13 books for « foucault marc »Edit

‎THIBOUT Marc - FOUCAULT Marc - BOUDOT-LAMOTTE Emmanuel‎

Reference : 998612

‎Le Mont-Saint-Michel.‎

‎TEL Mulhouse 1952 In-4 ( 300 X 240 mm ) de 54 pages, broché sous jaquette rempliée illustrée. Collection des Cathédrales et des Sanctuaires du Moyen-age, illustrée de photographies en noir et blanc de Marc Foucault et Emmanuel Boudot-Lamotte. Bon exemplaire.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR30.00 (€30.00 )

‎FOUCAULT MARC, BOUDOT-LAMOTTE EMMANUEL‎

Reference : RO40197652

(1941)

‎LE MONT-SAINT-MICHEL‎

‎TEL. 1941. In-Folio. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos frotté, Intérieur frais. 43 photos héliogravées en noir et blanc sur planches volantes (feuillets doubles).. . . . Classification Dewey : 720-Architecture‎


‎Collection des Cathédrales et des sanctuaires du Moyen Age. Photos de Marc Foucault et Emmanuel Boudot-Lamotte. Classification Dewey : 720-Architecture‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎TARDIEU (Jean). Foucault (Marc).‎

Reference : 20164

‎Photographie de Jean Tardieu.‎

‎Photographie originale de Marc Foucault, tirage d’époque, 23,8 x 18 cm, vers 1975. Beau portrait du poète, sans moustaches, avec un doux visage, portant un noeud papillon.‎


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Phone number : 33 01 48 04 82 15

EUR150.00 (€150.00 )

‎FOUCAULT (Marc)‎

Reference : 2136

‎Raymond Queneau‎

‎ Tirage original. ca. 1960. Dim: 30,2 x 23,8 cm.‎


Raymond Queneau. FOUCAULT (Marc) Raymond Queneau. FOUCAULT (Marc)
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Phone number : 09 53 64 12 15

EUR180.00 (€180.00 )

‎FOUCAULT Marc‎

Reference : ROD0027582

(1943)

‎La Cathédrale de Sens‎

‎TEL. 1943. In-Folio. En feuillets. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 38 p. - Infimes salissures sur la couverture - Déchirures sur le dos débordant sur les plats - Jolies photographies n&b pleine page.. . . . Classification Dewey : 246-L'art dans le christianisme‎


‎Collection dirigée par Paul Deschamps, Membre de l'Institut, Conservateur du Musée National des Monuments Français. Classification Dewey : 246-L'art dans le christianisme‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎FOUCAULT MARC / BOUDOT-LAMOTTE‎

Reference : R200032495

(1952)

‎LE MONT-SAINT-MICHEL.‎

‎TEL. 1952. In-4. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 54 pages. Nombreuses photos en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 908.44242-Régionalisme : Basse-Normandie‎


‎ Classification Dewey : 908.44242-Régionalisme : Basse-Normandie‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR59.25 (€59.25 )

‎[MONT SAINT MICHEL] - BOUDOT-LAMOTTE (Emmanuel), FOUCAULT (Marc) - ‎

Reference : 200613427

‎Le mont saint michel. ‎

‎Paris, Tel , 1952; in-4, 54 pp., broché, couverture illustr. Rare.‎


‎Rare.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR25.00 (€25.00 )

‎(FOUCAULT Michel) TRIVIER Marc‎

Reference : 62331

(1981)

‎Portraits de Michel Foucault. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1981, 21,5x24 cm sur papier Ilford , une feuille.‎


‎Ensemble de 8 portraits de petites dimensions de Michel Foucault par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎(FOUCAULT Michel) TRIVIER Marc‎

Reference : 62384

(1981)

‎Portraits de Michel Foucault. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1981, 14,5x24 cm sur papier Ilford , une feuille.‎


‎Ensemble de 6 portraits de Michel Foucault de plain pied par Marc Trivier de petites dimensions. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎(FOUCAULT Michel) TRIVIER Marc‎

Reference : 62310

(1983)

‎Portrait de Michel Foucault. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1983, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.‎


‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Petite déchirure sur le bord supérieur. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎MARIE Jeanne et Alfred / Lucien WILTER, Marc FOUCAULT.‎

Reference : 3894

‎MARLY.‎

‎Paris, Éditions "Tel", 1947. In-4, broché, 112 pages, couverture rempliée.‎


‎Présentation de Lucien WILTER. Photographies de Marc FOUCAULT. Dessins et figures. [3894]‎

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Phone number : 33 01 43 47 01 20

EUR45.00 (€45.00 )

‎[Marc FOUCAULT ] - ‎ ‎PARIS par Francis CARCO (texte) et Marc FOUCAULT (photographies).‎

Reference : AUB-3911

(1952)

‎Nostalgie de Paris suivi de ombres vivantes. Richement illustré (héliogravures).‎

‎Paris, éd. Gallimard 1952. Bon exemplaire broché, couverture ornée d'éd., in-8, 291 pages + 16 planches.‎


CHF30.00 (€30.70 )

‎Dutrénit (Jean-Marc), ed. - Denise Cassegrain - Victor Gerdes - Victor Georges - Michel Foucault - Geneviève Duchatelet - Jean-Pierre Augustin et François Dubet - Claude Liscia - Christian-Nils Robert - Claude Dubar : - Régis Lapauw - Michel Simonot - Luc Boltanski - Jean-Claude Chamboredon - Gilbert Mury - René Barbier - Paul Fustier - Lewis Coser - Herbert J. Gans - Martin Eiseman - Jean-Claude Lombard‎

Reference : 73773

(1980)

‎Sociologie et compréhension du travail social , (Archéologie du travail social - Evaluation des produits du travail social - Valeurs du travail social - La population cliente - Le professionnalisme - La formation - Evolution des forces sociales - Sociologie et production du travail social=‎

‎Privat , Sciences de l'Homme Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1980 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur bleu clair grand In-8 1 vol. - 296 pages‎


‎ 1ere édition Contents, Chapitres : Denise Cassegrain : Préface - Introduction au guide de lecture - 1. Archéologie du travail social : Victor Gerdes : Formes d'assistance dans une société archaique - Victor Georges : Pauvreté et assistance interindividuelle dans le monde féodal avant le XIVe siècle - Assistance régressive et mutation de la société féodale, 1350-1601 - Michel Foucault : Réforme protestante et naissance de l'assistance civile - V. Georges : Le système communal d'assistance et la montée du libéralisme, 1601-1834 - De l'individualisme libéral à la Sécurité sociale, 1834-1911 - 2. Evaluation des produits du travail social : Geneviève Duchatelet : Une action sociale étroitement contingentée - Jean-Pierre Augustin et François Dubet : Travail social, pédagogie et contrôle social - Claude Liscia : Travail social, habitat et intégration sociale - Christian-Nils Robert : Un travail social écologique - 3. Valeurs du travail social : J.-M. Dutrénit : Les stratégies préférées des travailleurs sociaux - Claude Dubar : Origine sociale et valeurs professionnelles des éducateurs - Régis Lapauw : Contraintes sociales et idéologie professionnelle des éducateurs - Michel Simonot : Les objectifs professionnels des animateurs - 4. La population cliente : Luc Boltanski : Les classes sociales ne sont pas contemporaines - Jean-Claude Chamboredon : La délinquance juvénile comme effet de contexte social - G. Duchatelet : Des familles en situation marginale - 5. Le professionnalisme : Gilbert Mury : La double fidélité du travailleur social - René Barbier : Situation institutionnelle et stratégie des rapports au client - J.-C. Chamboredon : La lecture professionnelle de la réalité sociale - J.-M. Dutrénit : Ethos du service social et enfance en danger - 6. La formation : C. Dubar : Sélection professionnelle et négation des techniques éducatives - Paul Fustier : Psychologisme des formateurs et pragmatisme des employeurs - J.-M. Dutrénit : Travail social et formation des éducateurs - 7. Evolution des forces sociales : Lewis Coser : Les pauvres ont d'abord besoin d'argent - Herbert J. Gans : Les alternatives fonctionnelles à la pauvreté - Martin Eiseman : La révolte des assistés - 8. Sociologie et production du travail social : G. Duchatelet : Des nouvelles perspectives pour l'action sociale - J.-M. Dutrénit et Jean-Claude Lombard : Besoins locaux et prévention - Modélisation sociologique et productivité dos legerement insolé, coin supérieur droit du plat supérieur à peine corné, sinon tres bon état, intérieur frais et propre‎

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