1995, in-8 broché | Etat : bon état (Ref.: ref97268)
Reference : 9782845227469
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Paris Bossuet 1931 in-12 Paris, édition Pierre Bossuet, 1931, in-12, 63 pages.
Cet ouvrage écrit par le Curé du Mont Saint- Michel Émile COULLARD (1880 - 1951), est un ouvrage biographique sur Anne Boutiaut (1851 Nevers - 1931 Mont Saint-Michel), surnommé la "mère Poulard", qui fut connue pour son auberge et sa fameuse omelette soufflée. Étant proche de la Mère Poulard, il assiste au succès grandissant de sa cuisine. Lorsqu'elle décède en 1931, il achève de rédiger sa biographie, enrichies d'anecdotes, glanées au cours des 28 ans qu'il a passé sur l'île, et de recettes de cuisines. Ce récit s'étend de sa jeunesse, en passant par l'acquisition de sa renommée, jusqu'à sa retraite. "La Mère Poulard" est un ouvrage de référence en matière de gastronomie. Infimes usures et taches.
1940 Aquarelle et encre de chine monogrammée en bas à droite, (1940), 20x16 cm.
Maquette originale pour l'illustration de la chanson "C'est la mère Michel qui a perdu son chat...". La mère Michel, anxieuse, serre son chat dans ses bras en faisant face à deux jeunes enfants qui semblent mal intentionnés. Salissures, taches et mouillures marginales.
1 "Un joli trio : jeune mère, enfant et agneau".
André Marty réalise une oeuvre tendre représentant une jeune mère jouant avec son enfant et un petit agneau dans un décor champêtre.
16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT.
Autrement - Directeur-rédacteur en chef : Henry Dougier - dirigé par Nicole Czechowski et Jean-Marc Terrasse
Reference : 3074
N° 90 de Mai 1987 - broché - 219 pages
bon état