1825 Dijon Frantin 1825. In12,broché , 327 pp.
Reference : 19
bon état
Librairie Chanut
Mme Valérie Chanut-Thiery
41, rue Mazarine
75006 Paris
France
01 43 54 04 70
conforme à la librairie ancienne
Bernigaud et Privat (imp.) 1960 in8. 1960. Broché. iconographie en noir et blanc
Bon état sous papier de soie rousseurs en têtes intérieur propre uniformément jauni pages non coupées
Bernigaud et Privat (imp.) in8. Sans date. Broché.
Très Bon Etat de conservation pages non coupées sous papier de soie intérieurs frais
1937 Imprimerie Bernigaud & Privat broché, 140p. bon état, couverture un peu fragile.
Table : le christ du palais de justice (E. Fyot) - la belle Angélique et ses soeurs (P. Perrenet) - l'académie de Dijon de 1740 à 1793 (J. Laurent) - L. Stouff (B. Pocquet) - extrait d'un journal écrit au jour le jour durant l'occupation allemande en Bourgogne, 1870-1871 (M. Marion) - chemin de fer et Bourgogne (E. Mugniot) - le personnel des ponts et chaussées de Bourgogne sans la première moitié du XVIIIe siècle (L. Blin) - Buffon mathématicien et disciple de Newton (P. Brunnet) - note sur un manuscrit bourguignon (M. Bruno Durand) - Jacques Pot, sire de la Roche (Cl Sadi Carnot) - rôle joué par l'académie des sciences arts et belles lettres de Dijon dans l'érection du monument de st Bernard (Cdt Charrier) - la protection et la sauvegarde du vieux Dijon (G. Grémaud) -la présentation au temple de la collection Pelletier (C. Oursel) - le sacramentaire carolingien d'Autun (C. Oursel, A. Gillot, abbé Chaume).........
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Dijon Frantin 1815 in-12 broché sous couverture d'attente de l'époque
32 pp. Seulement trois exemplaires au CCF (BnF, Montpellier, Besançon). Avec Pierre-Joseph Antoine. Unique édition, très rare.Orphelin de bonne heure et fils d'un fabricant de papier sarrois, Ferdinand Leistenschneider (1761-1852) commença par travailler à Essonne en 1785 quand il se maria ; après un séjour dans les manufactures de Buges et Langlée en 1789-1790, il s'installa en Bourgogne : il est formaire en 1791 à Plombières les Dijon ; foulonnier en l'an V (1797) à Poncey (Côte-d'Or) ; et enfin travailla à l'invention d'une machine à fabriquer le papier en continu, et ce durant plusieurs années. Elle fut fonctionnelle dès avant 1811, mais son brevet ne sera déposé qu'à la fin de l'année 1813 grâce au concours de l'Académie de Dijon, dont ces deux rapports peuvent attester. Le progrès sur les procédés traditionnels était manifeste : avec un seul homme suffisant à son fonctionnement, la machine, une fois en mouvement, produit en continu, la longueur de la feuille n'étant limitée que par la quantité de pâte disponible qui, de plus, n'a plus besoin d'être chauffée. Les rouleaux qui pressent la feuille et l'entraînent ont également l'avantage de la débarrasser de son eau et économisent beaucoup de place dans les ateliers. Il n'y a presque plus de déchets de fabrication, alors que dans les papeteries habituelles, cela représente le dixième de la production
Dijon Académie De Dijon 1967 In-8 Broché Très bon
Couverture grise imprimée illustré d'une vignette, légèrement insolée ; 272pp ; illustré de cartes HT ; en grande parti non coupé ; Les articles "de fond" sont au nombre de 6 (hors rapports) : La sépulture de Madame de Sévigné a-t-elle été violé ? Les substituts du procureur général au parlement de Bourgogne... - La vie de François Thurot - Les oculistes ambulants à Dijon - Le cassis de Dijon - Les postes, télégraphes et téléphones en Côtes-d'Or de 1789 à 1910