‎BALZAC (Honoré de). FINI (Léonor).‎
‎Adieu. ‎

‎ BIBLIOPHILES DU PALAIS 1965 1 Lithographies de Léonor FINI. Paris, Les Bibliophiles du Palais, 1965, in-4, en feuilles, sous couverture rempliée, sous chemise et étui cartonnés noir, 130 pp. ‎

Reference : 13496


‎Tirage limité à 200 exemplaires numérotés et tirés sur vélin d'Arches. Un des 180 exemplaires num. et nominatif réservé aux sociétaires (N°151). Les 12 lithographies originales, en noir et hors-texte, de Léonor FINI ont été imprimées par Guillard, le texte par Fequet et Baudier. Joint le menu du dîner du 29 mars 1965 avec un envoi signé de Léonor FINI "Pour Michel Reulos". Petits frottements et légères griffures sur la couverture et l'étui. ‎

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‎[ BRENET, Henry Catherine ]‎

Reference : 68763

(1790)

‎[ Belle L.AS. datée du 11 mai 1790, adressée à Madame Brenet Religieuse Bernardine a l'Abbaye du Lieu-Dieu à Beaune ] "Dijon, 11 mai 90. Il ya déjà longtemps que je ne t'ai donnée de nouvelles tu penses peut-être que je suis indifférent à en recevoir des tiennes [... ] J'avais des affaires comme tu le sais je t'apprendrai que lundi 3 de ce mois j'ai soutenu mon dernier examen. Tu va me dire que je m'en suis tiré avec les Etrivières, pas du tout ma petite poule j'ai été complimenté et comblé d'éloges si bien que sans délibérer et sans me faire retirer on m'a prodigué des louanges. Il faut avouer que l'on a bien peu ménagé ma modestie. Quoiqu'il en soit, ces messieurs ont eu la bonté d'être content de la preuve que je leur ai donné de mes talents il n'y a eu que moi de mécontent [ ... ] Je serais très fâché de n'avoir pas encore une thèse à soutenir pour me dédommager. Cette thèse sera publique à l'hôtel de ville en présence de tous les officiers municipaux de cette ville. Juge si je vais la travailler [... il évoque une donation de sa tante Thérèse, et explique que de son côté il n'a fait aucun arrangement avec son père "parce qu'il ne veut s'engager à rien" : ] "il a bien eu tort car il est presque sans le sou à présent et j'ai bien eu des maux pour me faire aggréger cette année au collège des médecins de Dijon. J'oublie de te dire que mon père et mon frère l'aîné viendront à ma thèse. Je voudrais que depuis Dijon ils voulussent faire le voyage de Beaune ; je tâcherai de les y décider. On songe actuellement à la formation des départements et cette semaine on aura une confédération de toute la [ milice ? ] de Bourgogne : la ville sans cela déserte ; presque tous les gens riches et aisés se sont [... ] à leur Campagne, il y avait évidemment deux partis celui des Enragés ou démagogues outrés a été le triomphant tout cela je l'avoue n'est pas amusant quoique je sois neutre fort heureusement. Je suis cependant faché de bien des choses. Adieu ma petite donne moi de tes nouvelles et ne m'oublie pas auprès de madame [ ... ] et et madame sa soeur [ ... ]. Ton ami Brenet"]‎

‎1 lettre autographe signée de 2 ff. (format 21,5 x 16cm ) avec cachet de cire et cachet postal "Dijon" : [ Belle L.AS. datée du 11 mai 1790, adressée à Madame Brenet Religieuse Bernardine a l'Abbaye du Lieu-Dieu à Beaune ] "Dijon, 11 mai 90. Il ya déjà longtemps que je ne t'ai donnée de nouvelles tu penses peut-être que je suis indifférent à en recevoir des tiennes [... ] J'avais des affaires comme tu le sais je t'apprendrai que lundi 3 de ce mois j'ai soutenu mon dernier examen. Tu va me dire que je m'en suis tiré avec les Etrivières, pas du tout ma petite poule j'ai été complimenté et comblé d'éloges si bien que sans délibérer et sans me faire retirer on m'a prodigué des louanges. Il faut avouer que l'on a bien peu ménagé ma modestie. Quoiqu'il en soit, ces messieurs ont eu la bonté d'être content de la preuve que je leur ai donné de mes talents il n'y a eu que moi de mécontent [ ... ] Je serais très fâché de n'avori pas encore une thèse à soutenir pour me dédommager. Cette thèse sera publique à l'hôtel-de-ville en présence de tous les officiers municipaux de cette ville. Juge si je vais la travailler [...] J'appris de Moissey lorsque j'y allai que ma tante Thérèse avait fait une donation [... il explique ensuite que de son côté il n'a fait aucun arrangement avec son père "parce qu'il ne veut s'engager à rien" : ] "il a bien eu tort car il est presque sans le sou à présent et j'ai bien eu des maux pour me faire aggréger cette année au collège des médecins de Dijon. J'oublie de te dire que mon père et mon frère l'aîné viendront à ma thèse. Je voudrais que depuis Dijon ils voulussent faire le voyage de Beaune ; je tâcherai de les y décider. On songe actuellement à la formation des départements et cette semaine on aura une confédération de toute la [ milice ? ] de Bourgogne : la ville sans cela [ serait de reste ? ] presque tous les gens riches et aisés se sont [... ] à leur Campagne, il y avait évidemment deux partis celui des Enragés ou démagogues outrés a été le triomphant tout cela je l'avoue n'est pas amusant quoique je sois neutre fort heureusement. Je suis cependant faché de bien des choses. Adieu ma petite donne moi de tes nouvelles et ne m'oublie pas auprès de Mde [ ... ] et et Mde sa soeur [ ... ]. Ton ami Brenet"]‎


‎Très intéressante lettre attribuable au médecin et futur député Henry Catherine Brenet (1764-1824). Né à Moissey près de Dôle, Henry Brenet avait suivi les cours de la faculté de Besançon, il vint achever ses études médicales à Paris, où il fut reçu docteur en médecine avec l'éloge de ses maîtres Louis, Vicq d’Azyr et Portal. S’étant établi en 1790 à Dijon, ainsi qu'il le précise dans sa lettre, il s'opposera aux Montagnards, et sera enfermé pendant la Terreur au château de Dijon. Dans la présente lettre, il se présentait prudemment comme "neutre" mais dénonçait les Enragès et les "Démagogues outrés". "Son insouciance apparente trompa ses gardiens, et il profita de la sécurité qu’il avait su leur inspirer pour s’échapper en escaladant une muraille" ; mais, informé qu’une épidémie venait de se manifester dans les hôpitaux de Dijon, il n’hésita pas à soigner les malades, et cette action lui valut la liberté. "Dès lors Brenet fut placé par l’opinion au rang des premiers praticiens de Dijon" (Michaud, V, 472). Abbaye cistercienne de moniales dite "abbaye du Lieu-Dieu" était située sur le territoire de la commune de Marey-lès-Fussey (au nord de Beaune). Bon état (la signature de Brenet visible sur le reste de papier contrecollé au cachet de cire). ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR350.00 (€350.00 )

‎[Librairie Ch. Poussielgue] - ‎ ‎BERTRIN, Georges‎

Reference : 37759

(1897)

‎La Question Homérique. Variétés littéraires : Un récent voyage en Grèce : Souvenirs et Impressions. Les jeux Olympiques d'aujourd'hui : Lettre d'un spectateur. Les Sermons de Bossuet : une édition définitive. Victor Hugo : Les pauvres gens. Un plagiat inattendu. Mgr d'Hulst : un adieu à sa mémoire. ‎

‎1 vol. in-12 reliure demi-basane verte, Librairie Ch. Poussielgue, Paris, 1897, 334 pp. : La Question Homérique. Variétés littéraires : Un récent voyage en Grèce : Souvenirs et Impressions. Les jeux Olympiques d'aujourd'hui : Lettre d'un spectateur. Les Sermons de Bossuet : une édition définitive. Victor Hugo : Les pauvres gens. Un plagiat inattendu. Mgr d'Hulst : un adieu à sa mémoire. ‎


‎Bon état. L'auteur, le père Georges Bertrin (1851-1924) était professeur à l'Institut Catholique de Paris.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR35.00 (€35.00 )

‎Collectif ; LEVASSOR ; MEYERBEER ; NIEDERMEYER ; DEJAZET ; GAVARNI ; SCHUBERT, François [SCHUBERT, Franz ]‎

Reference : 27466

(1830)

‎[ Recueil de partitions avec nombreuses et rares chansonnettes à titres lithographiés dont : ] Le Galopin Industriel. Scène comique. Paroles de E. Bourget, musique de A. Marquerie exécutée au Théâtre des Variétés par Levassor, Chez Heu - Le Petit Cochon de Barbarie. Tyrolienne chantée au Théâtre du Palais-Royal par Mr. Levassor. Paroles et musiques de Frédéric Bérat - Tétard au Bateau à Vapeur. Chantée au Théâtre du Palais-Royal par Mr. Levassor. Paroles d'Alfred Deschamps, musique de Eugène Dejazet - Le Nouveau Bélisaire. Complainte chantrée au Théâtre des Variétés par Levassor, paroles de Mr. Lefort, Chez Heu - Un Premier Bal. Paroles de M. Eugène de Lonlay. Musique de F. Masini, chez Gentile - Nella, paroles d'Emile Deschamps, musique de Meyerbeer - La fille de l'air, paroles de Méry - Une Scène des Apennins. Paroles de Deschamps, musique de Niedermeyer, dessin de Gavarni, Maurice Schlesinger Editeur ; Le Martyr. Mélodie pour voix de Basse. Paroles de M. Gustave Desfossés, musique d'Adolphe Vogel,Chez Colombier - L'Ange Déchu. Paroles de Defossé et musique de Vogel, lith. de Guillet d'après un dessin de Célestin Nanteuil - Tu es le repos de François Schubert - Mon âme par François Schubert, chez Richault - Délire par François Schubert, chez Richault - Adieu par François Schubert, chez Richault - Le Rendez-Vous par François Schubert, chez Richault - La Reine d'un Jour par Adolphe Adam - etc.‎

‎1 vol. in-4 relié demi-basane à coins rouge, supra-libris Madame de Monicault, s.d. (circa 1825-1840), Le Galopin Industriel. Scène comique. Paroles de E. Bourget, musique de A. Marquerie exécutée au Théâtre des Variétés par Levassor, Chez Heu - Le Petit Cochon de Barbarie. Tyrolienne chantée au Théâtre du Palais-Royal par Mr. Levassor. Paroles et musiques de Frédéric Bérat - Tétard au Bateau à Vapeur. Chantée au Théâtre du Palais-Royal par Mr. Levassor. Paroles d'Alfred Deschamps, musique de Eugène Dejazet - Le Nouveau Bélisaire. Complainte chantrée au Théâtre des Variétés par Levassor, paroles de Mr. Lefort, Chez Heu - Un Premier Bal. Paroles de M. Eugène de Lonlay. Musique de F. Masini, chez Gentile - Nella, paroles d'Emile Deschamps, musique de Meyerbeer - La fille de l'air, paroles de Méry - Une Scène des Apennins. Paroles de Deschamps, musique de Niedermeyer, dessin de Gavarni, Maurice Schlesinger Editeur ; Le Martyr. Mélodie pour voix de Basse. Paroles de M. Gustave Desfossés, musique d'Adolphe Vogel,Chez Colombier - L'Ange Déchu. Paroles de Defossé et musique de Vogel, lith. de Guillet d'après un dessin de Célestin Nanteuil - Tu es le repos de François Schubert - Mon âme par François Schubert, chez Richault - Délire par François Schubert, chez Richault - Adieu par François Schubert, chez Richault - Le Rendez-Vous par François Schubert, chez Richault - La Reine d'un Jour par Adolphe Adam - etc.‎


‎Rare recueil de partitions dont d'étonnantes chansonnettes de l'époque a titre lithographié (dont un titre par Gavarni). On relèvera notamment "Le Galopin Industriel", tiré de la "Physiologie" d'E. Bourget et "Tétard au Bateau à Vapeur", chansonnette introduisant dans la langue française l'onomatopée "Pchitt" ! Etat satisfaisant (petit travail de vers au mors en queue, rel. lég. frottée)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR195.00 (€195.00 )

‎[Chez Jean Guénot] - ‎ ‎GUENOT, Jean‎

Reference : 46188

(1989)

‎Adieu Papa [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ]‎

‎Un des quelques exemplaires sur vélin de chiffon numérotés de 11 à 330 numérotés 0000 et "rigoureusement hors commerce et destinés à la famille ou aux amis de JG.", 1 vol. in-8 br., Chez Jean Guénot, France, 1989, 380 pp.‎


‎Edition originale numérotée, enrichie d'un précieux envoi de l'auteur "à Robert Escarpit, en le remerciant pour l'inscription épigraphique d'Adieu Papa, bien cordialement". Bon état (trace de l'encollage visible au dos, petit frott. au second plat) pour cet exemplaire dédicacé à Robert Escarpit, et bien complet du marque-page d'origine.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR80.00 (€80.00 )

‎[Editions Rabelais] - ‎ ‎GRANCHER, Marcel E.‎

Reference : 60538

(1974)

‎Adieu Machonville !.. (Miscellanées) [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur, enrichi de plusieurs documents dont une LAS de Mme Courteline, et un croquis en couleurs signé de René Besset ] ‎

‎1 vol. petit in-8 br., Editions Rabelais, Paris, 1974, 254 pp.‎


‎Envoi de l'auteur : "Pour toi, mon cher Fred, cet "adieu" ne saurait être qu'un au revoir : à cet été sur les bords de la Saone". L'auteur (président de l'Académie Rabelais) à joint à son exemplaire plusieurs documents ainsi qu'une liste des "truffages" : une photo de l'auteur, un courrier autographe signé de Madame Courteline (datée de 1942, la carte évoque le prix Courteline offert à "une histoire vraiment enfantine", évoque une "carte exquise de Dorgelès qui m'a vraiment mis un peu de baume au coeur"), des coupures de presse, une photo gastronomique (vin de Bellet), un croquis original en couleur signé de René Besset (avec un texte de sa main au verso), et une lettre autographe signée de l'écrivain Gus (1911-1997), qui souhaite intégrer l'Académie Rabelais.‎

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