Paris, La Galerie Contemporaine, Sans date . Epreuve photographique, tirage en photoglyptie de 223 X 178 mm.
Reference : 1692
Epreuve originale contrecollée sur carton fort. Bel état.
Librairie Niçoise
M. Thierry Desouche
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Reference : alb48c4ee9cd63a0d38
Banville Theodore de. The magic lantern. In French (ask us if in doubt)/Banvil Teodor de (Banville Theodore de). Volshebnyy fonar.Paris cameos. Comedie Francaise. With a drawing by Georges Rochegrosse. In French: La Lanterne Magique: Camees Parisiens: La Comedie Francaise / Avec un dessin de Georges Rochegrosse. Paris Publisher G. Charpentier. 1883. XII 516 c. 1 l. frontispiece. Red lasse. 18 5x11 5 sm.. SKUalb48c4ee9cd63a0d38.
Reference : albbc4198216b03d150
Banville Theodore de. My memories:. In Russian (ask us if in doubt)/Banvil Teodor de. Moi vospominaniya:. Victor Hugo Henry Heine Honore de Balzac Honore Daumier Alfred de Vigny Mary Alexandre Dumas Nestor Rokplan Philoxin Boyet et et al.: In French. Paris. G. Charpentier Editeur. 1883. 3 466 p. 18.5x11.5 sm. SKUalbbc4198216b03d150.
1873 1873. Théodore de Banville: Camées parisiens/ Chez René Pincebourde 1873 . Théodore de Banville: Camées parisiens/ Chez René Pincebourde 1873
Etat correct
1924 1924. Théodore de Banville - Les Classiques pour tous N° 182: Gringoire / Hatier 1924
Bon état
16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT.