‎MILLER Sue‎
‎Au nom de la passion‎

‎éditions de la Seine 1995 1995, éditions de la Seine, collection Succès du livre, in-8 broché de 370 pages, couverture rempliée illustrée couleurs, traduit de l'américain par Madeleine Thuot. | Etat : Très bon état général (Ref.: Ref6773)‎

Reference : 12366


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‎SUE MILLER‎

Reference : R260120406

(1995)

ISBN : 2738208029

‎AU NOM DE LA PASSION‎

‎SUCCES DU LIVRE. 1995. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 362 pages. Premier plat illustré en couleurs. Couverture rempliée.. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine‎


‎Traduit de l'anglais par madeleine Thuot. Classification Dewey : 810-Littérature américaine‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Collectif‎

Reference : 61040

(1950)

‎Tous les Jeudis Film Complet [ 72 numéros du n° 182 du 1er décembre 1949 au n° 308 de mars 1952 ] 182 : La femme nue ; 184 : Marlène ; 187 : Sans Pitié ; 188 : Bal Cupidon ; 190 : Drame au Vl'd'Hiv' ; 195 : Johnny Belinda ; 197 : La Vallée du Jugement ; 198 : Au delà des grilles ; 201 : Vient de paraître ; 202 : La Beauté du Diable ; 205 : Eroïca ; 209 : La Mariée du Dimanche ; 210 : Eve et le Serpent ; 226 : La Soif des Hommes ; 231 : La Corde ; 232 : Raccrochez, c'est une erreur ; 233 : L'Homme qui revient de loin ; 234 : La Belle que voilà ; 235 : Rio Escondido ; 236 : On n'aime qu'une fois ; 237 : Rendez-vous avec la chance ; 238 : La Marie du Port ; 239 : Ma Pomme ; 240 : Le Rebelle ; 241 : Au nom de la Loi ; 242 : Le Château de Verre ; 243 : Justice est faite ; 244 : La Maison du Printemps ; 245 : Passion fatale ; 246 : Sabotage à Berlin ; 247 : Bernard Blier ; 248 : Mr. Wilson perd la tête ; 249 : Le loup de la Sila ; 250 : Le Traqué ; 251 : Sa Majesté Mr Dupont ; 252 : La Passante ; 253 : L'araignée ; 254 : Ils ont vingt ans ; 261 : César ; 262 : 11 rue des Saussaies ; 264 : Voyage à trois ; 265 : Echec à la Gestapo ; 266 : Les amants de la Passion ; 268 : L'Ange rouge ; 269 : L'aventure commença à Rio ; 271 : Liens éternels ; 272 : L'enfer est à lui ; 273 : Les Vacances finissent demain ; 274 : La vengeance des Borgia ; 275 : C'était un Rêve ; 276 : Topaze ; 277 : La rue de Traverse ; 279 : Californie, terre promise ; 280 : Dakota 308 ; 281 : La Belle Image ; 282 : Dans l'Ombre de San-Francisco ; 284 : Clara de Montargis ; 285 : Ombre et Lumière ; 291 : Boîte de nuit ; 292 : Un grand Patron ; 293 : L'île au complot ; 294 : Une histoire d'amour ; 295 : Le Dénonciateur ; 296 : L'avalanche ; 297 : L'aigle du désert ; 299 : Nous avons tous fait la même chose ; 300 : Barbe bleue ; 301 : Chaînes du destin ; 304 : Intrigues en Orient ; 305 : Le Voyage en Amérique ; 307 : La scandaleuse ingénue ; 308 : Angèle‎

‎1 vol. in-4 reliure demi-toile verte, Tous les Jeudis Film Complet [ 72 numéros du n° 182 du 1er décembre 1949 au n° 308 de mars 1952 ] 182 : La femme nue ; 184 : Marlène ; 187 : Sans Pitié ; 188 : Bal Cupidon ; 190 : Drame au Vl'd'Hiv' ; 195 : Johnny Belinda ; 197 : La Vallée du Jugement ; 198 : Au delà des grilles ; 201 : Vient de paraître ; 202 : La Beauté du Diable ; 205 : Eroïca ; 209 : La Mariée du Dimanche ; 210 : Eve et le Serpent ; 226 : La Soif des Hommes ; 231 : La Corde ; 232 : Raccrochez, c'est une erreur ; 233 : L'Homme qui revient de loin ; 234 : La Belle que voilà ; 235 : Rio Escondido ; 236 : On n'aime qu'une fois ; 237 : Rendez-vous avec la chance ; 238 : La Marie du Port ; 239 : Ma Pomme ; 240 : Le Rebelle ; 241 : Au nom de la Loi ; 242 : Le Château de Verre ; 243 : Justice est faite ; 244 : La Maison du Printemps ; 245 : Passion fatale ; 246 : Sabotage à Berlin ; 247 : Bernard Blier ; 248 : Mr. Wilson perd la tête ; 249 : Le loup de la Sila ; 250 : Le Traqué ; 251 : Sa Majesté Mr Dupont ; 252 : La Passante ; 253 : L'araignée ; 254 : Ils ont vingt ans ; 261 : César ; 262 : 11 rue des Saussaies ; 264 : Voyage à trois ; 265 : Echec à la Gestapo ; 266 : Les amants de la Passion ; 268 : L'Ange rouge ; 269 : L'aventure commença à Rio ; 271 : Liens éternels ; 272 : L'enfer est à lui ; 273 : Les Vacances finissent demain ; 274 : La vengeance des Borgia ; 275 : C'était un Rêve ; 276 : Topaze ; 277 : La rue de Traverse ; 279 : Californie, terre promise ; 280 : Dakota 308 ; 281 : La Belle Image ; 282 : Dans l'Ombre de San-Francisco ; 284 : Clara de Montargis ; 285 : Ombre et Lumière ; 291 : Boîte de nuit ; 292 : Un grand Patron ; 293 : L'île au complot ; 294 : Une histoire d'amour ; 295 : Le Dénonciateur ; 296 : L'avalanche ; 297 : L'aigle du désert ; 299 : Nous avons tous fait la même chose ; 300 : Barbe bleue ; 301 : Chaînes du destin ; 304 : Intrigues en Orient ; 305 : Le Voyage en Amérique ; 307 : La scandaleuse ingénue ; 308 : Angèle, 1950, 1951‎


‎Bon exemplaire réunissant 72 numéros (non suivis) de la revue "Tous les Jeudis Film Complet" proposant en détail l'intégralité du scénario d'un film, accompagné de nombreuses photos.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR250.00 (€250.00 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

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EUR390.00 (€390.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110415096

‎Télérama hors série n° 96 - Jean Sebastien Bach - La passion selon Jean Sébastien par Bernard Mérigaud, Quand Luther donnait le ton par Yves Noël Lelouvier, Au nom du père par Gille Cantagrel, et du fils par Michel Schneider, Il est libre, Bach, entretien‎

‎Télérama. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 98 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 781.68-Musique classique‎


‎Sommaire : Jean Sebastien Bach - La passion selon Jean Sébastien par Bernard Mérigaud, Quand Luther donnait le ton par Yves Noël Lelouvier, Au nom du père par Gille Cantagrel, et du fils par Michel Schneider, Il est libre, Bach, entretien avec Gilles Cantagrel par Bernard Mérigaud Classification Dewey : 781.68-Musique classique‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎L'INFINI - Littérature/ Philosophie/ Art/ Science/ Politique‎

Reference : 72202

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