Emergence d'un Etat et d'une Nation. Editions Le Fonds Mercator, 1989. Avec une illustration de Marcel Schroeder avec la collaboration de Guy May et Jean-Claude Muller. Au sommaire : L'émergence d'une communauté luxembourgeoise (Avant le Luxembourg, le Moyen Age, dans les filets des Pays Bas) - Les dangers de l'amalgame (face à la révolution française, le Congrès de Vienne, la révolution belge) – De l'Etat à la Nation (construction, industrialisation, survie, union économique avec la Belgique) – Bilan.
Reference : H15106
Reliure toilée avec jaquette, emboîtage, 383 pages, format 25 x 33 - Très Bon état, dos un peu noirci - Les frais d'envoi sont en sus, les envois se faisant en recommandé ou avec un suivi.
A chacun son livre
Mme Frédérique Boulas
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Cahiers de Spartacus, Editions des Amis de Spartacus, janvier 1973, 94 p. +60 pp., broché, exemplaire mal massicoté, annotation sur la page de titre, couverture un peu défraîchie, état correct.
Les lettres de Rosa Luxembourg, Le testament de Rosa Luxembourg, L'ordre règne à Berlin.
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Bel exemplaire de ce rare recueil orné de 25 superbes planches en vifs coloris de l’époque, conservé dans sa reliure de l’époque en demi-chagrin rouge. Paris, chez Desève, artiste-éditeur et Deterville, libraire, de l’imprimerie de Crapelet, 1809. Grand in-folio de (2) ff. de faux-titre et titre, 2 pp. d’Avertissement, 8 pp., 7 pp. d’explication, 25 planches en couleurs accompagnées chacune de 1 ou 2 ff. de texte explicatif et protégées par des serpentes. Qq. discrètes piqûres. Relié en demi-chagrin rouge à coins, dos à nerf orné de filets dorés. Qq. frottements aux charnières et aux coins, manque à la coiffe supérieure. Reliure de l’époque. 546 x 356 mm.
Superbe et rare recueil présentant les tableaux peints par Rubens pour orner le palais du Luxembourg construit pour Marie de Medicis. Graesse, Trésor de livres rares, 12 ; Sander 747 ; Cohen, Guide de l’amateur de livres à gravures, 914 (pour l’édition de 1808) ; Brunet, IV, 1443. « C’est l’histoire allégorique de Marie de Médicis. Les originaux de Rubens, qui ont orné longtemps le Palais du Luxembourg, construit pour cette princesse, sont maintenant au Louvre » (Cohen). Un recueil similaire avait déjà paru en 1710 sous le titre : « La Galerie du Palais du Luxembourg, peinte par Rubens », mais le présent ouvrage, publié presque cent ans plus tard, est entièrement nouveau, avec des gravures différentes, accompagnées d’un texte explicatif. Les bibliographes mentionnent une édition de Paris, 1808 mais nous ne sommes parvenus à en localiser aucun exemplaire. On apprend dans l’Avertissement que : « La Galerie du Luxembourg, cette belle collection des tableaux de Rubens, avait déjà été reproduite par le burin. Mais depuis longtemps le recueil en était devenu rare dans le commerce. L’éditeur actuel s’est flatté qu’en reproduisant de nouveau [cette belle collection des tableaux de Rubens], sous une forme plus commode, accompagnée d’un texte historique et allégorique, elle serait bien reçue du Public. Il a pensé ainsi que Rubens ayant excellé dans le choix et l’éclat des couleurs, ce serait lui faire perdre plus qu’à un autre de se borner à rendre les traits et l’expression. Il a donc mis tous ses soins pour imiter, autant qu’il est possible, le charme du coloris de l’original ». La superbe illustration se compose d’un portrait de Rubens par Le Clerc gravé par Benoist et de 24 planches d’après les tableaux de Rubens gravées par Benoist, Duthé, Gauthier le jeune, Gabriel, Gouyon, Disart et Pierron. Elles représentent : un Portrait de Marie de Médicis en Minerve, un Portrait de François II, un Portrait de Jeanne d’Autriche, les Parques, la Naissance de la reine, l’Education de la reine, Henri IV qui délibère sur son futur mariage, le Mariage de Marie de Médicis avec Henri IV, le Débarquement de la reine à Marseille, la Ville de Lyon qui va au-devant de la reine, l’Accouchement de la reine, Henri IV qui part pour l’Allemagne, le Couronnement de la reine, l’Apothéose de Henri IV, le Gouvernement de la reine, le Voyage de la reine au pont de Cé, l’Echange des deux reines, la Félicité de la régence, la Majorité de Louis XIII, la Reine s’enfuit de Blois, la Reine prend le parti de la paix, Conclusion de la paix, la Paix confirmée dans le ciel, le Tems découvre la vérité. « Les figures existent en noir et imprimées en couleur. En noir, reliure, 350 francs ; en couleurs, reliure, 2 000 francs » (Sander). Précieux exemplaire du tirage de luxe, dont l’ensemble des planches ont été imprimées en couleurs et finement rehaussées à la main à l’époque. Le présent ouvrage étant l’un des premiers à comporter des planches imprimées en couleurs qui reproduisent fidèlement des tableaux d’un grand maitre, il occupe une place importante dans l’étude de l’histoire de l’art. Bel exemplaire de ce rare recueil orné de 25 superbes planches en vifs coloris de l’époque, conservé dans sa reliure de l’époque en demi-chagrin rouge.
Paris, P. G. Simon, 1779 in-4, 4 pp. en feuille.
Complète l'édit de décembre 1778 (cf. infra), par lequel le roi Louis XVI accorda le domaine et le château du Luxembourg à son frère Louis-Stanislas-Xavier, comte de Provence et futur Louis XVIII, à titre d'augmentation d'apanage. Ce dernier le conserva jusqu'à sa fuite en 1791.ON JOINT : Lettres patentes du Roi, en forme d'édit, par lesquelles Sa Majesté donne à Monsieur le Palais du Luxembourg, à titre & par augmentation d'apanage. Données à Versailles au mois de décembre 1778. Paris, P. G. Simon, 1779, 4 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Luxembourg, Imprimerie de la Cour Victor Buck, 1957 in-8, 124 pp., 1 pl., index, broché.
Premier fascicule du Conseil héraldique du Luxembourg, avec une reproduction photographique des grandes Armes de Luxembourg.Envoi de l'auteur. Saffroy, I-3067. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Manuscrit français daté du 5 juillet 1760, avec sa traduction latine. 10ff. in-4.
Anne-Maurice (8 mars 1729 4 juillet 1760 - Paris), fille de Charles II Frédéric de Montmorency (1702 1764), duc de Piney-Luxembourg, et de Marie-Sophie Colbert (1711 - 1747), marquise de Seignelay, comtesse de Tancarville et dame de Gournay. Elle avait épousée le 26 février 1745 à Paris, son cousin Anne-Louis-Alexandre de Montmorency (1724 - 1812), 7e prince de Robech, grand d'Espagne de 1re classe, est un membre de la maison de Montmorency, dernier des Montmorency-Robech.Ensemble, ils eurent 2 enfants morts en bas âge. Elle eut une liaison avec le roi en 1749, qui ne dura pas et se consola dans les bras du marquis de Stainville, futur duc de Choiseul. Il semble qu'elle entretint une aversion pour les encyclopédistes et accorda sa protection à Palissot auteur d'une comédie "Les Philosophes" et fervent opposant à Rousseau et Diderot, Anne-Maurice mourut au moment où son père hébergeait Rousseau au "Petit château" de Montmorency (1759-1762 ; ancienne maison de campagne du peintre Charles le Brun). Dans le présent éloge funèbre l'auteur évoque les voix qui entouraient la princesse et lui faisait entendre "le langage de Babylone, pour l'éloigner du culte du vrai Dieu". Son mari se remaria en mars 1761 avec Alexandrine de La Rochefoucauld. Ils n'eurent pas d'enfant. Son titre passa à son cousin Anne Louis Christian de Montmorency (1769-1844), comte de Tancarville.