‎[REGAMAY.] - ‎ ‎BONNIERES (Robert de). ‎
‎Contes des fées. ‎

‎Paris CHARAVAY FRERES EDITEURS 1881 1 Paris, Charavay Frères Editeurs, 1881, in-12, percaline bleue claire, titrée, ornée, sous étui percaline crème titrée, ornée et liseré doré, 126 pages. ‎

Reference : 13428


‎Ce charmant ouvrage qui nous conte "En ce temps là vivait le Roi Charmant..."contient une eau-forte de REGAMAY en frontispice. Usures à l'étui et infimes salissures. ‎

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‎[Contes de fées]. [CAYLUS, Anne-Claude-Philippe de Tubières, comte de].‎

Reference : LCS-18020

‎Féeries nouvelles. Edition originale des 14 contes de fées du Comte de Caylus, inspirateur vraisemblable d’Andersen.‎

‎Rarissime exemplaire relié en élégant maroquin ancien.De la bibliothèque Cécile Eluard. A La Haye, 1741.2 tomes en 2 volumes in-12 de : (3) ff., 346 pp.; (1) f., 390 pp., (1) f. de table. Maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, dos lisses ornés, coupes et bordures intérieures décorées, tranches dorées. Reliure du XVIII' siècle.158 x 90 mm.‎


‎Edition originale de quatorze délicieux contes de fées, d’une insigne rareté en maroquin ancien : « Le Prince Courtebotte et la princesse Zibeline ; Rosanie; Le Prince Muguet et la princesse Zaza ; Tourlou et Rirette ; La princesse Pimprenelle et le prince Romarin ; Les Dons ; Nonchalante & Papillon ; Le Palais des Idées ; Lumineuse ; Bleuette & Coquelicot ; Mignonnette; L'Enchantement impossible ; Minutie ; Hermine. »Leur réimpression dans le Cabinet des fées suscita des réserves de la part de l'éditeur qui les estimait un peu trop licencieux.(Les Contes de fées, B.n.F., 2001, n° 32 ; Gumuchian, n° 1519: "Édition originale rare.").Barchilon (Le conte merveilleux français, 1690-1790, pp. 125-128) - qui fait un éloge dithyrambique de Caylus et de ses contes - a montré que Le Prince Courtebotte pouvait être une des sources d'Andersen pour La Reine des Neiges.« Caylus est l'ami des écrivains modernes, il est le mentor des fameux dîners du-bout-du-banc chez Mlle Quinault ; société où la libre-pensée et le goût des plaisirs réunissent des écrivains comme Crébillon fils, Voisenon, Moncrif, Duclos et quelquefois Maurepas ou Montesquieu. C'est là que naissent 1'« Académie de ces dames et de ces Messieurs » et l’« Académie des colporteurs », productrices collectives d'œuvres facétieuses et satiriques ; c'est là également que s'élaborent dans une sorte d'atelier d'écriture avant la lettre, toutes sortes d'œuvres brèves dans tous les genres, dont nous restent par exemple, le recueil des Étrennes de la Saint-Jean, certains textes attribués à Crébillon, ou encore la Reine Fantasque de Rousseau. Le style « poissard » qu'on aimait y pratiquer après Vadé, trouvait en Caylus un amateur doublé d'un collecteur, qui finit par rédiger en 1740 tout un roman dans ce style : Histoire de Guillaume (1740), sans compter de nombreuses parades. Ces fréquentations et ces amitiés ne lièrent pas pour autant le comte au milieu encyclopédiste dont il méprisait le sectarisme ; cet hôte habituel de Mme Geoffrin n'aimait ni Voltaire, ni d'Alembert et détestait Diderot. Concernant la production féérique de Caylus, Julie Boch défend une thèse originale : celle de la cohérence d'une esthétique qui s'actualise autant dans la production savante du comte que dans l'œuvre contée. Traducteur du fameux Tyran le Blanc (1737), auteur d'un essai : Sur l'origine de la chevalerie et des anciens romans (1756), cet ami du comte de Tressan doit être compté comme une figure à réévaluer dans la cohorte des théoriciens « classiques » et « modernes » du genre romanesque (et de sa composante merveilleuse), en compagnie de Chapelain, Huet, Perrault, Addison, etc., mais aussi de certains adversaires relativement intéressants du genre sur des bases moralisantes, de l'abbé de Villiers jusqu'à Moncrif. Concernant le conte et la féerie, Caylus est l'auteur de deux mémoires produits dans le cadre de l'Académie des Inscriptions, l'un Sur les fabliaux (1753), l'autre Sur la féerie des anciens comparée à celle des modernes (1756) : « ces deux essais théoriques postérieurs à la rédaction de trois des quatre recueils de contes, écrit Julie Boch, éclairent de façon rétrospective la conception à la fois historique et esthétique que Caylus se fait du genre qu'il pratique ». On y trouve un retour à l'esthétique de la 'ligne claire' exemplifiée par Perrault : élégance, naïveté, brièveté, simplicité ; mais surtout un recentrage sur la dimension axiologique qui oppose Caylus à la tendance satirique et libertine qui prévaut depuis 1730. Génériquement, Caylus travaille le conte dans une perspective large, comme un élément du muthos (apologues, récits fabuleux divers, paraboles bibliques) ; il situe le conte merveilleux dans la filiation du roman médiéval, pose des jalons pour la transmission de certains éléments depuis l'Antiquité, et remonte encore en arrière vers l'Inde (serait-il l'un des premiers porteurs de la théorie indianiste?) ; contrairement à Huet, il insiste sur la continuité d'une transmission depuis la culture arabe jusqu'à La Fontaine. Julie Boch montre bien comment cette réflexion vient s'inscrire en fiction dans certains de ses contes. Elle montre aussi la précision de sa culture relativement à l'histoire moderne du genre, notamment par rapport aux grandes conteuses du XVIIe siècle, qu'il cite ou dont il reprend onomastique ou situations. Elle confirme après J. Barchilon et R. Robert, que «l'entreprise littéraire de Caylus se présente doublement comme un retour aux sources », soulignant sur ce plan ce qu'il partage avec le conte éducatif à la façon de Fénelon.La partie consacrée aux Féeries nouvelles, concerne le double jeu de Caylus entre « convention et parodie » dans ses contes de fées. Julie Boch épingle formules et procédés, accessoires et métamorphoses magiques, contes étiologiques et contes à gageures, contrastes et parallélismes plus ou moins sophistiqués, pour montrer que Caylus tente de renouveler le genre en finesse. Quant à sa forme de parodie, elle recourt aux compétences supposées des amateurs pour couper court, susciter le burlesque, inscrire une intertextualité affichée, démythifier rois et fées, les premiers faisant les frais d'une intention satirique qui signe bien l'époque où ces contes s'écrivent. Touchant l'édition des textes eux-mêmes, il faut souligner la pertinence et la qualité de l'annotation littéraire : rapports citationnels ou intertextuels avec les conteuses antérieures (Aulnoy, Lhéritier, Murat, de la Force, Lintot), avec Perrault, Fénelon, Galland, Bignon, Hamilton, Crébillon, le Montesquieu des Troglodytes (La Belle Hermine et le prince Colibri), avec le roman baroque, le roman arthurien et les Amadis, la poésie de salon, le monde de la pastorale, les moralistes classiques, etc., ou encore la filiation fo1klorique à travers certains contes-types. On vérifie ainsi tout ce que gagne le conte merveilleux d'auteur à être lu comme texte de part en part littéraire.Dans les Contes de fées de Caylus ressortent au plan moral : critique politique (relativement délimitée mais féroce à l'égard des rois ou des collecteurs d'impôts), satire de mœurs (très prononcée, dans la lignée de La Bruyère et Montesquieu), rejet des valeurs liées au matérialisme et au libertinage ainsi qu'à une certaine approche « bourgeoise » du monde ; construction morale des personnages à l'épreuve de l'expérience, dans un contexte où le personnel féerique perd de sa toute puissance au profit d'une plus grande humanité. Au plan esthétique : retour à l'idée classique du naturel, rejet des éléments baroques du genre : « tout le fracas devenu si commun dans les histoires de féerie » (Rosanie), réévaluation du genre pastoral, mais aussi « contamination du genre féerique par une esthétique réaliste » que Julie Boch rattache selon sa thèse de la cohérence de l'ensemble du projet caylusien, au goût du détail concret, des usages ordinaires, de la couleur locale caractéristiques de l'érudit et de l'amateur d'art.Délicieux et rarissime exemplaire de l’édition originale relié en élégant maroquin ancien.De la bibliothèque Cécile Eluard.‎

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Phone number : 01 42 84 16 68

EUR5,900.00 (€5,900.00 )

‎Mutti Claudio‎

Reference : 108718

(1979)

‎Le Symbolisme dans la fable. Les Racines Métahistoriques Des Contes De Fées‎

‎Guy Trédaniel, Editions de la Maisnie 1979 In-8 broché 21,5 cm sur 14. 217 pages. Très bon état d’occasion.‎


‎ Très bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR17.00 (€17.00 )

‎MAYER Charles Joseph de‎

Reference : 51698

(1789)

‎Le cabinet des Fées, ou collection choisie des contes des fées, et autres contes merveilleux.‎

‎Barde, Manget et cie et Paris - Genève - Cuchet, 1785 1789 40 volumes in-12 sur les 41 que comprend la série il manque le Tome 1, demi-basane brune marbrée, dos lisse, filets et fleurons dorés, pièce de titre et de tomaison noires, quelques frottements et accrocs aux coiffes. 6 vol. en reliure lég. différente demi-basane brune, dos lisse orné, pièces noires et fauve : T2,11,15,24,33 et 41.1 vol. en cartonnage accidenté T3 : coupe sèchement rognée . 119 figures par Marillier gravées par Berthet, Biosse, Choffard, Delvaux, de Ghendt, Langlois, Legrand, de Longueil, Textier, etc. Quelques rousseurs éparses. Lég. hum. en tête d’un volume T 22. Ensemble néanmoins frais et décoratif.‎


‎Cette encyclopédie monumentale, compilé par le chevalier Charles Joseph de Mayer (1751-1825), est la plus importante collection des oeuvres d’imagination fantastique et onirique du 18è siècle. Elle rencontra un vif succès et marqua sensiblement la sensibilité littéraire du temps. Bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR1,825.00 (€1,825.00 )

‎ROUSSEAU René-Lucien ‎

Reference : QWA-13891

‎L'envers des contes - Valeur initiatique et pensée secrète des contes de fées ‎

‎Saint-Jean-de-Braye, Editions Dangles, 1988, in-8 br., 239 p., coll. "Horizons ésotériques", préface de Samivel, illustrations, bon état. ‎


‎Enfants, nous avons été bercés par les récits merveilleux des contes de fées. La légende, plus vraie et chaleureuse que l’histoire, contredit souvent la réalité matérielle : une citrouille se transforme en carrosse, un rat en cocher… Et pourtant, ces fictions ne nous paraissent ni puériles, ni grotesques, mais nous détendent et nous ravissent. Ce monde imaginaire qui fait échec à notre univers réel possède cependant une explication psychologique. N’ayant été dédiés aux enfants qu’après avoir charmé des auditoires d’adultes, les contes reflètent la préoccupation éternelle de l’homme en même temps que ses pulsions "animales". Par l’étude des symboles, des analogies et des correspondances, R.-L. Rousseau s’attache à démontrer la notion d’éveil qui est le fondement des contes de fées. Sous son apparence de divertissement, la fable a un rôle éducatif ; elle met en évidence l’aspiration profonde de la nature humaine vers la bonté, l’amour, la justice. Ce rêve collectif, où fées et princes charmants rétablissent le droit et l’idéal, nous fait également oublier les désillusions et les souffrances du monde réel. Conservant son sens du sacré, plongeant ses racines dans l’inconscient collectif et dans la mémoire du passé, le conte devient, vu sous cet angle, un récit initiatique. Par l’étude des thèmes de la Belle au bois dormant, de Grisélidis, de Peau d’Âne, du Petit Poucet, de Barbe-Bleue… l’auteur nous dévoile le trésor de sagesse que recèlent les contes de fées. Par le dépassement et l’héroïsme, le héros des contes suscite "miracles" et "métamorphoses", et ces miracles il les réalise au nom d’une justice immanente dont il se déclare le champion ; chez lui, amour est synonyme de courage et d’audace, mais aussi de bonté et d’indulgence. Par leur symbolisme riche et fécond, les contes reflètent donc une prise de conscience supérieure, un dépassement spirituel dans l’enchantement d’un rêve recréé. Voir le sommaire sur photos jointes. ‎

Librairie de la Garenne - Clichy-la-Garenne

Phone number : 01 42 70 11 98

EUR15.00 (€15.00 )

‎[AULNOY, Marie-Catherine Le Jumel de Barneville, baronne d’]‎

Reference : YQV-34

(1700)

‎Nouveaux Contes des fées. Par Madame D * *.‎

‎2 tomes en 1 volume in-12 (138 × 70 mm) de 1 frontispice et [2]-244 pp. pour le tome I, et 1 frontispice et [2]-210 pp. pour le tome II ; veau fauve moucheté, dos à nerfs, compartiments ornés de fleurons et fers d’angle (reliure de l’époque).‎


‎Très rare édition des contes de fées de Madame d’Aulnoy. Elle est ornée de 2 frontispices de Jan van Vianen et de 10 vignettes en tête de chaque conte, le tout gravé sur cuivre. Des ornements gravés sur bois complètent l’illustration. Les recueils de Madame d’Aulnoy, qui imposèrent – avec les Contes de Perrault – la mode du genre féerique et marquèrent la « naissance du conte féminin » (Nadine Jasmin), parurent pour la première fois en 1697-98 à Paris chez Claude Barbin, en quatre volumes, sous le titre de Contes des fées. En 1698, une nouvelle série intitulée Contes nouveaux ou les Fées à la mode fut publiée, aussi en quatre volumes, par Catherine Legras et Nicolas Gosselin. Les exemplaires de ces premières éditions sont aujourd’hui pratiquement introuvables, y compris dans les institutions, où ils sont généralement considérés comme «perdus» ou «non localisés». (VolkerShröder, de Princeton, a récemment retracé et décrit les quelques exemplaires et fragments qui subsistent dans une série de publications de son blog Anecdota.) Des contrefaçons portant une fausse adresse de « Trévoux » virent le jour quelques mois après les éditions originales : illustrées de bois sans rapport avec le texte des Contes, elles sont aussi d’une extrême rareté. Voir la fiche complète sur leste de la Librairie Métamorphoses : https://librairiemetamorphoses.com/boutique/livres/nom/nouveaux-contes-des-fees-par-madame-d/‎

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