‎[DUPAS (Jean).] - ‎ ‎COLETTE. MAX-LEROY-FOURRURES. ‎
‎"Toi". ‎

‎Paris Draeger 1927 1 in-4 Paris, Draeger, (1927), in-4, couverture noire cartonnée imprimée de motifs floraux rouges et argentés, en feuilles, 5 planches en noir et en blanc. ‎

Reference : 22502


‎Présentés par Colette et les 5 planches de Jean Dupas (Bordeaux 1882-1964, Grand Prix de Rome de peinture de 1910) transportent cet album au sommet de l'édition publicitaire. "Ce bel étui noir, orné de fleurs rouges et argent, contient de superbes planches en camaïeu gris et noir. La provocation des nus féminins que Jean Dupas a drapé des fourrures de la nouvelle collection est atténué par leur hiératisme de statue" (in "Arts et Métiers Graphiques" N°1 ,1927-Bibliothèque Exposition FORNEY 1988, N°18). Manque le texte et deux planches et le cahier in-fine. Petites griffures, trous d'épingle, accrocs et légers plis. ‎

€700.00 (€700.00 )
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‎MESRINE Jacques‎

Reference : 84739

(1976)

‎Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis adressée à sa compagne Jeanne Schneider alors incarcérée et qui pourrait être prochainement libérée : "Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté... prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal. C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ?... mais droits"‎

‎Fleury-Mérogis 21 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso.‎


‎Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du jeudi 21 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se réjouit d'avoir pu s'entretenir au parloir avec sa bien-aimée également emprisonnée: "Quel très agréable parloir, tu étais en plus très féminine dans cet ensemble qui est bien dans ton style de femme... même le double du prix car il me plaît" et tente de la rassurer afin qu'elle ne perde pas toute pugnacité contre le régime carcéral qui broie les détenus : "Mais si par malheur un nouveau refus te touchait n'aies pas cette mauvaise réaction que tu m'as dite car ceux qui t'entourent et t'ont aidée ne méritent pas de payer l'injustice des autres. Il te faudrra faire face comme toujours. Car les portes s'ouvriront un jour et tu le sais." En patriarche protecteur, Jacques Mesrine s'inquiète du désespoir qui pourrait la frapper elle et sa fille Murielle placée à la DASS : "Mais pour toi je m'en fais énormément, car tu as une limite... et je crois que tu l'as atteinte ! ou presque... Au sujet de Mury et de cette juge bidon... nous verrons pour la retirer de la Dasse... je préfère payer ses études et madame Chevallier et tout son entretien s'il le faut. Si tu sors ! Dis-moi... que de femmes à entretenir... j'ai intérêt à faire des heures supplémentaires (sic)" L'ennemi public N°1 évoque la prochaine liberté de Jeanne Schneider en lui intimant de ne plus retomber dans la criminalité : "...Si tu sors interdiction formelle de t'occuper de moi sur un plan que nous comprenons très bien tous les deux. Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté... prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal" Jacques Mesrine loue la droiture de sa compagne, clef de voûte de leur union forte à travers la privation de liberté : "C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ?... mais droits. C'est ce qui fait que je t'aime, avec toi pas de surprises désagréables ; tu es "blanc-bleu" et pour moi tu as bien la valeur du diamant. C'est la seule pierre qui est plus dure que l'acier (sic)... mais moins dure que moi (resic)" Il termine cette missive par cette note d'humour traduisant la terrible réalité intrusive du système pénitentiaire : "Et si mon colis de Noël est préparé par toi... l'administration va le passer aux rayons X" mais aussi par ces tendres mots : "De doux décots se posent sur tes lèvres... geste d'amour qui nous unit depuis toujours et pour longtemps... EL VIEJO Bandido !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle on le découvre protecteur et avide de liberté pour sa compagne et pour qui la franchise doit être érigée en règle de vie. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR1,800.00 (€1,800.00 )

‎SEGALEN Victor‎

Reference : 79472

(1903)

‎Double lettre autographe adressée à Emile Mignard : "Mon cher petit frère pour te montrer que ce n'est pas seulement en noircissant du papier à ton adresse que je pense à toi, je te soumets, entre autres, un projet d'établissement immédiat." ‎

‎Tahiti 25 mars & 5 avril 1903, 11,2x17,6cm, 6 pages sur un double feuillet et 1 feuillet simple.‎


‎Double lettre autographe de Victor Segalen adressée à Emile Mignard. Six pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet et un feuillet simple.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Emile Mignard (1878-1966), lui aussi médecin et brestois, fut l'un des plus proches amis de jeunesse de Segalen qu'il rencontra au collège des Jésuites Notre-Dame-de-Bon-Secours, à Brest. L'écrivain entretint avec ce camarade une correspondance foisonnante et très suivie dans laquelle il décrivit avec humour et intimité son quotidien aux quatre coins du globe. C'est au mariage de Mignard, le 15 février 1905, que Segalen fit la connaissance de son épouse, Yvonne Hébert. Emouvante lettre du jeune médecin à son «petit frère» dans laquelle il tente de le faire venir auprès de lui. Segalen se trouve maintenant en Polynésie depuis deux mois. Bien qu'il jouisse des plaisirs tahitiens, son meilleur ami lui manque et il l'enjoint à venir le rejoindre: «Mon cher petit frère pour te montrer que ce n'est pas seulement en noircissant du papier à ton adresse que je pense à toi, je te soumets, entre autres, un projet d'établissement immédiat. [...] Le Gouverneur de Tahiti a demandé en France, par le précédent courrier, des médecins de renfort pour les îles Gambier, l'archipel de la Société et les Pomotous. Ces médecins seraient en même temps administrateurs. [...] Ils seraient pris de préférence parmi les médecins des colonies ou de la marine, mais aussi - avec demande du gouverneur, et ce serait le cas pour toi - parmi le civil. Solde: celle d'un médecin des colonies à 2 galons soit 5000 et quelques je crois, plus le logement. Engagement 4 ou 5 ans. Aux Pomotous, 5 f en plus par jour, mais la localité est invraisemblable! Voyage d'aller et de retour par l'Amérique. Climat des plus sains. Vie oisive, béate. Je te la déconseille. Néanmoins ne serait-ce que comme pis-aller j'ai voulu t'indiquer ce débouché. Tu serais, sur une lettre du gouverneur à qui j'ai parlé de toi, pris haut la main et logé probablement à Raïatea, avec balades dans tout l'archipel de la Société. Si par hasard le projet t'intéressait, télégraphie-moi un mot à Nouméa (ACCEPTE par exemple) car je pars pour la Nouvelle Calédonie [...]». A notre connaissance, Mignard n'accepta jamais la proposition de Segalen, malgré leur immense amitié:«Je te répète, écris-moi en total abandon. Tu m'as initié à ta notion spéciale de l'amitié. A toi de t'en servir, maintenant.» Une lettre de Segalen, envoyée depuis Nouméa le 3 mai 1903, nous apprend l'échec du projet: «Je devais t'avertir, mon bien cher Emile, des débouchés possibles. Je l'ai fait; en te les déconseillant sous la forme de fonctions d'administrateur colonial. Je t'en dissuade d'autant plus maintenant que l'on m'apprend le rappel en France du Gouverneur de Tahiti. Avec lui sombrera sans doute son projet. Tu n'as pas à le regretter.» Belle lettre, témoignage du lien étroit qui unit Segalen à Mignard en dépit des milliers de kilomètres qui les séparèrent. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎VIVIEN Renée‎

Reference : 78919

(1900)

‎Lettre autographe signée adressée à Natalie Clifford Barney : "Avril, mon doux petit Avril, chaque fois que tu t'en vas, tu emportes un peu de mon cur, qui ne peut se détacher de toi, et te suit tristement." ‎

‎s.l. [Paris] s.d. (ca. 1900), 12,3x16,5cm, 4 pages sur un double feuillet.‎


‎Lettre manuscrite autographe de Renée Vivien signée «Pauline», adressée à Natalie Clifford Barney et rédigée à l'encre noire sur un double feuillet à en-tête au chiffre argenté de la poétesse. Très belle et poétique lettre d'amour de la Muse aux violettes, se languissant de son "cher Lys blanc" : "Je n'ai pas pu te demander cet après-midi si je te verrais demain, mon doux Avril, mais tu as bien compris n'est-ce pas? qu'il me serait aussi impossible de vivre un jour sans toi, que de me priver des lumières, du soleil ou des fleurs. [...]Avril, mon doux petit Avril, chaque fois que tu t'en vas, tu emportes un peu de mon cur, qui ne peut se détacher de toi, et te suit tristement. Tu es pour moi la poésie, la consolation et le rêve. Tu mets de la beauté dans ma vie et dans mon âme - quand je me réveille chaque jour et je pense à toi, c'est la perpétuelle éclosion de quelque miraculeuse amour. Je vis dans un conte de fées, un pays où tout est bleu et d'où la tristesse a disparu. Pense à moi ce soir, avant d'aller rêver dans l'au-delà et le lointain du sommeil." La lettre prend ensuite un ton plus charnel : "J'aime tes cheveux blonds. Je leur envoie un long baiser. Les lys que j'ai dans ma chambre sont tristes parce que tu n'es plus là. Ils t'envoient leur âme dans un parfum. Ils t'aiment, comme moi; mais moins que moi."Lors de leur première nuit d'amour, Renée avait empli sa chambre de lys, la transformant en "chapelle ardente" (N.Clifford Barney, Je me souviens...). Jean-Paul Goujon souligne : "Le choix des lys était bien dans le goût de l'époque : rappelons-nous les affiches de Mucha, les tableaux de Schwabe, les poèmes de Lorrain. Mais Vivien, qui se souvenait certainement de certaines pages, remplies de fleurs et de parfums, deLa Faute de l'abbé Mouretde Zola, semble avoir voulu célébrer des noces mystiques doublées d'une sorte de mort parfumée." C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette, Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographique Une Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon, Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureux mea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon, Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se fut, en août 1905, le pèlerinage à Lesbos, qui constitua une déception pour Natalie Barney et demeura sans lendemain. [...] Le ressort était définitivement brisé. Les deux anciennes amies cessèrent de se voir dès 1907, et Vivien mourut sans qu'elles se soient revues. » (J.-P. Goujon, Ibid.) Précieuse et très rare lettre de Sapho 1900 à l'Amazone. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎BATAILLE Georges‎

Reference : 60684

(1940)

‎Lettre autographe signée à Denise Rollin : « je songe à toi dans cette chambre et à tout ce qui arrivera là quand nous serons de nouveau ensemble.»‎

‎Paris s.d. [3 ou 4 juin 1940], 20,9x26,9 cm, 2 pages sur un feuillet.‎


‎Touchante lettre autographe signée de Georges Bataille à Denise Rollin, 37 lignes à la mine de plomb, petite mouillure en haut à droite, sans atteinte au texte. Georges Bataille tente de rassurer sa compagne Denise Rollin?: «?Je t'en supplie. Il ne faut pas t'inquiéter, mais pas du tout.?» Elle est partie s'installer à Vézelay où Bataille la rejoindra bientôt. Il est resté à Paris où les bombardements ne perturbent en rien la vie des parisiens?: «?Tu n'imagines point à quel point les petits dégâts qu'on voit paraissent insignifiants à côté de la place intacte qu'il y a de tous les côtés. Pendant toute l'alerte, j'ai déjeuné bien tranquille avec mon chef de service de passage à Paris (il vit au front)?» Bataille n'a pas renoncé à son emploi de bibliothécaire à la Bibliothèque nationale. Tuberculeux, il n'est pas envoyé au front et il en profitera pour rédiger plusieurs textes à cette époque tels que Madame Edwarda ou Le Coupable. Plus loin, il évoque une visite?: «?Un peu après, Henri Michaux est venu me voir?» Les deux hommes avaient participé à la revue Mesures et avaient en commun d'être à part de la nébuleuse surréaliste. Il se retrouve dans leurs uvres respectives une violente indépendance et la même tension vers la spiritualité, une forme de mysticisme. Bataille avait fréquenté le séminaire dans sa jeunesse et Michaux a plaisamment dit de lui?: «?Il donne l'impression d'un séminariste sortant furtivement d'une pissotière.?» Après ces nouvelles presque triviales, Bataille se lance dans une analyse de ses sentiments?: «?Ce que tu me dis dans ta lettre, c'est pour moi ce qui délivre, c'est comme la nudité, tout ce qui se déchire entre toi et moi. Mais, encore une fois, je ne me suis jamais senti aussi près de toi.?» Il demande à sa correspondante?: «?il faut me dire tout. C'est très doux que j'aie vu où tu es, que je connaisse les chemins que tu prendras, les ponts par où tu passeras.?» La sensualité n'est jamais loin du sentiment pour l'auteur?: «?Dis-moi aussi quelle chambre tu as?: pour que je songe à toi dans cette chambre et à tout ce qui arrivera là quand nous serons de nouveau ensemble.?» De cette sensualité, et des sensualités passées, il reste les fruits que sont les enfants. Denise Rollin est partie à Vézelay en compagnie de son fils Jean, surnommé Bepsy?: «?Tu ne me dis rien de ta vie avec Bepsy [...] Bepsy est-il plus calme?: moi aussi je l'ai entendu crier dans tes bras.?» Bataille remercie Rollin?: «?Pour Sylvia je t'ai une immense reconnaissance de m'avoir aidé à changer.?» Sylvia Bataille fut la première épouse de Georges Bataille. Ils s'étaient séparés en 1934 mais ne divorceront qu'en 1946. De cette relation, pour l'auteur?: «?Il ne reste que Laurence et la nécessité d'envisager les choses sans heurt?» Laurence était la fille née de ce mariage en 1930. Elle rejoindra Bataille, Rollin et Bepsy en 1943 lorsque son père ira s'installer à Vézelay. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR4,500.00 (€4,500.00 )

‎[GUIZOT, François].‎

Reference : 22039

(1821)

‎Recueil d'une vingtaine de textes et pamphlets politiques rares, certains émanant de la société Aide-toi, le Ciel t'aidera, fondée en août 1827 par François Guizot et ses amis libéraux.‎

‎ 1821 -1831 In-8, demi-basane du XIXe siècle, dos lisse (frotté).‎


‎ La société Aide-toi, le Ciel t'aidera était destinée à la formation politique des électeurs et à coordonner l'action des libéraux pendant les élections législatives. Le 5 novembre 1827, publication de l'ordonnance de dissolution de la Chambre des Députés et nomination de 76 pairs à la Chambre haute. Le premier tour des élections législatives eut lieu le 17 novembre, le deuxième le 24 novembre.- MORALES, Joseph-Isidore. Essais sur le calcul de l'opinion dans les élections. Mémoire traduit de l'espagnol par D.-A. BOURGEOIS. Dole : Imprimerie de J.-B. Joly, 1829. 113 pages.- [MAHUL, A.]. Tactique électorale à l'usage de l'opposition… Paris : Brissot-Thivars, 1821. 46 pages. Edition originale.- [VISINET]. Aide-toi, le Ciel t'aidera. Manuel de l'électeur dans l'exercice de ses fonctions. S. l. n. d. 19-(1) pages.- Aide-toi, le Ciel t'aidera. Manuel de l'électeur-juré. Aux électeurs du département du Rhône. S. l. n. d. 16 pages.- Aide-toi, le Ciel t'aidera. Des droits de l'électeur, de l'inscription sur les listes, de leur rectification. Formules électorales. S. l. n. d. 12 pages.- Aide-toi, le Ciel t'aidera. Nouveau manuel de l'électeur. S. l. n. d. (4)-70-(1) pages.- Société constitutionnelle centrale de Paris. Rue Taranne, N. 12. Paris : Imprimerie et fonderie de Fain, 1830. 16 pages. - SALVANDY, N. A. Les Amis de la liberté de la presse. Explication de la nouvelle loi sur les collèges électoraux et les jurys. 15-(1) pages.- Aide-toi, le Ciel t'aidera. Sur le projet de dissolution de la chambre des députés (17 octobre 1827). S. l. n. d. 16 pages.- Aide-toi, le Ciel t'aidera. Aux citoyens et aux électeurs. S. l. n. d. 8 pages.- Sur la liste électorale du département de la Meuse. S. l. n. d. 16 pages.- Mémorial des élections de la Seine-Inférieure en 1827. (M. le baron de Vaussay préfet). Paris : Imprimerie de Guiraudet, 1828. (4)-63-(1) pages.- Lettre à un des rédacteurs du Globe sur les élections prochaines. Lyon : Imprimerie de C. Coque, 1827. 8 pages. Signé : Un des rédacteurs du Précurseur.- Aux électeurs. Aide-toi, le Ciel t'aidera. S. l. n. d. 2 pages.- Déparement [sic] du Rhône. Aux électeurs de l'arrondissement du Midi. S. l. n. d. 2 pages. Cette pièce est en double.- [GALLIX, C.]. Lettre à un électeur de Lyon. [Lyon : Imprimerie de C. Coque, 1827]. 7 pages.- Dernier appel aux citoyens de la ville de Lyon et du département du Rhône. [Lyon : Imprimerie de C. Coque, s. d.]. 3 pages.- La Charte mise en péril par les prochaines élections. [Lyon : Imprimerie de C. Coque, s. d.]. 7 pages.- Lettre d'un électeur de Paris à un électeur de Bordeaux. Paris : Le Normant fils, 1827. 15-(1) pages.- SARRAN, M. Pétition d'urgence à la chambre des pairs, sur l'inhabileté de la chambre actuelle des députés à voter utilement la loi… Paris : Delaforest, 1827. 22 pages.- LEFOUR. Au roi. Mémoire sur la nécessité de dissoudre la chambre des députés, et d'en convoquer une autre… Paris : Delaunay, 1830. 31 pages.- Lettre de G. Prunelle à ses commettans, membres du 3e collège électoral de l'Isère en 1830. Lyon : Imprimerie de Brunet, 1831. (2)-61 pages. ‎

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