97 books for « l archeologue »Edit

‎Lettre autographe signée ‎

‎Georges Perrot (1832-1914), archéologue. L.A.S., Paris, 7 novembre 1888, 2p 1/2 in-8. Belle lettre de remerciements à Louise Rayet (1863-1908), veuve de l'archéologue Olivier Rayet (1848-1887) et fille de l'archéologue Ernest Desjardins (1823-1886) suite à l'envoi du livre de son défunt mari publié « par les soins de M. [Salomon] Reinach », ami de son mari. Il s'agit de Études d'archéologie et d'art (Paris, Didot, 1888). Il demande aussi si l'ouvrage « sur Milet et Héraclée du Latmos » pourra être terminé. Belle lettre. [372] ‎

‎Très intéressant ensemble composé d’une lettre autographe signée au Président de la Société Philotechnique, à laquelle sont jointes 2 autres lettres autographes signées, du peintre et archéologue Ernest Breton relatives à la candidature de Didron. Paris, 11 Octobre 1873. 3 pp. et demi gd. in-8.‎

‎Didron adresse avec une grande humilité sa candidature au titre de membre résident à la Société Philotechnique, section des Arts, en indiquant l’ensemble de ses divers travaux par-delà le monde. Il se positionne comme étant le « représentant d’un art spécial dont l’intérêt est considérable » et détaille avec précision, tout l’intérêt que son art occupe une place dans cette Société. « J’ai l’honneur de vous informer que je désire être admis dans la Société Philotechnique (section des arts) à titre de membre résident. En présentant ma candidature, j’ai le devoir de vous indiquer les titres que je puis faire valoir pour être reçu dans la célèbre compagnie que vous présidez et pour obtenir par cela même un honneur auquel j’attache le plus grand prix. Ces titres sont modestes Monsieur le Président, ils n’ont assurément pas la valeur de ceux que vous avez l’habitude d’examiner, mais je compte sur la bienveillante indulgence de vos honorables collègues ainsi que la vôtre. Je me suis à peu près exclusivement occupé jusqu’ici de l’étude du Moyen-Age chrétien, c’est-à-dire de notre art national ancien, et, tout en continuant la publication des "Annales Archéologiques" dont le deuxième volume est achevé, après la mort de Monsieur Didron ainé, mon oncle et père adoptif, fondateur de cette grande Revue, j’ai appliqué mes connaissances scientifiques et le résultat de mes études d’artiste à l’exécution de vitraux peints. J’ai essayé de faire progresser cet art spécial de la peinture sur verre dont les spécimens anciens brillent d’un éclat incomparable dans nos grands édifices religieux et sont une des gloires de l’art français. Mes œuvres principales sont placées dans les Cathédrales de Paris, Soissons, Langres, Nantes, Sens, Aix, Montpellier, Périgueux, d’Anvers (Belgique) etc. ainsi que dans les églises de Saint Vincent de Paul à Marseille, Notre Dame à Chalons S-M, Saint Eloi à Dunkerque, Notre Dame à Calais, Saint-Sauveur à Lille, du Saint Sépulcre à Abbeville, de Saint Maclou à Pontoise, ainsi que dans une assez grande quantité d’autres édifices en France, en Belgique, en Angleterre, en Espagne, en Allemagne et en Amérique. La nature même de mes travaux qui sont principalement de l’ordre décoratif, ne me permet guère de les préciser davantage, ce que je tenterais de faire, cependant, si cela vous semblait utile…. ». Les deux lettres autographes signées du peintre et archéologue Ernest Breton sont relatives à la candidature de Didron. Dans sa lettre du 3 Novembre 1873, Ernest Breton informe le Président qu’il ne pourra pas se rendre à la séance prévue le soir-même, pour examiner la demande de Didron. Il lui adresse toutefois son rapport sur le maitre verrier et lui demande de « le faire signer par MM. David, mes collègues de la Commission… ». Le rapport, signé par Breton, et co-signé par les frères David [Jules David, lithographe et peintre français et François Alexandre David, décorateur ornemaniste français], ne tarit pas d’éloges pour le verrier « S’il est un art bien véritablement français et dans lequel notre pays n’a jamais eu à craindre de rivaux c’est celui de peindre ces admirables verrières d’honneur de nos splendides cathédrales ogivales. Cet art, qui du premier coup était arrivé à l’apogée de son éclat au XIIIème et pour la beauté des couleurs et qui aurait pu tomber en décadence dans les siècles suivants malgré le perfectionnement notable de la composition et du dessin avait été totalement abandonné au XVIIème et XVIIIème siècle. C’est à notre temps qu’était réservée la gloire de la ressusciter en le perfectionnant. Maréchal de Metz, les Lobins de Tours, les manufactures de Sèvres, de Choisy, de Clermont etc. … l’ont remis en honneur. Et voici que l’un de leurs plus habiles collaborateurs vient demander à prendre place dans nos rangs. Monsieur Edouard Didron, présenté par MM. De Beaumont et Roux-Ferrand, s’est consacré à cet art et a enrichi de ses précieux précédents, un grand nombre d’églises de France, de Belgique, d’Allemagne, d’Angleterre, d’Espagne et même d’Amérique. Ses travaux spéciaux ne l’ont pas empêché de continuer ses études sur le Moyen-Age et de conserver la direction de l’intéressant recueil des Annales archéologiques, fondé par son oncle, M. Didron Ainé, qui a laissé dans la science un nom si justement honoré. Nous pensons donc que la Société Philotechnique ne peut que faire une excellente acquisition en la personne de M. Edouard Didron et nous avons l’honneur de vous proposer son admission en qualité de membre résident de ka classe des Beaux-arts… ». ‎

‎Lettre signée‎

‎[Monuments historiques, Maupassant] Arcisse de Caumont (1801-1873), archéologue ; Mellon Jolly (1795-1872), archevêque de Sées puis de Sens ; etc. L.S., Sens, 2 juin 1847, 1p in-4. Nomination de M. de Maupassant à la « Société française pour la conservation et la description des Monuments historiques » afin de la seconder dans « le pays qu'il habite », c'est-à-dire Sens. Il s'agit très certainement du père de l'écrivain Guy de Maupassant qui fit remettre la particule à son nom. Ce document porte 10 signatures : Arcisse de Caumont (1801-1873), archéologue et directeur de la société ; Georges de Soultrait (1822-1888), historien et secrétaire du conseil de la Société ; Mellon Jolly (1795-1872), archevêque de Sens présidant alors la réunion ; Augustin Crosnier (1804-1880) prêtre et historien nivernois ; Marquis de la Porte, de Vendôme ; Henry Lambron de Lignim (1799-1863), historien de Tours ; M. de Glanville, inspecteur des Monuments Historiques de Seine-Inférieure ; Joseph de Fontenay, d'Autun, père de l'historien Harold ; abbé Edme-Nicolas Tridon (1804-1868) inspecteur des monuments de l'Aube ; Louis-François Gaugain (1810-1893), trésorier de la société. Sympathique document. [107] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marius Chaillan (1858-1937), prêtre, historien, archéologue. L.A.S., Beaurecueil, 1er juin 1902, 3p & demi in-8. A Emile Espérandieu (1857-1939), militaire, épigraphiste, archéologue. Il lui envoie des débris de poterie avec fragments d'inscriptions et retranscrit plusieurs épigraphies avec des commentaires. Cachet de la collection Etienne Déville (1873-1944), historien, conservateur à Lisieux. [181] ‎

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‎Lettre autographe signée‎

‎Anatole de Barthélémy (1821-1904), archéologue, numismate. L.A.S., 29 décembre 1897, 1p in-8. A un confrère. Il lui demande une note détaillée sur les travaux d'Alphonse Buhot de Kersers (1835-1897), mort le 11 décembre, pour le discours de fin d'année de la Société des Antiquaires de France. [354] ‎

‎Lettre autographe signée ‎

‎Oscar Montelius (1843-1921), archéologue suédois. L.A.S., Stockholm, 18 juillet 1896, 4p in-8. A Cécile Guinand (1843-1905), épouse d'Edouard, poète qui a fait mettre en musique nombre de ses vers. Lettre amicale dans laquelle il annonce notamment l'inauguration du musée de Göteborg et surtout la découverte, dans le Västergötland, « d'un tout petit anneau en spirale d'or. C'est la première pièce d'or que l'on ait trouvée jusqu'ici en Suède avec des objets datant de l'âge de la pierre ». Beau document. [370] ‎

‎Lettre signée ‎

‎Charles de Pougens (1755-1833), homme de lettres, archéologue. L.S., 6 septembre 1817, 1p in-4. A la princesse de Rohan-Rochefort, Marie-Henriette d'Orléans-Rothelin (1744-1820) : « Princesse, Je suis un franc étourdi. C'est mal pour un Huron. Il est vrai que je suis si jeune. Dans mon méchant billet d'hier, je parlais de la copie de votre lettre au Roi et comme j'étais extrêmement pressé par l'heure de la poste, j'ai oublié net de l'insérer. Bref à quelque chose malheur est bon. Il arrive si souvent que malheur n'est bon à rien. Voila un prétexte tout trouvé pour me rappeler au souvenir, aux bontés de votre altesse. Petite prière du matin. Matin est le mot, car à peine fait-il jour cette douceur me fera du bien, me donnera des forces pour me replonger dans une sotte poussière. [.] Pougens, Algonquin en titre d'office de S.A. Madame la Princesse de Rohan-Rochefort et de S.A. Madame la Princesse Charlotte ». Trou en marge comblé (à la place du cachet de cire, sans manque de texte). Peu commun. [372] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Etienne-Antoine Rouard (1792-1873), archéologue, bibliothécaire de la bibliothèque Méjanes. L.A.S., Aix, 31 janvier 1838, 1p in-8. Entête de la bibliothèque Méjanes. Au libraire Levrault à Paris. Lettre d'affaires à laquelle était joint un mandat pour payer Levrault. [355] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Jane Dieulafoy (1851-1916), archéologue, écrivain, journaliste, photographe. L.A.S., 24 décembre 1886, 2p in-12. Elle envoie à une dame une note. Au recto, le petit mot qui parle d'un « anniversaire célèbre ». Au verso, la note en question, d'une petite écriture serrée, sur Alexandre, Babylone, Suse, Aristobule, etc. Dieulafoy y précise d'ailleurs l'anniversaire : un an avant, jour pour jour, elle et son mari ont découvert la célèbre frise des archers du roi Darius à Suse. Beau document. [306] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Jane Dieulafoy (1851-1916), archéologue, écrivain, journaliste, photographe. L.A.S., 11 juillet 1890, 2p in-12. Long courrier à Geneviève Tandeau de Marsac, épouse de Charles Lenormand (1864-1914), descendant des architectes Louis et Charles Lenormand. Elle paye un trimestre pour le loyer de son appartement, prend des nouvelles et en demande. [306] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Jane Dieulafoy (1851-1916), archéologue, écrivain, journaliste, photographe. L.A.S., sd, 2p in-12. A Geneviève Tandeau de Marsac, épouse de Charles Lenormand (1864-1914), descendant des architectes Louis et Charles Lenormand. Elle est malade mais prend la peine d'écrire pour dire à sa correspondante qu'ils viendront applaudir son orchestre. [306] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Jane Dieulafoy (1851-1916), archéologue, écrivain, journaliste, photographe. L.A.S., 1er mai, 2p in-8. A Geneviève Tandeau de Marsac, épouse de Charles Lenormand (1864-1914), descendant des architectes Louis et Charles Lenormand. Elle remercie sa correspondante pour sa lettre et signale que les dégâts de la nuit sont réparés. [306] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Jane Dieulafoy (1851-1916), archéologue, écrivain, journaliste, photographe. L.A.S., Langlade, 13 octobre 1892, 2p in-8. A Geneviève Tandeau de Marsac, épouse de Charles Lenormand (1864-1914), descendant des architectes Louis et Charles Lenormand. Ils repoussent leur retour et envoie donc à sa correspondante 1300 francs pour le loyer trimestriel de leur appartement. Manque en marge sans atteinte au texte. [306] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marcel Dieulafoy (1844-1920), archéologue. L.A.S., Paris, 7 mars 1884, 1p 1/2 in-8. A Charles Lenormand (1864-1914), descendant des architectes Louis et Charles Lenormand. A propos de travaux à faire dans leurs appartements, notamment parce qu'une cheminée ne titre plus. [306] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Marcel Dieulafoy (1844-1920), archéologue. L.A.S., sd, 2p 1/2 in-8. A Geneviève Tandeau de Marsac, épouse de Charles Lenormand (1864-1914), descendant des architectes Louis et Charles Lenormand. A propos de travaux à faire dans leurs appartements. [306] ‎

‎L'ARCHEOLOGUE - Hors-série n° 2 - 2000‎

‎Revue de 66 pages, format 215 x 285 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, bon état‎

‎Dossier : "Les druides"‎

‎L'ARCHEOLOGUE - N° 106 - Février-mars 2010‎

‎Revue de 82 pages, format 215 x 285 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, bon état‎

‎Dossier : "La villa romaine : richesse des campagnes de l'Empire romain" + articles : Palais mérovingiens ; Les pompiers de Rome ; Dolmens d'Auvergne, etc.‎

‎L'ARCHEOLOGUE - N° 93 - Décembre 2007-Janvier 2008‎

‎Revue de 68 pages, format 215 x 285 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, bon état‎

‎Dossier : "A la découverte des voies romaines en France" + articles : Attila et les Huns ; Javols, capitale romaine du Gévaudan ; Lascaux et le climat, etc.‎

‎L'ARCHEOLOGUE - N° 43 - Août-septembre 1999‎

‎Revue de 82 pages, format 215 x 285 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, bon état‎

‎Dossier : "La Bourgogne archéologique : Alésia, Arcy-sur-Cure, Autun, Auxerre, Bibracte, Dijon, Solutré, Vézelay" + articles : Du hiéroglyphique au Copte ; Baouit, monastère d'Egypte ; Le pays de l'ambre ; Age du Fer dans le Larzac, etc.‎

‎L'ARCHEOLOGUE - N° 28 - Février-mars 1997‎

‎Revue de 82 pages, format 215 x 285 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, bon état‎

‎Dossier : "Les voies romaines en Gaule" + articles : Culte d'Isis en Andalousie ; Trésor monétaire de Bastia, etc.‎

‎Le Talapoin. Cronique anecdotique pour servir à l'histoire d'une ville de la Charente, par un archéologue. Imprimerie F. Lugeol, Voleau et Cie. Février 1890.‎

‎1 plaquette in-12° brochée, 12 p. Rarissime et étonnante plaquette brochée d'un texte en vers critique et moqueur concernant l'action conjointe de Paul Abadie et de Monseigneur Cousseau évêque d'Angoulême (ci nommé le Talapoin). ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Melchior de Vogüé (1829-1916), archéologue, diplomate, membre de l'Académie Française. L.A.S., Le Peseau, Boulleret (Cher), 30 juillet 1889, 2p in-8. A M. Faÿ. A propos de fermages sur les terres de sa soeur Ursule de Bryas (1828-1908) et de problèmes d'argent liés. [297] ‎

‎ Ex-libris.‎

‎Antonio Tavira y Almazan (1737-1807), archéologue et évêque, notamment de Salamanque de 1798 à 1807 (propriétaire), Ex-libris. Ex-libris ( 151*104mm), noté « très rare » au dos. [328-4] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Emile Amé (1821-1900), architecte des monuments historiques, archéologue. L.A.S., Avallon, 12 mars 1852, 2p in-8. A Edouard Lambert, conservateur de la bibliothèque de Bayeux. En vue d'un ouvrage sur « les ouvrages émaillés du Moyen-âge et de la Renaissance », il souhaite avoir une description sommaire des pavés émaillés existants à Bayeux. Cet ouvrage sera bien publié en 1859 sous le titre Les carrelages émaillés du Moyen-Age et de la Renaissance. Cachet de la collection Etienne Déville (1873-1944), historien, conservateur à Lisieux. [157] ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Auguste Aurès (1806-1894), archéologue, polytechnicien, membre de l'Académie de Nîmes. L.A.S., Nîmes, 18 avril 1879, 2p & demi in-12. A Auguste Allmer (1815-1899). Il le remercie pour le dernier numéro de sa revue et fait référence à un précédent courrier dans lequel il signaler un numéro manquant de la revue. Il s'est trompé de numéro. Il recommande aussi un ami, Albin Michel, de Nîmes, qui a découvert une inscription inédite (la lettre d'Aurès du 23 juin 1879 nous indique qu'elle concerne un gladiateur). La lettre à laquelle Aurès fait référence est celle du 25 décembre 1878 qui est conservée dans un fonds de correspondance reçus par Allmer conservé à la bibliothèque Jacques Doucet (INHA, NUM MS 391(1), f.25 & 26) Cachet de la collection Etienne Déville (1873-1944), historien, conservateur à Lisieux. [158] ‎