Write to the booksellers
[Georges Rochegrosse] -
Edition originale Banville, Théodore de - Rochegrosse, Georges
Le Baiser, comédie. Musique de Paul Vidal. Dessin de Georges Rochegrosse.
Paris G. Charpentier 1888 in-12 broché Paris, G. Charpentier, 1888. 19 x 13 cm, in-12, 34 (2) pp. - 1 frontispice par Rochegrosse tiré sur Chine, broché sous couverture verte imprimée.
Reference : 4069
Edition originale sur papier d'édition. Rousseurs. (VICAIRE, I, 280) Assez bon
Bookseller's contact details
Julien Mannoni livres anciens
M. Julien Mannoni
83 bd de Magenta
75010 Paris
Paris France
01 48 24 13 55
Payment mode
Sale conditions
Conditions de vente conformes aux bons usages de la librairie ancienne. Les frais de port sont en sus du prix du livre. Expédition à réception du paiement (chèque ou virement bancaire - Paypal pouvant être accepté si l'acheteur accepte de payer des frais supplémentaires de 4 %). J'apporte toujours le meilleur soin à la description des livres que je mets en vente. Les éventuels défauts ou manques sont ainsi systématiquement signalés. Toutefois, si un livre ne correspondait pas à sa description (manque non décrit, état largement surestimé par ex. ), je m'engage à vous le reprendre, sans frais, pendant une période de 30 jours suivant la date d'expédition. Uniquement par correspondance ou sur rendez-vous.
1 book(s) with the same title
Le Baiser. Comédie. Musique de Paul Vidal. Dessin de Georges Rochegrosse.
Paris : G. Charpentier et Cie, éditeurs, 1888 In-8, frontispice tiré sur chine, 36 pages. Demi-chagrin de l'époque à la bradel, dos lisse, titre en long, couvertures conservées.
Coiffe de tête manquante. "Un original de l'espèce la plus élevée" selon Baudelaire. Théodore de Banville (1823-1891), "poète du bonheur", dramaturge et critique français, était l'ami de Hugo, Baudelaire et Gautier. Célèbre pour les Odes funambulesques et les Exilés, il fut considéré dès son vivant comme l’un des plus éminents poètes de son époque. Il découvrit notamment le talent naissant d’Arthur Rimbaud. Banville unit dans son œuvre le romantisme et le Parnasse, dont il fut l’un des chefs de file. Il professait un amour exclusif de la beauté et de la limpidité universelle de l’acte poétique, s’opposant à la fois à la poésie réaliste et à la dégénérescence du romantisme. Vicaire I, 280.
