‎MAUCLAIR (Camille)‎
‎Rome‎

‎P., Laurens, 1932, in-8 carré, 170pp. illustrées de 30 planches en couleurs d'après les tableaux de J.-F. Bouchor, avec des ornementations de David Burnand relié demi-cartonnage éditeur à la bradel, couverture conservée, tête dorée, dos lisse avec pièce de titre et fleuron‎

Reference : VLE-552


‎‎

€20.00 (€20.00 )
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‎STENDHAL, Henri Beyle‎

Reference : LCS-18382

‎Rome, Naples et Florence, en 1817. Edition originale de cet « ouvrage rare et important », l’un des premiers de Stendhal. (Carteret, II, 346).‎

‎Exemplaire conservé dans sa pleine reliure de l’époque signée de Doll, condition des plus rares. Paris, Delaunay et Pelicier, 1817. In-8 de 366 pp., (1) f. d’errata. Plein veau havane, filet noir encadrant les plats, dos lisse avec pièce de titre de maroquin olive, tranches marbrées, charnières légèrement frottées. Reliure de l’époque signée de Doll. 201 x 126 mm.‎


‎Édition originale, très rare. C'est dans cet ouvrage qu'apparaît pour la première fois, imprimé sur la page de titre, le pseudonyme "M. de Stendhal". Vicaire, I, 452; Fléty, p. 60. «Rare». Clouzot, 256. «Ouvrage rare et important». Carteret, II, 346. Fruit des divers voyages de l'auteur en Italie, ce livre est le premier ouvrage signé du nom de Stendhal, pseudonyme auquel il devait conférer tant d'éclat (Martineau).Pour la première fois, H. Beyle utilisait le pseudonyme à consonance germanique à l'abri duquel il pouvait, en « hussard de la liberté » multiplier les critiques sur les fâcheuses conséquences du Congrès de Vienne pour le destin de l'Italie (Stendhal et l'Europe, catalogue de l'exposition à la Bibliothèque nationale, 1983, n°162).La préface n'a pas été reproduite dans les éditions postérieures. «Œuvve que Stendhal publia en 1817 ; l’auteur, ‘officier de cavalerie’, ‘qui a cessé de se considérer comme Français depuis 1814’, y prend le pseudonyme sous lequel il devait devenir célèbre. Le récit s’attache à l’itinéraire fictif d’un voyage que l’auteur aurait fait en 1816 et 1817, de Milan à Bologne, Florence, Rome, Naples, et par la suite de Rome à Florence, Bologne, Ancône, Padoue, Venise et Milan. En réalité, Beyle vit Padoue et Venise en 1813 et en 1815… L’Italie de ce temps permettait au jeune auteur de croire qu’il allait au-devant du bonheur : le magnifique développement des arts, la légèreté et tout à la fois le caractère absolu des sentiments, haine ou amour, les habitudes d’une société galante et pleine de vie le rendent intensément attentif au présent et curieux de cette civilisation séculaire. Rome, Naples et Florence lui semblent être les trois villes de l’esprit, pour la liberté des entretiens, l’activité des peintres et des musiciens, et la beauté des femmes. En proie aux transports d’un hédonisme raffiné, Stendhal passe avec ravissement d’un lieu à un autre, des lacs lombards aux rives de l’Arno, et au Vésuve, ne celant point son dédain pour les ‘âmes sèches’ qui ne comprennent pas la beauté de la création artistique et l’agréable vie d’une société qui n’a de compte à rendre qu’à elle-même et qui aspire aux plus hautes destinées. Et c’est dans son éloge de Milan que le livre atteint à une parfaite originalité, sur le plan littéraire. Plus tard, Stendhal devait compléter ce brillant aperçu sur l’Italie au XIXe siècle par ses ‘Promenades dans Rome’ ». Dictionnaire des Œuvres, V, 823. Précieux exemplaire de cette rare édition originale de Stendhal conservé dans sa pleine reliure de l’époque signée de Doll, condition des plus rares. Provenance: Auguste Lambiotte (n° 96 de la 4e vente Lambiotte de décembre 1977).‎

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Phone number : 01 42 84 16 68

EUR7,500.00 (€7,500.00 )

‎Boulfroy Abbé‎

Reference : 44526

(1896)

‎Rome ses monuments ses souvenirs / rome chretienne-rome paienne-rome souterraine - rome artistique‎

‎Desclée de brouwer 1896 in4. 1896. reliure demi-toile à coins. 302 pages. Etat Correct reliure legerement usagée gravures in et h-t‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR50.00 (€50.00 )

‎STENDHAL, Henri Beyle‎

Reference : LCS-18270

‎Promenades dans Rome. L’édition originale des Promenades dans Rome. ‎

‎« Un des plus libres et des plus vivants exposés d’une pensée toujours originale et vive ». Paris, Delaunay, 1829. 2 volumes in-8 de : tome I : faux-titre, titre, iv p. avertissement, 450 pages et 1 f. errata, 1 gravure de Saint-Pierre de Rome, 1 plan des vestiges de Rome replié ; tome II : faux-titre, titre, 592 pages, planche de la colonne Trajane, qq. annotations et passages soulignés au crayon, texte piqué, ex libris manuscrit à l’encre sur les gardes. Demi-veau vert, dos lisses ornés de roulettes dorées et de fleurons à froid, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 200 x 125 mm.‎


‎Edition originale. Clouzot, 257. « Assez souvent piqué » mentionne Clouzot. Comme beaucoup de ses œuvres, celle-ci est dédiée aux « happy few », ce qui prouve que Stendhal n'était pas dupe de son calcul et qu'une fois de plus c'est pour quelques lecteurs qu'il écrivait. Les Promenades se présentent comme un journal de voyage qui couvre presque deux ans d’août 1827 à avril 1829. Nous retrouvons Stendhal dans ses considérations sur l'art, ses idées sur la beauté, sur le sublime, ses appréciations nuancées et toujours très personnelles sur les œuvres d’art, qui complètent les jugements portés dans l’Histoire de la peinture en Italie. Ce sur quoi une fois de plus ici Stendhal attire l’attention de son lecteur, c’est qu’il faut se préparer à voir ; c’est un art qui s’apprend et sa connaissance décuple le plaisir. Mais Stendhal ne se contente pas de nous faire visiter des monuments ; il nous promène dans la société romaine, et les portraits de quelques-uns des personnages qu'il nous présente seraient dignes, par la pénétration psychologique de l'auteur, par cette manière unique que Stendhal a de radiographier en quelque sorte le personnage vivant et de nous montrer les ressorts de son comportement, de figurer dans ses romans. A propos de cette société et de la cour pontificale, Stendhal, avec la pente naturelle de son esprit, est insensiblement mené à nous présenter, par petites touches, une analyse de cet étrange Etat pontifical ; souvent ses considérations dépassent le monde qu’il décrit et s'étendent à toute la société de son temps. Les Promenades dans Rome, par la justesse de leurs observations et surtout par le caractère direct des réflexions de Stendhal, constituent un des plus libres et des plus vivants exposés d’une pensée toujours originale et vive. Exemplaire conservé dans ses séduisantes reliures de l’époque en demi-veau vert.‎

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Phone number : 01 42 84 16 68

EUR3,500.00 (€3,500.00 )

‎Paupert Jean-Marie‎

Reference : 168726

(1982)

ISBN : 2246278317

‎Les meres patries jerusalem athenes et rome‎

‎Grasset et fasquelle 1982 in8. 1982. broche. 342 pages. Les Trois Capitales Jérusalem Athènes et Rome nous ont donné le jour et il ne sert à rien de se déclarer exclusivement juif grec ou romain. Car notre monde occidental est né de la confluence de trois grandes sources : le judaïsme qui a donné aux hommes le sens de l'absolu et du Dieu unique le sens de la Loi le prophétisme ; l'hellénisme qui leur a donné le sens de la mesure de l'équilibre et qui a institué la raison scientifique ; Rome enfin qui leur a donné l'exemple du pragmatisme d'une solidité toute paysanne d'un enracinement charnel Rome qui annonce aussi le triomphe de la technologie. Jean-Marie Paupert a voulu par ce livre dénuder nos racines les suivre en leurs ramifications infinies les exalter détecter également les blessures et les poisons qui les ont affaiblies ou détournées. Il a exploré les terres qui les ont nourries analysé leur alchimie : Jérusalem Athènes et Rome terres mères mères patries d'où tout est sorti et enfin le christianisme. C'est ainsi qu'est née cette magistrale enquête menée à travers quarante siècles de culture Etat Correct couverture legerement usagée‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

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EUR13.00 (€13.00 )

‎CASTELLI, P. / ALDINI, Tobie‎

Reference : LCS-1993

‎Exactissima descriptio rariorum quarundam plantarum, Que continentur Rome in Horto Farnesiano : Tobia Aldino Cesenate Auctore. L' "Hortus Farnesianus" en édition originale‎

‎Première édition de l’ « Hortus Farnesianus » imprimé à Rome en 1625. Magnifique exemplaire conservé dans sa première reliure d’éditeur. Rome, J. Mascardi, 1625.In-folio, plein cartonnage d’éditeur. Reliure de l’époque. 350 x 243 mm.‎


‎Edition originale. Hunt, 208 ; Nissen, 13 ; Seguier, p.34 ; L. Allatius, Apes Urbanae, sive de viris illustribus qui ad anno 1630 per totum 1632 Romae adsuerunt, 1633, p.218. 1 titre gravé, 22 gravures à pleine page, 6 gravures sur bois. « There has been considerable dispute about the authorship of this work; Seguier quotes Allatius for the statement that Petrus Castelli wrote a book which answers to this description “Alieno nomine… edidit” but Nissen quotes a contrary opinion from a friend of Castelli. It has not, we believe, been previously noticed that the preliminary leaf with the poem “to the learned author” by J.C. Lummenaeus contains an acrostic, the initial letters giving “Petrus C&stellus Romanus”. » « Le livre parut sous le nom de Tobie Aldini. Celui-ci, médecin et botaniste italien de Césène, dans le XVIIe siècle, était médecin du cardinal Odoard Farnese, qui l’établit directeur de son jardin botanique. Aldini en fit imprimer une description sous ce titre : « Descriptio plantarum horti Farnesiani, Tomoe », 1625, in-folio, cum tab. 28, plus connu sous le nom d’ « Hortus Farnesianus ». Aldini a donné d’assez bonnes figures de quelques-unes de ces plantes, et des descriptions exactes, mais surchargées d’érudition. Dans ce nombre, il y a un acacia, ou un mimosa, auquel on a conservé le surnom de Farnesiana, qui rappelle la reconnaissance que l’on doit à la mémoire du cardinal Farnèse, protecteur et ami des savants, et qui indique le jardin où cet arbre a été cultivé pour la première fois. Il est aujourd’hui naturalisé en Italie et dans les contrées méridionales de la France. L’auteur avait promis de publier beaucoup d’autres figures ; mais elles sont restées inédites. Il paraît qu’Aldini ne fut que le prête nom de cet ouvrage, et qu’il était réellement de Pierre Castelli, Médecin de Rome, qui dit expressément dans la préface, qu’il a tout écrit : « Omnia scripsi ». Magnifique exemplaire à toutes marges, absolument non rogné, les gravures de plantes en très beau tirage, conservé dans sa première reliure d’éditeur en cartonnage de l’époque, condition des plus rares. ‎

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