 1867; EDITION ORIGINALE. Petit in-4 relié (25,4 x 16,8 cm), reliure demi-maroquin brun, titre doré sur le dos, tête dorée, couverture imprimée conservée, XII-331 pages, illustré d'un frontispice et de quelques gravures hors-texte. Exemplaire très frais et bien relié. Petit ex-libris. Bel exemplaire, rare en première édition.
S.l. [Paris], s.d. (ca 1805) gravure in-12 de 13,5 x 18,5 cm, en feuille, fixée sur papier fort.
Rare.Napoléon Empereur présenté avec les ornements impériaux antiques.Belle petite eau-forte allégorique sur vergé, mise en couleurs, gravée par Duplessi-Bertaux et terminée par Bovinet qui travaillait couramment avec lui, d'après un dessin de Louis Lafitte (1770-1828), peintre et dessinateur de la Révolution à la Restauration, Grand Prix de Rome en 1791 qui traitait habilement les scènes antiques.Représentation issue du clacissisme avec deux femmes, la France et l'Italie, dotées des attributs de la paix et du commerce, esquissant une révérence devant un Napoléon, empereur romain, sur un trône dominant la Cité au milieu de laquelle on aperçoit le Panthéon.Parsemée de symboles, son titre en cursive gravée se déploye sous l'image.Absent de De Vinck et de la Vente Soulavie. Aucun exemplaire à la BnF, au CCFr ou dans Joconde. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l. [Paris], s.d. (ca 1805) 25 x 17 cm, en feuille, sous marie-louise
Rare.Estampe allégorique au burin aquarellée à l'époque, sur vergé, gravée sous l'Empire (indiquée ANN. I IMP NAPOLEON sur le socle de l'obélisque) par Rémy-Henri-Joseph Delvaux (1748-1823) d'après Charles Monnet (1732-1808).La Victoire sur un trone désigne le buste de Bonaparte Premier Consul au pied d'un obélisque, tenant un volumen sur lequel on peut lire : "Traité d'Amiens. - Lunéville". Un homme lui apporte deux volumes portant le chiffre G. F. et de nombreux symboles jonchent le sol (Chouette, Caducée, Corne d'abondance, Faux...) sans armes.On veut célébrer le pacificateur de l'Europe, Napoléon en héritier des empereurs romains.Absent de la vente Soulavie (février 1904). Aucun exemplaire à la BnF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Donnet, Cardinal et Archevêque De Bordeaux (1798-1882) / Corta, Charles (député, 1805-1870) / Bellot Des Minières, Ernest
Reference : 8474
(1865)
18,5 x 25 Bordeaux 1865 "Monsieur le député, M. Ernest Bellot des Minières qui aura l'honneur de vous remettre cette lettre est à la tête d'entreprises fort importantes aux Etats-Unis, entre autres, du Virginia Canal [souligné] et du Southern-Pacific-Rail-Road [Souligné], que la maison Bellot des Minières frères est chargée d'achever, à titre de concessionnaire de constructeur principal et de propriétaire d'une partie notable de ces ouvrages. M. Michel Chevalier a écrit de ces deux travaux qu'ils sont d'un intérêt universel [souligné]. Ils sont destinés en effet à inaugurer le commerce direct entre l'Asie et l'Europe par le continent américain. La paix qui parait devoir se conclure aux Etats-Unis, va permettre à MM. Bellot des Minières de reprendre ces travaux que la guerre civile, seule, les avait forcés d'interrompre. Mais ces jeunes gens ont besoin du concours de tous les hommes qui peuvent comprendre la portée et les avantages de leur entreprise. Nul mieux que vous, Monsieur, n'est à même de s'en rendre compte, depuis surtout la mission que vous avez remplie au Mexique. La connexité qui existe entre les intérêts mexicains et ceux qui personnifient MM. Bellot des Minières est en effet évidente et je ne doute pas qu'après avoir écouté M. Ernest Bellot vous ne soyez frappé de tout ce qui peut découler de ces travaux soit pour notre commerce, soit pour la prospérité du Mexique. Je vous saurais donc gré, Monsieur le Député, d'accueillir avec bienveillance les communications de M. Ernest Bellot qui m'a demandé de l'accréditer auprès de vous. Je serais heureux de vous voir prêter à l'ensemble des entreprises qu'il représente, l'appui de votre influence. Agréez, Monsieur le Député, l'assurance de ma haute considération." [Signature) "+ Ferdinand Card. Donnet, archevêque de Bordeaux." Le cardinal Donnet, sénateur de droit sous le Second-Empire, a été archevêque de Bordeaux de 1837 à 1882. La lettre témoigne de l'étendue des centres d'intérêt de l'influent cardinal à la longévité épiscopale exceptionnelle, mais également de l'expansion des investissements français à l'étranger sous le Second-Empire, sous l'influence notamment du libre-échangiste Michel Chevalier. Le banquier Ernest Bellot des Minières (1831-1892) était un des fils de Pierre Bellot, maire républicain de La Réole (Gironde). La Virginia Canal Company avait été créée en association avec Thomas Harding Ellis, avec pour objectif de relier Richmond (Etat de Virginie) et la rivière Ohio. La Southern Pacific Rail Road avait pour vocation à l'origine de relier San Francisco à San Diego. Rappelons également que le cardinal Donnet avait des liens étroits avec la famille Bellot des Minières, puisque un des frères d'Ernest, Henri était depuis 1857 à Bordeaux le secrétaire particulier du cardinal. Nommé Vicaire général en 1880, Henri Bellot des Minières devint évêque de Poitiers en 1881. Charles Corta (1805-1870) était un député landais bonapartiste, proche de Napoléon III. Membre de la commission du Budget au Corps législatif, il avait été envoyé en 1864, dans le cadre de l'expédition du Mexique, en mission à Mexico comme expert financier, afin de contribuer à l'organisation du gouvernement mexicain et au développement de la présence française. Il revint en France en septembre 1864 et participa en novembre 1864 à Compiègne à une conférence sur la situation mexicaine qui réunissait Napoléon III, le roi des Belges et le ministre des finances Achille Fould. Très bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
Epivent, Mgr Louis-Marie-Olivier (1805-1876, Évêque d'Aire et De Dax)
Reference : 8478
(1865)
13,5 x 21 Aire 1865 "Monsieur le Sénateur, Je veux que vous appreniez par moi-même le changement de votre curé. Il est nommé à Saugnac-lès-Dax et là, il ne sera pas encore éloigné des relations qu'il a contractées dans le canton pendant les onze ans de son ministère à Méees. J'envoie pour le remplacer un prêtre qui compte déjà dix années de sacerdoce. C'est M. Sigret qui a professé près de 14 ans dans l'enseignement des lettres au collège d'Aire. J'ai cherché, Monsieur le Sénateur, à vous procurer un prêtre instruit, affable, dévoué avec lequel vous puissiez établir des rapports agréables durant le temps que vous passez à votre belle terre d'Angoumé. Depuis que j'ai eu l'honneur de vous voir, Monsieur le Sénateur, vous avez passé par les phases les plus opposées et les plus ordinaires de la vie humaine. La douleur et la joie vous ont visité presqu'en même temps, et toujours la première laisse une impression plus forte que la dernière, surtout quand le coeur d'un père qui est saisi de la plus forte étreinte ! Quant à la haute distinction qui est venue vous chercher, je le dis pour flatterie, c'était justice. De bons et loyaux services longtemps prolongés, un glorieux mais périlleux voyage, tout attirait l'attention de l'Empereur. Votre pays s'en est réjoui, et l'Evêque a béni de la même main le monarque et le sujet rémunéré. J'avais besoin de vous rappeler, Monsieur le Sénateur, ce que vous n'avez pas oublié sans doute, que tout ce qui vous intéresse trouve un retentissement profond dans le coeur de votre dévoué serviteur." [Signature]. Mgr Epivent a été évêque d'Aire et de Dax de 1859 à 1876. Sa lettre est adressée au sénateur landais Charles Corta (1805-1870). Elle fait allusion non seulement à la vie familiale du sénateur, mais aussi à sa brillante carrière auprès de Napoléon III, qui lui confia une importante mission en 1863-1864 lors de l'expédition du Mexique. C'est à son retour du Mexique que l'Empereur l'éleva au rang de sénateur. Très bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
Paris, Testu, s. d. (1805) in-8, 824 pp., basane fauve, dos lisse orné de fleurons et guirlandes dorés (reliure de l'époque). Petits manques de cuir aux coiffes et aux coins. Ex-libris Jacques Jourquin.
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Louis-Hector Chaudru de Raynal (1805-1892), magistrat, historien. L.A.S., Le Vernay [Saint Eloy de Gy], 13 juin 1885, 1p in-12. A Albert des Méloizes (1839-1910). Il a su que son correspondant avait photographié « deux inscriptions [.] curieuses [.] trouvées dans les fouilles de la rue du Commerce », à Bourges. Il lui demande donc des épreuves. Méloizes, avocat à Bourges et préfet, était l'un des fondateurs de la Société des antiquaires du Centre. Il avait entrepris des fouilles rue du Commerce en 1884-1885. [352]
Pierre-Gustave Brunet (1805-1896), bibliographe et éditeur. L.A.S., Bordeaux, 17 mars 1881, 2p in-12. A Alfred Piet (1829-1901), bibliophile, trésorier de la société des amis des livres. Il envoie sa cotisation, espère passer à Paris pour rencontrer les autres membres et lui suggère de publier, en plus des textes connus dans de « très élégantes éditions », des oeuvres inédites. [363]
Léo de Laborde (1805-1874), homme politique, légitimiste. L.A.S., Paris, 22 décembre 1841, 1p 1/2 in-8. Au directeur du journal L'Orléanais, a priori le marquis de Saint-Maurice, (après Joseph Hue mort en 1835). Intéressante lettre demandant s'il souhaite participé à l'Union provinciale, un projet de réunion des gazettes royalistes de province. Il mentionne que certaines villes ont déjà accepté l'idée (Besançon, Grenoble, Alençon, Nantes et Avignon). Ce projet ne semble pas avoir abouti. Il est possible que ce marquis de Saint-Maurice soit Charles de Barbeyrac (1811-1849) [368]
Georges-René Pléville Le Pelley [Peley] (1726-1805), officier de marine, gouverneur du port de Marseille, ministre de la Marine, membre des Cincinnati, le « Corsaire à la jambe de bois ».
Reference : 015165
Georges-René Pléville Le Pelley [Peley] (1726-1805), officier de marine, gouverneur du port de Marseille, ministre de la Marine, membre des Cincinnati, le « Corsaire à la jambe de bois ». L.S., Paris, 27 thermidor an 5 [14 août 1797], 1p 1/2 in-folio. Copie conforme d'une lettre circulaire de Pléville Le Pelley concernant les abus de délivrance de passeports par les administrations civiles. La circulaire originale avait dû être envoyée à tous les départements côtiers. Sur notre copie, la mention du département est laissée en blanc. On notera, curieusement, que la copie porte, de la main d'un secrétaire « Signé Pléville Le Peley » et la mention « Collationné. Desaint ». Puis en dessous « Pour copie conforme » (secrétaire) et « Pleville Le Peley » (autographe). Signature peu commune. [372]
Lyon, imprimerie Léon Delaroche et Cie, 1890 ; in-8°, broché, 16 pp. + 1 feuillet manuscrit signé "Marius Audin" du 19 mars 1941, couverture grise illustrée d'un corbeau perché sur une branche avec des grenouilles au sol dont l'une se gonfle.a- Une notice, imprimée sur la page de garde, nous apprend que "La mort de l'auteur de la brochure intitulée "Encore Lugdunum" étant survenue au moment de l'impression de ces notes, on a renoncé à en faire une publication, et le tirage en a été restreint à douze exemplaires, non mis en librairie." A sa suite, une longue notice manuscrite signée de Marius Audin, du 1er mars 1941, nous raconte l'histoire de cette polémique d'Allmer contre Raverat. Quand Allmer décéda ensuite en 1899, son collaborateur affirma que sa brochure n'existait qu'à un seul exemplaire, le sien ; mais Marius Audin avait pu acquérir un autre exemplaire, sur "japon", présent ici.b- Exemplaire de la brochure : "Le Baron Raverat : Encore Lugdunum, Lyon, Waltener, 1890", dont il est question ci-dessus ; 39 pp. et couverture ocre.c- "Auguste Allmer 1805-1899", élève de Henry Marius-Pons, à l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Lyon le 5 décembre 1899, 4 pp., photographie, sous couverture grise.Ces trois documents sont reliés ensemble, sous étui cartonné de toile de jute, coins de velin ivoire, étiquette de titre et gros cordon de soie torsadée vieil or, gardes constituées d'une feuille de papier de chine jaune bouton d'or décorée de personnages et idéogrammes imprimés en rouge avec "Made in china", ancien.
Ensemble rare. Edition originale de cette controverse ; en 1890, le baron Achille Raverat, érudit local du Lyonnais, du Forez et de l'Ain, voyageait beaucoup et a publié plusieurs recueils intéressants d'histoire locale ; pour une fois, il est allé sur un terrain peu solide pour lui, la linguistique, pour expliquer l'étymologie de Lugdunum, nom latin de Lyon. Mal lui en prit, car l'épigraphiste éminant Auguste Allmer fit imprimer une cinglante réponse aux travaux hasardeux de Raverat qui, malheureusement, mourut au moment même où sa brochure sortait des presses de Delaroche. Celui-ci, du coup, fit détruire le tirage de sa réponse par respect pour le disparu et sa famille, Delaroche lui remit seulement une douzaine d'exemplaires et celui-ci, sur japon, est probablement le seul sur ce papier, il appartenait au prote qui l'offrit à Mathieu Varille !
Phone number : 06 60 22 21 35
Alphonse Gratry (1805-1872), prêtre, philosophe, restaurateur de l'Oratoire en France, membre de l'Académie Française. Considéré comme un des prêtes les plus éloquents avec Lacordaire autour de 1850.
Reference : 014218
Alphonse Gratry (1805-1872), prêtre, philosophe, restaurateur de l'Oratoire en France, membre de l'Académie Française. Considéré comme un des prêtes les plus éloquents avec Lacordaire autour de 1850. L.A.S., sd, 1p in-8. Il regrette d'avoir raté la visite de son correspondant et espère aller le voir. [231-2]
1820, 16 x 24.5 cm (23.5 x 32 cm), grau lavierte Orig.-Zeichnung, unten am rechten Rand hs. bezeichnet: ‘Par Rauch Joseph 1820’, etwas wasserfleckig im unteren Rand.
Johann Joseph Rauch. Geb. 1805 in Wien. War Schüler der Wiener Akademie. Stellte 1826-50 auf den Wiener Akademie-Ausstellungen aus. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Jules Favre (1805-1880), avocat, homme politique. P.A.S., Paris, mardi 5 décembre 1843, 1p in-8 oblong. Reçu de 100 francs pour sa plaidoirie dans l'affaire Fabre contre Bérard, payée par Guignard, administrateur de la succession Bérard. [304]
Auguste Barbier (1805-1882), poète, écrivain, traducteur. L.A.S., sd, 1p in-12. A un monsieur Alfred, afin de lui faire parvenir un billet d'entrée à une conférence du cercle agricole, de la part de M. Taillandier. [304]
Eugène Rosseeuw Saint-Hilaire (1805-1889), historien. L.A.S., 5 mars 1838, 1p in-8. A François Buloz (1803-1877), directeur de la Revue des Deux-Mondes. Il lui envoie une lettre reçue d'Amédée Pichot (1795-1877) et se plaint que son article sur son Histoire d'Espagne qui devait paraître dans la revue du 1er mars n'y soit pas. Il en profite pour rappeler qu'il est un des plus anciens collaborateurs de la revue (fondée en 1829). [304]
Edouard Drouyn de Lhuys (1805-1881), diplomate, homme politique, député.
Reference : 013644
Edouard Drouyn de Lhuys (1805-1881), diplomate, homme politique, député. L.S., Paris, 26 octobre 1864, 1p 1/2 in-8. A Androphile Randouin-Berthier (1795-1871), préfet de l'Oise, maître des requêtes au Conseil d'Etat. Félicitations pour l'annonce du mariage de son fils. [305]
Edouard Drouyn de Lhuys (1805-1881), diplomate, homme politique, député.
Reference : 013692
Edouard Drouyn de Lhuys (1805-1881), diplomate, homme politique, député. L.A.S., Paris, 10 avril 1860, 1p in-8. A Gracian-Garros (1806-1872), avocat, compositeur et collectionneur de musique. Il le remercie pour l'envoi de 200 francs à un comité, probablement l'association des anciens élèves de Louis Le Grand au nom duquel Drouyn écrit, en tant que président. [315-2]
Charles Didier (1805-1864), écrivain, poète, voyageur suisse. L.A.S., samedi 3 novembre 1838, 1p et demi in-8. Au député Léon de Maleville (1803-1879). Longue lettre à propos de démarches pour une place de secrétaire. Il veut voir Maleville avant d'écrire à Richard (David Richard, le médecin avec qui il cohabitait ?) et attend une lettre de Désiré Nisard (1806-1888). Peu commun. [178b]
Louis-Antoine Pagnerre (1805-1854), libraire, homme politique, secrétaire du pouvoir exécutif en 1848.
Reference : 013506
Louis-Antoine Pagnerre (1805-1854), libraire, homme politique, secrétaire du pouvoir exécutif en 1848. L.S. avec mention autographe « le secrétaire de la commission du pouvoir exécutif », Paris, 21 mai 1848, 1p in-4. Laissez-passer pour le citoyen Langlet, vraisemblablement le journaliste Gustave Langlet qui sera directeur de la Revue rouge de littérature et d'art en 1896. [304-2]
Jules Barthélémy-Saint-Hilaire (1805-1895), philosophe, homme politique, secrétaire de la commission du pouvoir exécutif.
Reference : 013509
Jules Barthélémy-Saint-Hilaire (1805-1895), philosophe, homme politique, secrétaire de la commission du pouvoir exécutif. L.A.S., Paris, 12 juin 1848, 1p in-8. Laissez-passer pour le citoyen Hélouin(?), « chef de la police municipale dans le 15e bureau de la chambre ». [304-2]
Aristide Jacques Trouvé-Chauvel (1805-1883), homme politique, éphémère préfet de police en 1848.
Reference : 013511
Aristide Jacques Trouvé-Chauvel (1805-1883), homme politique, éphémère préfet de police en 1848. L.S., [Paris], 26 juin 1848, 1/2p in-folio. « Citoyen, J'apprends à l'instant (11 heures et 1/2) que le fg St Antoine vient de se rendre sans conditions, après la reprise des hostilités. Salut et fraternité ». Provenance : André Lebey (1877-1938), écrivain et homme politique (socialiste). Court mais exceptionnel document annonçant la fin de l'insurrection de juin 1848. C'est avec la reddition de cette barricade que se finit ces journées particulièrement sanglantes (entre 5000 et 8000 morts en tout, fusillés compris). [304-2]
Flotte, Gaston de (1805-1882) - FLOTTE (Gaston-Étienne, baron de)
Reference : 27187
(1841)
1841 Marseille : impr. de M. Olive, 1841,In-18,broché, 160 p.ENVOI autographe AUTEUR ,traces de mouillure claire,rare
Édition originale. Le baron Gaston de Flotte, homme de lettres, collabora à "La Mode", la "Revue de Marseille" et à la "Gazette du Midi". Membre de l'Académie de Marseille (élu en 1840), légitimiste, catholique et monarchiste, il fut le représentant du Comte de Chambord à Marseille. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €
Adolphe Dumas (1805-1861), poète, écrivain. L.A.S., île Lacroix [Rouen], 30 septembre 1850, 3p in-4. A l'écrivain Jules Janin (1804-1874). Très belle et longue lettre amicale de Dumas qui dans son île pour deux mois et qui, en rentrant dans sa chambre, se dit : « et mes amours, et mes vers, et Janin. Mes amours sont encore là, avec leurs beaux vingt ans, et dans deux mois elle rentrent au couvent, comme si j'étais Louis XIV. Mes vers, n'entrent pas chez l'éditeur, qui édite tant de pourparlers sans rien dire. Janin laisse entrer chez lui toutes les Judith[?], Brohan, Nathalie et les nouvelles depuis mon départ et tous les amours là sont si plaisants à voir que Janin oublie mes beaux yeux ». Il parle ensuite de divers sujets : la loi sur la presse du 16 juillet 1850, Armand Bertin, Frédérick [Lemaître], etc. Puis il termine par : « voyez comme je bavarde avec vous, on n'est pas plus Sévigné. j'allais dire Balzac, - ma foi, je dis tous les deux car je n'aime ni l'un ni l'autre - lui n'écrivait qu'un corset, et elle. répandait en public son lait de nourrice ». Superbe document [306-2]