‎‎
‎Même si je ne pense pas je suis‎

‎1981, Le courrier du livre, in-8 broché de 158 pages, 7ème tome de la collection «Ecole de la respiration «. | Etat : Bon état général, quelques traits au crayon de papier à l'intérieur (Ref.: ref10496)‎

Reference : 20584
ISBN : 2702901239


‎Le courrier du livre‎

€15.00 (€15.00 )
Bookseller's contact details

Les Kiosques

Les Kiosques, rue Prosper Ferrero
83000 Toulon
France

kiosques.toulon@orange.fr

04 94 913 130

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Others
Sale conditions

Si vous désirez retirer l'ouvrage sur place, veuillez-nous prévenir <b>48 HEURES A L'AVANCE</b> : les ouvrages peuvent être classés dans des locaux éloignés du point de vente principal.<br /><br /> Envoi dès réception du règlement. <br />Modes de paiements acceptés : mandat, virement, virement bancaire à distance, chèque, CB (sauf AmEx). <br /> <br /><b>IMPORTANT: toujours attendre la confirmation de disponibilité par mail avant l'envoi du règlement. </b><br />

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

4 book(s) with the same title

‎TSUDA Itsuo,‎

Reference : 19441

‎Ecole de la respiration. #Vol 1: Le non-faire. #Vol 2: La voie du dépouillement. #Vol 3: La science du particulier. #Vol 4 : Un. #Vol 5: Le dialogue du silence. #Vol 6: Le triangle instable. #Vol 7: Même si je ne pense pas je suis. #Vol 9: Face à la science. VOL 8 MANQUANT.‎

‎Paris, le courrier du livre, entre 1975 et 1983, 8 vol. in-8°, 207, 183, 154, 157, 152, 155, 158, 152 pp., ill. n&b, intérieur frais (qqs rares petits défauts). Br., (couv. lég. défr., qqs petits défauts, étiquette de libraire en p. de garde). Etat correct dans l'ensemble.‎


ARCA Librairie - Grez-Doiceau

Phone number : 00 32 (0)479 474 542

EUR70.00 (€70.00 )

‎ITSUO TSUDA‎

Reference : MITSMEM1

(1981)

‎Même si je ne pense pas je suis - Ecole de la respiration 7‎

‎ Paris Le Courrier du Livre 1981 1 ouvrage broché (21.5x13.5 cm), 158 pp. ‎


Phone number : 33 0 9 61 34 02 90

EUR10.00 (€10.00 )

‎DUCHESNE, Mgr Louis‎

Reference : 63950

(1903)

‎[ Lot de 2 lettres autographes signées, à en-tête de l’Ecole Française de Rome ] 1 L.A.S. datée du 21 avril 1903: Mon cher ami, C’est aujourd’hui la Natale di Roma. Cet anniversaire m’a rappelé celui que vous vouliez célébrer dans les Débats, avec ma collaboration. J’en suis navré, mais ayant été submergé tous ces jours-ci, je n’ai pas eu un moment, même pour vous dire non. Maintenant que cette moutarde arriverait longtemps après dîner, je vous offre mes remords, qui sont encore cuisants. Joignons-y, comme fiche de consolation, la pensée que le jubilé de l’Ecole était un faux jubilé, inventé par la bienveillante traîtrise du ministère pour frapper les esprits du bloc et leur amener un plus grand nombre de décorations. Les chronologistes les plus expérimentés s’accordent à dire que l’Ecole a été fondée en mars 1873. On leur ferait de la peine en ne comptant depuis lors que 25 ans. Mais préparez tout de même une jolie tartine; vous la placerez dans vingt ans. Les Débats sont éternels. Si nous n’y sommes plus, ils y seront encore. Ici je vous embrasse avec autant d’effusion qu’il en a débordé, ces jours-ci dans les banquets ministériels»; [ On joint: ] 1 L.A.S. datée du 10 janvier 1910: [ … ] Non, je n’ai pas l’intention de m’occuper de la littérature de Dufourcq, car j’en pense trop de mal et ce n’est pas le moment de le dire à ce brave garçon, que j’aime bien et qui traverse en ce moment un gros ennui professionnel. Quant à Mgr Mignot, oh! mon ami, ne me demandez pas de parler des lires d’évêques. Les évêque me font trop d’effet. De plus celui-là, que j’aime non moins tendrement que Dufourcq se trouve dans une situation très particulière. N’insistons pas. Maintenant, tous mes vœux. Quand je verrai surgir du buisson quelque gibier à ma convenance et à ma portée, je le fusillerai très volontiers à votre intention. Pernot me donnera des conseils. Que n’est-il ici! Que ne suis-je aussi dans le bureau de papa Hébrard pour arrêter au vol les maladroits articles de Tardieu. L’affaire allait bien. Ce animal va la faire manquer. Silence et patience. Mille bonne amitiés».‎

‎2 lettres autographes signées, à en-tête de l’Ecole Française de Rome , à savoir: 1 L.A.S. datée du 21 avril 1903: Mon cher ami, C’est aujourd’hui la Natale di Roma. Cet anniversaire m’a rappelé celui que vous vouliez célébrer dans les Débats, avec ma collaboration. J’en suis navré, mais ayant été submergé tous ces jours-ci, je n’ai pas eu un moment, même pour vous dire non. Maintenant que cette moutarde arriverait longtemps après dîner, je vous offre mes remords, qui sont encore cuisants. Joignons-y, comme fiche de consolation, la pensée que le jubilé de l’Ecole était un faux jubilé, inventé par la bienveillante traîtrise du ministère pour frapper les esprits du bloc et leur amener un plus grand nombre de décorations. Les chronologistes les plus expérimentés s’accordent à dire que l’Ecole a été fondée en mars 1873. On leur ferait de la peine en ne comptant depuis lors que 25 ans. Mais préparez tout de même une jolie tartine; vous la placerez dans vingt ans. Les Débats sont éternels. Si nous n’y sommes plus, ils y seront encore. Ici je vous embrasse avec autant d’effusion qu’il en a débordé, ces jours-ci dans les banquets ministériels»; [ On joint: ] 1 L.A.S. datée du 10 janvier 1910: [ … ] Non, je n’ai pas l’intention de m’occuper de la littérature de Dufourcq, car j’en pense trop de mal et ce n’est pas le moment de le dire à ce brave garçon, que j’aime bien et qui traverse en ce moment un gros ennui professionnel. Quant à Mgr Mignot, oh! mon ami, ne me demandez pas de parler des lires d’évêques. Les évêque me font trop d’effet. De plus celui-là, que j’aime non moins tendrement que Dufourcq se trouve dans une situation très particulière. N’insistons pas. Maintenant, tous mes vœux. Quand je verrai surgir du buisson quelque gibier à ma convenance et à ma portée, je le fusillerai très volontiers à votre intention. Pernot me donnera des conseils. Que n’est-il ici! Que ne suis-je aussi dans le bureau de papa Hébrard pour arrêter au vol les maladroits articles de Tardieu. L’affaire allait bien. Ce animal va la faire manquer. Silence et patience. Mille bonne amitiés».‎


‎Ces deux lettres, remarquables de verve, furent adressées par le très fameux chanoine et historien catholique Louis Duchesne (1843-1922) à André Chaumeix, du Journal des Débats. Son œuvre majeure, l’Histoire ancienne de l’Eglise, sera mise à l’index en 1912. Mgr Duchesne fut le Directeur de l’Ecole Française de Rome au Palais Farnèse, de 1895 à sa mort en 1922.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR250.00 (€250.00 )

‎ELZEAR, Pierre; [ BONNIER ORTOLAN, Elzéar ]‎

Reference : 63944

(1891)

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page datée au crayon par une autre main de 1882: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎


‎Intéressant lot d’autographes de l’écrivain Pierre Elzéar. Petit-fils du juriste Joseph Ortolan, frère du naturaliste Gaston Bonnier, Pierre Elzéar (1848-1916) verra l’un de ses poèmes publié dans le «Le Tombeau de Théophile Gautier», l’un des grands témoignages du mouvement parnassien. On peut le voir dans le célèbre tableau de Fantin-Latour, le Coin de table, où il est représenté, portant un haut-de-forme, debout à Gauche, aux côtés d'autres poètes comme Paul Verlaine et Arthur Rimbaud. Bon ensemble (prix du lot, non séparable). Les lettres sont adressés à l'écrivain de Toulon et félibre Fernand Hauser (1869-1941)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR495.00 (€495.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !