1923 1923 Paris. Crès. 1923. 1 volume in-8, demi-chagrin bleu, dos à nerfs légèrement frotté, tête dorée, couvertures et dos conservés. Reliure signée Chapelière.
Reference : 10454
Illustré d'un portrait-frontispice de l'auteur. Exemplaire numéroté sur Vélin pur fils du Marais.
Librairie Pierre Prévost
M. Pierre Prévost
75, rue Michel-Ange
75016 Paris
France
01 40 56 97 98
Conditions de vente conformes aux usages de la profession. Les prix sont nets, en Euros, port en sus. Emballage gratuit.
Paris, Lib. des lettres, 1913 1 vol. (189 x 123 mm) de 307 pp. Broché. Edition originale. Un des 130 exemplaires sur Hollande (n° 73).
L'Entrave, suite de La Vagabonde, avait paru en feuilleton dans la Vie parisienne du 15 mars au 25 octobre 1913, avec une interruption entre juillet et septembre eu égard à la naissance de la fille de Colette : "l'enfant et le roman me couraient... l'enfant manifesta qu'il arrivait en premier, et je vissai le capuchon du stylo". Talvart & Place III, n°12, p. 199
Club de l'honnête homme / Edition du centenaire Club de l'honnête homme / Edition du centenaire Paris, 1973, un volume in-8 reliure cuir éditeur sous rhodoïd, tête dorée. 471pp.-3ff. Nombreux documents photographiques hors-texte. Comprend : Lettres de la vagabonde / Lettres à Hélène Picard. Texte établi par Claude Pichois avec la collaboration de Roberte Forbin. Parfait état. Un des 8860 exemplaires numérotés sur vergé.
100 idées. 1976. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Paginé de 44 à 96 - pages agrafées - quelques illustrations en couleurs dans et hors texte - incomplet.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
incomplet - Sommaire : Habillez vos états d'ame - pour une humeur joyeuse - pour une humeur vagabonde - la panoplie d'humeur vagabonde - pour une humeur légère - tricotez vos envies nouvelles - envie d'un pull très différent - envie d'une layette bon enfant - le jete de lit aux 36 points - brodez en potager - et un artichaut tapis - des légumes à broder - bonne mine la méthode rose - oui mesdames voilà du bon fromage etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
2000 2000. Michel Camiade: Désir de ville chronique amoureuse et vagabonde à Figeac-en-Quercy/ Editions Dire 2000 . Michel Camiade: Désir de ville chronique amoureuse et vagabonde à Figeac-en-Quercy/ Editions Dire 2000
Très bon état
Raoul PONCHON La Muse vagabonde Paris, Eugène Fasquelle, Éditeur, Librairie Charpentier et Fasquelle, 1938 Édition originale 189mm x 124mm 222 pp Un des 30 exemplaires numérotés sur vélin pur fil des papeteries Outhenin-Chalandre, seul grand papier, ici le n°4 Reliure demi-maroquin à coins prune, dos à 5 nerfs, auteur et titre frappés or et séparés d’un filet doré, tête dorée, couvertures et dos conservés. Reliure en très bel état si ce n’est une insolation du dos, pages intérieures en parfait état. Exemplaire truffé d’une lettre de l’auteur à son ami Aspol, où il est d’abord question d’un mystérieux document que l’auteur aurait classé dans son “merdiana”, d’une toile pour orner sa chambre, et, comme souvent dans la correspondance de Ponchon à ses plus proches amis, il est fait grande place à la nourriture, sujet cher à l’auteur, le choix du restaurant où il ira déguster une côtelette en plein air étant une affaire des plus sérieuses. “A la bonne heure, voilà un document que je vous garantis qu’il n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. En attendant, il est classé et catalogué dans mon merdiana.” “J’espère bien vous voir vers ce commencement de mai. Ce serait bien le diable si vous ne trouviez pas à l’un ou l’autre salon quelque toile de 12 mètres à acheter pour orner ma chambre au Mont de Neyrac.” “Où pourrons-nous bien manger notre côtelette dès qu’il fera tout à fait beau. Là n’est pas chez Cubat qui n’a point de dehors et où le personnel est si complaisant que c’est à hurler de douleur. Sera-ce chez Ambassadeurs, à l’ombre des orangers, mais on y graillonne à l’excès. Chez Ledoyen ? Mais depuis que les Champs Elysées sont au Champ de Mars, il paraît que la cuisine y est inférieure ! C’est le cas de dire merde alors !”