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BLONDEAU.
Etats Unis de l'Amérique.
[circa 1795]. 180 x 203 mm.
Reference : LBW024c8
Carte figurant les quinze premiers états des Etats-Unis. Bel exemplaire aux contours aquarellés à l'époque.
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Lettres-patentes du Roi, qui ordonnent l'enrégistrement de l'un des articles du Traité de commerce & d'amitié, conclu entre le Roi & les Etats-Unis de l'Amérique septentrionale. Données à Versailles le premier août 1778. Registrées en Parlement le 13 novembre 1778
Lille Imprimerie de N.-J.-B. Peterinck-Cramé s.d. [1778] in-4 en feuille
4 pp.BN, Actes royaux, 39915Le 6 février 1778 les États-Unis d'Amérique signaient avec la France un "Traité de Commerce et d'Amitié", le premier traité international signé par les anciennes colonies anglaises de l'Amérique Septentrionale après leur accession à l'indépendance.Dans le prolongement du traité et des relations amicales existant entre la France et la nouvelle nation américaine, ce texte consacre dans la législation française un des articles du traité qui accordait aux citoyens des États-Unis d'Amérique un traitement de faveur, stipulant que, bien qu'étrangers, les citoyens de la nouvelle nation ne seraient pas considérés comme "aubains" et pourraient disposer par testament ou donation de leurs biens
Décret de la Convention nationale du 5e jour du second mois de l'an second de la République Française, une & indivisible, Qui excepte de la loi relative à l'arrestation des étrangers, les Épouses des Citoyens des États-unis de l'Amérique
Bordeaux A. Castillon, Imprimeur-adjoint de la Municipalité provisoire [an II - 1793] in-4 de 2 pp. et 1 f. bl., avec cachet encre de Pastoureau
Suite à une pétition des citoyens Américains, les épouses des citoyens des États-Unis, quel que soit leur lieu de naissance, sont exceptées de la loi relative à l'arrestation des étrangers.Mention manuscrite "Brumaire" en tête du document, précédent le numéro du décret (1785).
Esquisse morale et politique des États-Unis de l'Amérique du nord
Paris Crochard 1832 in-16 demi-toile chagrinée de l'époque, dos lisse orné de filets à froid, tranches mouchetées, dos uniformément insolé
2 ff.n.ch., xxvij pp., 389 pp.Sabin 51413. Édition collective en grande partie originale.L'ouvrage réunit les lettres adressées par le prince Achille Murat (1801-1847), fils aîné de Joachim Murat, au comte Antoine-Clair Thibaudeau (1765-1854), vétéran de toutes les luttes de la Révolution et de l'Empire. Elles sont remplies d'admiration libérale assez naïve pour la politique américaine.La carrière du prince n'est pas commune : en 1821, il quitta l’Europe pour les États-Unis et s’établit en Floride, comme propriétaire d'une plantation dans le comté de Tallahassee qu'il baptisa Lipona Plantation, anagramme de Napoli. Devenu citoyen américain et demeurant à Tallahassee, il intégra la milice locale puis s’engagea dans l’armée lorsque éclatèrent les guerres séminoles, ce qui lui valut d’être nommé colonel. À la même époque, il rencontra une arrière-petite-nièce du président George Washington, Catherine Willis Gray (17 août 1803 - 6 août 1867) qu’il épousa le 12 juillet 1826
John Paul Jones, commodore au service des Etats-Unis de l'Amérique. Gravure
Paris Esnauts et Rapilly s.d. [vers 1780] 20,5 x 13,5 cm sous marie-louise, baguettes de bois noir, verre
Une des gravures immortalisant John Paul Jones (1749-1792), officier de marine écossais et un des héros de la Guerre d'indépendance américaine. La légende en-dessous s'appuie surtout sur ses exploits à la tête du Bonhomme Richard, vaisseau français armé et équipé à ses frais, lors de la bataille de Flamborough Head (22-23 septembre 1779) contre le Serapis commandé par Pearson, qui demeure un de ses plus illustres faits d'armes
Arrêt du Conseil d'Etat du Roi, qui excepte de la prohibition portée par l'arrêt du 28 septembre dernier, les huiles de baleine & d'autres poissons, ainsi que les fanons de baleine, provenant de la pêche des Etats-Unis de l'Amérique. Du 7 décembre 1788
Paris N.-H. Nyon 1789 in-4 en feuille
4 pp.
